Menu du repas donné le 21 octobre 1884 à Sigmaringen pour les noces d’or du prince Karl Anton de Hohenzollern-Sigmaringen, chef de la maison princière (1811-1885) et de la princesse Joséphine de Bade (1813-1900), parents de la princesse Marie, épouse du prince Philippe, comte de Flandre.
Le couple eut six enfants dont Stéphanie (1837-1859) épouse du roi Pedro V de Portugal, Karl qui devint roi Carol I de Roumanie (1839-1914) et marie, mère d’Albert I, roi des Belges.
Avant la Première Guerre Mondiale, les relations entre le roi Albert I et ses cousins allemands étaient très étroites. Sa soeur la princesse Joséphine s’ets mariée avec son cousin le prince Karl Anton.
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🇨🇦 Mer Limpide 🌊
10 juin 2021 @ 02:04
Menu alléchant.
Tout me botte bien .👍
Michelle
10 juin 2021 @ 02:33
Ca ouvre l appetit en cette din de soirée, je prendrais tout!!!!!
Caroline
10 juin 2021 @ 07:54
Trop de poisson et trop de viande dans ce menu d’ antan !
Qui sont les descendants actuels de ce couple princier ? Merci d’ avance !
Beque
10 juin 2021 @ 08:50
Stéphanie de Beauharnais, grande-duchesse de Bade, lutta vainement contre la surdité de sa fille Joséphine. Elle sera soignée à Paris et s’attachera à la seconde épouse de son grand’père Claude de Beauharnais, Sophie Fortin-Duplessis.
La princesse de Hohenzollern, née Amélie de Salm, a passé toute sa jeunesse à Paris, avec ses deux sœurs, devenues, l’une, duchesse de La Trémoille, l’autre princesse de Croy, et elle est liée depuis plus de 40 ans avec les Beauharnais. Elle est mariée au prince de Hohenzollern, devenu prince de la Confédération germanique. Leur fils, Charles, né en 1785, devient aide de camp de Berthier. Napoléon le marie, en 1808, à Marie-Antoinette Murat, une nièce de Murat, formée dans la maison de Mme Campan. Et leur fils Charles-Antoine épouse Joséphine de Bade le 21 octobre 1844 à Carlsruhe.
Stéphanie de Beauharnais écrivit ses souvenirs et les légua à sa fille préférée, Joséphine de Hohenzollern, après que deux copies en eurent été faites, l’une pour la reine Carola de Saxe, la fille de Louise, l’autre pour Marie Hamilton. Mais ces souvenirs disparurent comme s’ils inquiétaient, incendiés ou détruits ou non publiés.
Jean Pierre
10 juin 2021 @ 09:39
Le menu me fait penser à « D’un château l’autre » de LF Céline, peut-être son livre le plus lisible.
Danielle
10 juin 2021 @ 11:54
Un menu très copieux, espérons que les convives avaient le choix pour les plats.
L’illustration est belle.