La reine Sonja de Norvège était dans le comté de Nordland où elle a remis le prix de l’enseignement qui porte son nom à une école professionnelle.
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Bambou
3 décembre 2021 @ 09:57
Que je n’aimerai pas être exibée ainsi sur un lit d’hôpital….mon Dieu, quelle horreur !
Aubergine
3 décembre 2021 @ 16:34
Bien d’ accord avec vous.
framboiz07
4 décembre 2021 @ 00:09
C’est une élève,qui apprend , bambou !
Zoé
4 décembre 2021 @ 20:46
Mais vous ne voyez pas que c’est un mannequin ?
Noëlle et Gaël
3 décembre 2021 @ 10:55
Cette reine ne fait pas du tout son âge. Pourtant elle a bien des soucis.
Caroline
3 décembre 2021 @ 11:35
Les Norvégiens tiennent encore à mettre leur costume traditionnel ! 👍
La reine Sonja est bien conservée à son âge, joliment arrangée .
Leonor
3 décembre 2021 @ 12:02
En France, les filières professionnelles ont été si longtemps méprisées, et le restent encore largement.
Lourde erreur.
Car
– et d’une : nous avons besoin de professionnels, artisans, gens de métier;
– l’école à la française ne reconnaît guère que l’intelligence théorique ; or, les intelligences sont diverses et multiples. Voilà qui laisse sur le carreau une bonne partie des élèves qui apprennent autrement qu’assis sur leurs fesses.
QUI refait les charpentes de Notre-Dame ?
Le collège unique : une catastrophe. Une ânerie (!) voulue au nom d’une idée de l’égalité qui ignore la diversité.
Je fais partie de ceux pour qui l’école a été un bonheur : une chance. Mais autour de moi, plusieurs ont été heureux d’avoir été en apprentissage ( on est en Alsace), et d’autres, nombreux, auraient été heureux d’avoir PU aller en apprentissage , au lieu de s’emm…. ferme, et de se spécialiser en origami au fond de la classe près du radiateur.
Donc, honneur à S.M. Sonja, reine de Norvège.
Menthe
3 décembre 2021 @ 14:04
D’où l’importance primordiale du soutien parental qui sont ceux qui connaissent le mieux leur enfant ainsi que ses facultés à développer.
Pour cela les parents doivent accepter les aptitudes et penchants de l’enfant sans vouloir influencer dans leur sens, s’il n’est pas le même que celui du rejeton.
Noëlle et Gaël
3 décembre 2021 @ 19:29
Vous exprimez ce que je pense depuis toujours. Je n’admire pas spécialement les Allemands, mais sur ce point c’est eux qui ont raison, car les métiers manuels y sont davantage valorisés que chez nous. Le Français est snob dans ce domaine, à tort.
framboiz07
4 décembre 2021 @ 14:48
En Suisse, idem !
Aldona
3 décembre 2021 @ 14:51
En France, l’ apprentissage d’un métier est vécu sous une forme de mépris, dommage !
HRC
4 décembre 2021 @ 12:44
Les techniques et leur enseignement ont été respectés depuis la période des Lumières dans les États allemands. Et c’est très bien. Dans les petites principautés, il y a souvent une école technique qui date de cette période.
Ce qui me chagrine depuis toujours, c’est que c’était le but aussi de l’Encyclopédie en France. Ça n’a pas vraiment marché.
Mon opinion ancienne, et je le reconnais héritée, c’est que le départ ou la marginalisation des Réformés a contribué au mépris des techniques. Et l’obligation de ne pas déroger aussi.
Ciboulette
5 décembre 2021 @ 20:40
Le départ des Réformés ? Je sais que cela a été une erreur et un drame , beaucoup de richesses perdues pour la France , mais je ne l’avais pas encore envisagé sous cet angle .