Fermée en 2005 pour des problèmes de vétusté, au grand regret des employés et des Parisiens, « La Samar » a rouvert ses portes en juin 2021.
Ces 16 années furent bien longues et l’on ne voyait pas le bout de ces
travaux…
La voici relevée de ses cendres et les 20.000 m² rénovés sont un plaisir
pour les yeux.
Comment ne pas être ébloui par l’architecture bien mise en valeur, les
boutiques toutes plus somptueuses les unes que les autres et la gastronomie
du chef Dalloyau ?
Le personnel présent est aux petits soins pour les visiteurs, s’enquérant à qui mieux mieux des besoins de ceux-ci.
L’âme de Gustave Eiffel y est toujours présente dans la verrière. (Merci à Danielle)
JeanChristophe69
10 août 2021 @ 00:34
J’ai eu le privilège de découvrir la Samaritaine le jour de son ouverture et comment dire… J’ai été fort déçu.
Oui, les travaux sont somptueux et le résultat est magnifique. Mais j’ai eu l’impression de me retrouver au Bon Marché (les escalators au centre et la vision à 360⁰ à tous les étages). Soit.
Concernant le service, c’est clair que le personnel tait aux petits soins le 1er jour. Mais j’y suis retourné ensuite par deux fois, et c’était beaucoup moins dynamique et chaleureux. Je me suis inscrit au programme de fidélisation et j’ai alors mieux compris : la cible des lieux est le touriste asiatique (quand vous vous inscrivez, le choix du pays de résidence n’est pas alphabétique : cela démarre par la Chine, le Japon, Hong-Kong, etc. puis d’un seul coup la liste reprend dans l’ordre alphabétique et démarre par l’Afghanistan).
Étant fan de parfums, j’espérais découvrir des marques inédites à Paris. Absolument pas. Il y a même plus de choix au Printemps Haussmann.
Le seul point positif, l’étage consacré aux hommes, spacieux, avec des marques de tous horizons, plutôt chaleureux niveau ambiance. Mais peu, voire pas de clients (c’est peut-être pour cela).
Désolé, je tempère l’enthousiasme de Régine, sans doute parce que les échos que j’avais eu avant l’ouverture étaient dithyrambiques, et que j’espérais donc beaucoup. J’aurais aimé en faire mon lieu de shopping favori, mais pour l’instant j’ai l’impression que c’est plutôt une attraction pour visiteurs (même pas acheteurs).
Mais j’encourage tour le monde a aller faire un tour. Il y a de très belles photos à faire depuis le dernier étage (attention à ceux qui ont le vertige !).
JeanChristophe69
10 août 2021 @ 13:30
Pardon, j’ai oublié de remercier Danielle…
Olivier Kell
10 août 2021 @ 15:37
Je partage votre point de vue et si la clientèle étrangère à fort pouvoir d’achat revient le parisien n’aura plus beaucoup d’intérêt
Gibbs ☀️
12 août 2021 @ 14:10
Effectivement Jean-Christophe.
J’y suis allée en 2004 et ces images n’ont plus rien à voir.
J’avais gardé un bon souvenir et ceci ne me donne guère envie d’y retourner.
Merci pour votre franchise et merci à Danielle.
Benoite
10 août 2021 @ 02:41
Très beau reportage, Danielle, comme bien souvent. Merci. Une renaissance pour ce très grand Magasin Parisien.
i
10 août 2021 @ 02:54
mon magasin préféré pourtant j’ai l’impression que c’est maintenant un endroit de luxe où je n’
cerodo
10 août 2021 @ 02:57
Commentaire parti trop vite : … endroit de luxe où je n’ai rien à faire.
Aldona
10 août 2021 @ 06:07
Une architecture extraordinaire, une belle mise en valeur de ce magasin , ce fût long, mais une réussite totale
Marnie
10 août 2021 @ 06:56
Pour ma part, je déplore totalement la construction de la partie neuve sur la rue de Rivoli… au détriment d’immeubles certes modestes mais d’époque Louis-Philippe démolis. Encore un machin en verre qui trouble la perspective, fait tache et vieillira mal…
Elena1
10 août 2021 @ 12:50
Contexte actuel, détruire le passé, épater sans réflexion.
Encore un tout petit effort, et le beau Paris, pour les esthètes disparaîtra, peu à peu, comme Bruxelles
Il est vrai que ce sont de grands politiques, qui n’ont, effectivement, aucune action boursière qui les relieraient aux profits desdites constructions, qui décident sans tenir compte de la beauté existante et de l’avis des premiers concernés, les Parisiens.
Louise.k
10 août 2021 @ 07:40
Dans les années 70 j’y allais très très souvent et… on trouvait vraiment de tout à la Samaritaine ! J’espère pouvoir y retourner car tout à l’air vraiment superbe. Merci Danièle.
Delmon
10 août 2021 @ 08:04
La restauration est vraiment magnifique ! Un joli temple du luxe à la française !
berton
10 août 2021 @ 08:10
N a sûrement plus rien à voir comme mon cher Bon Marché de mon enfance.
Bernadette
10 août 2021 @ 08:12
Ce n’est certainement plus à la portée de ma bourse ! Alors qu’autrefois il y avait entre autres un immense rayon maison au rez-de-chaussée ! Tout cela est bien fini…maintenant c’est le luxe….Le bling bling
Baia
10 août 2021 @ 08:46
Merci Danielle.
Effectivement cette restauration est plus que réussie et l’ensemble est un régal pour les yeux.
Guizmo
10 août 2021 @ 08:57
Outre le grand magasin et ses 600 marques, le projet comporte un prestigieux hôtel de 72 chambres du groupe Cheval Blanc avec la future grande table signée Arnaud Donckèle, au septième étage une terrasse végétale surplombant les toits de Paris, ainsi que 15.000 m² de bureaux, 96 logements sociaux et une crèche de 80 berceaux, un SPA, un beauty-studio, un concept-store de 200 m2, 12 lieux de restauration.
L’un des principaux chantiers a été de revaloriser les nombreux éléments datant de la construction de l’édifice, conçu en 1870 par Frantz Jourdain et Henri Sauvage, notamment les mosaïques, les émaux, les verrières ou encore les garde-corps en fer forgé.
Avec leurs teintes vives et leur décor floral, les panneaux de lave émaillée constituaient l’un des fleurons du bâtiment Art nouveau conçu par Frantz Jourdain au tournant du XXe siècle. Déposés au prix d’un délicat travail de manutention, ils ont fait l’objet d’une restauration minutieuse destinée à raviver motifs et couleurs estompés voire masqués par des enduits. Pour reconstituer l’extraordinaire mur végétal qui habillait le bâtiment, 25 panneaux ont été refaits à l’identique : une mission menée à bien par l’émailleuse Maria Da Costa. Pour un seul panneau, compter 15 jours et quatre cuissons ! La grande peinture murale, sur fond jonquille, conçue par Francis Jourdain (le fils de Frantz) et le Lausannois Eugène Grasset a été coupée en 136 panneaux et nettoyée avec soin en bouchant les lacunes avant de la reposer.
Sous l’immense verrière (1000 m2 !), l’ensemble des ferronneries – balustrades et corbeilles, séparant les étages, ponctuées de feuilles de marronnier dorées – soit plus de 600 mètres de linéaire – a été restauré par l’Atelier d’Oeuvres de Forge en Dordogne. Allonger ou raccourcir les éléments pour restituer la symétrie d’origine, fabriquer à neuf les pièces manquantes, redorer les nervures…Les compagnons serruriers et ferronniers ont effectué un véritable d’orfèvre !
La touche contemporaine se trouvera au niveau de la rue de Rivoli avec une façade extérieure toute vitrée de 130m. Pas moins de 343 panneaux de verres courbés et sérigraphiés de 2,70 m sur 3,50 m composent des ondulations irrégulières dont le plissé évoque la légèreté du tombé d’un voile
Carolus
10 août 2021 @ 09:31
Merci pour ce rappel.
Bambou
10 août 2021 @ 10:53
Trop beau.
Beque
10 août 2021 @ 11:08
Avant la rénovation de La Samaritaine, voici son histoire : Ernest Cognacq (1839-1928), ancien vendeur et petit commerçant originaire de l’île de Ré, installe un étal de tissu sur le Pont-Neuf, en 1869, dans la corbeille autrefois occupée par une pompe hydraulique baptisée « Samaritaine ». Il loue ensuite un local rue de la Monnaie puis épouse Marie-Louise Jaÿ (1838-1925), ex-responsable du rayon costumes du Bon Marché. Au fil des années la Samaritaine s’agrandit par le rachat des immeubles contigus. Les architectes Frantz Jourdain (1847-1935) puis Henri Sauvage (1873-1932) reconstruiront en partie les bâtiments selon les styles en vogue à l’époque. La décoration extérieure, dans l’esprit de l’Art nouveau, est confiée au décorateur Francis Jourdain (fils de l’architecte), au peintre Eugène Grasset, au ferronnier Édouard Schenck et au céramiste Alexandre Bigot.
L’aménagement du magasin n° 2 s’est effectué entre 1903 et 1907, puis en 1910 ; l’agrandissement du n° 2 entre 1922 et 1928 ; l’aménagement des magasin n° 3 et n°4 entre 1930 et 1932.
Les recettes passent de 840.000 francs, en 1874, à 1,9 million en 1877 puis 6 millions en 1882, 17 millions en 1888, 25 millions en 1890 et 40 millions en 1895. En 1925, elles dépassent le milliard de francs.
Le chiffre d’affaires de la Samaritaine décline entre 1990 et 1999 alors que les autres grands magasins parisiens voient leur chiffre d’affaires progresser cours de cette période. Les effectifs sont réduits d’un tiers. Le magasin 3 est loué à Etam en 1998.
Beque
10 août 2021 @ 11:13
Les époux Cognacq-Jay furent de grands mécènes et philantropes. Ernest Cognacq finance la création du musée d’histoire locale de l’Île de Ré en 1907, tandis que Marie-Louise Jaÿ crée la Jaÿsinia, jardin botanique alpin situé dans sa ville natale de Samoëns (Haute-Savoie). Ils créent la Fondation Cognacq-Jay, reconnue d’utilité publique en 1916, qui compte, actuellement, huit établissements en Île-de-France, deux en Haute-Savoie, et un dans le Var, actifs dans les secteurs de la santé (70 % de l’activité), de la prise en charge médico-sociale, de l’action sociale et de l’enseignement.
En 1920, création du Prix Cognacq, toujours géré par l’Institut, pour récompenser les familles nombreuses.
Le musée Cognacq-Jay est inauguré en 1929 grâce au legs à la Ville de Paris de leur collection du XVIIIe siècle européen réunie entre 1895 et 1925.
j21
10 août 2021 @ 12:13
Une violente tempête le 12 juillet a écimé un certains nombres d’arbres centenaires du jardin botanique Jaysinia de Samoens. Je ne sais si le jardin a réouvert depuis.
Beque
10 août 2021 @ 19:28
j21, j’ai découvert que ce jardin fait partie des « Jardins remarquables de France » avec ses 2.400 variétés de plantes des montagnes des cinq continents.
Au musée Cognacq-Jay (à Paris, 3e) en plus d’un mobilier XVIIIe sont exposées des toiles de Largillière, Chardin, Rembrandt, Canaletto, Tiepolo, Vigée Le Brun, Greuze, Boucher, Quentin de La Tour…
Enfin, la Fondation Cognacq-Jay regroupe les établissements suivants :
Lycée privé professionnel à Argenteuil, Maison d’enfants et Foyer d’Accueil médicalisé à Monnetier-Mornex (74), Maison d’enfants à caractère social Samoreau (77), Maison de vacances solidaire à Hyeres (83), Appartements de coordination thérapeutique (Paris 13e), Institut médico-éducatif (Paris 15e), Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Rueil-Malmaison), L’Atelier (Paris 6e), Clinique Saint Jean de Dieu (en association avec la Fondation, Paris 7e), Hopital franco-britannique (Levallois-Perret), Hopital Forcilles (Férolles-Attilly, 77), Hopital Cognacq-Jay (Paris 15e).
Tout ceci grâce à la générosité d’Ernest Cognacq et son épouse Marie-Louise Jaÿ.
COLETTE C.
10 août 2021 @ 11:27
Une visite quand j’irai à Paris.
j21
10 août 2021 @ 12:14
Idem !
Abricote
10 août 2021 @ 12:22
Après avoir vu un long reportage de préparation à l’ouverture puis l’ouverture, je suis restée éblouie par tant de beautés architecturales, des présentoirs de la décoration en général, de la chaleur des premiers jours etc…mais lorsque l’ouverture se fît, on nota que pas de chaussures à moins de 350 euros et encore très « savate ». Le lendemain, une amie de Paris m’appela pour me dire que c’est « un monument que l’on visite » et y passer une après midi, c’est agréable mais acheter c’est hors de prix.
En effet comme écrit plus haut l’on vise une clientèle asiatique (avec interprète dès l’entrée), aux Galeries Lafayette et Printemps aussi remarquez bien mais là, c’est véritablement le temple du luxe, pas que bling bling, chic aussi mais plus à la portée de tout le monde comme à la Samaritaine d’AVANT ou tout le monde trouvait un petit quelque chose, maintenant c’est fini ou en cherchant bien…peut-être !
Elena1
10 août 2021 @ 12:39
Si je ne m’abuse, la vraie raison est que les «possédants » de Paris ont décidé que ce magasin allait être remplacé par des bâtiments, hôtels grandioses, pour les JO qui leurs sont passés sous le nez…..
Comme d’habitude, argent, profit et le magasin actuel est pour ceux qui ont bien profité de la crise.
Si cela continue, je vais devenir passéiste…
Simone Borgeais
10 août 2021 @ 13:20
Bonjour
La samaritaine fut un rendez-vous incontournable pour ma maman et moi quand j étais une enfant, j en garde des souvenirs merveilleux et dès que je vais retourner à Paris, je vais y retourner
Jacob van Rijsel
10 août 2021 @ 13:33
En dehors du morceau de choix que constituent les escaliers et l’intérêt que peut susciter la façade de verre sur la rue de Rivoli, le reste est bien banal.
Les marques de luxe qui alignent leurs boutiques ne se sont pas foulées pour faire des présentations originales. Toutes petite exception pour un panneau mural de Cartier.
Quant aux heureux élus qui peupleront les logements sociaux, ils continueront d’aller faire leurs emplettes quotidiennes au leader price du coin et leurs achats vestimentaires dans les magasins de soldes permanentes des centres commerciaux de banlieue car vraiment la Samaritaine n’est pas pour eux.
Anastasia A 🦋
10 août 2021 @ 14:13
Tout a tellement changé . J’ai tellement la nostalgie de l’ancienne Samaritaine. De jolis souvenirs… ma tante y avait travaillé. Elle y avait fait toute sa carrière. Elle nous en parlait tellement de » sa Samar » . J’étais petite fille . J’y ai aussi travaillé toute jeune fille . Il y avait de la complicité entre les collègues des différents rayons que l’on voyait chaque jour … un : « bonjour ça va » ?! , un sourire . Un restaurant d’entreprise qui avait été rénové et où l’on y déjeunait très bien . Et pas autant de touristes que maintenant. Beaucoup de parisiens , oui .
Des souvenirs… un temps révolu. Mon cœur se serre 😥
cerodo
10 août 2021 @ 15:16
le mien aussi à la lecture de tous ces messages.
Martine
10 août 2021 @ 14:32
C est devenu un monument à visiter
Temple de l hyper luxe pour enrichir B Arnaud
Où est la Samaritaine où on trouvait de tou??
Les fondateurs doivent se retourner dans leur tombe
Anastasia A 🦋
10 août 2021 @ 16:38
👍
Jean Pierre
10 août 2021 @ 16:54
On trouvait de tout sauf assez de clients pour qu’elle soit rentable.
Elena1
11 août 2021 @ 09:39
Excuses pour pouvoir mettre la main sur le bâtiment à bas prix et liquider le personnel avec un minimum d’indemnités.
N’oubliez pas que c’était le pot de terre contre le pot de fer…
Et cette publicité nauséabonde en ce moment… ils ont l’argent mais pas la classe et pas un brin d’humanité, voir salaires et je suppute que si pas nymphette pas de place…
(quelqu’un/e peut me donner une description générale du personnel, m/f, âge et si personnes hors normes ? Merci.)
Et donnons-nous rendez-vous dans un an ou deux pour la rentabilité et fréquentation…
Baboula
12 août 2021 @ 08:29
Elena, le virus expliquera une mauvaise première année .Mais tous les riches de ces pays ont déjà des boutiques de ces prestigieuses marques chez eux .Mais je ne raisonne pas en riche .
Carolus
11 août 2021 @ 16:25
😉
nck
10 août 2021 @ 14:53
Personnellement j’ai été très déçu. Les parties anciennes extérieures et intérieures sont splendides, mais l’intérieur fait tellement au rabais sur les finitions, on ne se doute pas que c’est LVMH à Paris. Les articles de luxe sont présentés dans un parcours client illisible et morne, et le choix n’est même pas supérieur à ce qu’on peut trouver ailleurs malgré les volumes. Il y a d’ailleurs de grands espaces de vide qui ne font pas finis. Je trouve dommage d’avoir perdu un magasin populaire pour ça.
Marie de Cessy
10 août 2021 @ 16:40
Pour visiter peut être mais pour acheter ce n’est pas dans mes budgets à moins d’être mariée à un homme très riche 🤷🏿♀️
Leonor
10 août 2021 @ 16:53
Les « grands magasins » ne sont plus ce qu’ils étaient.
Du luxe, de l’esbroufe, une puanteur d’odeurs de parfums mélangés , du snobisme à gogo. Beurk.
Jadis, on y trouvait tout ce qui était vraiment nécessaire , jusqu’à la prise de courant et la petite quincaillerie. Pour tout le monde, en centre ville. Archi-pratique. C’en était le principe même.
Maintenant, c’est une débauche de corners (!) à faire du fric, càd à pomper les devises dans les escarcelles gonflées à bloc des touristes russes, moyen- et extrême-orientaux.
Mais oui, mais oui, c’est bien pour les artisans du luxe, d’accord, d’accord.
C’est surtout bien pour les Messieurs Arnault et Cie.
Je ne mets plus les pieds dans un de ces machins . Ni à Paris ni ailleurs.
Abricote
11 août 2021 @ 11:07
Les mélanges de senteurs de parfums ont toujours existé aux Galeries Lafayette, au Printemps et même dans une petite parfumerie d’antan. Comment voulez vous faire autrement ?
A moins de ne se parfumer qu’au savon de Marseille, les effluves parfumées sont bien agréables lorsque je passe devant une parfumerie et m’incite parfois à y entrer.
Même à Noël, mon mari n’est pas dérangé lorsqu’il y rentre avec moi ou sans moi car c’est un commerce particulier de senteurs forcément mélangées.
Danielle
10 août 2021 @ 20:15
J’ai été contente de retrouver ce magasin rénové et agréablement surprise car vu la façade de la rue de Rivoli je m’attendais à pire !!
Certains produits de beauté sont d’ailleurs aux mêmes prix qu’ailleurs, là aussi, j’ai été étonnée.
J’aimais beaucoup l’ancien magasin avec son sol parquetté, ses comptoirs en bois, comme au Bon Marché et aussi Les Trois Quartiers, malheureusement disparu.
Un lieu à découvrir, après une misite au musée du Louvre.
Les asiatiques y viendront faire leurs emplettes.
Arielle
11 août 2021 @ 10:30
Merci Danièle, merci Régine. Vivement que je retourne à Paris. Il me tarde de visiter cette nouvelle et luxueuse Samar, admirablement rénovée.
Baboula
13 août 2021 @ 13:07
Ah non Arielle,on ne peut plus donner ce petit surnom populaire à ce temple du luxe. ! 😀