Lors d’une vente aux enchères à l’hôtel Drouot à Paris, l’étude Auction Art Rémy Le Fur va vendre ce vendredi 2 décembre une magnifique boîte en or.
Lors d’une vente aux enchères à l’hôtel Drouot à Paris, l’étude Auction Art Rémy Le Fur va vendre ce vendredi 2 décembre une magnifique boîte en or.
Nini Plume
1 décembre 2022 @ 05:35
Cette miniature me touche. Un petit côté flou la rend expressive, vivante.
Nini Plume
2 décembre 2022 @ 07:46
Je la regarde encore. Au fond c’est un flou bien organisé. Le regard est net, les boucles du front de détachent dans une lumière qui effleure le front, les joues. Le jabot est sophistiqué mais coquettement nonchalant. C’est charmant. Et pourtant mon plaisir n’est pas complet. Quelque chose me gène. Tant de luxe… aujourd’hui il passe mal.
Bambou
2 décembre 2022 @ 18:02
Si vous trouvez que le luxe est désuet à notre époque, ne restez pas sur ce site où tout respire l’argent et le luxe à travers toutes ces royautés…
Philibert
1 décembre 2022 @ 10:23
Magnifique facture !
Charles
1 décembre 2022 @ 10:59
Une miniature d’une remarquable qualité.
Instal
4 décembre 2022 @ 11:34
Charles, vous connaissez votre métier!!!
Antoine
1 décembre 2022 @ 12:53
Louis-Philippe, fossoyeur de la royauté en France. Il s’en est rendu compte mais c’était trop tard…
Gérard
2 décembre 2022 @ 14:34
Charles X était charmant mais il me semble avoir été ce fossoyeur.
Philibert
8 décembre 2022 @ 21:22
Pour ma part, je me demande si le fossoyeur de la royauté en France n’est pas le comte de Chambord.
Si celui-ci avait accepté le drapeau tricolore, il aurait pu monter sur le trône de France…
A quoi tiennent les destinées, parfois !
Cosmo
1 décembre 2022 @ 13:37
Beau travail, bel objet mais pas beau sujet.
Gérard
1 décembre 2022 @ 14:58
On trouve aussi de Nicolas Jacques (1780-1844), un Portrait de Louis-Philippe, duc d’Orléans (1773-1850), rare miniature ovale peinte sur ivoire, signée à droite « Jacques », figurant le futur roi Louis-Philippe en buste de face, la tête légèrement tournée vers la gauche, en uniforme de colonel des Hussards, portant le cordon et la plaque de l’ordre du Saint-Esprit, vers 1820.
Il est dans son cadre en bronze doré d’origine surmonté par un nœud enrubanné de style Louis XVI attribué à Giroux.
Danielle
1 décembre 2022 @ 16:48
Est ce la famille d’Orléans qui vend cette boîte ?
Muscate-Valeska de Lisabé
1 décembre 2022 @ 19:51
Ça me dérangerait de voir cette tête-là sur ma table de nuit…🙄
Passiflore
1 décembre 2022 @ 21:11
Le roi Charles III possèderait-il la miniature du prince de Galles George Augustus Frederick (1762-1830), futur George IV, peinte par Nicolas Jacques, miniaturiste lorrain ? Sous l’Empire il avait réalisé des portraits de la Reine Hortense, de Bernadotte, de Joséphine, de la Princesse Borghèse avant de se consacrer à la famille d’Orléans. Je me demande s’il y a des miniatures de Nicolas Jacques à la Wallace Collection ?
Kardaillac
2 décembre 2022 @ 09:44
Si le portrait est fidèle, c’est en morphopsychologie celui d’un jouisseur plus que celui d’un homme d’Etat.
Gérard
2 décembre 2022 @ 14:40
Marie Leszczynska fut peinte par Nattier qui traduit avec brio dans un portrait de 1748, aujourd’hui aux Châteaux de Versailles. Le tableau de la Wallace Collection est une copie réduite du XVIIIe siècle de ce célèbre tableau. La reine avait demandé à Nattier de la représenter en habit de ville (en robe de jour), sans les accoutrements royaux traditionnels que l’on trouve dans les portraits royaux. L’image qui en résulte, saluée pour sa simplicité, annonce un nouveau naturalisme dans le portrait français du XVIIIe siècle. Le portrait de Nattier était la dernière et la plus emblématique image de la reine. Il a été gravé par Jacques-Nicolas Tardieu en 1755.
La conservation de Marie Leszczynska, Reine de France, a été rendue possible en 2018 grâce au généreux soutien de la Fondation John S Cohen.
Passiflore
3 décembre 2022 @ 23:35
Merci, Gérard, connaissez-vous la Wallace Collection ? On y voit de ravissantes miniatures mais, surtout, des figures du 1er Empire dont était friand le père de Sir Richard Wallace. Elles sont protégées de la lumière (un peu comme les décorations du musée de la Légion d’Honneur à Paris).
Gérard
4 décembre 2022 @ 13:14
Non Passiflore malheureusement je n’ai pas vu la Wallace Collection.