Du 28 février 2020 au 3 janvier 20201, l’Atelier des Lumières à Paris présente « Monet, Renoir, Chagall,… Voyages en Méditerranée ».
En voici le descriptif : « Cette exposition propose un parcours itinérant, de l’impressionnisme à la modernité. Après Van Gogh, cette nouvelle exposition numérique révèle le lien entre la création artistique et les rives méditerranéennes, bassins majeurs de la modernité. Une immersion dans les chefs-d’oeuvre d’une vingtaine d’artistes : Renoir, Monet, Pissarro, Matisse, Signac, Derain, Vlaminck, Dufy, Chagall…
En Van Gogh, ces artistes reconnaissent un génie de la peintre qui, après avoir quitté Paris, utilise la couleur pure comme mode d’expression privilégié.
À partir des années 1880, la Méditerranée séduit les artistes : délaissant Paris ou le Nord, ils se réunissent le long du littoral, de Collioure à Saint-Tropez. C’est alors qu’ils élaborent une nouvelle conception de la lumière et de la couleur. Ces artistes ont entretenu des liens avec la Méditerranée soit par leurs origines, soit par leurs séjours dans le Midi.
L’exposition numérique s’attache à montrer comment leurs personnalités artistiques se révèlent au contact de ces paysages maritimes et comment s’invente la modernité picturale.
En 7 séquences et une quarantaine de minutes, vous êtes emporté d’un courant artistique à un autre : de l’impressionnisme avec Monet et Renoir, au pointillisme avec Signac et Cross, en passant par le fauvisme avec Camoin, Derain, Vlaminck, Marquet… sans oublier Matisse.
L’exposition immersive retrace aussi la fascination pour la Méditerranée de Bonnard et Dufy, pour enfin arriver à l’un des plus grands coloristes de l’art moderne : Chagall.
Plus de 500 oeuvres, aujourd’hui dispersées à travers le monde, inondent l’Atelier des Lumières de leurs couleurs éclatantes. »
Baboula
25 février 2020 @ 08:43
Atelier des Lumières.
38 rue Saint Maur .75011 Paris .
bételgeuse70
25 février 2020 @ 10:44
Je ne vais pas perdre une seule minute pour y aller.
Caroline
25 février 2020 @ 12:06
J’ adore ce genre de peintures, ma fille avait accroché ce tableau avec un cadre vert dans sa chambre décorée à la ‘ Laura Ashley ‘ , il y avait 15 ans.
Bernadette
25 février 2020 @ 12:06
Dommage ! La billetterie est uniquement en ligne ! Il faut donc apprendre à s’en servir !
Gatienne
25 février 2020 @ 23:06
Une « exposition numérique » ne doit pas dégager le même charme qu’une véritable exposition des œuvres de beaucoup de ces artistes que j’ai la chance de pouvoir admirer in situ puisque je vis non loin des musées Matisse et Chagall à Nice-Cimiez, Renoir à Cagnes/Mer, Bonnard au Cannet, sans oublier le MAMAC de Nice qui célèbre l’enfant du pays, Yves Klein.
L’intérêt de cette expo réside probablement dans la manière dont chaque peintre s’est approprié ces paysages de soleil, ces couleurs, pour ne finalement en retenir qu’une chez Klein : le bleu outremer !
Juliette d
26 février 2020 @ 04:32
J’adore les impressionnistes. Trop loin pour moi…, et avec le virus, on ne voyage pas pour l’instant.
Menthe
26 février 2020 @ 18:12
Voilà Juliette, pour le virus, c’est une des attitudes les plus intelligentes, ne pas voyager si pas nécessaire.
Claudia
26 février 2020 @ 10:59
Déjà l’expo Van Gogh était un enchantement…Celle-ci promet d’être aussi réussie.
Esquiline
26 février 2020 @ 13:35
J’ai en horreur les expositions digitales. Autant rester chez soi et rechercher sur nos computers les images des oeuvres que l’on désire contempler.
chiffonnette
28 février 2020 @ 11:41
Rien a voir avec des images sur ordinateur. C’est une expo en immersion totale, les tableaux étant projetés sur des parois de plusieurs mètres de hauteur , les images sont en constant mouvement. Même chose à la cathédrale de lumières des Baux de Provence ou le concept a été créé il y a plusieurs dizaines d’années dans d’anciennes carrières avant de s’exporter dans plusieurs sites en France. https://youtu.be/EG9vtjF3JrU
Esquiline
29 février 2020 @ 15:12
C’est parce que je connais que je n’aime pas et votre vidéo ne fait que conforter mon sentiment malgré le ton grandiloquent du commentaire.
Le virtuel digital me laisse froide, des pixels même projetés sur des dizaines de mètres restent des pixels, c’est ainsi je n’y peux rien.