Le château de Cheverny accueille désormais dans son parc ce chien d’une hauteur de 3,5 mètres, oeuvre de Michel Audiard. La statue a été réalisée grâce à un maillage de fils d’acier, pour prendre forme, et a nécessité ensuite 5 couches successives de toiles enduites de résine, posées en croisé.
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framboiz07
14 juin 2020 @ 07:44
Pub pour leur meute de chasse à courre ?
Mimi avec Majuscule
14 juin 2020 @ 08:41
Michel Audiard (à ne pas confondre avec le scénariste et réalisateur !) a déjà fait des oeuvres que j’estime intéressantes comme ses stylos et ses autres sculptures animales. En revanche, un projet à Tours de femme géante du dernier mauvais goût (elle devait abriter un bâtiment et les visiteurs devaient entrer par l’entre-jambes de la dame en position lascive) a été heureusement retoqué. En plus, la sculpture devait être visible de l’abbaye. Une façon de se faire un nom (homonyme) en choquant ! Ici, je n’aime pas ce chien, pas assez fini avec toutes ses aspérités et le bas est même sale, avec des excroissances. Il peut franchement mieux faire !
emy
15 juin 2020 @ 21:45
La fameuse « femme-Loire », une immense statue qui devait être élevée en 2013 près de l’abbaye de Marmoutier, en effet, et qui a fait couler beaucoup d’encre, signer une pétition… Elle devait être visible de l’autoroute et de l’établissement scolaire tout proche…
Muscate-Valeska de Lisabé
14 juin 2020 @ 09:07
Sans grand intérêt…le chien comme inachevé,façon papier mâché,semble attendre…qu’on le termine.
Philibert
14 juin 2020 @ 20:57
Bien d’accord avec vous, chère Valeska.
De plus, je ne vois pas son intérêt dans le parc d’un château.
Finalement, peut-être ce chien attend-il qu’on le remette dans sa niche…
Kalistéa,
16 juin 2020 @ 04:05
Et ce n’est pas Milou , çà c’est sûr !
Leonor
14 juin 2020 @ 09:23
Ca me laisse sceptique.
Ainsi que le discours de l’auteur de cette chose.
Quant à dire sa renommée « internationale « , c’est en tout cas vraiment trop .
Il a l’air bon dans le domaine de la vente .
Menthe
14 juin 2020 @ 10:26
Je rêve-depuis quelques années, déjà-d’une « statue » de vache, taille réelle, dans mon jardin, bien qu’étant entourées de vraies, bien vivantes. Je finirai bien par en avoir une, j’en ai vu de magnifiques en Suisse, peintes comme les réalisations de Niki de Saint Phalle.
Vous aurez remarqué que j’adore les couleurs !
ciboulette
14 juin 2020 @ 19:39
Je pose à nouveau la question , chère Menthe , à propos de couleurs : votre » gravatar » montre-t-il des cerises » Napoléon » ? J’ai les mêmes !
Menthe
15 juin 2020 @ 10:09
Oui Ciboulette ! Je vous ai répondu plus longuement sous l’article « des royaux suédois avec la ministre des Affaires Étrangères » où vous m’aviez posé la question, allez voir !
ciboulette
17 juin 2020 @ 18:18
Excusez-moi , je n’avais pas vu ! C’est une histoire amusante ! Et je vous confirme , n’hésitez plus : ces belles cerises croquantes et bicolores sont des bigarreaux » Napoléon » .Attention : avant de les déguster , prenez la précaution de les ouvrir : nous ne sommes pas les seules à les aimer et il y a parfois un » habitant » dedans !
ciboulette
15 juin 2020 @ 14:48
Autre anecdote : quand j’étais en Allemagne chez ma correspondante , à Mayence , nous nous sommes promenées à la campagne .Il y avait des vaches , et la maman de ma correspondante m’a appris que beaucoup de vaches chez eux s’appelaient » Lotte » . Cela dit sans méchanceté aucune !
ciboulette
17 juin 2020 @ 18:18
Je destinais aussi ce message à Charlotte de Brie !
Charlotte (de Brie)
18 juin 2020 @ 13:01
Bien reçu, merci !
Alinéas
14 juin 2020 @ 11:18
C’est certainement une belle oeuvre mais que je ne verrais pas du tout dans ce parc !
Pierre-Yves
14 juin 2020 @ 11:24
Il va rester là, au beau milieu de l’allée ?
Mary
14 juin 2020 @ 11:55
Bof ou plutôt wouaf.
Denis
14 juin 2020 @ 11:59
Redoutable témoignage de la disparition de l’art de la statuaire figurative en France !
JOSEPHINE
14 juin 2020 @ 12:17
Comme c’est laid !
Danielle
14 juin 2020 @ 12:37
La meute du château n’aura plus qu’à s’arrêter saluer ce chien lors de ses sorties.
Anne de Bretagne
15 juin 2020 @ 19:31
Si la meute s’arrête, ce sera pour autre chose que saluer cette statue, dans ce cas elle ne devrait pas rester très longtemps en place.
Juliette d
14 juin 2020 @ 14:44
Malgré la rėputation de l’artiste, je préfère les chiens de la meute du Château.
ciboulette
14 juin 2020 @ 15:12
Je n’aime pas du tout !
Gilan
14 juin 2020 @ 16:27
On dirait un moulage de Pompei. Pour ceux qui aiment http://www.audiard.com/x ou https://www.artsper.com/fr/artistes-contemporains/france/2628/michel-audiard
j21
14 juin 2020 @ 17:28
La beauté d’un jardin, d’un parc se suffit à elle-même, toutes ces « choses » qu’on y exposent sont pour moi comme des verrues sur un beau visage .
Auberi
14 juin 2020 @ 17:46
J’ai joué la bonne élève et suis allée sur son site : http://www.audiard.com
Euh… peut-être le crocodile rouge sous les chaises blanches à mettre dans un salon, drôle
bételgeuse70
15 juin 2020 @ 06:46
Oserai-je dire : « quel cinéma » ?
Marie
15 juin 2020 @ 10:00
De l’audace, enfin de l’audace ! Personnellement j’adore cette sculpture.
Je trouve l’initiative des propriétaires contemporaine.
Mettre une sculpture contemporaine dans cette perspective absolue, ne fait que renforcer celle ci ! Excellente idée !
J’ai eu la chance d’aller au Château de Cheverny ce weekend et de découvrir cette magnifique sculpture in situ. Etant une habituée des lieux, depuis plusieurs années, je trouve que cette oeuvre a une place légitime.
Je n’ai pas l’habitude de laisser des commentaires… mais tant de fiel m’y oblige !
Vitabel
15 juin 2020 @ 10:26
Bien sûr ce château est somptueux mais le contraste avec le chien me plaît assez…je suis aussi allée sur le site, les ours en résine ont ma préférence.
ML
15 juin 2020 @ 20:24
J’espère qu’il ne va pas y rester ad vitam aeternam . Si j’étais un chien ,je porterais plainte !
Karabakh
15 juin 2020 @ 22:55
Laid.
Philippe Gain d'Enquin
17 juin 2020 @ 12:17
Le pauvre Milou se sera probablement pinté au Loch Lomond en découvrant une semblable concurrence; mais en aura-t’il brisé pour autant une à une ces sept boules dans aucune desquelles il n’avait vu poindre pareille forfaiture ? En attendant que Le Petit Vingtième nous éclaire, nous, les « B….., » on les a !