A Doha, la sheikha Mozah a lancé le coup d’envoi du somment Wise 2019 en présence du président arménien Armen Sarkissian et de son épouse Nouneh. Cette année, le thème des cessions est « désapprennent, réapprennent ».
La sheikha a attribué le prix pour l’éducation à Larry Rosenstock qui a mis au point un réseau d’écoles aux Etats-Unis qui adoptent une approche des études qui permettent aux étudiants de tous les niveaux et milieux de recevoir l’éducation de qualité. (Merci à Guizmo)
milou
22 novembre 2019 @ 08:55
Je désapprouve cette femme mais j’aime ses tenues et sa classe !
particule
22 novembre 2019 @ 10:07
Education de qualité et endoctrinement » es qualité » ?
Caroline
22 novembre 2019 @ 11:19
Je ne crois pas que la voisine de la sheikha Mozah est la femme du président arménien.
Altea
22 novembre 2019 @ 12:31
Un doute m’habite chère Caroline.
Peut-on dire : »Je ne crois pas que la voisine de la Sheikha Mozah est… »
Ne devrait-on pas plutôt dire: »Je ne crois pas que la voisine de la Sheikha Mozah soit… »
La deuxième solution me semble plus appropriée je ne serais dire pourquoi.
Simple question…
Charlotte
22 novembre 2019 @ 12:39
De la même manière, chère Altea, un doute m’habite : ne devrait-on pas dire « je ne saurais dire pourquoi » ?
Caroline
22 novembre 2019 @ 13:03
Altea,
You are right ! Vous avez raison ! J’ ai voulu corriger mon erreur, mais mon commentaire est déjà parti 😲 !
Merci et bon week- end !
Leonor
22 novembre 2019 @ 13:58
La seconde solution est la bonne, en effet.
Même si, au quotidien, se répand , en effet, la première .
Seconde solution, , donc le mode subjonctif, parce que » ce n’est pas certain » . La personne qui parle n’est pas certaine de l’hypothèse qu’elle énonce, le fait dont il est question n’est pas certain, etc.
» Je ne pense pas que tu PUISSES prendre le train le 5 décembre . »
Le mode indicatif, , première solution , ( il pleuvra = mode indicatif, temps futur) , comme son nom l’indique, (!) INDIQUE , en théorie au moins, quelque chose, une certitude, un fait certain : » Un jour,mon prince viendra « . Je le sais, c’est sûr, y’a pas d’doute ,y’a pas photo, papa me l’a dit. » La pomme EST verte » . A moins d’être daltonien, c’est un fait incontestable.
Cependant, l’usage de la première solution se répand .
On dit maintenant très couramment : » Je ne pense pas qu’il PLEUVRA demain » . Comme si on était certain que, demain, les vaches oublieront de pisser .
Selon les dogmes grammaticaux, c’est faux, mais c’est ainsi : l’usage se répand .
Or, l’usage finit toujours par avoir raison. Ou, disons plutôt : raison ou pas, l’usage PREND le dessus.
C’est comme ça, et pas autrement, qu’on le veuille ou non.
Les langues sont des organismes vivants , qui évoluent. Faute de quoi, et à vouloir les figer, elles meurent. Comme n’importe quoi et n’importe qui dans la vie.
Menthe
23 novembre 2019 @ 16:41
Pour le 5 décembre, je pense que le fait est certain 😘
ciboulette
22 novembre 2019 @ 19:01
Vous avez raison, Altéa , le subjonctif est obligatoire , à cause de la notion de doute contenue dans » je ne crois pas » .
Christine
22 novembre 2019 @ 19:36
J’opte pour la 2ème proposition Altea. La phrase négative exprime le doute , donc l’utilisation du subjonctif est ici plus approprié.
marianne
23 novembre 2019 @ 08:28
Vous avez raison Altea , « je ne crois pas que … soit … » c’ est le subjonctif après un doute, une éventualité .
Leonor
23 novembre 2019 @ 13:15
A la suite de la question d’Altea, et de toutes les réponses :
On devrait créer un club des fondus de grammaire ! :-))
Christine
22 novembre 2019 @ 19:38
J’opte pour la 2ème proposition Altea. La phrase négative exprime le doute , donc l’utilisation du subjonctif est ici plus approprié.