Exposition sur l’impératrice Sissi au Palazzo Veneziano de Malborghetto en province d’Udine et ce jusqu’au 30 septembre 2021. (merci à Alberto)
Exposition sur Sissi au Palazzo Veneziano de Malborghetto
17 Comments
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26 juin 2021 @ 06:21
La Voix du Destin qu’elle s’est choisi entre caprices, foucades, dépenses et inconstance.
26 juin 2021 @ 08:50
Nous sommes bien d’accord, Cosmo.
26 juin 2021 @ 10:10
Cosmo, vous n’auriez pû mieux dire !
26 juin 2021 @ 10:12
» Personne ne saura combien nous nous sommes aimés » …
26 juin 2021 @ 12:54
Certes, on ne peut le nier. Mais au départ, une toute jeune fille de 17 ans à peine, pas formatée pour la machine à broyer des Habsbourg. Elisabeth a été sommée de se mettre au pas illico. Elle était timide, peu sûre d’elle, pas encore dans la grande beauté de ses trente ans. Son manque de souplesse n’a rien arrangé, c’est un fait. Elle s’est ensuite défaussée de ses obligations alors qu’elle avait toutes les cartes en main pour tenir un Cour selon ses désirs, à la mort de sa belle-mère. Je partage votre sévérité envers elle mais je la nuance en rappelant ses débuts bien tristes à la Hofburg.
27 juin 2021 @ 08:02
Cosmo a failli je crois écrire un livre sur l’archiduchesse Sophie , quelqu’un lui a damé le pion ,il l’avait raconté ici .
Il connaît bien le dossier qui ne se résumerait pas à l’histoire présentée dans la légende des Sissi …
27 juin 2021 @ 12:20
Je suis dans l’écriture, cher Pascal…mais je lambine.
27 juin 2021 @ 12:30
J’ai oublié de dire que le livre de Bled, contrairement à ce que je craignais, ne m’empêchera de publier le mien, beaucoup plus travaillé et donc moins superficiel.
Bled, biographe remarquable en général, a bâclé sa biographie de l’archiduchesse. Le titre à lui seul est une erreur.
27 juin 2021 @ 12:26
La machine à broyer des Habsbourg ? Non, la vie de la famille impériale était des plus simples. Il y avait quelques cérémonies protocolaires qui ne demandaient à l’impératrice que de paraître et être aimable. Sa belle-mère et tante, l’archiduchesse Sophie, a eu aussi des débuts timides en 1825 mais elle a tout de suite compris qu’elle devait être son rôle et l’a rempli à la perfection.
Les Viennois aimaient l’archiduchesse Sophie, qu’ils appelaient « Unsere Kaiserin », notre impératrice, mais n’aimaient pas l’impératrice en titre, Élisabeth.
26 juin 2021 @ 10:18
Dommage que ce soit si loin !
26 juin 2021 @ 11:08
Bonjour
Elle n’a pas vraiment assumé son rôle d’impératrice auprès de son époux. La Sissi des films à l’eau de rose n’est pas et loin de là, la réalité du personnage. Il y a des biographies très intéressante sur ce personnage et c’est très loin de l’image façonnée par le cinéma ! Femme instable, égocentrique, peu maternelle, plus tournée vers ses chiens que vers les autres humains. Soucieuse de sa beauté, de son tour de taille, nostalgique sinon neurasthénique elle a cependant laissé sa marque sur les livres d’Histoire. Freud aurait eu du travail avec elle pour dénouer tout cela !
26 juin 2021 @ 11:09
Bonjour
Elle n’a pas vraiment assumé son rôle d’impératrice auprès de son époux. La Sissi des films à l’eau de rose n’est pas et loin de là, la réalité du personnage. Il y a des biographies très intéressantes sur ce personnage et c’est très loin de l’image façonnée par le cinéma ! Femme instable, égocentrique, peu maternelle, plus tournée vers ses chiens que vers les autres humains. Soucieuse de sa beauté, de son tour de taille, nostalgique sinon neurasthénique elle a cependant laissé sa marque sur les livres d’Histoire. Freud aurait eu du travail avec elle pour dénouer tout cela !
26 juin 2021 @ 12:12
C’est ce que je pense aussi , elle avait les moyens de faire des caprices et d’avoir des états d’âme avec un mari qui pourvoyait à ses moindres demandes , il fallait qu’il soit amoureux pour laisser tout passer …..si elle s’était donnée à son rôle de bienfaitrice , elle aurait moins pensé à elle !
27 juin 2021 @ 17:21
Elisabeth était déséquilibrée et égocentrique . Certes, il y avait des raisons à cela ( cf. entre autres le post de ValérieC). Néanmoins, on est responsable de soi, et on peut vouloir évoluer et y parvenir. Elisabeth, elle, s’est laissé aller à son spleen adolescent.
Aaah, s’il y avait déjà eu toutes ces actions pour la santé mentale, c’est là que ça aurait été utile !
27 juin 2021 @ 20:37
Elle avait surtout une maladie mentale: De ces maladies qui ne vous empêchent pas de vivre mais qui vous empoisonnent la vie et font que vous êtes une énigme insoluble pour les autres qui ne savent pas par quel bout vous prendre.Et tout le monde est malheureux : Le malade en premier et ensuite l’entourage , toute la vie! Il n’y a pas que dans la famille d’Autriche qu’il y a de pareils malades, bien des familles que nous connaissons et qui nous sont chères en savent quelque chose !
28 juin 2021 @ 08:42
Certes, devenue impératrice trop jeune, Sissi ne pouvait pas « se mouler » dans l’étiquette de la Cour de Vienne héritée de Charles Quint, que sa belle-mère, l’archiduchesse Sophie, défendait bec et ongles.
De surcroît, Sissi était une Wittelsbach, famille comptant nombre de personnalités quelque peu fantasques ou très originales, parmi les plus connues, Louis II roi de Bavière, ou plus tard la Reine Elisabeth de Belgique.
Sissi a préféré s’échapper le plus souvent possible de Vienne, ce à quoi consentait le Kaiser Franz Josef, évitant ainsi critiques et complications.
28 juin 2021 @ 15:03
Deux personnalités fantasques, cela ne suffit pas pour faire de la Maison de Bavière un asile d’aliénés. Donc, qui sont les autres selon vous ?