Bel ouvrage sur le Cercle royal gaulois de Bruxelles, « cousin » ds clubs anglais. il se situe dans le parc royal de Bruxelles. C’est en 1847 que le Cercle Artistique et Littéraire voit le jour en 1847 et le Cercle de la Toison d’Or en 1911, devenu Cercle Gaulois en 1919.
Passiflore
3 avril 2023 @ 08:50
Le dîner diplomatique annuel du Cercle Royal Gaulois réunit les représentants officiels des pays entretenant des relations diplomatiques avec la Belgique, avec l’UE et avec l’OTAN.
Différentes sections – golf, voitures anciennes, chasse, tir aux clays, voile, moto… – rassemblent les passionnés de ces disciplines pour des journées gauloises « hors-les-murs ». J’ai compris que Charles-Auguste de Bériot – second époux de Maria Malibran – avait offert aux fondateurs du Cercle son hôtel particulier de la place Fernand Cocq à Ixelles. C’est en 1829, au château de Chimay, que la cantatrice avait rencontré Bériot, premier violoniste du roi des Pays-Bas. Leur fils Charles-Wilfrid sera le professeur de Maurice Ravel. La Malibran meurt, en 1836, à Manchester d’un accident de cheval et Bériot fait rapatrier son corps à Bruxelles et lui fait construire un mausolée dans le cimetière de Laeken.
Caroline
3 avril 2023 @ 23:44
Passiflore,
Merci pour votre commentaire explicatif !
Passiflore
4 avril 2023 @ 10:49
Merci, Caroline
Jean Pierre
3 avril 2023 @ 09:13
Je vois où il se situe, mais qui le fréquente ? Est-il réservé uniquement à ses membres ? Est-il mixte ?
Passiflore
3 avril 2023 @ 09:32
Jean Pierre, j’ai compris qu’il fallait être parrainé et que le club était mixte (mais je ne suis pas Belge et n’ai pas plus d’informations).
DEB
3 avril 2023 @ 10:34
Non cercle masculin fréquenté par professions libérales, diplomates, chefs d’entreprise etc ( cooptation ).
Je pense qu’une femme ambassadeur pourrait y venir ( seule exception je crois ).
DEB
3 avril 2023 @ 12:13
Bien sûr, lors des soirées les épouses des membres sont admises.
Numbat
3 avril 2023 @ 11:40
Les mots Gaulois et Littéraire associés dans la même phrase ! Pour un peuple qui était de tradition strictement orale et qui, il n’y a pas si longtemps, était encore perçu comme un ramassis de grands lourdauds primitifs et incultes; braves, certes, en ce qui concerne les Belges (c’est César qui le dit), mais à la limite « hommes des cavernes ».
Esquiline
3 avril 2023 @ 16:58
Très juste, mais vous allez égratigner quelques orgueils 😉
Campagne
3 avril 2023 @ 12:56
Très belle entrée.
Cosmo
3 avril 2023 @ 13:45
J’ai deux souvenirs au Gaulois. Le premier est relatif à une conférence que j’y avais donné en compagnie de l’archiduc Rodolphe. Le deuxième est plus triste car j’y étais pour la réception donnée après ses funérailles.