Cette oeuvre datant de 1756 est du peintre Nicolas-Jean-Baptiste Raguenet, spécialiste des vues de la Seine. Elle représente en 1756 une des réjouissances prévues pour la naissance du duc de Bourgogne, Louis de France.
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17 Comments
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1 octobre 2020 @ 06:50
Louis de France tout tordu élève de Fénelon !!
1 octobre 2020 @ 07:29
En voyant ce tableu je regrette une fois de plus qu´il n´est pas possible de voyager dans le tems, par exemple passer une journee dans le Paris du Moyen-Age…
1 octobre 2020 @ 12:31
Ah , moi aussi !!!!
1 octobre 2020 @ 16:17
Quelle belle idée qui m’est souvent venue dans des circonstances diverses et variées
1 octobre 2020 @ 08:47
Très belle peinture , témoignage du temps passé .
Ces ponts couverts bâtis sont typiques d’ une époque . Malheureusement ils posaient trop de problèmes , il n’ en reste que très peu en France , deux je crois .
1 octobre 2020 @ 19:36
Il reste le pont des Marchands à Narbonne mais il est un peu noyé dans le bâti urbain.
Le pont de Rohan à Landerneau est plus impressionnant.
1 octobre 2020 @ 09:36
J’aime bien,c’est comme une photo du Passé.
1 octobre 2020 @ 12:31
Exactement, aussi vrai que nature…
1 octobre 2020 @ 09:49
Ah, on appelle cela » joutes des mariniers » ?
Il y avait cela à Strasbourg, jusque dans les années soixante. Après, il fut décidé que l’eau était trop polluée.
On appelait cela » Schéffeleschtèche » , qui pourrait se traduire par » pousser dans l’eau le gars du bateau d’en face avec une pointe, depuis son bateau à soi « .
C’était très drôle.
Dans les bateaux face à face, les rameurs poussaient fort pour donner de l’élan à leurs barcasses, puis , juste avant le croisement des esquifs, dressaient les rames à la verticale, pendant que les » Stècher » , eux, ( le gars debout sur une sorte d’estrade arrière, sur chaque barque, armé d’une lance), disposait son arme à l’horizontale, et se préparait à embrocher en quelque sorte son adversaire, pour le flanquer à l’eau.
C’était toujours une grande fête, beaucoup de public – c’était en plein centre ville – , c’était très drôle, et, enfant , j’adorais ça .
J’ignorais que cela se pratiquait ailleurs. Sauf en Suisse, oui.
1 octobre 2020 @ 12:51
Très drôle , certes , sauf pour celui qui tombe à l ‘ eau , natürlich !
Vous m’avez beaucoup déçue , dear Léo , car je vous ai posé une question ( vous avez même répondu que pendant le confinement , les gens avaient beaucoup » bricolé » et qu’on allait assister à une recrudescence de naissances) .Et là , à ma grande déception , VOUS AVEZ BOTTE EN TOUCHE ! C’est-y pas malheureux , tout de même !
1 octobre 2020 @ 13:00
Très bien vu, merci! Mais l’orthographe française ne regarde pas les autres langues …donc pas d’accents …. sinon pourquoi pas écrire en français avec l’orthographe allemande ….
1 octobre 2020 @ 09:51
Hum… non seulement ce tableau appartient au musée Carnavalet mais cette publication reproduit mot pour mot le texte paru sur le compte Instagram du musée Carnavalet accompagnant la reproduction de cette oeuvre il y a 3 jours. Des guillemets en début et fin de texte ou une mention directe de l’origine de cet article seraient les bienvenus… Désolée de paraître pointilleuse, c’est ma formation d’historienne…
1 octobre 2020 @ 15:17
Après les joutes de Sète, nous avons celles de Paris.
1 octobre 2020 @ 18:05
Nicolas-Jean-Baptiste Raguenet, le peintre de Paris, un oeil sur le passé.
1 octobre 2020 @ 18:50
Hermosa pintura
1 octobre 2020 @ 19:04
j’adore cette immersion dans un Paris révolu, au même titre que dans la Venise de Canaletto
1 octobre 2020 @ 19:30
Cette pompe a vécu assez longtemps pour être photographiée !
Détruite évidemment sous la période hygiéniste Haussman comme tout le Paris médiéval.
http://paris1900.lartnouveau.com/paris04/lieux/la_pompe_du_pont_notre_dame.htm