Vues de la cuisine du château de Valençay dans l’Indre qui fut la propriété du prince de Talleyrand.
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11 Comments
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9 juin 2021 @ 07:07
J’imagine bien au bout de cette table pour un brunch improvisé mon cher Diable Boiteux !!
9 juin 2021 @ 08:26
Ces cuisines devaient être fraîches.
Je me demande à quoi servait l’espèce de tréteau, sur la première photo.
9 juin 2021 @ 10:00
Le prince de Bénévent et la duchesse de Dino n’ont pas dû y mettre les pieds souvent…peut-être jamais.
Le chef Carême y-a-t-il officié ? Ou bien s’est-il contenté des fourneaux de la rue Saint-Florentin ?
9 juin 2021 @ 13:03
Les pieds du prince…Cosmo !
10 juin 2021 @ 12:07
Disons un sur deux….
9 juin 2021 @ 11:17
Les cuisines de châteaux ont toutes des batteries de cuisine en cuivre.
DEB, ce n’est pas un tréteau, c’est une table qui peut se replier et sur laquelle on pose des rallonges.
9 juin 2021 @ 12:02
Merci Danielle.
Je n’avais jamais vu
9 juin 2021 @ 12:10
Magnifique château que j’ai visité il y a quelques années. Très bien meublé, un pur plaisir pour les yeux.
9 juin 2021 @ 17:41
C’est en 1979 que Jean Morel beau-fils de l’avant-dernier duc céda le château à un groupement chargé de le gérer.
10 juin 2021 @ 20:57
Gérard, qui était le dernier duc ? A mon grand regret, je n’ai jamais visité le château de Valançay. J’aime beaucoup Rochecotte, bien que le domaine ait été morcelé, le château vidé et ses meubles dispersés. J’ai compris que c’était un artisan du village qui l’avait acheté ? Le château est devenu, ensuite, hôtel de luxe mais je ne sais pas s’il a pu résister aux confinements. La dernière fois que j’y ai déjeuné (avant la pandémie), nous n’étions que deux dans la salle de restaurant.
En 1847, Dorothée de Dino donna Rochecotte à sa fille Pauline, devenue veuve à 27 ans. Après la mort de Pauline, son fils Antoine en avait hérité. Après celui-ci, il revint à ses fils « Boni“ et Jean, qui le léguèrent à leur frère Stanislas, marié à Maria Natalia Terry y Sanchez. Puis vente à son beau-frère, l’architecte d‘intérieur Emilio Terry y Sanchez. Celui-ci étant célibataire, la propriété revint à son petit-neveu Henri-Jean de Castellane qui ne l’habita pas. A sa mort en 1978, il est vendu à la société Marcel Joly. En 1984, renaissance du domaine grâce à la famille Pasquier qui en fait un hôtel de luxe.
10 juin 2021 @ 10:40
La table dont je rêve.