On peut dater des années 1247 à 1265, les premières constructions d’un palais royal à Buda à l’initiative du roi Bela IV. Il était le 18ème successeur d’Etienne Ier, (975-1038) Saint Etienne, en hongrois István, fondateur de la dynastie des Árpád, première maison royale de Hongrie, en l’an 1000.
Bela IV (1206-1270)
On ignore où se trouvait exactement ce palais sur la colline de Buda. Il faut avoir à l’esprit que Budapest est la réunion de deux entités Buda et Pest , totalement séparées par le Danube jusqu’au milieu du XIXe siècle. Le nom hongrois du palais est Budavári Palota.
Le palais que nous voyons aujourd’hui est construit sur l’emplacement du palais construit au 14ème siècle par Etienne d’Anjou (1332-1354), duc de Slavonie, frère cadet du roi Louis Ier de Hongrie.
Il ne reste que les fondations du donjon du château, connu sous le nom de tour d’Étienne (en hongrois : István-torony). Le palais gothique du roi Louis Ier s’articulait autour d’une cour étroite jouxtant le donjon.
Sigismond de Luxembourg attribué à Pisanello – Kunsthistorisches Museum à Vienne
Le roi Sigismond de Luxembourg (1368-1437) empereur du Saint-Empire en 1433 et 33ème roi de Hongrie à partir de 1387, agrandit considérablement le palais et renforça ses fortifications.
Sigismond, en tant qu’empereur du Saint Empire romain, avait besoin d’une magnifique résidence royale pour exprimer son importance parmi les dirigeants d’Europe.
Il choisit le château de Buda comme résidence principale. Il fallut 10 ans de 1410 à 1420 pour construire le palais probablement le plus grand palais gothique de la fin du Moyen Âge. Il y vécut 17 ans.
Il comportait entre autres une grande salle dite “salle romaine” de 70 mètres de long par 20 de large, dominant la ville de Buda à travers de grandes fenêtres et des balcons ouvragés. Le jardin du palais descendait jusqu’au Danube protégé par deux grands murs parallèles.
Mattthias Corvin par Mantegna – Musée de Budapest
Le roi Matthias Corvin (1443-1490) fut le dernier grand bâtisseur de la période médiévale. Né Hunyadi d’une grande famille hongroise, il fut le seul de sa dynastie.
Pendant les premières décennies de son règne, le roi acheva les travaux du palais gothique. La chapelle royale, avec l’église inférieure survivante, a probablement été construite à cette époque.
En 147,6 il épousa Béatrice de Naples (1457-1508), ou d’Aragon, fille de Ferdinand ou Ferrante Ier (1423-1494), roi de Naples. La nouvelle reine de Hongrie fit venir à Buda des humanistes, des artistes et des artisans italiens qui firent de Buda le premier foyer de Renaissance au nord des Alpes.
Le roi reconstruisit le palais dans un style du début de la Renaissance. La cour d’honneur a été modernisée et une loggia à l’italienne a été ajoutée. A l’intérieur du palais se trouvaient deux salles aux plafonds dorés : la Bibliotheca Corviniana, la plus importante d’Europe après celle du Vatican, et un passage avec les fresques des douze signes du Zodiaque.
La façade du palais était décorée de statues de Jean Hunyadi, László Hunyadi et du roi Matthias. Au milieu de la cour, il y avait une fontaine avec une statue de Pallas Athéna.
Il ne reste que des fragments de ce palais Renaissance : quelques balustrades en marbre rouge, linteaux et tuiles décoratives vernissées provenant des poêles et des sols.
Palais vu du Danube en 1490
Au cours des dernières années de son règne, Matthias Corvin a commencé la construction d’un nouveau palais Renaissance sur le côté est de la cour Sigismond, à côté du palais Fresh.
Le palais Matthias est resté inachevé en raison de la mort prématurée du roi. Le palais avait un escalier monumental en marbre rouge devant la façade. Matthias Corvinus était généralement identifié à Hercule par les humanistes de sa cour ; les portes de bronze étaient décorées de panneaux représentant les actes d’Hercule, et une grande statue en bronze du héros grec accueillait les invités dans le parvis du complexe du palais, où se déroulaient les joutes.
Les jardins clos du palais ont été aménagés sur les pentes ouest de la colline du château. Au milieu de l’enceinte, une villa Renaissance a été édifiée par Matthias. Une seule colonne survit de cette soi-disant Aula Marmorea.
En 1493
Ces descriptions donnent une idée de la splendeur du palais, totalement inspiré par la Renaissance italienne.
Son successeur, le roi Vladislas II Jagellon (1456-1516), qui avait épousé Béatrice de Naples, veuve de Matthias Corvin, reprit les travaux du palais, notamment après son mariage avec Anne de Foix-Candale (1484 – 1506) en 1502. Elle était sa troisième épouse, bien que les deux premières fussent encore vivantes.
Louis II Jagellon d’après le Titien Musée de Budapest
Leurs fils fut Louis II Jagellon (1506-1526). Il avait épousé Marie de Habsbourg (1505-1558) dite Marie de Hongrie, fille de Philippe Ier et Jeanne de Castille, sœur de Charles Quint et de Ferdinand Ier qui avait épousé la sœur de Louis II, Anne Jagellon. C’est par ce double mariage que les Habsbourg étendirent leur puissance sur la Hongrie et la Bohême.
Anne Jagellon 1503-1547) par Hans Maler -Musée Thyssen-Bornemisza à Madrid
Sous le règne du roi Jean Zápolya, dernier souverain purement hongrois et élu, le palais fut réparé. À la pointe sud de la colline du château, la Grande Rondella a été construite par des ingénieurs militaires italiens. Le bastion circulaire est l’une des principales structures survivantes de l’ancien palais.
La Grande Rondella
La bataille de Mohács, le 29 août 1526, où Louis II trouva la mort, mit fin au royaume médiéval de Hongrie. Les Ottomans occupèrent la ville évacuée le 11 septembre 1526.
Bien que Buda ait été saccagée et incendiée, le palais royal n’a pas été endommagé. Le sultan Soliman le Magnifique emporta toutes les statues de bronze (les Hunyadis, Pallas Athéna et Hercule) avec lui à Constantinople. Les statues y ont été détruites lors d’une rébellion quelques années plus tard. Le sultan a également pris de nombreux volumes de la bibliothèque Corvina.
Soliman le Magnifique (1494-1566) d’après Le Titien vers 1530 – Kunsthistorisches Museum à Vienne
Avec l’aide des Ottomans, Jean Zápolya, ayant perdu la Hongrie et Buda au profit de Ferdinand Ier, couronné roi de Hongrie à Poszony ( Presbourg en allemand et Bratislava aujourd’hui, alors la capitale de la Hongrie et non Buda) le 3 novembre 1527, devint Voïvode de Trasnsylvanie, vassal du Sultan et allié du roi de France, François Ier. Puis il redevint roi de Hongrie en 1538, en échange du droit de Ferdinand d’hériter son patrimoine.
Le palais en 1520
En 1529, l’armée ottomane assiégea et occupa à nouveau Buda, et le palais fut gravement endommagé. Le 29 août 1541, Buda est de nouveau occupée par les Ottomans, sans aucune résistance.
Buda est devenue une partie de l’Empire ottoman, capitale de l’Eyalet de Budin, soit la Hongrie ottomane. La population d’origine allemande et hongroise a quitté la ville, des immigrants de l’Empire ottoman et de la péninsule balkanique sont venus chez eux.
Bien que les écrivains turcs aient écrit avec enthousiasme sur la beauté du palais des rois hongrois, le nouveau gouvernement ottoman a laissé le palais se délabrer. Il servait en partie de caserne, de lieu de stockage, dépôt de poudre à canon et d’écurie, ou restait vide. En un peu plus de deux siècles la merveille de la renaissance tomba en ruines
Le palais s’appelait Iç Kala (« Château intérieur ») et Hisar Peçe (« Citadelle ») par les Turcs. Le nom de la cour d’honneur était « Seray meydani ». Le surnom préféré du complexe était « Palais des pommes d’or”.
En 1617 – Buda capitale d’une province Ottomane
La population chrétienne hongroise d’origine ne se sentant pas en sécurité pendant la conquête ottomane, a fui vers la Hongrie royale gouvernée par les Habsbourg.
Entre 1541 et 1686, les Habsbourg tentèrent à plusieurs reprises de reprendre Buda. Des sièges infructueux en 1542, 1598, 1603 et 1684 ont causé de graves dommages. Les autorités ottomanes ne réparent que les fortifications.
Selon des sources du XVIIe siècle, de nombreux bâtiments de l’ancien palais royal étaient sans toit et leurs voûtes se sont effondrées. Néanmoins, le palais médiéval a survécu en grande partie jusqu’au grand siège de 1686.
1686 fut donc l’année de la reconquête de la Hongrie par les forces chrétiennes alliées – 65 000 à 100 000 hommes, dont des soldats allemands, hongrois, croates, néerlandais, anglais, espagnols, tchèques, italiens, français, bourguignons, danois et suédois et d’autres européens en tant que volontaires, artilleurs et officiers – mais signifia la fin du palais de la Renaissance. Il fut détruit.
Dans un bombardement d’artillerie lourde, de nombreux bâtiments ont brûlé et se sont effondrés. La tour Stephen, utilisée comme magasin de poudre à canon par les Ottomans, a explosé lorsqu’elle a été touchée par un seul canon.
Le siège de Buda en 1686
L’assaut par les troupes de la Sainte Ligue en 1686, le palais est au centre de l’image
Buda était à nouveau hongroise chrétienne mais son palais n’existait plus qu’à l’état de coquille vide rapidement effondrée. Il était irréparable et il fallait le démolir.
En 1715, Charles VI de Habsbourg, Charles III en Hongrie, ordonna la démolition des ruines, en demandant toutefois que les statues de marbre, les antiquités, les inscriptions soient épargnées autant que faire se pouvait.
Charles III, empereur germanique, roi de Hongrie ( 1685-1740) par Johann Gottfried Auerbach – Chambre du Trésor à Vienne
La partie principale du palais et la Tour Brisée ont été totalement démolies, les creux et les douves ont été comblés et une nouvelle terrasse plate a été établie. Les fortifications du sud, les zwingers et les chambres étaient ensevelies sous des tonnes de déchets et de terre.
En 1715, un petit palais baroque fut construit. C’était un simple bâtiment rectangulaire, avec une cour intérieure et une aile latérale plus courte, qui a ensuite été démolie. Le palais est identique au noyau du palais actuel, où se trouve maintenant la cour baroque du musée historique de Budapest.
L’intérieur du palais est resté inachevé lorsque les travaux ont cessé en 1719. Plusieurs plans ont été élaborés pour achever le palais, mais le manque d’argent a entravé leur mise en œuvre.
En 1723, le palais a été accidentellement incendié et les fenêtres ont été murées afin d’empêcher toute détérioration supplémentaire. Plusieurs dessins des années 1730 et 1740 montrent l’enveloppe en décomposition inachevée du simple blockhaus à deux étages. Certaines gravures montrent une version finie idéalisée qui n’a jamais existé. Vers 1730, le toit a été réparé.
1733 – le palais à gauche – sous Charles III, père de Marie-Thérèse, gravure de Sámuel Mikoviny
En 1748, le comte Antal Grassalkovich, président de la Diète hongroise, a lancé une souscription publique afin de restaurer et terminer le palais abandonné.
Le Palatin János Pálffy a appelé les comtés et les villes à octroyer des subventions pour le projet. Le moment était favorable car les relations entre la noblesse hongroise et les Habsbourg étaient exceptionnellement bonnes.
Les Hongrois, à son vibrant appel, ont soutenu la reine Marie-Thérèse lors de la guerre de Succession d’Autriche. Ils ont sauvé sa couronne hongroise mais aussi tous ses états héréditaires, convoités par Frédéric II. La reine en était reconnaissante et le nouveau palais royal devint le symbole de la réconciliation entre la dynastie et la nation.
Les plans du splendide palais baroque en forme de U avec une cour d’honneur ont été dessinés par Jean-Nicolas Jadot de Ville-Issey (1710-1761), architecte en chef de la cour de Vienne, venu à la suite de François III de Lorraine, le mari de Marie-Thérèse.
Après 1753, les plans ont été modifiés par son successeur, Nicolaus Pacassi (1716-1790) auquel des travaux avaient aussi été confiés à Schönbrunn. La première pierre du palais a été posée le 13 mai 1749, jour de l’anniversaire de la reine.
Les travaux se poursuivirent à un bon rythme jusqu’en 1758, date à laquelle des difficultés financières provoquèrent une interruption de sept ans. À cette époque, seuls les intérieurs étaient inachevés.
Marie-Thérèse de Habsbourg (1717-1780), impératrice consort et “roi” de Hongrie devant Presbourg/Poszony vers 1750
En 1764, la reine visita le palais et décida de continuer à financer les travaux, qui reprirent en 1765 selon les plans de Franz Anton Hillebrandt (1719-1797), architecte Franz Anton dans le style rococo.
En 1769, la chapelle Saint-Sigismond a été consacrée et le palais a été achevé la même année. Selon la déclaration globale de Grassalkovich, les coûts ont été de 402 679 forints.
1777 – Le palais par Johann Ernst Mansfeld
Mais malgré les excellentes relations de la reine avec les Hongrois, l’avenir du complexe palatial était incertain car elle n’avait pas l’intention de l’utiliser comme résidence royale, ne passant pas beaucoup de temps à Buda.
La cour d’honneur construite par Hillebrandt en 1760
En 1769, elle donna une aile à une congrégation féminine. Le bâtiment a été livré le 13 mai 1770, mais les élégantes salles baroques ont été considérées comme inadaptées à un couvent. Alexander Keglevich, recteur de l’Université Eötvös Loránd, avait fourni un financement à Marie-Thérèse, qui aurait dû être remboursé. En 1777, la reine décida que l’université de Nagyszombat devait déménager à Buda.
De couvent le palais devint université. Il fut adapté en conséquence.
La cérémonie d’inauguration de l’université a eu lieu le 25 juin 1780, à l’occasion du 40e anniversaire du couronnement de la reine. La salle du trône devient une splendide Aula décorée de fresques représentant les quatre facultés.
Mais le palais, malgré des aménagements n’était pas conçu pour abriter une université, ce qui conduisit les facultés à déménager à Pest en 1783.
En 1791, le palais devint la résidence du nouveau représentant des Habsbourg au royaume de Hongrie, dit “Le Palatin”, l’archiduc Alexandre Léopold d’Autriche. Il est le troisième fils de Léopold II, lui-même deuxième fils de François-Etienne de Lorraine et de Marie-Thérèse.
Alexandre Léopold de Habsbourg-Lorraine (1772-1795), Archiduc d’Autriche et Palatin de Hongrie (1790-1795) – Galerie des Portraits à Budapest
La première tâche de l’empereur Léopold II est de se réconcilier ses peuples mécontents des réformes brutales du Joséphisme, notamment l’obligation de l’usage de la langue allemande sur tous ses états, au grand mécontentement de Hongrois, fiers de leur culture linguistique si spéciale.
Il établit en Hongrie un vice-roi ou » prince palatin”. Son fils aîné, François est promis à la couronne impériale, et l’aura en 1792, le cadet au grand-duché de Toscane, l’archiduc Alexandre Léopold âgé de 18 ans, en 1790, devint donc le représentant de son père puis de son frère en Hongrie.
Joseph de Habsbourg-Lorraine (1776-1847), Archiduc d’Autriche et Palatin de Hongrie par Heinrich Füger ( miniature sut ivoire) – Albertina à Vienne
Après la mort prématurée du palatin en 1795, à la suite d’un accident, son frère cadet l’archiduc Joseph lui succède. Il prendra tout au long de sa vie fait et cause pour la Hongrie, parfois contre la volonté de son frère l’empereur François II.
La cour palatine du château de Buda était le centre de la vie à la mode et de la haute société dans la capitale hongroise. Le palais royal avait enfin trouvé sa fonction. (Un grand merci à Patrick Germain pour cette première partie)
Régine ⋅ Actualité 2021, Autriche, Châteaux, Hongrie 26 Comments
Avel
30 août 2021 @ 07:00
Très intéressant. Merci.
Ciboulette
30 août 2021 @ 16:44
Une histoire extrêmement intéressante et bien racontée , agréable à lire . On voit combien le jeu des alliances a pu modifier la situation de la Hongrie , et pourquoi , aujourd’hui encore , les Habsbourg ont soin d’accoler à leur nom » Lorraine » , nom de l’époux de Marie-Thérèse .
Robespierre
30 août 2021 @ 07:42
Je ne connais rien de la Hongrie, et comme on est ici pour s’instruire, j’en profite. Merci Cosmo
Claude patricia
30 août 2021 @ 08:14
Toujours très intéressant. Merci Patrick Germain.
Jean Pierre
30 août 2021 @ 09:26
Synthèse brillante et qui va à l’essentiel : la Hongrie est une Nation avant d’être pays et le château est un des symboles de cette nation.
Mais la Hongrie n’est pas plus un pays uniquement peuplé de Magyars. Juste pour rebondir sur ce que dit Cosmo, c’est après l’occupation Ottomane de 1541, que des implantations de populations venues des Balkans et de tout l’empire ottoman se firent à et autour de Buda . Et ces migrations continuèrent après le départ des ottomans au XVIII° siècle.
Il est ainsi à la sortie de Budapest, une petite ville, Szentendre, qui a toujours été depuis cette époque la capitale des serbes de Hongrie. Cela vaut le coup de s’y promener pour un dépaysement complet.
HRC
30 août 2021 @ 17:14
Peu de nations, même en Europe Centrale n’ont eu d’implantation et frontières aussi variables, effectivement.
La carte des territoires dominés par Matthias Corvin aide à comprende les ambitions hongroises du XIXe, de la Croatie à la Roumanie et la Silesie au nord.!
HRC
30 août 2021 @ 17:17
Votre topo n’est pas terne non plus..
Beque
30 août 2021 @ 17:37
En effet, Jean Pierre, Szentendre (Saint André) est une jolie ville d’artistes que m’avaient fait connaître des amis hongrois. Nous avions été, ensuite, à Esztergom, ancienne capitale de la Hongrie du Xe au XIIIe siècle, où est enterré le Cardinal Mindszenty, grande figure de la Résistance hongroise, mort en 1975. Il avait été enterré à Mariazell en Autriche et avait demandé à être « transféré à Esztergom quand le dernier soldat russe aurait quitté la Hongrie ». Ce qui fut fait le 4 mai 1991.
Cosmo
30 août 2021 @ 21:35
Jean-Pierre,
Je suis totalement d’accord avec vous. Les Magyars ne constituaient qu’une minorité, importante avec ses 48%, en 1918.
Mais j’ai volontairement laissé de côté l’aspect population du problème hongrois, pour ne parler que du château.
Amicalement
Cosmo
Leonor
30 août 2021 @ 09:52
Lecture ce soir. Comme toujours quand les textes comme ceux de Patrick Germain sont à la fois conséquents et d’un intérêt qu’on sait d’avance assuré.
Aldona
30 août 2021 @ 10:15
Très dense mais ô combien passionnant
Mademoiselle Heloïse
30 août 2021 @ 12:20
Merci.
J attends la suite avec grande impatience.
C est extrêmement intéressant.
alobo
30 août 2021 @ 13:00
Passionnant « reportage », un grand merci.
Brigitte Anne
30 août 2021 @ 13:25
Merci et effectivement fort intéressant , une deuxième lecture s’impose !
Mayg
30 août 2021 @ 15:07
Article très documenté, il me faudra un peu de temps pour relire tout ceci.
luigi
30 août 2021 @ 15:23
Décidément, je suis fan, en voila du bel article, on en prend plein les mirettes autant par le texte que par les illustrations, merci Cosmo ! 👌🏻
HRC
30 août 2021 @ 17:22
Je copie : en voilà un excellent début !
ML
30 août 2021 @ 16:42
Merci beaucoup ,Patrick Germain, pour vos recherches et votre documentation .Je ne connaissais que fort peu l’histoire ancienne de ce Palais , on apprend à tout âge !
JAusten
30 août 2021 @ 17:29
Köszönöm Cosmo.
Neked köszönhetően, sokat tanultam ;)
Pistounette
30 août 2021 @ 19:34
Merci beaucoup Cosmo… Budapest est un prochain projet de voyage et vous me fournissez une doc passionnante !
Guizmo
30 août 2021 @ 21:44
Merci beaucoup pour cette première partie très intéressante. J’attends la suite avec impatience.
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
31 août 2021 @ 00:28
Merci, Patrick Germain, tout comme Pistounette votre récit est enrichissant.
Comme quoi nos très, très anciens, ne lésinaient pas sur la grandeurs des bâtiments.
A l’instar de la pyramide de Cholula au Mexique.
Tous ces palais, châteaux sont gargantuesques !
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
31 août 2021 @ 00:28
Oups, grandeuR .
Lunaforever
31 août 2021 @ 06:53
Il en a connu des aventures ce palais ! passionnant!
Trianon
31 août 2021 @ 11:47
Merci Cosmo, un régal de vous lire, comme à chaque fois.
On apprend , et agréablement qui plus est !:)
Corsica
1 septembre 2021 @ 18:41
Cosmo, encore une fois vous nous offrez un très bel article de fond qui m’a permis d’apprendre des choses, je vous en remercie. Vous nous signalez que le roi Vladislas II Jagellon avait deux épouses vivantes quand il à convolé avec Anne de Foix-Candale, j’en déduis donc qu’il avait divorcé ou fait annuler ses mariages précédents mais que sont devenues ses ex ? Ont-elles été reléguées dans des couvents ?