Voici les diadèmes et parures portées par la reine Marie de Yougoslavie, née princesse de Roumanie, grand-mère de l’actuel prince héritier Alexandre de Serbie. (Merci à Patricio)
L’écrin de la reine Marie de Yougoslavie
20 Comments
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8 octobre 2009 @ 05:57
Qu’est devenu l’écrin (1ère photo), ou est-il aujourd’hui ?
8 octobre 2009 @ 06:33
Que sont devenus tous ces magnifiques diadèmes?
En ce qui concerne le dernier, c’est incroyable comme l’on peut retrouver ce genre de diadème dans d’autres cours comme en Suède ou en Angleterre!
Un grand merci à Patricio!
8 octobre 2009 @ 06:45
L’écrin de la reine Marie était assez pauvre comparé à celui de sa mère la reine de Roumanie. Le diadème de diamants et émeraudes et le sautoir furent la proriété de la grande-duchesse Marie Pavlovna la jeune, épouse du prince Guillaume de Suède avant qu’elle ne les vende.
8 octobre 2009 @ 06:54
le dernier diadème ressemble beaucoup à un porté par Elisabeth d’Angleterre
8 octobre 2009 @ 07:07
Superbe !!
Chicarde
8 octobre 2009 @ 07:50
Ces diadèmes sont très beaux mais personnellement, je les trouve trop lourds, seul le dernier à ma faveur.
Celui avec une croix irait mieux au Pape ou à un évêque…
8 octobre 2009 @ 08:30
Les diadèmes à aiguilles de style russe étaient très en vogue au XIXe et au XXe, on en retrouve en France, en Angleterre (au moins 4 dans la famille royale), au Danemark, en Suède, en Roumanie ou encore en Grèce. Celui de la reine Marija vient de la grande-duchesse Maria Alexandrovna de Russie, épouse du duc d’Edimbourg, le prince Alfred de Grande-Bretagne. Sa fille la reine Marie de Roumanie en avait hérité et elle l’a laissé à son tour à sa fille, la reine de Yougoslavie.
8 octobre 2009 @ 09:52
Le Roi Pierre II a du vendre à un joaillier américain le diadème en émeraudes puis le collier pour faire face aux dépenses de l’exil.
8 octobre 2009 @ 10:11
Horrible il reste des cheveux sur un diadème …. lui aurait-on arraché de la tête ! oups qu’ai-je encore dit de déplacé ?
8 octobre 2009 @ 11:54
oui, celui avec une croix, c’est inhabituel
8 octobre 2009 @ 13:13
A Patricio,que ces bijoux ,surtout le diademe aux pierres vertes,sont magnifiques!Pardon,je suis assez penaude pour vous demander pourquoi vous avez ecrit le mot ‘ecrin’ car ce mot signifie clairement un coffret pour ranger les bijoux!
8 octobre 2009 @ 13:33
yatilunfauvedanslarene
Peut être quelqu’un vous aura déjà répondu !
Comme l’a précisé Laurent F (comm 3), après avoir été vendu à la reine Alexandre de Yougoslavie (née marie de Roumanie), il fut à nouveau vendu et fut acquis par Van Cleef et Arpels dans les années 1940, les émeraudes ont été remplacées par des pierres d’imitation. La tiare appartient au musée Van Cleef et Arpels.
Initialement les pierres qui ornent ce diadème appartinrent à la grande duchesse Elisabeth de Russie (tante de la grande duchesse Maria de Russie, ‘la jeune’)
7 juillet 2014 @ 21:18
Bonsoir
Sauriez vous a quelle date VCA a acquis ce diademe de Marie de Yougoslavie, et si c’est en 1941, est ce le bureau de New York?est il encore dans ses collections
Vous en remerciant
JJ Richard
8 octobre 2009 @ 14:55
Merci à Patricio comme d’habitude !!! Superbe diadème avec les émeraudes, c’est mon préféré.
8 octobre 2009 @ 17:58
Merci Laurent F pour vos explications concernant le diadème à aiguilles de style russe.
8 octobre 2009 @ 18:22
Bernard Frederic (9)ce sont peut-être et même surement de faux cheveux, un lien qui permettait de tenir le diadème en place sans que cela se remarque
8 octobre 2009 @ 19:14
Greyflannel8 (12)
Merci beaucoup d’avoir le temps de me répondre et pour vos précisions.
9 octobre 2009 @ 03:43
Caroline,
Un écrin a un double sens.
On parle d’écrin pour ranger un bijou ou une parure mais aussi de l’écrin d’une personne qui là signifie la totalité des bijoux d’une femme.
Par exemple on dira « l’écrin de la Reine Elisabeth est fabuleux » ou « l’écrin de Madame a été divisé entre ses enfants à son décès ».
9 octobre 2009 @ 07:47
A Laurent D.,bien merci pour vos explications!
12 octobre 2009 @ 08:56
Émeraudes appartiennent à l’impératrice Maria Alexandrovna, épouse d’Alexander II. Ils l’ont légué à son fils, Sergei. Il leur donna à sa femme Elisabeth, sœur de la dernière impératrice Alexandra Feodorovna. Après l’assassinat de terroristes Sergei Elisabeth Feodorovna passé de bijoux avec des émeraudes mari, frère, grand-duc Paul Alexandrovitch. Il leur donna au mariage de sa fille Marie, épouse du prince Guillaume de Suède. Après la révolution, Maria Pavlovna le plus jeune avait besoin d’argent et vendu des bijoux en Yougoslavie