En 1907, Georges Nicolas de Nassau Weilburg, comte de Merenberg (1871 – 1948) neveu d’Adolphe grand-duc de Luxembourg et cousin germain du grand-duc régnant Guillaume IV, souverain malade et père de cinq filles, se revendique héritier du trône du Grand-Duché de Luxembourg et de celui plus virtuel du duché de Nassau.
Comme « un trône c’est bien, mais les bijoux de la couronne c’est mieux » il revendique surtout d’hériter des domaines, successions et de la fortune financière et immobilière de la Maison de Nassau en Hesse, ensemble consolidé en grande partie après la fin de la guerre de 1866.
Il était le fils de Nicolas de Nassau (un demi-frère d’Adolphe) et de son épouse Natalia Alexandrovna Pouchkine, la fille du poète, titrée comtesse de Merenberg, mariage certes poétique mais néanmoins des plus morganatiques.
Compte tenu de l’extinction imminente en ligne agnatique de la maison princière de Nassau au Luxembourg, il fonda ses prétentions sur une stipulation du pacte successoral familial de 1787 qui prévoyait qu’en cas d’extinction des agnats princiers de la maison de Nassau, les agnats non princiers étaient appelés au trône avant les filles princières.
« Charbonnier étant maître chez lui », le gouvernement du Grand-Duché régla la question dynastique luxembourgeoise en faisant modifier la constitution et en incluant dans la succession au trône les filles princières.
Quant aux autres réclamations, en particulier financières, foncières et immobilières contre la Maison de Nassau Luxembourg, elles furent réglées par convention, de la plus belle des manières, en attribuant au cousin Nicolas une pension annuelle de 40 000 marks or.
La dernière des Nassau : Clotilde de Nassau Weilburg comtesse de Meremberg
Il vécut ainsi à Wiesbaden jusqu’en 1948, sans trop regretter les charmes du Luxembourg quand on sait que 20 marks or de 1908 (ils sont encore quotés sur les marchés financiers) valent aujourd’hui 411 €. (Merci à Jean-Pierre pour ce sujet – Source biographique et photo : Merci au travail de Titus von Bönninghausen)
Avec la mort de la reine Wilhelmine en 1962, s’éteignit la branche des Orange Nassau et avec la mort de la grande duchesse Charlotte en 1985 celle des Nassau Weilburg, du moins si on s’en tient à la lignée patrilinéaire et même si, tant aux Pays-Bas qu’au Luxembourg les familles régnantes relèvent le patronyme « Nassau ».
En ligne agnatique, la dernière « Nassau » est aujourd’hui Clotilde de Nassau Weilburg comtesse de Meremberg. Elle est la petite fille du chipoteur (cf supra) Nicolas de Nassau Weilburg, et de sa première épouse la princesse Olga Yurievsky fille du tsar Alexandre II et de sa seconde épouse Catherine (Katia) Dolgoruky.
Clotilde de Nassau vit à Wiesbaden, où elle est née en 1941. Elle y a été psychiatre jusqu’en 2012, sous le nom d’Elisabeth Clotilde von Merenberg. Elle a épousé Enno von Rintelen, gynécologue, en 1965. Ils ont trois fils -Alexander, Nicolaus et Gregor- et quatre petits-enfants.
De par ses origines russes, Clotilde von Nassau Weilburg comtesse de Meremberg a participé après l’effondrement de l’Union Soviétique à renouer le dialogue entre la Russie et la Hesse en créant une association hesso-russe (Herus). Elle était également membre du conseil d’administration de la société Pouchkine et présidente de l’Association russe de l’Hôpital Alexandre.
Domin
31 août 2022 @ 01:51
Je ne comprends pas si la grande duchesse Charlotte est la dernière des Nassau W , son fils Jean est un bourbon parme ? Ce sont les BP qui règnent ?Et aux pays bas qui règne si ce ne sont plus les Orange Nassau ? Donc Leonor sera la dernière des Bourbon’Anjou sur le de trône d’Espagne ?
Julise
31 août 2022 @ 12:24
Nassau est bien le nom choisi par et pour les dynasties luxembourgeoise et néerlandaise (Oranje-Nassau), bien que comme vous le spécifiez, il s’agisse d’un côté de princes de Bourbon-Parme, et de l’autre de… nobles hommes d’Amsberg (après des princes de Lippe-Bisterfield et de Mecklembourg-Schwerin). Ces noms restent transmissibles dans les droits des deux pays.
En revanche, quelque chose me dit qu’il sera difficile pour Leonor de transmettre le nom de Bourbon ou même Bourbon-Anjou à sa descendance. À moins d’épouser un autre Bourbon (ce qui au passage remettrait des pendules à l’heure), je ne vois pas comment elle pourrait transmettre ; ça ne me semble pas trop dans la culture espagnole, encore moins dans les usages capétiens de « jouer » à cela.
Et si elle épousait un Habsbourg-Lorraine ?
Ce serait délirant ça !
Claude Patricia
31 août 2022 @ 12:55
Oui Charlotte avait épousé un Bourbon Parme mais le nom d une dynastie peut ne pas changer, visiblement…
Même à Monaco. Si on va par là ce serait Polignac le nom et plus Grimaldi.
Laurent F
31 août 2022 @ 12:57
Si on s’en tient à la filiation patriarcale ce sont les Bourbon qui règne à Luxembourg, les von Arsmberg à Amsterdam et Leonor sera bien la dernière des Bourbon Anjou sur le trône espagnol, tout comme Victoria sera la dernière des Bernadotte, Elisabeth la dernière des Saxe Cobourg et Ingrid Alexandra la dernière des Glucksbourg de Norvège.
Sigismond
31 août 2022 @ 14:56
Non, la dernière des Nassau-Weilbourg est Clotilde de Nassau, comtesse de Merenberg.
Le grand-duc Jean était bien un Bourbon-Parme, oui. Tout comme son fils Henri, le grand-duc actuel.
Aux Pays-Bas, ce sont les Amsberg qui règnent depuis 2013 (auparavant, les Lippe, et avant, les Mecklembourg).
Leonor sera effectivement la dernière Bourbon-Anjou sur le trône d’Espagne, sauf si elle épouse un cousin agnatique, ou si elle n’a pas d’enfants.
teddy
1 septembre 2022 @ 20:18
comme en suede avec la fille ainée de victoria de suede qui sera une westling
elle garde le nom de bernadotte ils auraient pu reprendre le nom de wasa
Actarus
31 août 2022 @ 16:49
Pour faire simple : le grand-duc de Luxembourg actuel est un Bourbon-Parme, mais le feu grand-duc Jean, premier Bourbon-Parme du Luxembourg, a voulu imiter la couronne britannique en proclamant le nom de la dynastie comme étant « Nassau » (sans particule).
Je vous dresse une liste par pays avec le nom réel du souverain vs le nom officiel, vous allez comprendre :
Royaume-Uni : Saxe-Cobourg-Gotha (réel, changera avec Charles/probable Georges VII) alias Windsor (officiel)
Luxembourg : Bourbon de Parme (réel) alias Nassau (officiel)
Pays-Bas : Amsberg (réel) alias Orange-Nassau (officiel)
J’arrête là mais sachez que les pseudonymes marketing sont nombreux dans les monarchies.
Meliroxy
2 septembre 2022 @ 21:58
En quoi ce sont des pseudonymes ?
Ce sont bien leur noms légaux et donc leurs noms officiels .
La transmission patrilinéaire du nom de famille n’est pas inscrit dans le marbre et peut donc se modifier en votant de nouvelles lois en ce sens .
La loi ainsi que les usages évoluent , il faut faire avec .
Geoffroy
31 août 2022 @ 19:18
Les consorts abandonnent désormais leurs noms pour ne pas changer le nom des dynasties nationales. En réalité, les Windsor devraient devenir à l’avènement de Charles des Oldenburg, les Nassau du Luxembourg sont des Bourbons-Parme, et les Bernadotte, les Orange, les Bourbons d’Espagne et les Saxe-Cobourg de Belgique devraient changer de nom au prochains avènements.
Philibert
31 août 2022 @ 06:19
Et pourtant, la patronyme Nassau existe toujours dans la descendance du prince Jean…i
Julise
31 août 2022 @ 12:25
C’est le droit luxembourgeois qui le permet, d’autant que les intéressés revendiquent l’héritage des titres de la maison de Nassau (sauf Merenberg bien sûr).
Jacqueline
31 août 2022 @ 06:31
La pratique du relèvement du nom devrait se vulgariser dans les familles dans lesquelles les dernières survivantes en ligne agnatique sont des filles.
Clotilde de Nassau a eu trois fils, combien porte le nom de Nassau?
C’est ce type d’acte qui traduit la vraie parité entre les genres. Les reines le font pour perpétuer le nom de famille et c’est une mission lorsqu’on est la dernière survivante d’une famille.
Un nom de famille ne devrait pas disparaitre alors qu’il y a des survivants féminins.
C’est avec ses questions qu’on prend conscience du conservatisme de certaines sociétés occidentales. Pourquoi les femmes ne transmettent pas le nom de leurs familles en général et particulièrement dans des situations critiques?
Un enfant est le fruit de l’union entre un ovule et un spermatozoïde, pourquoi on l’identifie uniquement par rapport au spermatozoïde ?
Artagnan
31 août 2022 @ 11:38
Dans la législation allemande, il est parfaitement possible d’avoir le nom de famille de la mère.
Ce qui arrive régulièrement lorsqu’une dynastie noble s’éteint : avoir un « Gennantname » (nommé en tant que).
« Alexander Enno von Rintelen genannt von Merenberg »
« Johann baron Wolff gennant Metternich zur Gracht »
« Levina comtesse Von Korff genannt Von Schmising’
Example en français: les princes de Ligne-La Trémoïlle
Mais il est parfaitement possible que les trois fils n’aient aucunement besoin de changer de nom.
Julise
31 août 2022 @ 12:28
Privilégier le matronyme inverse le problème ; vous faites disparaître le patronyme. L’idéal, c’est qu’en pareille circonstance, on accole les deux. Ainsi, personne n’est lésé.
Zorro
31 août 2022 @ 13:19
Ce point de débat est intéressant. C’est une question de droit et des règles de la filiation. A cet égard, pour le droit, il est important que les règles soient cohérentes et universelles. Jusqu’il y a peu, en occident, les règles de filiations ont été établies sur base du droit romain. Pourquoi le nom du père était transmissible et non celui de la mère ? Comme vous le dites très justement, il est nécessaire pour procréer d’avoir recours à un ovule et un spermatozoïde. En termes de filiation et de procréation, les hommes et les femmes ne sont pas égaux ni interchangeables : la maternité est toujours certaine (la mère est la femme qui accouche), la paternité est incertaine car la mère peut avoir des relations sexuelles avoir plusieurs hommes et le père n’est, dans les faits, pas toujours le mari de la mère. Le droit romain imposait donc la filiation en ligne patriarcale, pour protéger le droit et les intérêts des plus faibles dans la filiation : l’enfant et le père.
Par ailleurs, dans l’espace germanique, le droit romain s’est amalgamé petit à petit à la tradition germanique préexistante qui garantissait la division du domaine/territoire entre tous les descendants mâles. C’est pourquoi, dans l’Empire Romain germanique, les familles princières se sont divisées en de multiples branches et en morcelant les territoires d’origine (exemple : la famille de Wettin s’est divisée en de multiples branches : Saxe-Meiningen, Saxe-Weimar, Saxe Cobourg, etc.).
Il n’y avait pas de notion de primogéniture comme c’était le cas en France où prévalait le droit romain. En conséquence, le Saint-Empire romain germanique était un tigre de papier car morcelé à outrance. Napoléon (qui a imposé les principes du droit romain partout en Europe continentale) a mis de l’ordre dans ce mic-mac en y imposant (entre autre) le principe de la primogéniture mâle.
La loi salique associé au principe de primogéniture a préservé la France du morcèlement de son territoire. Au contraire, grâce à politique matrimoniale très habile, les Capétiens a pu étendre et préserver le domaine royal au détriment d’Etats et de principautés où les femmes pouvaient succéder à leur père/mari (Bretagne, Artois, bourgogne, etc.).
Pour conclure, dans l’histoire de l’humanité (d’un point de vue anthropologique), les sociétés matriarcales sont très rares et en tout cas n’ont pas perduré. Il n’y a aucun exemple de société matriarcales qui se soit développée de manière durable. Il n’y a pas de raison de penser que les choses pourraient être différentes aujourd’hui.
Meliroxy
2 septembre 2022 @ 22:03
La plupart sinon toute les sociétés se sont développées et ont perduré grâce en partie à l’esclavage , il n’aurait donc pas fallu l’abolir ?
Lionel
31 août 2022 @ 13:37
Clotilde de Nassau n’existe pas et ne pourra transmettre un patronyme qui n’est pas le sien. Cette dame s’appelle Clotilde Elisabeth Gräfin von Merenberg. Je suppose que si ses enfants le souhaitent, ils peuvent reprendre le nom de Merenberg, c’est déjà pas mal.
Jean Pierre
1 septembre 2022 @ 17:58
Pour en avoir le cœur net j’aurais bien voulu interroger le Standesamt de Wiesbaden, mais j’y étais le week-end du 15 aout.
Je pense toutefois qu’étant née en 1941, ses parents avaient un Ahnenpass et il aurait été intéressant de voir ce qui était inscrit dessus. Mais cela reste une archive privée.
Laure-Marie Sabre
31 août 2022 @ 18:01
La loi française permet depuis plusieurs années de transmettre le nom de la mère, le nom du père ou les deux noms, dans l’ordre de son choix.
Benoite
31 août 2022 @ 08:19
J’ai lu cet article là, avant le précédent. Bien narré, bien clair, et fort intéressant. Les reporters, de NR savent y faire. C’est bien, et flatteur pour la rédactrice qui se sent bien comprise et épaulée. Merci Jean-Pierre.
Lunaforever
31 août 2022 @ 08:48
Merci Jean-Pierre !
Artagnan
31 août 2022 @ 08:58
La famille Von Rintelen appartient à la noblesse de Prusse.
Elisabeth Clotilde de Nassau, comtesse de Merenberg (1941) x Enno von Rintelen (1921-2013)
= 1
Alexander Enno von Rintelen (1966)
= 2
Georg Nicolaus von Rintelen (1970) x Olivia Minninger (1969)
-> 1 Julian Dominic Nicolaus von Rintelen (2003)
-> 2 Nicolai Philip Leonid von Rintelen (2006)
= 3
Gregor von Rintelen (1972) x Christiane Mathilde comtesse zu Bentheim-Tecklenburg-Rheda (1973)
-> 1 Friedrich Enno Christian von Rintelen (2006)
-> 2 Luise von Rintelen (2009)
Claude Patricia
31 août 2022 @ 12:56
Oui Charlotte avait épousé un Bourbon Parme mais le nom d une dynastie peut ne pas changer, visiblement…
Même à Monaco. Si on va par là ce serait Polignac le nom et plus Grimaldi.
Claude Patricia
31 août 2022 @ 12:56
C était une autre Charlotte nb.
Lionel
31 août 2022 @ 13:35
Aucun des Merenberg ne porte le patronyme de Nassau. Issus d’un mariage morganatique, ils portent le titre et le nom donnés à leur aïeule Natalia Alexandrovna Pushkina. Le titre est celui de comte ou comtesse et le patronyme est von Merenberg. Depuis 1918 et l’abolition de la noblesse, le patronyme complet est Graf von Merenberg pour les hommes, Gräfin von Merenberg pour les femmes.
C’est tout de même une erreur gravissime de croire que des morganatiques allemands portent le nom de la dynastie dont ils sont issus. Cela n’a jamais été le cas (sauf décret exceptionnel, par exemple pour la succesion de Bade début 19e). Les Teck ne portaient pas le nom de Wurtemberg, les Battenberg celui de Hesse ou les Meran celui d’Autriche.
La dernière des Merenberg ne transmettra pas le nom de Nassau car elle ne le porte pas.
Mayg
31 août 2022 @ 14:18
Merci Jean-Pierre,
En gros tout ce qui intéressait Georges Nicolas de Nassau Weilburg, c’était l’argent et l’héritage.
Cosmo
31 août 2022 @ 20:44
En clair le prince savait compter…et ne s’en est pas laissé conter.
Caroline
31 août 2022 @ 23:29
Assez complique à suivre l’ histoire royale ou princière du Luxembourg !
JAusten
1 septembre 2022 @ 12:31
la dernière des Nassau 1/4 allemande, 3/4 russe par le biais des mariages
Will34
1 septembre 2022 @ 19:31
Je ne serai pas étonné aussi qu’il y ait eu des tensions avec le chef de la maison de Bourbon Parme (Charles Hugues) au moment du mariage du grand-duc Henri, même si cela n’a pas été dit. Les mariages inégaux socialement n’étaient pas encore vraiment admis… D’où ce retour ensuite au nom de Nassau.
Jacqueline
2 septembre 2022 @ 06:51
La compréhension de la différence entre le sexe et le genre n’est pas encore acquise dans notre société et encore plus dans les familles à hauts enjeux malgré les efforts qui sont faits.
La transmission d’un nom de famille est une lutte de pouvoir car c’est la pérennité de la famille d’un des parents qui est en jeu.
La société , les coutumes , les usages ont généralement admis que le sexe fort est masculin donc le genre fort est masculin car c’est l homme qui a le pouvoir , l’argent et les terres. Les enfants issus de ces couples ont des mères mais qui sont de sexe faible féminin et de genre féminin. Ceci est étayé par le cas de Sophie de Wittelsbach. Elle est héritière des droits des Stuart au trône d’Angleterre et d’Écosse mais son fils le prince Joseph Wenzel, héritier jacobite au trône d’Angleterre, sera intronisé souverain du Liechtenstein.
Aujourd’hui dans certaines familles le rapport de force est inversé , le pouvoir , l’argent et les terres sont transmises par le sexe féminin qui devient fort et de genre masculin. C’est de ça qu’il s’agit donc et de ce fait les femmes transmettent le nom donc assure la pérennité de leur famille . Le cas de la Reine Elisabeth d’Angleterre. La filiation n’est pas établie par le sexe mais par le genre et c’est ce que les consorts surtout masculin comprennent. Quand le défunt prince Philippe en Angleterre se plaignait de ne pas transmettre son nom, on lui a fait la concession de transmettre celui-ci aux enfants sans enjeux . En Suède, Estelle ne peut pas porter le nom de son père puisqu’elle héritera du pouvoir par sa mère et a dont l’obligation de perpétuer le nom de la famille régnante. Son père est de sexe masculin et de genre féminin.
Par ailleurs , il est important d’intégrer que le descendant soit de sexe féminin ou masculin , nous sommes en général dans des lignées patriarcales. En effet , un roi a comme héritier un garçon ou une fille mais le genre est masculin. La preuve est établie par Elisabeth de Belgique qui fait des écoles militaires et reçoit une éducation masculine .
L’une des royauté réellement à tendance matriarcale est celle des Pays- Bas dans laquelle le descendant ces dernières années est exceptionnellement de sexe masculin. Quelque soit le sexe du descendant , il est de genre féminin car le genre féminin y est fort.
La transmission d’un nom de famille est faite par le représentant du genre fort quelque soit son sexe dans un couple. La transmission des deux noms de famille traduit l’égalité de genre dans un couple.
Meliroxy
2 septembre 2022 @ 22:01
En quoi intégrer l’armée fait de vous quelqu’un de genre masculin ?
Vous êtes vraiment remplie de préjugés sexistes .
Lili3
3 septembre 2022 @ 06:50
J’allais le dire. Vous avez raison, l’armée est aussi féminine que masculine
Jacqueline
3 septembre 2022 @ 09:38
Les hommes et les femmes ont des spécificités biologiques et physiologiques qui prédisposent ou facilitent l’exercice de certaines professions . C’est une réalité.
L’accès à toutes les professions par tous quelque soit son sexe est un principe universel défendu et implémenté dans de nombreux pays et sociétés . Mais l’équité ou l’égalité de sexes ne peuvent pas renier les différences qui loin d’être dévalorisantes font la richesse de l’humanité.
Jacqueline
3 septembre 2022 @ 09:45
Féminisation de l’armée ou des armées . Pourquoi ne parle ton pas de masculinisation de l’armée ? Parce que c’est une organisation constituée majoritairement d’hommes. C’est un fait.