Ce 20 décembre 2019 ont été vendues aus enchères à Drouot un lot exceptionnel de quatorze cartes de voeux, envoyées par différents membres de familles royales, dont certaines portent des signatures autographes manuscrites et imprimées.
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Mary
7 janvier 2020 @ 09:05
Le vendeur devait avoir besoin de beurrer ses épinards. Mais ça n’a pas du se vendre très cher.
Jean Pierre
7 janvier 2020 @ 09:29
Tous les jours il y a un pigeon qui se lève.
Pierre-Yves
7 janvier 2020 @ 10:21
C’est à peine si j’ose avouer que je n’ai pas écrit de carte de voeux à la main depuis des années. Je suis pour ça d’une paresse considérable. Je crois que ce qui m’a éloigné de cette tradition a été l’obligation professionnelle d’envoyer chaque années des paquets de cartes à des relations diverses et variées qui ne m’étaient pas grand chose.
A force de me sentir contraint de le faire, j’en suis venu à détester cette convention sociale lourdingue, ce festival de formules toutes faites, creuses, si bien que moi qui aime pourtant les gens, je n’adresse aujourd’hui que parcimonieusement mes voeux. Mais pour vous, amis de N&R, je l’ai fait bien vonlontiers :)
Laurent F
7 janvier 2020 @ 10:49
J’ai arrêté d’écrire à tous ceux qui ne répondaient pas ! le nombre a chuté considérablement mais c’était avant les SMS !
Muscate-Valeska de Lisabé
7 janvier 2020 @ 15:44
Je déteste également souhaiter des voeux,en fait je déteste tout ce qui est imposé et contraint…les dates préétablies pour être en fête,pour moi ça ne ressemble à rien.
Antoine
7 janvier 2020 @ 12:26
Chacun fait comme il l’entend. Je continue néanmoins à envoyer des voeux écrits à tous ceux qui sont plus âgés que moi (et que j’aime bien). Je réponds bien sûr à ceux que je reçois. J’avoue sans honte être sensible à cette marque d’attention. Je réponds aussi aux mails lorsqu’ils sont personnalisés, en aucun cas aux envois groupés ni aux SMS à la chaîne. C’est une petite contrainte (je m’en tire rarement à moins de 50 courriers postaux) à laquelle je sacrifie cependant volontiers. Mais je constate aussi que cette tradition se perd bien que résistant davantage dans certains milieux. Je trouve que c’est dommage à une époque où l’on a que le « lien social » à la bouche, mais je comprends qu’elle puisse peser à certains.
Philippe Gain d'Enquin
7 janvier 2020 @ 12:27
Pas à la main ? Il restait les pieds avant l’ordinateur, histoire de rester un peu dans les arcanes du savoir vivre… Une nouvelle fois, très heureuse année, PgE
Antoine
8 janvier 2020 @ 11:17
Vous avez raison, Philippe Gain d’Enquin. Dans ma province reculée les pieds servent encore à faire des visites du nouvel an… Mais comme chacun le sait, au-delà d’un rayon de 15 km autour de Paris on vit encore au moyen-âge ! Que l’année vous soit douce.
Philibert
7 janvier 2020 @ 16:05
Qu’on vende de la correspondance dont les auteurs sont morts, masse encore.
Mais je doute que le roi Juan Carlos et la reine Sophie d’Espagne apprécient de voir leurs cartes de voeux arriver dans les mains de n’importe qui par suite d’une dispersion en vente publique !
Philibert
15 janvier 2020 @ 18:06
« passe encore », évidemment.
Désolé pour cette coquille !
Pierre
7 janvier 2020 @ 17:26
Quel est le montant de l’achat svp?
Caroline
7 janvier 2020 @ 18:27
On remarque à gauche la carte de voeux envoyée par la famille du prince Johannes de Thurn et Taxis , décédé il y a presque 30 ans !
Marie-Françoise
8 janvier 2020 @ 19:51
MERCI