De retour de son voyage officiel au Canada, le prince Andrew a participé ce samedi à la deuxième répétition du Trooping the Colour dans les rues de Londres. Photo réalisée par Alex Bramall. On y voit le duc d’York en tenue de colonel des Grenadier Guards avec son cheval Darby et le ruban bleu de l’Ordre de la Jarretière. (Merci à Petit Belge)
Leonor
2 juin 2019 @ 09:53
Ah la la ! C’est dur, la vie de fils de la Reine.
Tant que Papa Philip était au boulot et en selle, Fiston pouvait tranquillement aller jouer au golf sans devoir se mâcher les fesses sur one of Her Majesty’s Horses.
Fini, tout ça. Faut retourner au manège .
Muscate-Valeska de Lisabé
2 juin 2019 @ 09:54
Tout est bien,sauf la pièce-montée en fourrure(d’ours,je crois?) qui était,est et demeure,pour toujours à mes yeux,aussi barbare que profondément ridicule.
Mary
2 juin 2019 @ 14:19
Bien de votre avis chère Muscate !!!
Et cette rangée de dents au-dessous lui fait remonter les yeux qu’on devine à peine . Il a l’air content de lui, ceci dit.
Gérard
2 juin 2019 @ 21:32
En ce qui concerne les régiments royaux britanniques (il y a aussi de tels bonnets belges, danois, néerlandais, suédois, thaïlandais, américains, canadiens, australiens, italiens, srilankais) qui utilisent les bonnets en principe il s’agit de peaux d’ours du Canada (Bearskins) ours qui n’ont pas été tués pour cela mais soit ont été tués accidentellement soit sont morts de mort naturelle. Mais les Inuits peuvent tuer un certain contingent annuel variable d’ours. Le nombre est fixé chaque année par le territoire du Nunavut.
Les peaux d’ourses plus douces sont réservées aux officiers.
Le tout représente une bonne cinquantaine de peaux d’Ursus americanus par an.
Mais le regroupement de régiments pouvait entraîner un besoin moindre. Les responsables se sont également engagés à réparer les bonnets mités.
Depuis 1825 les peaux sont teintes en noir avant d’être envoyées à Londres.
Ces bonnets imitent ceux des hussards et des grenadiers à pied de la garde de Napoléon pris à Waterloo.
La durée de vie des bonnets est d’une quarantaine d’années.
Il faut une peau par bonnet ce qui représente environ 650 livres.
Un bonnet à fibres synthétiques avait été créé en 1997 mais il était trop chaud et pas tout à fait imperméable. Les fibres attiraient l’électricité statique qui pouvait être dangereuse. Enfin les soldats voulaient leur bonnet d’ours.
On sait que la reine est très attachée à ces bonnets traditionnels contrairement à son époux et au prince de Galles.
Karabakh
4 juin 2019 @ 15:31
Les bonnets de la Gendarmerie royale belge (une unité d’honneur de la police fédérale) sont en matières synthétiques.
Galetoun
2 juin 2019 @ 22:08
Ourson/ ridicule !
lila
2 juin 2019 @ 11:29
Pauvre cheval !
Alinéas
2 juin 2019 @ 11:32
Photo fort bien réalisée… Qu’est-ce qu’il est magnifique Darby !!!
Karabakh
2 juin 2019 @ 11:37
Cette coiffe l’élève au sens propre (en stature) mais pas au sens figuré (en crédibilité). Son père avait nettement plus de « goule ». 💂♂️
Auberi
2 juin 2019 @ 13:24
son cheval a l’air plus intelligent, à coup sûr il l’est
Elsi
2 juin 2019 @ 17:27
Le cheval a l´air resigne … courage Coco……
Gérard
3 juin 2019 @ 17:18
Bien sûr on songe à Mac-Mahon qui en septembre 1877 a dissous la Chambre. A ce moment-là une belle gravure est publiée dans la presse, elle représente le maréchal de Mac-Mahon à cheval avec la légende : « Il a l’air intelligent (le cheval) ». Ce porterait de propagande officielle fut ainsi détourné avec peut-être une légende un peu différente selon les auteurs : « La monture a l’air intelligent, ma foi. »
Le journal fut poursuivi pour offense au président de la République et condamné à 500 francs d’amende. Il y eut beaucoup de condamnations à cette époque pour délits de presse et écrits séditieux et Edmond About put écrire : « Le chef-d’œuvre du cabinet Broglie-Fourtou c’est d’avoir concentré en cinq mois tout ce que le despotisme impérial avait fait d’arbitraire en dix-huit années. »
Mais Clemenceau disait : « Rien n’eut prise sur Mac-Mahon en dehors du devoir. »
May Plas
6 juin 2019 @ 12:30
On sent que le cheval s’est armé de philosophie au cours des différentes répétitions. Courage mon beau.