Cette exposition est présentée sur les grilles des jardins Saint-Martin. Elle est organisée dans le cadre des manifestations du centenaire de la disparition du « prince navigateur » par le Comité Albert Ier-2022, en collaboration avec les Archives du Palais princier et l’Institut audiovisuel de Monaco.
« Le prince Albert Ier de Monaco rencontre Louis Tinayre à l’Exposition universelle de Paris en 1900. Appréciant ses qualités, il sollicite l’artiste pour illustrer la troisième édition de son récit de voyage « La Carrière d’un navigateur ».
À partir de 1904, Tinayre participe à toutes les campagnes océanographiques du prince, dont il est chargé de rendre compte, en mer comme sur terre.
Cette explication du travail du reporter, peintre et photographe, au cœur de la fabrique de ses œuvres, annonce la rétrospective qui sera présentée à la salle du quai Antoine Ier cet été, et accompagne l’exposition « Mission Polaire » du Musée océanographique dont Mélanie Laurent est la marraine. » (Source et© Photos : Axel Bastello / Palais princier)
3 juin 2022 @ 06:53
Melanie étant encore en robe de chambre, cette visite a dû se passer tôt. Et à la place de Charlene, j’aurais pointé le bout de mon nez, histoire de ne pas laisser Albert parler trop longtemps à cette belle actrice.
3 juin 2022 @ 07:35
Il va bientôt falloir un distributeur de tickets, alors. Le festival de télévision commence bientôt.
3 juin 2022 @ 09:53
Il faudrait qu’il la séduise et il est extrêmement loin d’être séduisant . Je vous épargne les détails . Oui je juge superficiellement,mais j’ai des doutes sérieux sur le reste .
3 juin 2022 @ 11:30
Je doute que le prince Albert fasse défaillir les belles actrices. Il y a longtemps que son physique de jeune premier s’est fait la malle.
4 juin 2022 @ 12:50
Vous savez chères amies Baboula et EKatellen que le snobisme a ses raisons que l’esthétique ignore. J’ai parlé l’autre jour de ce sagoin de Gabriele d’Annunzio. Et hier soir je suis tombé sur France 5 sur un docu sur Alexandre Dumas. Septuagenaire et en surpoids, ridé, il mettait encore un tas d’actrices dans son lit, lors de son exil en Belgique (il se cachait de ses créanciers).
Et je ne parle pas de ce roi des Pays-Bas de l’âge d’Albert, veuf, qu’une princesse allemande de 20 ans accepta en toute liberté de choix d’épouser.
Et cette jeune fille belge de la bourgeoisie (Arcadie Claret) et parents français qui accepta que Leopold Ier la mette dans ses meubles. Au grand déplaisir des parents.
4 juin 2022 @ 07:58
Mélanie au saut du lit ! ! ! ! ! !si elle a pensé se distinguer ainsi, tout simplement raté…..Quant à votre allusion Rob ,allusion limite pour faire reprendre les éternels palabres au sujet de Charlène oui !! non!! ou humour débordant aussi ! ! ! cette dernière n’a aucun souci à se faire ,malgré ses derniers ennuis elle reste largement en tête devant ttes les autres ! ! !
3 juin 2022 @ 07:47
Le prince Albert était à Chartres mercredi 1er juin .
https://www.lechorepublicain.fr/chartres-28000/loisirs/le-prince-albert-ii-de-monaco-en-visite-a-chartres_14138472/
3 juin 2022 @ 10:01
Oui j’ai vu çà. Ah il se balade l’Albert……..!!!
3 juin 2022 @ 10:51
Il est toujours par monts et par vaux, comme s’il s’ennuyait chez lui. Alors pourquoi pas Chartres, avant Vierzon, Vesoul et Longwy. Il y a sûrement quelque chose à faire la bas, et il se peut qu’un ancêtre Grimaldi y soit passé un jour.
4 juin 2022 @ 09:38
Le musée du fer à repasser de Longwy et ses 5000 exemplaires vaut le déplacement .On m’a dit que l’un provenait d’un don monégasque . 😜
4 juin 2022 @ 12:44
Eh bien voilààààà ! Je n’étais pas tellement loin de la plaque. Aller à Longwy pour célébrer le don du fer à repasser de Pépé, quelle meilleure raison pourrait-on trouver ?
4 juin 2022 @ 20:50
Mais veut-il voir Vierzon, lui ? Vesoul, peut-être ?
3 juin 2022 @ 11:48
Très belle robe fleurie qui va bien à cette Dame
3 juin 2022 @ 12:48
Prince Albert…en touriste ( les mains dans les poches ).
4 juin 2022 @ 07:15
Louis Tinayre (1861-1842) suit sa famille en Suisse, puis en Hongrie après les événements de la Commune (1871) et fait son éducation artistique à Budapest. Il exerce parallèlement le métier d’artiste-reporter pour plusieurs magazines d’actualité dont « Le monde illustré » pour lequel il voyage en Europe et va à Madagascar, en 1895, comme « envoyé spécial ». Il est remarqué par le prince Albert 1er de Monaco qui lui demande de l’accompagner dans ses campagnes océanographiques annuelles, notamment aux Açores, au Spitsberg, aux États-Unis. Il redevient journaliste avec la Grande Guerre et va sur le front pour « L’Illustration ». Il réalise quatre peintures murales pour l’amphithéâtre de l’institut océanographique de Paris, fondé en 1906 par le prince (rue Saint Jacques à Paris). Il séjourne au Brésil en 1923, puis au Maroc en 1930. Il présente sa dernière exposition, consacrée au Spitsberg, en 1938 à Paris à la galerie Reitlinger.
4 juin 2022 @ 08:17
on dirait en effet, sauf pour la ceinture, que l’actrice est en robe de chambre.