Parterre de personnalités à la Casa de Pilatos de Séville pour le lancement de l’édition espagnole du magazine « Vanity Fair ». Parmi les invités, les ducs d’Anjou et de Cadaval venus en compagnie de la comtesse d’Evreux, responsable de Dior en Espagne; la princesse Ira de Furstenberg, Laura Ponte ou encore Simoneta Gomez-Acebo.
La Princesse Ira de Furstenberg
Le mannequin Laura Ponte, belle-fille de l’Infante Pilar
Simoneta Gomez-Acebo, fille de l’Infante Pilar et public relations de Cartier-Espagne, et son époux José Miguel Fernandez-Sastron
Thribette
19 octobre 2008 @ 21:45
Cette personne n’est pas duc d’Anjou, le vrai duc d’Anjou est Louis-Alphonse de Bourbon, bien sûr il s’agit de ce que l’on appelle un titre d’attente, néanmoins les aînés de la Maison de Bourbon le portent depuis plus d’un siècle.
Je pense que l’usage de ce faux titre nuit particulièrement à la Maison d’Orléans : peut-être va-t-il « épater quelques ignorants », mais aux yeux des autres il la discrédite.
Certes, l’usage est d’appeler les personnes du titre qu’elles se donnent, mais là, le titre étant déjà porté par ailleurs, je ne pense pas que ce soit raisonnable.
Je suis vraiment désolée de voir cela dans vos pages, parce que, venant de découvrir votre site, je l’ai trouvé remarquable, et je souhaitais le faire découvrir sur des forums de discussion.
Benoit
20 octobre 2008 @ 15:05
Sachez que le titre appartient au Roi de France et au Chef légitime de la Maison Royale de France depuis la chute de la monarchie. C’est pourquoi Mgr le Comte de Paris a désiré l’octroyer à son neveu le Prince Charles-Philippe d’Orléans.Pour votre information le titre appartient à la couronne depuis 300 ans. Il a été porté comme titre secondaire à la fin du XVIIIème siécle par un Bourbon FRANCAIS. Quoi de plus légitime de le voir porté de nos jours par un Bourbon-Orléans, neveu du Chef de Maison.
Royauté-News
20 octobre 2008 @ 22:04
Bonsoir Thribette !
Peut-être l’ignorez-vous, en raison d’une information qui ne passe plus notamment à travers un certain forum…
J’ai annoncé à diverses reprises la parution sous forme d’un livre, d’une mise au point relative à toutes les questions d’ordre dynastique s’élevant au sujet de la dynastie française. Connaissant les arguments que s’opposent deux groupes de partisans, j’affirme deux choses d’ordre différent :
– N’appartenant à aucun de ces groupes, et ne souscrivant pas à aucune proposition de ces mouvements de pensée, c’est comme spécialiste des questions dynastiques que j’interviens. Je ne livrerai en attendant aucun indice, et j’ai toujours, dans les différents lieux où je me suis exprimé, pris la précaution qu’il en soit ainsi.
– Une certaine dynamique – aux idées desquelles par ailleurs je ne souscris pas – a vu le jour voici quelques années dans le panorama des partisans de ces groupes. Cette dynamique se propose de laisser au second plan la querelle qui les sépare, querelle qui ne se limite pas au choix dynastique mais qui se cristallise autour de lui. Cette dynamique intéressante a le mérite d’exister, et ceux qui s’y engagent déclarent ceci dans le fond : quel que soit le prince, il est important que les groupes entretiennent de bonnes relations et effectuent un travail commun. L’image de la famille capétienne ne doit pas s’enliser d’une manière préjudiciable pour elle et pour tous.
J’ajoute pour vous Thribette, que mon départ d’un certain lieu de discussion, quelque temps après votre arrivée, ne m’a pas permis de poursuivre les bonnes relations que nous avions entreprises, ni de vous tenir au courant des positions de certains. Même si je ne suis pas votre avis sur le point cité plus haut, j’ai toujours apprécié à cette époque la qualité de vos connaissances de l’Histoire royale, et je suis heureux de vous le dire ce soir, avec décalage, mais je crois que vous le saviez déjà.