L’ouvrage « Napoléon Ier. L’art en majesté » de Christophe Beyeler, conservateur en chef du patrimoine, chargé du musée Napoléon Ier au château de Fontainebleau, a reçu le Prix Drouot des Amateurs du Livre d’Art. Créé en 2015 par le Groupe Drouot, ce prix récompense chaque année un livre d’art.
Christophe Beyeler s’était très fortement investi pour la réouverture du musée Napoléon Ier. Cet ouvrage couronnait de longues années d’étude et de restauration des collections et du musée. Dans deux mois, une nouvelle exposition présentera la Maison de l’Empereur dans la résidence où il fit ses adieux. (merci à Anne)
Philippe
26 février 2019 @ 09:55
Autrement dit, le bling-bling et son inventeur … Tu parles d’un sujet d’expo !
Baboula
26 février 2019 @ 12:21
Il rapporte surtout aux maisons d’édition ! :-}}
Cosmo
26 février 2019 @ 13:11
Précédé par Louis XIV qui a inventé le genre !
Corsica
26 février 2019 @ 23:03
C’est vrai que Louis XIV, qui avait choisi l’astre solaire comme emblème, n’était pas du tout bling bling. Pas plus que le mobilier d’argent massif de son Grand Appartement qu’il fit fondre pour pour financer l’une de ses nombreuses guerres.
Philippe
27 février 2019 @ 15:36
La différence, c’est que Louis XIV, en plus d’être légitimement fier de sa race, a largement agrandi le territoire national (Lille et la Flandre française, Metz et une partie de la Lorraine, l’Alsace, la Franche-Comté et le Roussillon … excusez du peu !) tandis que le corse
a rendu le territoire plus petit que quand on le lui a confié …
Quant au mobilier en argent, sa vente a finalement servi le royaume, tandis que les bijoux de Joséphine, hérités par sa fille mais payés par les français, finissent aujourd’hui sur les têtes des reines scandinaves !
Muscate-Valeska de Lisabé
26 février 2019 @ 10:01
Notre Empereur a énormément apporté à la France sur les plans artistiques et culturels(et tant d’autres).Cet homme était un géant.
Esquiline
26 février 2019 @ 13:21
Il a surtout énormément rapporté des pays qu’il a pillés et copiés, la preuve cet amusant portrait, rien n’y manque, même pas les abeilles des Barberini!
Laurent
26 février 2019 @ 15:20
Le mauvais goût du parvenu
Bling bling à souhait
Le style Empire me déplaît profondément
Auberi
26 février 2019 @ 22:55
Il lui manque la morgue des Bourbons
Laurent F
27 février 2019 @ 15:51
Surtout eux qui n’avaient tiré aucune leçon du passé !
Jean Pierre
27 février 2019 @ 20:04
Les Invalides valent autant que Saint-Denis comme morgue.
Baboula
1 mars 2019 @ 13:32
Piège du mot ambivalent :,morgue
Caroline
26 février 2019 @ 23:27
C’ est un beau livre à exposer fièrement dans notre bibliothèque ! 👍
Menthe
27 février 2019 @ 14:07
Je n’avais jamais considéré l’Empereur sous cet angle….il y a un peu de vrai !! mais sûrement pas inventeur.
Val
28 février 2019 @ 07:47
Lauren,
Moi aussi, d’ailleurs je préfère la cours du Cheval Blanc ainsi nommée en premier et pour toujours pour son histoire, plus que cours des adieux à Fontainebleau !