A l’occasion des 500 ans de Catherine de Médicis et de l’ouverture de son Apothicairerie en juin 2019 au château de Chenonceau, une tisane a été spécialement élaborée par l’Herboristerie du Père Blaize.
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Mary
28 avril 2020 @ 06:58
Tant que ce n’est pas un bouillon de 11 heures… Avec Catherine de Médicis, mieux vaut se méfier …
Jean Pierre
28 avril 2020 @ 07:49
J’associerai Catherine de Médicis au « bouillon de onze heures » plutôt qu’à la tisane.
Cosmo
28 avril 2020 @ 08:43
Il faut être courageux pour boire une tisane concoctée par Catherine de Médicis, dont la légende en breuvages n’est plus à faire….😂
bételgeuse70
28 avril 2020 @ 08:52
Si la recette vient vraiment de Catherine de Médicis, alors prudence. Elle passait pour avoir des recettes très spéciales…
Leonor
28 avril 2020 @ 10:42
Pas sûr que l’herboriste de Catherine de Médicis ne concoctait que des tisanes. Ou alors,des tisanes de onze heures …
Francoise
29 avril 2020 @ 05:04
Il n’y avait pas que le bouillon de 11h, heureusement ! Avec toutes ne les connaissances que ses apothicaires avaient ramène d’Italie avec des touches orientales peut être aussi d’Afrique, d’Asie, grâce aux marchands ,qu’elle bonne idée de reprendre ses recettes, a quand les onguents de beauté et autres parfums…
Touches
aubert
28 avril 2020 @ 10:57
Méfiance, méfiance !
Gérard
28 avril 2020 @ 11:00
La vieille herboristerie marseillaise.
Gérard
28 avril 2020 @ 13:42
Toussaint Blaize était un herboriste et une sorte de guérisseur qui connaissait toutes les plantes notamment des collines de la Haute- Provence où il habitait et qui décida en 1815 de s’installer à Marseille dont le port refleurissait avec la chute de l’Empire et permettait les exportations et les importations de plantes exotiques. C’est aussi qu’il avait rencontré une jolie marseillaise qu’il souhaitait épouser et il s’établit donc près du cours Saint-Louis dans une petite rue où se trouve toujours la boutique tenue depuis six générations par la famille puis cédée en 2013 à un docteur en pharmacie qui n’a rien changé au décor dans la rue Méolan devenue à l’occasion du bicentenaire Méolan et du Père Blaize.
À quelques mètres de là le quincaillier Empereur demeure le plus connu de Marseille depuis 1821. Si quelque chose est introuvable on le trouve chez Empereur.
Charlotte (de Brie)
29 avril 2020 @ 11:18
Ah oui Gérard, j’ai vu il y a quelques temps un reportage sur cette quincaillerie hors du temps et bien actuelle pourtant. Un décor à l’ancienne, et alors un foisonnement d’objets, de curiosités , en fait on a plus l’impression d’être dans un Musée d’Art et Traditions populaires que dans une quincaillerie.
Je crois qu’il existe une boutique en ligne depuis quelques années sous l’impulsion de sa gérante.
Merci pour votre réponse concernant le prince Gagarine.
Leonor
29 avril 2020 @ 13:46
Quoi ? Y’a un quincaillier pareil à Marseille ? J’accours ( enfin,après le confinement).J’adore les quincailleries. De vraies cavernes d’Ali Baba. En voyage, quand j’en vois une, hop, je m’y précipite . Mon mari, résigné ( x années de conjugo l’ont formé…) ,prend son mal en patience dans le bistrot d’à-côté. J’ai comme ça fait des trouvailles formidables .
Merci, Gérard ! Vous aussi,vous êtes une mine !
Gérard
30 avril 2020 @ 11:18
Merci Mesdames. Empereur est 4 rue des Récolettes tout près de la Canebière.
Val
28 avril 2020 @ 11:48
La grande Catherine et ses recettes , c’est une légende si elle avait était si machiavelique la Diane serait morte bleue !!! On lui a prêté tant de méfaits une légende vous dis je !!!
Alinéas
28 avril 2020 @ 11:56
Oui pour les agrumes et vanille mais avec la mélisse, je ne sais pas !
chiffonnette
28 avril 2020 @ 13:06
L’herboristerie du Père Blaize, rue Meolan dans le 1er arrondissement , est une vénérable institution marseillaise.
aubepine
28 avril 2020 @ 13:16
Pour ma part je commanderais volontiers ces tisanes car je ne crois pas une seconde à d’éventuels talents d’empoisonneuse ,Catherine était plutôt diplomate et pour la conciliation ; les croyances du moment avaient la vie dure , comme à l’époque de la pauvre Valentine Visconti traitée elle aussi d’empoisonneuse …..l’Italie à cette époque était synonyme de poisons ou de poignards sûrement dû aux Borgia
Myriam Schopfer
28 avril 2020 @ 13:44
Avec tous les poisons qu’elle manipulait je préfère regarder tout ça de loin
Caroline
28 avril 2020 @ 22:06
Bofff, je ne crois pas aux vertus des tisanes ! Pourquoi pas épater nos invités en leur proposant cette tisane ‘ historique ‘ ?
Sébastien
28 avril 2020 @ 23:14
J’allais poster la même reaction que vous autres… Quelle idée marketing à la noix ! CQFD :)