La princesse Iman, deuxième fille du prince Reza et de la princesse Yasmine d’Iran s’est fiancée à Bradley Sherman. Une demande en mariage sur une plage en présence des parents et des deux soeurs de la princesse. (merci à Véronique Y)
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milou
7 août 2023 @ 06:40
Boudeuses photos d’une belle famille!
De bien beaux sourires toutes et tous!
Téta et Yasmin forme un vrai beau couple solide et très uni!
L’ainée des filles de Reza et Yasmin me fait beaucoup penser aux filles de Farah, ses tantes, dont une est décédée!
milou
7 août 2023 @ 06:44
…veuillez m’excuser, c’est parti avant que je puisse corriger mon i phone ce matin!
C’était joyeuses photos d’une belle famille!
Reza et Yasmine forment…
monica
7 août 2023 @ 09:03
La princesse Yasmine porte une tenue vulgaire
Honoré
7 août 2023 @ 09:16
C’est peu de le dire
Domin
7 août 2023 @ 18:23
Histoire d’alimenter la haine de l’Occident chez les puristes iraniens …
Marie-Caroline de Bretagne
7 août 2023 @ 19:02
Vulgaire est exagéré mais la tenue n’est pas élégante et ne convient pas à la princesse.
PRINCE DE LU
7 août 2023 @ 11:48
En quoi la tenue de Yasmine est-elle vulgaire ? Parce qu’on voit un peu de son corps ? Vous préféreriez sans doute que la princesse Yasmine porte la burqaa, comme les Iraniennes dont elle prend régulièrement la défense… Vote commentaire est ridicule et dépassé !!! 😝
Pelikan
8 août 2023 @ 08:32
👌👌👌
Lady Chatturlante
7 août 2023 @ 11:54
Elle porte une tenue estivale. Ce n’est pas parce que nous faisons plus jeunes que notre âge que nous devons nous habiller comme des femmes de notre âge. Même les couvertures du magazine « Notre Temps » ont évolué !
Bathilda
7 août 2023 @ 11:59
Ils sont sur la plage. Pas plus vulgaire qu’on n maillot de bain dans ce contexte.
Laurent F
7 août 2023 @ 12:09
💨💨💨💨 y’a quoi de vulgaire ? On voit un tringla de son ventre !!! oh mon dieu c’est affreux
Menthe
7 août 2023 @ 12:25
Bonjour Monica, la princesse Yasmine porte souvent des tenues limite vulgaires.Je crois que ses goûts ne la portent pas vers l’élégance et le raffinement., ni vers le causal sport. Il faut du bling !
Menthe
7 août 2023 @ 12:25
Casual
Gatienne
8 août 2023 @ 12:47
« Vulgaire » me paraît un peu fort, disons légèrement « Show off »: un hybride entre mode libanaise et américaine.
En tout cas, cette personne est indéniablement jolie, bien conservée pour une quinquagénaire, elle aurait tort de ne pas mettre en valeur ce physique avantageux, ne serait-ce qu’en réaction contre les oukases vestimentaires en vigueur dans son pays de naissance.
Eh oui, la politique peut aussi se loger dans des sujets beaucoup plus futiles !
Bon été à vous, Menthe 😘
Patrick JACQUES
7 août 2023 @ 14:54
Vous préférez le tchador ?
Pierre-Yves
7 août 2023 @ 16:41
Que voulez-vous, les quinquagénaires qui ont envie de rester sexy ont le vent en poupe, ces temps-ci. Et pourquoi devrions nous nous en plaindre ? Enfin, j’espère que vous allez vous en remettre !
Pelikan
8 août 2023 @ 08:32
👌👌👌
Katellen
8 août 2023 @ 19:09
👏
Bambou
7 août 2023 @ 20:50
Oui, la future belle-mère qui se la joue jeune……!
Arielle de T
7 août 2023 @ 23:26
Une tenue qui ne vous plait pas n’est pas une tenue vulguaire.
En quoi est-elle vulgaire ?
monica
8 août 2023 @ 18:31
Tenue moulante et très, très décolletée pour une princesse, oui, c est vulgaire
MaryT
8 août 2023 @ 09:55
Tenue estivale, sans plus !
Fleur
10 août 2023 @ 17:42
Ils sont sur la plage, donc la tenue ne me choque pas.
Esquiline
7 août 2023 @ 12:25
C’est effectivement une belle famille unie.
Mai n’est-ce pas un peu tôt pour préjuger de la solidité d’un couple à peine fiancé?
De votre part je m’attendais plutôt à un de vos commentaires habituels sur l’élégance très américaine de ces dames.
Marie Françoise
7 août 2023 @ 06:51
Bravo Véronique pou cette bonne nouvelle ! Toute la famille doit être en joie !
Véronique Y
7 août 2023 @ 10:19
Pour une fois que je suis capable de mettre une photo.
Benoite
7 août 2023 @ 06:56
Je vais faire ma petite remarque « évidente », la famille est encadrée par deux hommes… oui, c’est nouveau, et bienvenu, parce que le père chef de famille avait tout seul, une famille très féminine.. et cela change, pour du bonheur à venir. Je souhaite aux fiancés, une douce attente jusqu’aux noces, et du bonheur et de la félicité. Je songe avec malice, à Farah qui doit être aux anges, pour sa petite fille.. elle disait dans son livre, « Mémoires » avoir rassuré la jeune Yasmine 20 ans au moment de ses fiançailles avec Reza… en la mettant en confiance avec sa personne à elle, Farah, et tout ce qu’elle portait (en titres, vécu, histoires familiales et les périodes moins évidentes : un sacré vécu pour Farah) elle ne voulait pas que Yasmine s’en fasse une montagne. Farah était avant tout mère et femme malgré tout cela très normale et équilibrée. C’est sa force mentale qui lui a permis de tenir dignement. Alors je me réjouis de cette bonne nouvelle ici.
milou
7 août 2023 @ 11:07
Votre commentaire, Benoite, est parfait et bienvenu…
stigerss
7 août 2023 @ 11:09
Yasmine avait 17 ans à son mariage
Mayg
7 août 2023 @ 13:29
Si jeune ?
monica
8 août 2023 @ 18:34
18 ans
Ludovina
7 août 2023 @ 06:58
https://www.instagram.com/p/CvnCZugO-de/?img_index=1
Bathilda
9 août 2023 @ 08:08
Moi, ce que je retiens de cette fête plutôt que la tenue de la maman, c’est la bague de fiançailles , un diamant en forme de poire, magnifique que l.on aperçoit sur la dernière vidéo de l’Instagram . 💍👍
JAusten
7 août 2023 @ 07:25
Rhoookomcéboooo et si roromantic ! Les félicitations s’imposent.
Samira
7 août 2023 @ 10:34
Où avez-vous lu que le prince Reza ou même sa famille étaient musulmans ? Ils n ont jamais parlé de leurs croyances ou mis en avant leur supposée pratique.
Ou vous posez la question car ils sont « musulmans d apparence » comme a dit un certain ancien Président ?
Jackie
7 août 2023 @ 11:23
Vous savez très bien que leur religion est l’islam chiite, ce n’est pas un secret.
Samira
8 août 2023 @ 10:08
Vous êtes incroyable.
Parce qu’ils sont iraniens, ils sont forcément musulmans chiites? En tout cas, aucune mention de leur pratique. C est de la mauvaise foi.
Quand des gens supposés musulmans à vos yeux sont discrets sur leur religion, vois cherchez tout de même à savoir à tout prix s ils « pratiquent « , si le fiancé a dû se convertir.
Et quand ils affichent leur religion vous leur reprochez leur manque de discrétion.
Leur religion ou pas ne regardent qu eux.
Jackie
9 août 2023 @ 09:25
Personnellement, je ne cherche rien du tout. La religion du fiancé ne m’intéresse pas. Quant à : aucune mention de leur pratique, vous voulez rire, je suppose. Les musulmans ont tout aussi droit à leur religion que moi, la mienne mais voyez-vous ce qui me choque en France, ce sont les femmes voilées de pied en cap qui, elles, affichent bien leurs idées.
Pour info : Biographie (source Wikipédia)
Titulature Prince héritier d’Iran
Dynastie Pahlavi
Nom de naissance Reza Kourosh Pahlavi
Naissance 31 octobre 1960 (62 ans)
Téhéran (Iran)
Père Mohammad Reza Shah
Mère Farah Diba
Conjoint Yasmine Etemad Amini
Enfants Princesse Nour Pahlavi
Princesse Iman Pahlavi
Princesse Farah Pahlavi
Religion Islam chiite duodécimain
Ontheroadagain
7 août 2023 @ 13:00
Musulmans mais très modérés et discrets… Sinon les filles seraient voilées, couvertes jusqu’aux pieds et enfermées (bon je grossis le trait…), or on les voit tout le temps en tenues légères et sexy, menant une vie parfaitement libre, et Iman a choisi elle-même son fiancé !
Laure-Marie Sabre
8 août 2023 @ 10:46
Les femmes de la famille des Pahlavis n’ont jamais été ni couvertes ni enfermées. Comme celles de la famille des rois d’Egypte.
Stigers
7 août 2023 @ 14:20
Interrogé sur la religion, Reza Pahlavi a déclaré: « C’est une affaire privée, mais si vous devez le savoir, je suis, bien sûr, par éducation et conviction, un musulman chiite. Je suis vraiment un homme de foi. » source :Soloman, Deborah (26 juin 2009). « L’exil ». La revue du New York Times
Denis
7 août 2023 @ 14:26
Je serais étonné qu’étant iraniens , sauf erreur, ils soient catholiques pratiquants presbytériens ou bouddhistes!
Pelikan
8 août 2023 @ 08:33
😂😂😂😉
Stigers
7 août 2023 @ 18:16
Le prénom « Iman » est d’origine arabe et est largement utilisé dans les pays musulmans. En arabe, « Iman » (إيمان) signifie « foi » ou « croyance »C’est un prénom qui porte une connotation religieuse, étant donné que la foi est un concept central dans l’islam.
JAusten
9 août 2023 @ 13:26
Vous le savez déjà mais je me permets de le dire, tous les arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas des arabes. Les libanais chrétiens au plus fort de la guerre du Liban donnaient à leurs filles (par exemple) des prénoms comme Noor ou Iman ou d’autres prénoms mixtes comme Myriam pour ne pas être embêtés par les administrations.
Domin
7 août 2023 @ 18:28
Ce sont des chiites et Farah et sa belle fille mettent un voile sur leurs cheveux lors de cérémonies commémoratives de la mort du shah
Pelikan
8 août 2023 @ 08:54
Un fait souvent passé sous silence est que le Shah Mohamed Reza était un homme religieux. Religieux mais pas bigot ou même dévot.
En fait il vivait sa Foi d’une manière très ”laïque” et individuelle, mais aussi sans doute éclairée et réfléchie et avec les privilèges d’indépendance que lui conféraient sa position.
Il n’était pas un ennemi de Dieu , il était un ennemi du pouvoir des mollahs.
Son fils a probablement la même vision des choses .
Melimelo
8 août 2023 @ 09:03
Il y a une autre religion en Iran le Zoroastrismes !
Catherine
8 août 2023 @ 22:09
C’est vrai.
Auberi
7 août 2023 @ 07:33
Oups… belle bête Bradley Sherman 😘
Sébastien
7 août 2023 @ 19:31
Oui ! Elevé au grain comme tout bon américain :)
Auberi
8 août 2023 @ 16:47
Ah c’est donc ça ! Le grain transgénique a donc du bon 😊
gisèle T
7 août 2023 @ 07:37
Félicitations, va-t-il devoir se convertir
stigers
7 août 2023 @ 09:18
Se convertir à quoi ?
Jacob van Rijsel
7 août 2023 @ 10:19
Il a peut-être des convictions personnelles et pas envie de se convertir ce garçon, qu’en sait-on ?
PRINCE DE LU
7 août 2023 @ 11:55
Les convictions religieuses de la famile Palahvi importent peu ; je vous rappelle que Farah et son fils Reza se battent pour la restauration d’un régime libre, laïc et démocratique…
Laure-Marie Sabre
8 août 2023 @ 10:47
Pas la restauration, l’instauration. Parce que le régime du shah était tout sauf libre et démocratique.
PRINCE DE LU
8 août 2023 @ 13:17
Exact: je voulais dire « instauration », vous avez raison de me corriger !
Cisca1
8 août 2023 @ 13:35
Certainement mais le régime des mollahs lui ayant succédé, il apparait désormais comme le temps de la liberté.
Je pense que les Iraniens et surtout les Iraniennes ont beaucoup perdu à ce changement de régime
👑 MIKA ✍🏻 👀
7 août 2023 @ 07:39
C’est vraiment très très américain, la demande sur la plage… avec le photographe…
Mafloer
7 août 2023 @ 10:03
Le « photographe » est « la famille’.
Photos familiales, récupérées sur le profil d’Instagram…
Plus besoin de photographe professionnels, ni de magasines pour la publication.
Vivons avec notre temps, vive Internet
Maria
8 août 2023 @ 10:42
Laïc et démocratique comme était le régime de son père le Shah « très démocratique » avec ses services secrets SAVAK, quelle hypocrisie ?! Ce n’est qu’une simple question d’une personne qui a étudié l’histoire…
Carole 007
7 août 2023 @ 11:33
Il manque le fameux « genou à terre » du plus grand ridicule pour ces messieurs.,, 😅
Selon mon avis…
Menthe
8 août 2023 @ 15:44
C’est pour voir sous les jupes des filles, Carole 😉
Carole 007
9 août 2023 @ 11:07
Comment n’y avais-je pas pensé Menthe. 😜
Jackie
9 août 2023 @ 13:03
Ah! c’est Souchon qui vous l’a dit !
Auberi
8 août 2023 @ 16:53
J’aime bien le genou à terre, parfois je suis vraiment old school, aïe aïe, pas bon ça 🥴
JAusten
9 août 2023 @ 08:24
😂 Je n’aime pas ça non plus.
plume
7 août 2023 @ 07:43
Le fiancé doit mesurer près de 2 mètres. Toutes de belles femmes. Yasmine toujours très sexy voire trop pour son âge.
PRINCE DE LU
7 août 2023 @ 11:58
Trop sexy pour son âge ? Relisez-vous s’il vous plait ! A quel âge selon vous une femme doit elle cessé d’être jolie et séduisante ? 😝
PRINCE DE LU
7 août 2023 @ 13:10
Erratum: doit-elle cesser (c’est mieux !)
Patrick JACQUES
7 août 2023 @ 14:56
L’ayatollah Ali Khamene est tout à fait d’accord avec vous. Allez hop, cachez-moi tout ça !
Marie Françoise
8 août 2023 @ 16:24
Eux, au moins, n’exigent pas la bague de fiançailles devant toute la presse ! Les Pahlavi sont des personnes discrètes quant à leur vie privée ! N’en déplaise à certains !
Marie Françoise
8 août 2023 @ 16:25
Il faut lire » n’exibent » pas la bague de fiançailles comme certains autres !!
Adélaïde de B.
10 août 2023 @ 01:56
Discrètes? À se souvenir de Persépolis…
Octobre 1971.
Pelikan
10 août 2023 @ 19:33
Persepolis se voulait une glorification de l’histoire perse de l’Iran, sans doute un dépassement de la pesanteur islamique et une démonstration de légitimité sur la scène internationale, ce n’était pas une glorification de la famille Pahlavi .
JAusten
9 août 2023 @ 08:25
Et bien j’avoue que j’aurais bien aimé voir la bague ☺️
Jackie
9 août 2023 @ 13:08
Voyez le lien instagram de Ludovina plus haut, dernière image. C’est un gros gros diamant, ça en jette.
JAusten
9 août 2023 @ 16:26
@Jackie, ah oui merci .. gros caillou taille poire, pas trop fan de cette forme.
monica
10 août 2023 @ 08:07
Ah oui. Une poire énorme,
M.Francoise 😉😁
particule
7 août 2023 @ 07:48
Le décor est paradisiaque et la famille semble comblée. Alors ? que des voeux de bonheur.
Snoopy 🇧🇪
7 août 2023 @ 07:57
Bonjour,
Mwouais, je ne trouve pas les photos belles pour les nouveaux fiancés, j’ai déjà vu beaucoup mieux 🙃
Par contre la mère veut aussi faire aussi jeune que ses filles 😬 (comme la reine Letizia d’Espagne 😉) qu’ont-elles ces mamans à vouloir ne pas vieillir 🤔🤔
Elles en s’en rendent ridicules…
Enfin ce n’est que mon avis 😁
Elisab
7 août 2023 @ 12:07
Je partage votre avis sur le manque de joliesse de ces photos kitch et assez vulgaires
Beaucoup de bonheur à ce jeune couple
Katellen
7 août 2023 @ 12:54
Mais pourquoi une femme qui garde un physique correct devrait elle se vieillir obligatoirement ??
Pelikan
9 août 2023 @ 10:46
Pour ne pas faire envie aux autres 😉.
ABER
7 août 2023 @ 15:03
Pour Letizia, c’est toujours du meilleur goût.
monica
10 août 2023 @ 08:10
Comparer les tenues de Laetitia et celles de cette famille… il y a u.e difference
Pierre-Yves
7 août 2023 @ 16:44
Avis discutable … à mon avis.
Pourquoi condamner, sous prétexte qu’elles ont de grands enfants, ces femmes à vieillir alors qu’elle sont encore en pleine beauté ?
Personnellement, je suis très heureux pour elles qu’elles puissent encore en profiter et je souhaite à toutes les femmes de cette génération de pouvoir le faire.
milou
8 août 2023 @ 08:02
Merci Pierre-Yves!!!😊
Mini
7 août 2023 @ 08:12
Iman semble très naturelle et ne pas avoir cédé à la rhinoplastie comme sa sœur aînée, sa maman et sa grand-mère l’Impératrice Farah.
Marie Françoise
7 août 2023 @ 10:28
Ratée Mimi car justement Iman est la seule qui a eu besoin d’avoir recours à la chute esthétique car elle avait le nez imposant de son père le prince Reza alors que Noor a le joli nez et les pommettes de sa ravissante maman qui n’a jamais eu besoin de se faire rectifier le nez ,! Cherchez sur internet les photos de ses fiançailles et de son mariage vous verrez c’est la même en très jeune car elle avait 17 ans alors !!
Marie Françoise
7 août 2023 @ 10:29
Chirurgie au lieu de chute !
Mini
7 août 2023 @ 11:09
Sans vous contredire, la Princesse Yasmine avait déjà subi une rhinoplastie lorsqu’elle épousa le Prince Reza. De même, la Princesse Nour y a eu recours très jeune.
Quant à la Princesse Iman, si rhinoplastie il y a eu, comme vous l’affirmez, elle est parfaitement réussie et garde à son visage tout le naturel,
Malthus
7 août 2023 @ 11:58
La fille du feu Shah d’Iran, la princesse Shahnaz avait fait arranger son nez avant son mariage . Peut-être les 2 autres filles du Shah et de Farah ont-elle fait pareil. Un laid nez abime un visage et remédier à la Nature à ce sujet est une bonne idée.
Marie Françoise
9 août 2023 @ 10:19
Malthus malheureusement pour elles les princesses Pahlavi ont toutes hérité du nez fort de leur famille ! Farahnaz et Leila , les deux filles de l’impératrice ont du se faire arranger le nez par la célèbre chirurgien brésilien le docteur Pitavi si je ne me trompe pas, Reza et Alireza ont conservé leur nez d’origine ! Pour une femme c’est difficile d’accepter d’avoir un nez à la Cyrano de Bergerac !! Mais la princesse Yasmine ‘ne vient pas de cette famille je lui ais toujours vu le même joli »nez et les pommettes saillantes depuis son mariage avec le prince Reza !!
Ludovina
7 août 2023 @ 13:01
Vous avez raison : le nez actuel de Yasmine est beaucoup plus court.
https://media.gettyimages.com/photos/rendezvous-with-reza-pahlavi-and-yasmine-in-united-states-aux-en-picture-id160708185?s=594×594
https://i0.wp.com/adelswelt.de/wp-content/uploads/2020/06/YasminePahlaviIran.jpeg?fit=300%2C537&ssl=1
Marie Françoise
9 août 2023 @ 10:30
Ludovina mais cette retouche est tellement bien faite que je ne l’avais jamais remarqué ! Une retouche c’est quand même une intervention moins lourde et qui ne transforme pas un visage c’est juste le petit plus perfectionniste !
Marie Françoise
8 août 2023 @ 08:11
Mini Alors je ne pense pas Yasmine avait 17 ans quand elle épousa le prince Reza un âge trop jeune pour recourir à ce genre d’intervention , Noor a toujours eu le même nez regardez des photos d’elle enfant et vous pourrez comparer ! Pour affirmer il faut des faits et des preuves ! Avez vous la facture du chirurgien ?
Quant à Iman, faites de même regardez des photos d’elle à 15/16 ans et vous verrez qu’elle avait un nez assez fort puis vers 20 ans un nez rectifié et au vue des photos il me semble même que le nez a été refait une deuxième fois !
Bambou
7 août 2023 @ 13:47
Elles ont bien fait de se faire refaire le nez.
Marie-Caroline de Bretagne
7 août 2023 @ 19:08
@Mini, si une rhinoplastie permet à une jeune femme de se sentir mieux dans sa peau, alors vive la rhinoplastie ! Deux amies m’ont dit combien cette « rectification » avait changé la vie de leurs filles.
Teddy
7 août 2023 @ 08:21
Un roturier
Elle épouse son « berger »
Marie Françoise
7 août 2023 @ 10:29
??? Teddy !
Dom06
7 août 2023 @ 11:30
Monica
Yasmine est loin d être vulgaire.
C est une tenue adéquate sur un maillot de bain ou pour la plage.
Et pourquoi toujours parler de chirurgie esthétique les femmes iraniennes ont des peaux et visages magnifiques.
Pierre-Yves
7 août 2023 @ 16:46
Teddy est constant.
Les »mésalliances » lui retournent l’estomac. Les royaux entre eux, et les roturiers entre eux, tel est son credo.
PRINCE DE LU
7 août 2023 @ 12:03
N’oubliez pas que les Palahvi sont des roturiers qui se sont auto-proclamés Empereurs d’Iran ! C’est d’ailleurs comme ça que toutes les dynasties prennent naissance, donc « roturier » ne veut rien dire…
Pelikan
8 août 2023 @ 08:46
Exact .
Toutes les dynasties ont commencé ainsi sauf à ce que disent certains les empereurs du Japon qui descendaient d’une déesse, Ameratsu si je me souviens bien .
Dom06
7 août 2023 @ 08:22
Les femmes dans cette famille sont magnifiques
monica
8 août 2023 @ 18:44
C est votre avis, pas le mien
Teddy
7 août 2023 @ 08:22
Le prince rezah donnera le titre d altesse et de prince aux futurs enfants de sa fille
Mayg
7 août 2023 @ 13:29
Qu’en savez-vous ?
Teddy
8 août 2023 @ 08:47
Vala gohar ou vala gohari
Vasco2
7 août 2023 @ 08:26
Très beau couple, beau garçon
monica
7 août 2023 @ 09:05
Vasco vous avez raison
Robespierre
7 août 2023 @ 08:41
Il a l’air gentil. Et très grand. Il va se convertir ?
Axelle
7 août 2023 @ 09:14
Bien sûr. L’homme doit se convertir pour épouser une musulmane. L’inverse n’est pas obligatoire.
Teddy
7 août 2023 @ 11:20
Il aura un prénom islamique
Mayg
7 août 2023 @ 13:31
C’est surtout la famille de celui ou celle qui détient les cordons de la bourse, qui détermine la religion du couple…
Denis
7 août 2023 @ 14:27
Ce serait pourtant souhaitable…
Laure-Marie Sabre
7 août 2023 @ 17:15
Ils vivent aux Etats-Unis et je ne pense pas qu’Iman souhaite faire transcrire son mariage au consulat d’Iran. Donc sauf à ce que ce soit important pour la jeune femme, actuellement héritière du trône putatif d’Iran, pas certain du tout qu’il se convertisse.
Solenn
8 août 2023 @ 15:13
Oui Laure Marie Sabre car retranscrire son mariage à l’ambassade d’Iran pourrait être considéré comme une provocation et allez savoir ce qui pourrait se passer dans la tête des Mollahs..?
Elles sont bien tranquilles aux USA.
stigers
10 août 2023 @ 15:14
Non La princesse Héritière est la princesse Noor pahlavi !
Zulma
7 août 2023 @ 09:06
Ces photos dégagent beaucoup de bonheur. La première en particulier, bien naturelle. Un nouvel homme dans cette famille, ça risque de changer l’ambiance !
s
7 août 2023 @ 09:06
Devra-t-il ** épouser** toutes les femmes retouchées de la famille??
Je n aime pas du tout ce genre de photos 100% américaines surtout Floride
G de G
7 août 2023 @ 09:59
Veuillez m’excuser mais votre commentaire est ridicule !
Guy Coquille
7 août 2023 @ 16:39
Je partage votre avis. Cette famille a abandonné son identité iranienne. Si j’étais iranien, cela me ferait de la peine.
Marie Françoise
7 août 2023 @ 10:31
S mais ils vivent aux USA pas en Iran ! Et Floride qu’en savez vous ?
Katellen
7 août 2023 @ 12:57
Mais cette famille vit aux États-unis et les filles ont été élevées comme de jeunes américaines ! C’est normal qu’elles vivent comme leurs amis et pratiquent les mêmes traditions.
Antoine
7 août 2023 @ 20:29
Votre commentaire au delà d’être grossier est totalement inutile……
Louise.K
7 août 2023 @ 09:11
Heureuses fiançailles et longue vie à ce couple.
Pour ceux qui ont posé la question (❓️) qu’est ce que ça peut nous faire de savoir si Bradley ( j’adore son prénom) Sherman va se convertir?
Robespierre
7 août 2023 @ 09:28
Les conversions par conviction je les approuve. Mais obliger un homme à se convertir s’il veut épouser votre fille, c’est un peu raide. Et en plus qui y croira à ses nouveaux sentiments religieux ? La fille de la princesse Caroline, la petite Alexandra de Hanovre a voulu devenir catholique, sans pression aucune. Son père l’avait voulue protestante, mais elle a choisi une autre religion. Par conviction. Personne ne l’y a obligée.
Vous avez écrit un jour que vous vous étiez convertie à l’islamisme. Vous connaissant un peu , je suppose que vous aviez vos raisons, et pas parce qu’on vous y a obligée.
Hector
7 août 2023 @ 10:21
Surtout un juif se convertir à l’islam..j’espère qu’il ne le fera pas et que Reza est au dessus de cela.
PRINCE DE LU
7 août 2023 @ 12:09
Ah bon, qui vous a dit qu’il etait juif ?
Robespierre
7 août 2023 @ 12:34
S’il est le fils du congressman Bradley Sherman, assez connu dans le milieu politique américain, il est juif. J’aime beaucoup Reza et j’espère aussi qu’il est aussi au-dessus d’une conversion par obligation. S’il mécontente la Diaspora iranienne, qu’importe. Sa descendance, déjà féminine, ne règnera plus en Iran.
PRINCE DE LU
8 août 2023 @ 13:22
S’il est le fils de … Donc, vous n’êtes pas sûr… Autant ne pas en parler alors !!!
Victor
8 août 2023 @ 15:17
Les Sherman sont juifs ashkénazes aux Etats Unis.
Je ne vois pas où sont les critiques ?
PRINCE DE LU
9 août 2023 @ 12:31
D’accord avec vous Victor, pourquoi faire la remarque qu’il « serait » juif ? Comme vous, je pose la question… 😫
Victor
10 août 2023 @ 13:04
Parce qu’il est peu courant qu’un juif épouse une musulmane c’est tout.
Louise.K
7 août 2023 @ 11:11
Robespierre, sans rentrer dans les détails de ma vie privée et sans vouloir vous offenser, je me suis convertie à l’islam et pas à l’islamisme…pour info, mon fils François, à épousé il y a bientôt 13 ans, Asma, musulmane ( qui mange et boit de tout comme vous et moi je suppose) sans que personne ne lui demande de se convertir à quoi que ce soit. Cela ne semble pas perturber la vie des parents de ma belle fille. Vous savez, il y a des millions de musulmans à travers le monde qui vivent comme vous, moi et les nombreux contributeurs de ce site sans que leur religion pose problème. Laissons ces deux amoureux vivre tranquillement leurs fiançailles, organiser leur mariage , bref, vivre leur vie comme bon leur semble.
milou
7 août 2023 @ 11:25
Excellente réponse, Louise K… à des commentaires de plus en plus navrants!
Robespierre
8 août 2023 @ 07:40
C’est navrant de dire qu’il vaut mieux se convertir par conviction ? Relisez mon post.
Lady Chatturlante
7 août 2023 @ 11:52
Vous êtes devenue musulmane pour plaire à votre belle-fille ?
Un de mes ex-maris est devenu bouddhiste, mais cela s’est passé après notre divorce.
Peut-être même à cause de notre divorce…
Louise.K
8 août 2023 @ 07:51
Ah non, Lady Chatturlante, car il aurait ensuite fallu qu’après, pour faire plaisir à mon beau fils, je me convertisse au protestantisme!
Actarus
8 août 2023 @ 12:03
MDR Lady et Louise ! Comme dit le vieil adage, tout ça n’est pas très catholique ! 🤣
L’essentiel est que tout ce monde vive en harmonie et en bonne intelligence. 😘🐬
Robespierre
7 août 2023 @ 11:53
Oui, l’islam, désolé. La religion pour moi pose problème quand des gens vous obligent à en changer.
Fleur
8 août 2023 @ 09:54
Bien d’accord avec votre commentaire plein de bon sens.
Trianon
8 août 2023 @ 13:54
De votre avis Robespierre !
Les conversions opportunistes me dégoûtent , alors que motivées par une spiritualité personnelle elles sont respectables
Antoine
7 août 2023 @ 20:28
Je fais mien votre commentaire…. Bravo
Marie-Caroline de Bretagne
8 août 2023 @ 09:40
Si je comprends très bien le point de vue de @Robespierre et le partage quand il s’agit de déplorer l’obligation de changer de religion, j’apprécie beaucoup la réponse de @Louise.K dont le propos me semble très juste. N’est-ce pas finalement bon signe ? ;)
Tout est question de foi et changer de religion par amour ne peut-il être considéré comme un acte de foi ?
Catholique agnostique, j’avoue ne pas avoir beaucoup de certitudes sur le sujet.
Trianon
8 août 2023 @ 13:56
Marie Caroline , je pense que croire qui est Dieu ne doit pas relever de l’amour qu’on porte à une personne .
Ça n’a rien à voir ! Entre le Christ et Bouddha,par exemple, il y a un monde
Marie-Caroline de Bretagne
10 août 2023 @ 09:49
@Trianon, vous avez probablement raison. Cela fait des années que je me tiens à distance de toute religion d’où mon ignorance.
Louise.K
8 août 2023 @ 14:03
Robespierre, je viens de m’apercevoir que j’avais mal lu votre post… finalement, sans me connaître, vous me connaissez quand même pas mal! Rien ni personne ne me ferait faire quelque chose que je n’ai pas envie de faire. Je me trompe parfois, et j’assume mes erreurs comme une grande.
A propos de conversions, je pense parfois à la conversion de la reine Sophie..à ses motivations…y a t-elle éte forcée?
Solenn
9 août 2023 @ 09:16
Vous parlez de Sofia d’Espagne ? Le mariage a ete oecuménique. Car née orthodoxe, je ne suis pas certaine qu’elle se soit convertie, mais je peux me tromper car une reine d’Espagne se doit d’être catholique. Cependant comme on a pu le voir lors des obsèques de son frère, elle est à l’aise dans les deux religions. Les orthodoxes étant les chrétiens les plus proches des catholiques
Louise.K
9 août 2023 @ 10:16
Solenn, il me semble avoir lu que Sofia avait dit que de toute façon sa religion elle l’avait au fond de son cœur… ok, mais laquelle? Ces deux religions sont proches, mais il doit bien y avoir une petite différence quand même?
Si ce que j’ai lu est vrai, Sofia était éprise de Harald au début des années 60, se serait -elle aussi convertie à la religion luthérienne?
JAusten
9 août 2023 @ 13:14
La reine Sophie s’est convertie, tout comme vous, par amour. Si elle n’avait pas un peu aimé JC elle ne l’aurait peut-être pas épousé et même si elle l’a épousé par devoir, elle savait qu’elle devait devenir catholique pour ça, sa conversion a été son choix, elle n’a été forcée en rien de ce point de vue là….
Louise.K
9 août 2023 @ 17:54
Jane Austin, donc, d’après vous, je me suis convertie par amour? Par amour pour qui? Pour quoi?
Louise.K
9 août 2023 @ 17:55
JAusten*, pardon.
Pelikan
9 août 2023 @ 18:18
La reine Sophie ne s’est convertie à rien du tout , chrétienne elle était, chrétienne elle est restée ; elle a simplement changé d’Église.
Même si à mes yeux elle y a perdu quelque chose , mais ce quelque chose elle l’a peut-être gardé au fond de son cœur en effet et de fait cela ne me regarde pas.
JAusten
10 août 2023 @ 10:38
Oui Pelikan, vous avez raison ce n’est pas une conversion comme on a l’habitude de parler, un changement d’Eglise est plus juste.
Louise.K
10 août 2023 @ 12:13
Pélikan, 9 août 18h18, elle a donc changé d’église..si vous voulez, appelons donc ça, comme ça.
Ce qui me tracasse, c’est la différence de traitement qui est ici faite entre ceux/ celles qui changent d’église et ceux/celles qui changent de religion, et notamment ceux qui choisissent l’islam. Changer d’église c’est pas grave, on le fait par amour, pour la continuité d’une dynastie si on est un royal, etc… si on se convertit à l’islam, c’est tout de suite très suspect et ça en dégoute beaucoup. Pourtant je n’ai pas l’impression d’avoir changée. Je m’habille et me coiffe comme avant, je mange et boit comme avant, je lis, je vais au cinéma, vais voir des expos, mes amis sont toujours les mêmes, je fête les anniversaires, Noël, Pâques, l’Aid en famille et surtout…. je n’enquiquine personne avec mes idées et ne demande à personne de me suivre. Mes enfants et leurs conjoints sont toujours , qui catholique, qui musulman, qui protestant et nous comptons même un sacré athée….ce qui nous assure des conversations animées lors de nos réunions familiales.
Voilà voilà….bon été à tous.
Solenn
10 août 2023 @ 13:12
La différence est assez infime entre les deux. Je pense (mais je peux me tromper) qu’elle reste avant tout chrétienne et qu’elle connait les quelques différences lors d’un office orthodoxe ou catholique.
S’il avait dû épouser Harald le protestant, cela aurait été plus compliquée pour elle car bien que la religion protestante soit aussi chrétienne, les différences sont plus importantes.
Maxima par exemple est restée catholique pourtant WA est protestant.
Chacun fait comme il veut et comme il peut…
JAusten
10 août 2023 @ 21:20
@Louise.K c’est ce que j’avais cru comprendre sur un de vos com il y a quelques années (sur un sujet identique).
Domin
7 août 2023 @ 18:32
Alexandra s’est peut être convertie car c’est une religion d’état à Monaco où elle vit et où les benefictionset autres sont fréquentes et par rejet de son père …Personne ne sait .,
Domin
7 août 2023 @ 18:33
Quand à Letizia elle a été baptisée il me semble ?
Anne-Cécile
8 août 2023 @ 10:24
La reine Letizia a été baptisée sa naissance. Il me semble qu’on lui a demandé de « finaliser » : faire sa première communion ou sa confirmation je ne sais plus avant de se marier à l’église.
Pierre
9 août 2023 @ 01:42
D’accord avec vous Domin concernant Alexandra de Hanovre. Ça semble logique.
Laure
8 août 2023 @ 11:15
Louise K s’est convertie à l’Islam, non à l’islamisme…voilà en quoi votre commentaire est navrant s’il était besoin de le préciser.
Robespierre
8 août 2023 @ 13:59
Voilà ce qui arrive quand on ne se relit pas. Shame on me ! Oui, vu ainsi, c’est navrant.
Rémi
7 août 2023 @ 12:28
C’est une question très révélatrice de notre époque au contraire.
Benoite
7 août 2023 @ 13:29
oui, parce qu’ici à NR, dès qu’un membre de famille royale ou princière, va convoler, et si différence de lieu de naissance, et aussi de religion, tous s’y mettents pour dire et ceci ?? et cela ??? et pourquoi ??
Au fait j’ai une phrase qui fait mouche aux curieux de tous poils.. Je leur dis tout de go, quand les questions fusent…. je réponds « Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? Combien ? Désolée, je n’ai pas la réponse… débrouillez vous avec vos questions indiscrètes et déplacées.
Perlaine
8 août 2023 @ 08:14
Benoite ne généralisez pas je vous prie !
Yode
7 août 2023 @ 09:13
La photo avec tout le monde me fait une drôle d’impression.
L’Iran actuellement où il faut être habillé de la tête aux pieds, et, la famille de Reza où les femmes sont à moitié habillées … ça me fait drôle.
Je ne suis pas vieux jeu, loin de là ! Mais, je me dis qu’il y a une très grand fossé entre eux …
Quelque part, je préfère voir les « plagistes » !
Louise.K
7 août 2023 @ 11:12
Moi aussi …
PRINCE DE LU
7 août 2023 @ 11:52
Bravo Benoîte pour votre commentaire raisonné et juste !!! 😃
Perlaine
8 août 2023 @ 08:15
Non il n’est pas juste , benoîte , je ne l’ai pas élue pour parler en mon nom.
Katellen
7 août 2023 @ 13:04
Je suis choquée par ce commentaire qui compare la dictature absolument terrible de l’Iran notamment sur les femmes à la manière de s’habiller de femmes occidentales bien dans leur peau et totalement libres de s’habiller selon leurs désirs ! Mais enfin, ce sont deux situations incomparables ! Je trouve au contraire que les femmes de cette famille ont mille fois raisons de se montrer ainsi, n’en déplaise aux esprits moralisateurs, c’est une belle manière de montrer leur liberté. Et leurs tenues n’ont rien de choquant.
Pierre
9 août 2023 @ 01:44
Vous préférez l’oppression à la liberté Yode ?
Yode
9 août 2023 @ 10:42
Non, mais, je veux dire que si Reza pouvait revenir régner en Iran, bien des iraniens et des iraniennes seraient déboussolés en voyant la famille de Reza habillée de la sorte, après de trop nombreuses années d’oppression … Mais, dans tous les cas, pour moi, « Vive la liberté » !
Jay
7 août 2023 @ 09:17
Certains disent du futur époux qu’il est roturier, mais quel était le profil des maris des princesses d’iran? se mélangent elles avec l’aristocratie musulmane d’autres pays ?
À part un mariage avec une princesse d’Egypte, quelles étaient les alliances avec des maisons royales étrangères ?
Domin
7 août 2023 @ 18:37
C’est une dynastie très récente deux shahs seulement ; l’Iran était divisé en plusieurs états avec leurs nobles .. Le shah a épousé il ne princesse d’Egypte puis Soraya d’une tribu s’il avait vaincu ( isa legetimite était très discutée ( les anglais ont bien aidé à son maintien sur le trône ) lire les mémoires dé Soraya
Teddy
8 août 2023 @ 08:51
Fazieh maleke d iran
Teddy
8 août 2023 @ 08:52
Esfandiari balhtiary
Agnese
7 août 2023 @ 09:38
Meilleurs vœux de bonheur pour ce jeune couple.
Le fiancé est grand et beau garçon et enfin Reza ne sera plus le seul homme sur les photos de famille.
L’endroit et la plage où ont eu lieu les fiançailles semblent très beaux.
pit
7 août 2023 @ 10:02
Pardon, mais il y a d’autres moyens de faire connaître ses fiançailles. En l’état, c’est indécent !
Quand on sait que les grands-parents se sont enfuis d’Iran en emportant une fortune (18.7 milliards d’après Le Monde) et qu’actuellement les femmes iraniennes sont opprimées et mises à mort pour des broutilles, un peu de pudeur s’impose.
Jacob van Rijsel
7 août 2023 @ 10:17
Curieux commentaire. Ces fiançailles sont célébrées en tout simplicité. Qu’auriez-vous dit s’ils avaient organisé un raout à 500 000 dollars !
Enide
7 août 2023 @ 10:31
Euh, en quoi c’est indécent ? Cette jeune femme est née et a grandi aux États-Unis, elle vit donc depuis sa naissance à « la mode » américaine. Elle n’est pas responsable de ce qu’ont fait ses grands-parents, elle n’a jamais mis les pieds en Iran et ne connaît ce pays qu’à travers ce qu’ont pu lui en dire ses parents et sa grand-mère. Donc, qu’elle se fiance ou non, sur la plage ou ailleurs n’intéresse certainement pas les Iraniennes.
Pierre
7 août 2023 @ 12:36
Comme nous tous, la famille a des informations concernant le pays par l’intermédiaire des informations et de tristes actualités.
milou
7 août 2023 @ 11:27
Ce qui est indécent, pit… c’est le régime actuel d’Iran!!!! Voyons!
Camille
8 août 2023 @ 10:36
Exactement milou.
Trianon
8 août 2023 @ 13:58
Totalement !
Pelikan
7 août 2023 @ 11:30
Les informations du Monde ne valent pas grand chose quand le sujet n’appartient pas au bon côté aimé de ses journalistes.
Le Shah avait de l’argent placé à l’étranger mais je crois avoir dit que ces sommes étaient venues un peu au hasard et qu’il y a sans doute eu confusion aussi avec le fond souverain iranien qui n’avait rien à voir avec la fortune personnelle du Shah .
Pour le reste de votre ”commentaire” ,ils ont tourné la page ou plutôt on l’a tourné pour eux ,dans des circonstances dramatiques. Je rappelle que les yankees ont bien failli extrader le Shah ,par ailleurs gravement malade ,et qu’une cageétait prête à Téhéran pour l’exhiber , cage préparée par les grands défenseurs de la démocratie si aimés des journalistes de l’immonde .
La tragédie dans cette affaire est que je pense qu’il y avait en Iran à l’époque des gens de bien qui n’aimaient pas particulièrement le Shah mais qui auraient peut-être permis une transition en douceur plus conforme aux intérêts des Iraniens au lieu de laisser faire la plèbe agitée par des mollahs incultes.
Pelikan
7 août 2023 @ 11:32
’’Ces sommes avaient été évoquée un peu au hasard’’ .
Malthus
7 août 2023 @ 12:03
Les Pahlavi ne sont pas tellement riches. Reza a été escroqué, et ils n’ont aucun signe extérieur de richesse élevée comme yachts, résidences un peu partout. Ils vivent dans l’aisance, et tant mieux pour eux s’ils n’ont pas de fins de mois difficile.
J’ai été épouvanté par l’attitude des docteurs américains dans les derniers mois du Shah, ils s’imposaient pour extorquer de juteux honoraires, pour des soins souvent inutiles. Cela a dû coûter une fortune à Farah qui l’explique, entre les lignes. Elle n’a pas non plus une vie de nabab et la plupart des bijoux sont restés en Iran. Peut-être ont-ils vendu au fil des années une partie des bijoux emmenés avec eux.
Pelikan
8 août 2023 @ 08:42
Parfait commentaire.
Les joyaux dont on parle souvent et qui sont en effet la partie emergée d’un trésor fastueux ont toujours été considérés par les Pahlavi comme un bien national, tous les gens un peu informés savent d’ailleurs qu’il garantissait la monnaie nationale. Et ce trésor était en Iran depuis des siècles, en grande partie ramené par Nader Shah après sa victoire sur les troupes du grand Moghol. Certaines sources semblent indiquer qu’une partie de ces joyaux faisaient déjà partie du trésor des Shahs de Perse auparavant .
Teddy
8 août 2023 @ 08:54
La shabanou a laissé ses joyaux personnel en Iran
Bambou
8 août 2023 @ 17:15
De quoi vivent ils tous alors? Farah qui semble avoir un train de vie certain et son fils qui n’a jamais travaillé me semble t’il ?
Aucun n’est dans le besoin apparemment.
PRINCE DE LU
7 août 2023 @ 12:14
Indécent, mon cher Pit ? Le fait de publier une communication sans tambours ni trompettes, en toute simplicité sur une plage, le tout photographié par la famille et publié sur Instagram ? Quoi de plus ordinaire et de moins couteux ? Vous avez perdu le sens commun, je pense !!!
Katellen
7 août 2023 @ 13:04
Indécent ??
Perlaine
8 août 2023 @ 08:18
Oui et beaucoup de s’apitoyer sur le sort du shah et de sa famille qui erraient avant de trouver un point de chute charitable . Quelle comédie
Pelikan
8 août 2023 @ 14:11
Ce sont pourtant des faits.
Nous savons que pour des raisons familiales et peut-être par une vague nostalgie révolutionnaire vous n’aimez pas l’aristocratie iranienne.
Danielle
7 août 2023 @ 10:15
Un beau jeune homme pour une belle jeune fille.
Félicitations aux fiançés et à leurs familles.
Marie de Cessy
7 août 2023 @ 10:23
Félicitations à l’heureux couple.
Caroline
7 août 2023 @ 10:46
Peut- être, un mariage oecuménique ? Mais, j’ en doute !
Pas d’importance car la fiancée n’ est pas princesse héritière d’ Iran !
Teddy
7 août 2023 @ 11:23
Princesse héréditaire non héritière
Le prétendant au trône ayant gardé celui de prince héritier
Robespierre
7 août 2023 @ 12:35
Oui, peu de chances de régner en Iran. Feu le dernier Shah avait répudié sa première épouse qui ne lui avait donné qu’une fille.
Marie Françoise
8 août 2023 @ 08:32
Rob je crois plutôt qu’il a repudie Soraya pcqu’elle ne lui donnait pas d’enfant. Sa première épouse était une princesse égyptienne assez capricieuse , un mariage arrangé comme on dit, où les époux ne s’entendaient pas pour des raisons que nous ne savons pas car nous n’étions pas sur leurs oreillers !!
Robespierre
8 août 2023 @ 10:10
La princesse égyptienne considérait les Pahlavi comme des ploucs ou des parvenus. Elle se moquait de sa belle-mère. Le Shah a peut-être pris prétexte du fait qu’elle ne lui avait donné qu’une fille pour s’en débarrasser. Oui, Soraya dont il était très épris, il a dû la répudier à cause de sa sterilité.
Marie-Caroline de Bretagne
8 août 2023 @ 11:42
Mohammed Reza et Fawzia (aussi belle que Soraya si ce n’est plus !) auraient pu avoir d’autres enfants mais d’après les biographies, le couple ne s’entendait pas et la jeune reine voulait retourner vivre en Egypte où elle se remaria et donna le jour à deux enfants.
Robespierre
8 août 2023 @ 14:03
C’est très plausible M.C de B. Ils ne s’entendaient pas, et le Shah a voulu arrêter les frais. Dans sa culture, c’est tellement facile de mettre un terme à un mariage.
Pour un mari ce n’est pas agréable de voir son épouse regarder de haut sa belle-famille et se sentir supérieure à elle. Ce que faisait Fawzia. J’espère qu’elle a trouvé quelqu’un d’assez distingué pour elle dans son nouveau mariage.
Pierre
9 août 2023 @ 01:49
Non Marie-Caroline, Soraya était beaucoup plus belle que la première épouse. Et de loin.
Solenn
8 août 2023 @ 11:15
Il a répudie les deux..la première parce qu’elle avait eu une fille et..accesoirement un mauvais caractère et Soraya parce que pas d’enfants.
Teddy
8 août 2023 @ 08:55
Comme le prince héritier Paul des hellènes et celui de Serbie et d Albanie
Nemausus
7 août 2023 @ 12:40
Les infos colportées par le régime des ayatollahs sur la fortune emportée par le shah, sans aucune preuve évidemment, est reprise régulièrement par les médias républicains qui se complaisent trop souvent à rabâcher la propagande islamo-terroriste iranienne. Certes le shah n’est pas parti les mains vides mais s’il avait vraiment emporté les milliards que lui attribuent les ayatollahs, il n’aurait sans doute pas oublié d’emporter les joyaux de la couronne et il aurait vidé le fonds impérial servant au développement du pays. Or les joyaux et le fonds impérial sont bien restés en Iran comme cela a été démontré à plusieurs reprises et de manière documentée et sérieuse.
Antoine
8 août 2023 @ 09:28
Bravo
Excellent commentaire
PRINCE DE LU
8 août 2023 @ 13:30
Faux. La famille Imperiale est partie les poches pleines mais n’aurait pu, en aucune façon, partir avec le trésor royal et les réserves bancaires Iraniennes sans détruire définitivevement leur image, leur interdisant ainsi toute chance de revenir au pouvoir ! Le monde entier et pas seulement l’Iran les aurait considérés comme des voleurs et des escrocs tuant ainsi toute la légitimité quils s’étaient efforcé de bâtir dans le passé: un peu de logique s’il vous plaît !!!
Auberi
8 août 2023 @ 17:03
Voilà voilà 👏
Nemausus
8 août 2023 @ 18:16
c’est vous qui avez tout faux car les bijoux de la famille impérial leur appartenaient et non à l’Etat iranien à part les couronnes impériales. Quant au fonds impérial, ce sont les ayatollahs qui se sont chargés de le dilapider car il n’existe plus rien, les milliards ont disparu en très peu d’années après la prise de pouvoir du dictateur Khomeini!
Alors arrêtez plutôt de colporter la logique des ayatollahs et de vous faire le complice de ce régime criminel tant envers les iraniens, surtout les femmes, qu’envers le monde entier puisqu’ils ont été les banquiers du terrorisme islamiste ! faire sien la propagande du régime islamiste iranien, c’est faire sien son idéologie mortifère ! donc vous n’êtes pas le mieux placé pour donner des leçons de morale !
Savonarole
9 août 2023 @ 18:07
L’Iran est le seul pays du Moyen-Orient qui produit ses propres superordinateurs, ses propres turbines à gaz et ses propres équipements industriels. C’est le seul pays du monde islamique qui possède son propre programme spatial. L’Iran lance ses satellites avec sa propre fusée depuis son propre port spatial. Une nuance importante doit cependant être apportée : tout cela n’est pas l’héritage de certains développements anciens. Tout cela a été créé à une époque où ils étaient constamment sous le coup de sanctions sévères. Au moment de la révolution islamique en 1979, l’Iran ne savait pas faire de telles choses. Pour un pays qui a commencé presque à zéro, c’est une énorme progression. Soit dit en passant, l’Iran occupe l’une des premières places en termes de croissance du nombre de publications scientifiques dans des revues internationales. L’Iran est une grande puissance scientifique.
Pelikan
10 août 2023 @ 19:37
Et qui a donné l’impulsion qui a fait naître le terreau où se sont développés les ingénieurs et les chercheurs qui ont permis tout ça ?
Les mollahs peut-être ?
Pelikan
9 août 2023 @ 18:38
Je ne crois pas que les joyaux constituant le Trésor d’Iran aient jamais été considérés sous les Pahlavi comme leur propriété, et par ailleurs il est composé de bien plus que quelques couronnes ,il y a notamment le célèbre trône du paon etc.
J’ai déjà raconté l’histoire de ce membre de la famille Boucheron qui avait été appelé pour l’évaluer, au bout de quelques jours il renonça en disant de toute façon si ces joyaux étaient mis sur le marché cela créerait une telle surabondance que les cours s’effondreraient .
Je pense que jamais le Shah n’a songé à emporter ne fût-ce qu’une partie de ces joyaux.
A la fin de son règne son père le shah Reza qui pourtant avait des habitudes assez spartiates avaient ressenti le besoin de se créer des domaines en en spoliant plus ou moins les propriétaires légitimes, lorsqu’il monta sur le trône son fils les leurs fit restituer ou les fit dédommager.
user-ko1
9 août 2023 @ 18:47
Il semblerait (je n’ai jamais été en IRAN,mais ma nièce OUI) il semblerait donc selon elle, que l’IRAN actuel qui profite de son pétrole, soit beaucoup plus prospère que du temps du Shah, malgré la propagande occidentale…Pays en bien meilleure santé que l’IRAK où nous avons amené notre pseudo Démocratie
Marie Françoise
9 août 2023 @ 09:55
PRINCE de LU ils ne sont pas partis les poches pleines mais avaient placé leur fortune personnelle depuis des années en Suisse car ils se doutaient de ce qui allait arriver tôt ou tard ! Ils avaient un chalet en Suisse et s’y rendaient en vacances plusieurs fois par an !! Les bijoux de la couronne et autres pecadilles sont restées en Iran bien à l’abri mais certainement dépensés en partie par le gouvernement actuel ! Je dis ça je ne dis rien car tout comme vous et les membres de N&R je ne suis pas une intime de la famille Pahlavi qui, par ailleurs, a toujours été discrète sur sa vie personnelle ! On suppute on imagine on parlotte c’est le propre des humains : parler pour ne rien dire et diffamer ! Ça occupe les gens !
Mayg
8 août 2023 @ 14:14
On va couper la poire en deux. La famille impériale n’est peut être pas partie avec les joyaux de la couronne ni le fonds impérial, mais elle est loin d’être pauvre non plus. Elle n’est peut-être pas milliardaire, mais au moins multi millionnaire…
Dans ses mémoires que j’ai lu il y a quelques années, l’impératrice Farah raconte que son fils ainé ayant perdu beaucoup d’argent à cause de mauvais investissements, qu’elle le soutenait financièrement parlant.
Pelikan
9 août 2023 @ 10:50
Et bien je pense que votre commentaire est au plus juste .
Bravo et merci ,ainsi qu’à Nemausus.
JAusten
11 août 2023 @ 13:21
Il avait investi dans une des chaines de Ponzi montée par Madoff il me semble.
beji
7 août 2023 @ 13:19
Félifitations aux fiancés ;contrairement à ce que dit milou on ne verra que sur la durée si le couple est solide et uni;,l’annonce des fiançailles des tourtereaux tous les deux sur la plage pourquoi pas mais avec la famille ça me surprend,ils sont quand même américanisés;avec cette robe Yasmine a une apparence vulgaire.Le promis devra se convertir à l’islam si ce n’est déjà fait et si les enfants du couple doivent être de cette religion ce qui semble normal dans cette famille;pareil que la conversion du mari de lab princesse Noor de Jordanie.
beji
7 août 2023 @ 13:21
lire félicitations
beji
7 août 2023 @ 13:22
lire la princesse Noor
IRis
7 août 2023 @ 13:25
« trop sexy pour son âge », « vulgaire », « veut faire concurrence à ses filles »: mais vous prônez la burka? Eh bien oui, il y a des femmes qui, même après 50 ans, ont l’air encore jeune (aidées ou pas). Pourquoi ne pourraient-elles pas porter des robes mini, sexy, décolletées? Et pourquoi les femmes qui ont l’air moins jeune ne pourraient-elles pas, elles aussi, se faire plaisir? Curieux, chez les messieurs, on critique si rarement la bedaine, la calvitie, les épaules tombantes, qui sais-je encore?
Katellen
8 août 2023 @ 07:56
Je suis d’accord Iris.
Perlaine
7 août 2023 @ 13:30
Bien des iraniens/iennes sont zoroastriens !
Mayg
7 août 2023 @ 13:37
Félicitions pour leurs fiançailles.
Peut-on en savoir plus sur le fiancé ? Sa profession, sa famille… ?
Agnese
7 août 2023 @ 14:04
À mon avis ce jeune homme est juif et je doute fort qu’il change de religion.
Les princesses d’Iran sont nées aux USA et ont grandi puis étudié à l’américaine. Elles vivent donc comme tout individu de ce pays, côtoient des jeunes de leur âge et sans doute de leur milieu.
Je ne pense pas que le mariage changera quoique ce soit d’autant plus que la jeune fiancée n’est pas l’aînée des filles,
gisèle T
7 août 2023 @ 14:33
Se convertir à la religion musulmane Stigers, comme a dû le faire le gendre du Roi de Jordanie
Aldona
7 août 2023 @ 15:50
Sur les photos, avec le ciel nuageux, la lumière est extraordinaire, comme un tableau
COLETTE C.
7 août 2023 @ 16:10
Heureuse pour eux.
Cécile
7 août 2023 @ 17:11
C’est un très beau couple… Félicitations !
laude Patricia
7 août 2023 @ 17:55
J adresse à Son Altesse Impériale la princesse Iman mes meilleurs vœux de bonheur à l occasion de ses fiançailles.
luigi
7 août 2023 @ 19:23
Qu’ils soient heureux et loin des réseaux sociaux et des critiques !
Jay
7 août 2023 @ 20:13
Quelle est la religion du fiancé ?
Antoine
7 août 2023 @ 20:27
N’en déplaise à certains esprits chagrins de N&R,ces fiançailles de la seconde fille de l’héritier de la dynastie Palhavi m’enchantent et me réjouissent
Les ayatollahs sont de sinistres sires et je me souviens avec nostalgie des festivités de Persepolis ( décriées en leur temps par certains ) où l’Iran etait une puissance régionale,où les femmes sous l’impulsion de la Shabanou étaient encouragées dans leur émancipation…..
Au risque de déplaire à nouveau,je préfère l’Iran de Mohamed Reza Palhavi à celui des mollah où l’obscurantisme fait loi
Tous mes vœux à la princesse d’Iran,petite fille de Farah Palhavi,impératrice d’Iran
Pelikan
9 août 2023 @ 10:51
Avec vous pour cette fois.
Vicomtesse
7 août 2023 @ 21:34
La première photo est mal prise et fait un peu « tarte » si je puis dire.
Beau garçon, le fiancé, à eux deux, ils forment un joli couple.
Quant à la la princesse Yasmine, elle non plus ne veut pas vieillir. Elle est habillée de façon vulgaire et ridicule.
Lanser
8 août 2023 @ 08:58
A la lecture des commentaire, je me demande s’il n’existerait pas chez certaines une petite jalousie envers Yasmine qui peut encore, malgré son « grand âge » (!) porter des tenues qu’elles n’oseraient ou ne pourraient pas porter !…
Les mêmes critiqueraient AUSSI Yasmine si elle portait le voile ou la burka.
Laissons-la vivre et s’habiller comme elle l’entend.
Plaignons plutôt les iraniennes qui n’ont aucune liberté en la matière…
Pelikan
9 août 2023 @ 10:56
Évidemment.
Yasmine est toujours une femme très séduisante (et sexy) ,qui bénéficie d’un niveau de vie peut-être moins pharaonique que les envieuses supposent mais néanmoins très confortable et qui semble toujours aimé de son époux.
Il n’en faut pas plus pour stimuler les langues de p….
Idem pour la reine d’Espagne.
Fleur
8 août 2023 @ 09:59
Un beau couple. Qu’ils soient heureux.
Libellule
8 août 2023 @ 10:04
Des fiançailles lambda, à l’américaine. Les filles sont élevées aux States et ont certainement adopté une façon de vivre qui n’a rien à voir avec leurs origines. Pourvu qu’ils soient heureux, les origines du fiancé n’ont pas beaucoup d’importance puisqu’il est accepté par Reza. La maman fait office d’adolescente, ce n’est pas nouveau. Cette femme est très belle mais devrait être plus classieuse.
Je viens de voir une sortie de Farah sur les réseaux, accompagnée et soutenue de toutes parts elle paraît très peu en forme!
Veronique y
8 août 2023 @ 13:56
Non heureusement ils sont avec elle car ce sont les cadeaux de son mari.
Madame Michu
8 août 2023 @ 10:29
Certains et certaines sont pires que les molhas…..
Marie-Caroline de Bretagne
8 août 2023 @ 11:48
Je vous prie de m’excuser @Madame Michu mais puis-je vous suggérer de mesurer vos propos ? De nombreux commentaires sont certes excessifs mais le vôtre ne l’est pas moins …
Baboula
8 août 2023 @ 14:41
J’aurais aimé que Madame Michu approfondisse ce qui n’a que l’air d’une boutade . On crache en l’air et on attend que ça retombe ,gamine .
monica
10 août 2023 @ 08:22
Baboula en effet. Entre les Mollah et les SS….. y en a marre
Lunaforever
11 août 2023 @ 12:54
🤣🤣🤣 moi, j’en avais fait un avec un joli jeu de mot et une analogie avec un monsieur français très rigoriste, mais il n’est pas passé…
Je comprends Régine quand même 😉 mais c’était tellement vrai !
Lunaforever
10 août 2023 @ 13:31
Ce commentaire- là
Veronique y
8 août 2023 @ 14:02
Oui en effet Farah la semaine derniére au Caire, elle ètait fatiguée car ses fans l., ont assaillie, embrassée et trop touchée elle était claquée.
Solenn
8 août 2023 @ 15:23
Connaissez vous le régime des Mollahs pour de telles comparaisons ? J’en doute alors vaut mieux vous abstenir Mme Michu.
Stigers
8 août 2023 @ 16:04
vous des information sur le fiancé,Bradley Sherman ? Ou il vit ?
Agnese
9 août 2023 @ 07:15
Ou avez vous lu que le Shah était parti avec des millards?
Certes il n’a pas quitté le pays les mains vides mais regardez bien le train de vie de Reza qui n’a rien d’ostentatoire et vivant dans sa maison de Washington.
Pas de résidence secondaire, pas de jet ou de bateau, pas de sorties people.
Seule Farah possède également un bel appartement à Paris.
Nous sommes loin du président tunisien parti avec les réserves de l’état dans son avion privé.
Je me demande même si la famille du fiancé n’est pas plus fortunée.
Donc longue vie et bonheur à ce jeune couple qui apporte enfin de la joie dans cette famille qui a connu drames et deuils difficiles.
Pelikan
9 août 2023 @ 12:05
Tout à fait Agnese.
Et bien loin des sommes accaparées par certains chefs d’État africains ou autres dont les pays sont beaucoup moins riches que ne l’était l’Iran une fois qu’il eut récupéré la souveraineté sur le pétrole.
On pourrait aussi évoquer les fortunes accumulées par certains ayatollahs.
Veronique y
9 août 2023 @ 12:41
Tout ce que je sais c’est qu ‘ il y aura un beau mariage et Farah sera heureuse.
apolline
9 août 2023 @ 15:57
je suis dubitative devant cette famille qui laisse exploser sa joie, tres bien mais la classe n’est pas au rendez vous
Hervé J. VOLTO
9 août 2023 @ 20:00
Elle a l’air de… tenir… à son fiancé !
On lui soihaite avant tout beaucoups de bonheur.
Hervé J. VOLTO
9 août 2023 @ 20:14
La princesse Iman est née le 12 septembre 1993 à Washington, là où la famille impériale s’est installée. Elle vit à New York et travaille dans une agence de change après avoir obtenu son diplôme en psychologie et en communication de l’université du Michigan, en 2015. Comme l’impératrice Farah, sa grand-mère, la jeune femme est également engagée dans l’humanitaire.
Hervé J. VOLTO
9 août 2023 @ 20:15
Le prince Reza Pahlavi est à la tête de la famille impériale d’Iran depuis 1980, succédant à son père, l’empereur Mohammad Reza Pahlavi, décédé à 60 ans, un an après l’abolition de la monarchie en Iran.
Iman est la Princesse héritière…
stigerss
10 août 2023 @ 10:19
C’est Noor la princesse héritière car c’est l’aînée !
Solenn
10 août 2023 @ 13:15
Merci pour ces précisons Mr Volto…pensez vous que nous l’ignorions ?
stigers
10 août 2023 @ 15:13
Non La princesse Héritière est la princesse Noor pahlavi !
Stigers
26 août 2023 @ 14:51
À la veille de la Révolution islamique en janvier 1978, l’Iran était sous le régime autoritaire du Shah Mohammad Reza Pahlavi, qui avait été au pouvoir depuis 1941. La société iranienne était caractérisée par des inégalités économiques, des restrictions politiques, et des tensions sociales qui ont contribué au mécontentement populaire et finalement à l’éruption de la révolution.
Voici quelques aspects clés de la situation dans différents domaines en Iran à cette époque :
1. Politique et Gouvernance:
Le Shah Mohammad Reza Pahlavi était le chef de l’État avec un pouvoir centralisé. Son régime était soutenu par une police secrète redoutée, la SAVAK, qui réprimait toute forme d’opposition politique ou de dissidence. Les partis politiques étaient largement restreints et le régime contrôlait étroitement les médias et les institutions. Les libertés civiles et les droits politiques étaient limités.
2. Économie:
L’économie iranienne était en croissance rapide grâce aux revenus pétroliers, mais cette prospérité n’était pas uniformément répartie. La richesse était concentrée entre les mains de quelques élites, tandis qu’une grande partie de la population vivait dans la pauvreté. Les tensions économiques étaient exacerbées par l’inflation et le chômage croissants.
3. Religion et Société:
La société iranienne était profondément religieuse, majoritairement musulmane chiite. Cependant, de nombreux citoyens étaient mécontents de la laïcisation et de la modernisation forcées du régime, perçues comme une menace pour les valeurs traditionnelles et religieuses. Les jeunes et les étudiants étaient particulièrement critiques envers le régime et ses politiques culturelles.
4. Droits de l’Homme:
Les violations des droits de l’homme étaient courantes, avec des arrestations arbitraires, des tortures et des exécutions effectuées par la SAVAK. Les défenseurs des droits de l’homme et les militants politiques étaient souvent ciblés par le régime.
5. Relations Internationales:
Le Shah entretenait des relations étroites avec les puissances occidentales, en particulier les États-Unis, qui voyaient en lui un allié stratégique dans la région. Cela avait souvent conduit à des critiques de la part de la population iranienne, qui percevait cette relation comme une ingérence étrangère dans les affaires du pays.
6. Mécontentement Populaire:
Le mécontentement envers le régime s’était accumulé au fil des années en raison des abus de pouvoir, de la répression politique et de l’injustice économique. Des mouvements d’opposition, y compris des groupes religieux et des partis laïques, avaient commencé à s’organiser et à revendiquer des réformes politiques et sociales.
Situation en Iran à la Veille de la Révolution Islamique (1978)
L’Iran, à la veille de la Révolution islamique en janvier 1978, était une nation riche en histoire et en culture, mais également en proie à de profonds conflits sociaux, politiques et économiques. Sous le régime autoritaire du Shah Mohammad Reza Pahlavi, le pays semblait prospérer économiquement tout en étant en proie à des inégalités socio-économiques croissantes et à une répression politique étouffante.
Politique et Gouvernance:
Le régime du Shah Pahlavi s’était consolidé après un coup d’État soutenu par les États-Unis en 1953, qui avait renversé le Premier ministre Mohammad Mossadegh. Le Shah avait consolidé son pouvoir en limitant les pouvoirs du parlement et en établissant une structure politique centrée sur sa propre autorité. La SAVAK, une police secrète notoire, était responsable de la répression politique et de la surveillance, étouffant toute forme d’opposition. Les partis politiques avaient été largement réduits en importance et la liberté de la presse était sévèrement restreinte.
Économie:
L’économie iranienne était en croissance rapide grâce aux revenus pétroliers importants, résultant en une période de modernisation et d’industrialisation accélérée. Cependant, cette prospérité était largement concentrée dans les mains des élites, créant ainsi un déséquilibre économique criant. Les inégalités sociales et économiques étaient en hausse, avec des millions de citoyens confrontés à la pauvreté, au chômage et à l’inflation croissante. Les projets de modernisation entraînaient souvent la dépossession des terres et des ressources des communautés rurales, ce qui alimentait encore davantage le mécontentement.
Religion et Société:
La société iranienne était profondément imprégnée de religiosité chiite. Cependant, le Shah cherchait à moderniser le pays en imposant une série de réformes laïques et occidentalisées. Cela suscitait des tensions avec les éléments plus conservateurs et traditionnels de la société, en particulier les religieux et les classes populaires qui percevaient ces réformes comme une menace pour leur identité et leurs valeurs. Les femmes, par exemple, se trouvaient confrontées à un contexte contradictoire où elles avaient gagné certains droits et accès à l’éducation, mais restaient soumises à des normes sociales restrictives.
Droits de l’Homme:
Les droits de l’homme étaient souvent bafoués en Iran. La SAVAK procédait à des arrestations arbitraires, à des tortures et à des exécutions sommaires, créant un climat de peur et de méfiance parmi la population. Les militants politiques, les intellectuels et les défenseurs des droits de l’homme étaient particulièrement ciblés. Cette répression, associée à l’absence de voies légales pour exprimer des griefs, avait créé un sentiment généralisé d’injustice et de frustration.
Relations Internationales:
Sur la scène internationale, le Shah Pahlavi entretenait des relations étroites avec les puissances occidentales, en particulier les États-Unis, qui le percevaient comme un allié stratégique dans une région riche en pétrole et dans le contexte de la guerre froide. Cette relation étroite avec les puissances occidentales était souvent perçue par la population iranienne comme une ingérence étrangère dans les affaires nationales, suscitant un sentiment d’humiliation et de méfiance envers le gouvernement.
Mécontentement Populaire:
Le mécontentement envers le régime s’était accumulé au fil des années. Les inégalités économiques et sociales, les violations des droits de l’homme et les restrictions politiques avaient créé une atmosphère de désespoir et de colère au sein de la population. Les étudiants, les intellectuels, les ouvriers et les religieux étaient parmi les groupes qui se mobilisaient contre le régime, exigeant des réformes politiques, économiques et sociales.
En résumé, la situation en Iran à la veille de la Révolution islamique en 1978 était caractérisée par un contraste entre une économie en croissance et un mécontentement croissant dans de nombreux secteurs de la société. Les inégalités économiques et sociales, la répression politique, les tensions culturelles et religieuses, ainsi que les relations internationales complexes, ont créé un terrain fertile pour le bouillonnement du mécontentement populaire, qui finalement allait exploser en une révolution qui changerait radicalement le cours de l’histoire de l’Iran et de la région.
Stigers
26 août 2023 @ 14:55
Le régime du Shah Mohammad Reza Pahlavi en Iran était généralement considéré comme autoritaire, bien que le terme « dictature » soit également utilisé pour le décrire en raison de sa concentration de pouvoir et de son contrôle sur les institutions gouvernementales. Il y a des nuances entre ces termes, mais les caractéristiques du régime du Shah s’alignent davantage avec celles d’un régime autoritaire.
Régime Autoritaire:
Un régime autoritaire se caractérise par un contrôle étroit du pouvoir par une élite restreinte ou une personne, sans nécessairement impliquer une exclusion totale de l’opposition. Dans un régime autoritaire, il peut y avoir une certaine tolérance pour les opinions divergentes, mais elles sont généralement limitées et contrôlées. Les élections peuvent exister, mais elles sont souvent manipulées pour maintenir le pouvoir en place.
Le régime du Shah Pahlavi en Iran était autoritaire dans le sens où il était dirigé par une autorité centrale puissante, le Shah lui-même, qui avait le contrôle sur les institutions gouvernementales, l’armée et la police. Bien qu’il y ait eu des élections, elles étaient souvent manipulées pour assurer la domination du parti au pouvoir. La SAVAK, la police secrète, était utilisée pour réprimer toute opposition, et les droits politiques et les libertés civiles étaient largement restreints. Les partis politiques étaient contrôlés et limités dans leurs actions, et les médias étaient étroitement surveillés.
Dictature:
Une dictature se caractérise par un contrôle absolu et incontesté du pouvoir par un individu ou un petit groupe. Dans une dictature, les opposants politiques sont souvent sévèrement réprimés, les élections sont généralement manipulées ou inexistantes, et les droits et libertés individuels sont largement ignorés.
Bien que le régime du Shah puisse être qualifié de dictatorial en raison du contrôle étendu qu’il exerçait sur le pays et de la répression de l’opposition, le terme « autoritaire » est souvent préféré car il reflète plus précisément la complexité de la situation en Iran à l’époque. En fin de compte, qu’il soit qualifié d’autoritaire ou de dictatorial, il est indéniable que le régime du Shah Pahlavi a engendré de profondes tensions sociales et politiques qui ont finalement conduit à la Révolution islamique en 1978-1979.
Stigers
2 septembre 2023 @ 14:23
L’impératrice est également la marraine du festival de Chiraz qui affiche l’avant-gardisme le plus outrancier comme les pièces de théâtre de Peter Brook, jouées dans les rues devant une population éberluée. En août 1977, ce festival des arts est entaché par un scandale. La pièce Pig Child Fire, présentée par la troupe hongroise Squatt Child et inspirée par l’histoire du roi Hérode qui faisait assassiner les nourrissons pour se débarrasser de Jésus, fait scandale. Elle est jouée derrière la vitrine d’un marchand d’automobiles en plein centre de Chiraz. Ébahis, les badauds n’en croient pas leurs yeux : ils assistent à une scène de viol ! Les mollahs crient au scandale. Farah Pahlavi témoigne et se défend :L’essentiel du Festival était voué aux arts traditionnels d’Iran et d’ailleurs, mais Chiraz fut aussi un laboratoire d’idées susceptibles de bousculer un peu les esprits, au point que certains iront jusqu’à prétendre que le Festival fit le lit de la réaction islamique et fut donc une des causes du renversement de la monarchie […]. Il est vraisemblable que le Festival fut le lieu d’expression de courants politiques. Certaines troupes étrangères ne cachaient pas leur opposition au roi et, de façon assez provocatrice, prétendaient plaider pour une libéralisation du régime […]. Nous les laissions libres de jouer comme elles l’entendaient et de dénoncer ce qu’elles voulaient […]. Certains journalistes européens arrivaient également à Chiraz très remontés contre la monarchie, et prêts à en découdre. Comme ils connaissaient mon investissement dans la culture, ils demandaient souvent à me rencontrer et, invariablement, nos entretiens démarraient par des questions agressives24.Si les provocations néoachéménides ou avant-gardistes des souverains iraniens provoquent l’ire du clergé, elles choquent également les observateurs étrangers qui ne se privent pas de les critiquer ouvertement. C’est notamment le cas de l’ambassadeur du Royaume-Uni, scandalisé par une danse brésilienne d’inspiration « vaudoue » au cours de laquelle un acteur tranchait la tête d’un coq avec les dents : « Je me souviens, écrit-il dans ses Mémoires, d’en avoir parlé au Chah et de lui avoir dit que si un tel spectacle avait été présenté dans la ville anglaise de Winchester, les acteurs n’en seraient pas sortis vivants. Le Chah s’était contenté de rire ! source Le marécage des ayatollahs
Stigers
2 septembre 2023 @ 14:34
« Effets pervers
Déjà les nuages s’amoncellent à l’horizon et l’effet boomerang du Grand Bond économique se fait sentir. Les pétrodollars se révèlent être un bien empoisonné, autant, sinon plus, qu’une aubaine : la hausse des prix du pétrole entraîne une montée des prix à l’Ouest qui se répercute sur les produits importés par l’Iran et donc sur le porte-monnaie des consommateurs iraniens. Simultanément, la demande de pétrole baisse… une baisse qui résulte autant de la récession provoquée par le choc pétrolier que d’une décision politique des pays occidentaux.La modernisation de l’industrie iranienne s’accompagne parallèlement d’un phénomène de surchauffe économique et d’engorgement industriel. Le flot accéléré des marchandises rencontre des goulots d’étranglement contribuant à désynchroniser les plans de réforme économique. La désorganisation s’étend, « dévore » les crédits. Le paradoxe est immense : il y a croissance sans développement. Il y a surchauffe et surcharge à la fois. Les ports sont engorgés (les navires doivent jeter l’ancre plusieurs semaines au large de KhorramChahr avant de pouvoir décharger leurs cargaisons), les routes obstruées (d’interminables embouteillages de camions et de voitures se forment, notamment à certains postes frontaliers). Les matériaux se détériorent. Le ciment se gâte. On va jusqu’à incendier des entrepôts pour faire de la place.Autre paradoxe, l’élan de modernisation se heurte à une pénurie de main-d’œuvre alors que subsiste par ailleurs un chômage endémique. Les planificateurs iraniens décident de se tourner vers l’« importation de travailleurs ». Jusqu’en 1976, malgré ses carences, l’Iran n’avait ouvert ses ports et les douanes qu’à 50 000 travailleurs étrangers. Brusquement, le flux d’immigration s’accélère. Le pays est submergé par des dizaines, des centaines de milliers d’Afghans, de Cingalais, de Bengalis et de Philippins attirés par l’eldorado iranien. De nouvelles habitudes apparaissent : on n’achète plus de camions sans chauffeur coréen. L’Asie du Sud-Est envahit le Moyen-Orient.L’agriculture, emblème de la Révolution blanche, illustre à elle seule les aberrations du développement économique iranien. La volonté de voir l’Iran réussir son take-off exigeait qu’elle devienne intensive mais, sous les coups d’accélérateur qu’on lui fait subir, l’agriculture iranienne se modernise pour générer de la surabondance, sans profiter réellement aux Iraniens. Dans les campagnes, on ne récolte plus, on ne cueille pas les fruits qui pourrissent sur les arbres. À Sāveh, un vieux paysan abandonné par ses fils et qui a délaissé les moissons prétend faire son pain avec… les réserves des rats.Alors que certains secteurs souffrent de surproduction, Téhéran connaît une disette de légumes : il n’y a plus ni oignons ni pommes de terre. Les journaux suggèrent de cultiver ces précieuses denrées dans les parterres de fleurs des grandes villes. En 1978, l’Iran importe 70 % de sa consommation de viande. Un restaurant affiche « bouillon de montage » parce que tous les ingrédients qui entrent dans sa préparation ont été importés : viande d’Australie, lentilles pakistanaises, etc.Déconnectées des réalités, les autorités iraniennes ne peuvent ou ne veulent pas s’apercevoir des ontradictions induites par les plans de réforme. Elles s’évertuent à se persuader et à persuader leurs concitoyens du contraire. Ainsi voit-on, dans le cadre prestigieux d’une serre ultramoderne, le ministre de l’Agriculture énumérer les brillants résultats de la modernisation du secteur agricole : « 50 000 tracteurs, 10 000 moissonneuses-batteuses… » À ces gains tangibles il ajoute, non sans fierté, les points marqués en termes de « bonheur par tête d’habitant ».L’afflux de pétrodollars et l’engorgement industriel suscitent une inflation galopante – dépassant 500 % par an – qui, mal jugulée, aura des effets économiques, sociaux et politiques désastreux pour l’Iran et les Iraniens.L’inflation s’accompagne, à son tour, de la hausse disproportionnée des loyers d’habitation et des prix de consommation. La spéculation immobilière fait rage : « En quatre ans, de 1974 à 1978, les loyers augmentent de 400 %, quand un tiers de la population vit en location. Le mètre carré sur l’avenue Pahlavi se négocie au même prix que sur les Champs-Élysées ou sur la 5e Avenue à New York28 ! » Beaucoup d’Iraniens n’ont plus les moyens de vivre dans la capitale que le Chah souhaite rénover et dont il veut leur faire cadeau.La hausse des prix se traduit aussi par une paupérisation rapide des classes populaires, par l’accélération de l’exode rural et par la création de favelas en périphérie des centres urbains. Alors que la politique volontariste du Chah améliore sensiblement le niveau de vie global des Iraniens et leur offre les fruits d’une modernisation rapide, elle contribue également à élargir le fossé économique, social et culturel entre une élite fortement occidentalisée et une classe populaire de plus en plus frustrée et sensible à la contestation. La nouvelle classe moyenne, elle, n’est pas encore assez homogène et enracinée pour cimenter l’œuvre impériale.Les dysfonctionnements de la nouvelle infrastructure industrielle se traduisent par des interruptions de distribution d’eau et d’électricité qui perturbent de manière incessante l’activité sociale et économique. Durant l’été 1977, Téhéran est victime de grandes coupures d’électricité. De passage dans la capitale, l’ambassadeur d’Iran à Londres, Parviz Radji29, fait à ce propos quelques remarques désabusées : « Je bois ma vodka chaude. Il n’y a pas d’air conditionné et on ne peut même plus lire le soir30 ! » Pour le moment, ces interruptions prêtent à plaisanter. Bientôt, elles vireront au tragique.Devenue la plus vaste agglomération entre l’Europe et l’Asie, avec ses 1 200 kilomètres carrés et une population qui a triplé en huit ans, Téhéran se mue en enfer urbain. L’industrialisation sauvage et un trafic déjà effrayant à l’époque (1 million d’automobiles) engendrent une pollution qui atteint régulièrement la cote d’alerte. L’asphaltage du paysage urbain contribue à accroître la température moyenne de la ville de 5 degrés. Les monts Alborz qui couronnent la capitale disparaissent progressivement sous une épaisse couche de smog. Même les mouches et les moustiques fuient la ville, et l’on parle très sérieusement de vendre aux automobilistes des masques à oxygène à conserver dans les boîtes à gants, en cas de pic de pollution.La pollution des hommes n’a rien à envier à celle de l’environnement. Dans ce pays d’argent facile où l’on ne sait plus que demander, la richesse côtoie l’indigence des ruraux attirés par le faste des villes. La pauvreté des uns cohabite avec la fraude, la corruption et l’opulence des autres. Les chauffeurs d’autobus contraignent leurs passagers à régler leurs propres amendes ; les facteurs qui ont pris un second « boulot » ne distribuent plus le courrier que le vendredi ; les éboueurs exigent une prime supplémentaire pour chaque poubelle vidée ; les réparateurs de téléviseurs ou de machines à laver réclament des « honoraires » astronomiques, payables d’avance et par chèque ! Les percepteurs exigent un bakchich avant d’encaisser les impôts. On en arrive à « payer pour payer ».L’ampleur extraordinaire des transactions profite surtout à une mafia d’intermédiaires bien placés qui réalisent des fortunes fabuleuses, frauduleuses, scandaleuses. La spéculation foncière tombant sous la coupe d’hommes d’affaires véreux, une multitude de petits épargnants, de bourgeois lucides et de simples rentiers décident, par prudence ou par calcul, de fuir l’Iran et ses nuisances. Les sorties d’argent se chiffrent à 2 milliards de dollars par an. Cette émigration financière arrachera en deux vagues, pré et postrévolutionnaires, un immense capital de matière grise et d’or à l’Iran. En quelques années, 30 000 citoyens iraniens acquièrent une villégiature sur la Côte d’Azur. Des ghettos se forment à Londres où le quartier Kensington prend des airs de Ghazvine. Dès la fin des années 1970, plus de 100 000 Iraniens s’établissent aux États-Unis où ils chassent la Green Card, surtout en Californie, dans des villes comme Los Angeles qu’ils se plairont plus tard à rebaptiser Tehranjeles.La société tout entière souffre de ce capitalisme sauvage, corollaire des réformes accélérées que le Chah a voulues pour l’économie iranienne. Peu de vrais remèdes sont apportés à ces maux.Le régime tente, par exemple, de juguler l’inflation galopante de manière autoritaire et particulièrement maladroite. En 1975, devant l’explosion des prix, le Chah signe un farmān31 sur « la lutte contre la vie chère et la défense des consommateurs », et demande à Moïnian32 et à l’Inspection impériale [Bazressi] de former des équipes chargées d’appliquer sa politique de contrôle des prix33. La réponse du souverain consiste donc à s’emparer du « sabre de bois » que lui tendent ses courtisans pour décréter… l’interdiction de l’inflation. Docile, la Banque centrale annonce que « la montée des prix est retombée au-dessous de zéro et il n’y a donc plus d’inflation ». Satisfait de défier ainsi le jeu aveugle de l’économie, le Chah fait promulguer cette mesure comme le dix-septième article de la charte de la Révolution blanche !Au cours des années suivantes, témoigne un proche du roi, « les prix des biens et des services sont fixés au ministère du Commerce par un licencié ès lettres qui passe son temps à déclamer des poèmes ». Inefficaces, les mesures prises par le régime pour combattre la crise sont également impopulaires, notamment au sein du Bāzār : « La lutte drastique de ces “revizors” est très mal perçue et cause beaucoup de mécontentement34. » Pour Houchang Nahāvandi35, autre membre de la Cour, le contrôle brutal des prix est indéniablement l’une des principales causes de la révolte populaire contre le régime du Chah36. En aliénant cette classe moyenne qu’il avait lui-même fait naître, le Chah se prive d’une source importante de légitimation du régime.Mal informé, Mohammad Réza est particulièrement, et volontairement, inconscient des dérives de son pays. Autour de lui, rares sont ceux qui sont informés de l’ampleur des problèmes socio-économiques. C’est le cas du général Fardoust37, son proche conseiller et directeur des services de renseignements, qui, quoique tardivement, lui apprend, par un rapport secret, que l’écart entre les riches et les pauvres s’est considérablement creusé et que la colère gronde. Imperméable à la critique et étourdi par un climat de flagornerie unique en son genre, le souverain refuse de regarder les problèmes en face ou opte, comme dans le cas de la lutte anti-inflation, pour des solutions à l’emporte-pièce. Il invite, par exemple, les autorités à placer le VIe plan de réforme sous le signe de la qualité de vie ! Lorsque l’inefficacité de ces faux remèdes se révèle incontestable, on invite quelques intellectuels étrangers à suggérer de nouvelles solutions. En 1977, Ivan Illich38 est ainsi appelé en consultation… Mais à quoi bon. L’indigestion est à son comble et le temps du rejet est venu.Submergé par les pétrodollars, le Chah se noie. Dès le départ, en 1973, il n’a pas eu la « capacité de réponse » qui s’imposait. Mais qui pourrait se targuer de canaliser un tel afflux de capitaux ? « En fait, remarque un observateur étranger, la richesse comme l’avarice “s’apprennent” ; il n’est pas facile de devenir brusquement riche et de savoir ne pas gaspiller39. » Dès 1974, un jeune économiste iranien du FMI nommé Abadian avait rédigé une expertise sur un usage judicieux de la nouvelle rente pétrolière. Mais l’a-t-on seulement lue ? Le principal architecte de cette modernisation à marche forcée demeure résolument sourd aux avis dissonants. Un mélange d’ivresse, d’orgueil, de paresse, d’impatience mais aussi de peur réduit sa capacité à remplir sa fonction régalienne.Plus que quiconque, le Chah est responsable de la pagaille – le mot n’est pas trop fort – qui, dès 1976, submerge l’Iran. Soucieux de tirer le meilleur profit de la nouvelle conjoncture, il exige qu’on entreprenne tout à la fois : « Il ne suffit pas d’avancer avec son temps, s’écrie-il, il faut aussi être toujours quelques pas en avant ! » Il manque au Chah le sentiment de la mesure, le sentiment de la vastitude. N’est-il pas dit dans la Bible que « celui qui marche devant le char du temps sera piétiné par les chevaux de l’attelage » ? Adjalé Kār-é Cheitān ast, dit le vieux proverbe iranien : la précipitation est mère de toutes les catastrophes40.Quelques « sages », inaudibles dans le vacarme et l’exubérance de ces « années folles », avaient judicieusement remarqué que le boom pétrolier présageait pour l’Iran une période noire semblable à celle que connut l’Espagne après la découverte du trésor des Incas : les maléfices d’une richesse acquise sans peine. Selon le Vénézuélien Juan Pablo Pérez Alfonzo, l’un des fondateurs de l’OPEP, le pétrole rien d’autre que « l’excrément du diable ». ! » source ! Le marécage des ayatollahs
Stigers
10 septembre 2023 @ 12:22
l’une des raison principal du soulèvement était le rejet de la politique d’occidentalisation de l’Iran par le régime qui a été jugé trop rapide et trop brutal ! voila pourquoi pendant les manifestation il avait des destruction les symboles d’un Occident envahissant banques, cinémas, discothèques, téléviseurs, débits de boissons Pepsi-Cola. L’indigestion et l’écœurement provoqués par ces « douceurs » occidentales rendent d’autant plus attrayante la diète morale que préconise le clergé traditionnel. C’est donc dans un islam culturel, social, atavique que le peuple pensait trouver son salut.
stigers
10 décembre 2023 @ 16:25
Les forces de l’opposition interneComme Deng Xiaoping en Chine, le Chah accorde à son peuple les « quatre modernisations » : agricole, industrielle, technique et, nous allons le voir, militaire ; mais pas la cinquième, la modernisation politique… la démocratie. Aryamehr est jaloux de son pouvoir et, comme le montre la création du parti unique Rastākhiz, n’a aucune intention de le partager. Le 12 septembre 1975, alors qu’il faisait du deltaplane au barrage de Dez, le général Khatam, beau-frère du Chah, se tue. Une rumeur, discrète mais diffusée dans l’entourage du Palais, prétend que le défunt avait acquis trop de faveur auprès des Américains et qu’il aurait été assassiné sur ordre du souverain.En marge de la prospérité et de la modernisation, en marge de ce règne sans partage et des intrigues d’une Cour détachée des problèmes réels de l’Iran, l’insatisfaction populaire gronde chaque jour un peu plus. Elle est nourrie par les dysfonctionnements de l’économie, par l’inflation galopante et la corruption, mais aussi par les excès du Palais, ses gabegies, ses licences et son mépris des institutions traditionnelles comme le clergé et le Bāzār. Dès 1976, le malaise est palpable : cette année-là, le journaliste Jean Pelletier qui accompagne Robert Bourassa, Premier ministre du Québec, au cours d’une visite en Iran perçoit une atmosphère particulièrement tendue : « peut-être une énergie comprimée, écrit-il, comme un ressort trop serré1 ». Pelletier se remémorera plus tard les propos tenus à Téhéran par Ivan Illich à l’ambassadeur du Canada, Jim George, vers lequel l’économiste s’était penché pour lui dire à voix basse : « le pays est à la veille d’exploser ». Ce à quoi le diplomate canadien avait acquiescé2.Depuis quelques années, l’insatisfaction populaire s’est politisée à grande vitesse. Se radicalisant peu à peu, elle se drape d’une rhétorique libérale, progressiste, mais aussi et de plus en plus souvent de revendications réactionnaires, conservatrices et religieuses. Désormais, se greffe sur ce mécontentement jusqu’alors diffus une opposition organisée contre le régime qui se cristallise autour d’une série de forces politiques constituées de partis, de mouvements et de groupes divers. À partir de 1976, dans l’atmosphère délétère que décrit le journaliste québécois, ces forces politiques attendent leur heure, conscientes qu’elles pourront bientôt être appelées à jouer un rôle de premier plan dans le processus de changement de régime qui s’amorce.La plus importante de ces forces en taille, mais aussi la plus disparate d’un point de vue idéologique, est le Front national [Jebhe Melli]. Fondé dans les années 1940 par Mohammad Mossadegh et d’autres héritiers des constitutionnalistes du début du siècle, c’est un bloc politique comprenant un large éventail de partis et d’associations aux sensibilités nationalistes et sociales-démocrates parfois divergentes. Les membres de cet agrégat se retrouvent autour du principal cheval de bataille du Dr Mossadegh : le rejet de l’assujettissement de l’Iran aux intérêts occidentaux, notamment dans le domaine hydrocarbure. C’est ce qui les avait amenés à soutenir son gouvernement de coalition, élu en avril 1951, et à voter la loi de nationalisation du pétrole. Mais dans la foulée du coup d’État de 1953, le Front national avait été interdit.En 1960, malgré les divisions internes, la coalition s’est reconstituée autour du Mouvement pour la Résistance nationale et autour de personnalités comme Mehdi Bāzargān3, Chapour Bakhtiar4, Karim Sandjabi5 ou Dariouch Forouhar, quatre leaders qui prendront, plus tard, des directions différentes mais dont le point commun est alors de promouvoir une approche légaliste et laïque qui prône le retour de la monarchie constitutionnelle d’avant 1953. Épigones de Mossadegh, ils vont encore un temps, tels de vieux prêtres mazdéens, entretenir la flamme sacrée de son héritage politique. Après les événements de 1963, un premier schisme s’était opéré lorsque Bāzargān avait choisi de s’allier avec l’ayatollah Mahmoud Taleghāni6 pour former le Nehzāt-e Āzādi-e Iran [Mouvement pour la Liberté de l’Iran, MLI], œuvrant pour un système démocratique dans lequel – c’est là que réside toute la nuance – la religion islamique devrait jouer un rôle social et politique plus important. Après la scission de Bāzargān et jusqu’au milieu des années 1970, le Front national présente encore une façade unie même si, en réalité, ses leaders divergent de plus en plus sur les moyens d’action : certains, tel Bakhtiar, continuent de privilégier la réforme de la monarchie par la négociation ; d’autres se tournent vers l’islam politique et la remise en cause de l’ordre établi (Sandjabi et Forouhar). D’autres encore, comme Bāzargān ou le Dr Baghaï7, misent sur une combinaison de moyens qui, assez paradoxalement, n’exclut ni la carte islamiste ni le recours à la pression des États-Unis sur le régime du Chah.Situé à la gauche du Front national, le plus vieux parti d’opposition est le Parti communiste iranien, le Toudeh [Hezb-e Toudeh-ye Iran, ou Parti des masses], fondé par les amis du Dr Erani (un professeur de physique azerbaïdjanais) en 1941, au moment de l’exil de Réza Chah et alors que l’armée Rouge occupait l’Iran. Continuant à entretenir, depuis, des relations étroites avec l’Union soviétique, le PCI constitue l’une des forces politiques majeures de l’Iran d’après guerre. Mis hors la loi par le Premier ministre Mohammad Sāed8 après une tentative ratée de régicide (1949), le Toudeh refait surface durant l’épisode Mossadegh (1951-1953). Après le 28 Mordād 1953 et la Restauration, le général Zāhédi le démantèle de nouveau et pourchasse ses partisans. Dans la clandestinité, le PCI se réorganise néanmoins et regagne progressivement de l’influence, pour devenir l’un des piliers de l’opposition clandestine des années 1960 et 1970.Se résumant le plus souvent à une simple courroie de transmission du Kremlin et de ses « ukazes », le Toudeh est par exemple en 1968, avec celui du Portugal, le seul PC au monde à avoir salué l’entrée des chars russes à Prague. L’arrestation et l’exécution, en 1966, de plusieurs membres de son comité central entraînent une réorganisation du Parti vers la lutte syndicale, paramilitaire et le militantisme révolutionnaire. Sous l’aile gauche du Toudeh se développent également des groupuscules extrémistes comme celui des Fédayin-e-Khalg (FeK), qui optent résolument pour l’action directe et se spécialisent dans la guérilla urbaine et les attentats ciblés contre l’Artech et les ressortissants étrangers9.Dans le sillage des communistes se développe également, au cours des années 1960 et 1970, une mouvance hybride qui se distingue des marxistes « purs » du Toudeh et du FeK en reprenant certaines revendications de l’islam politique des mollahs. Le plus important des mouvements qualifiés d’« islamo-marxistes » est celui des Modjāhedin-e-Khalg [Sāzemān-e Modjāhedin-e-Khalg-e Irān, MeK] qui, en 1965, s’est détaché du Mouvement de libération de l’Iran de Bāzargān et Taleghāni et constitue donc un bâtard du mossadéghisme10. Malgré sa taille relativement modeste et la répression sévère dont il fait l’objet, le MeK et son idéologie hétérogène, nourrie par la pensée de Chariati11, exercent une forte attraction au sein des milieux dissidents. Son « gauchisme islamiste » séduira notamment des personnages clés du mouvement révolutionnaire comme Abolhassam Bani-Sadr, Ebrahim Yazdi et Sādegh Ghotbzādeh12, après que ces derniers auront pris leurs distances avec le constitutionnalisme laïque et avant qu’ils ne glissent vers le khomeinisme, pour finir dans le giron de l’imam.Situé hors du système des partis politiques d’opposition, le Bāzār de Téhéran n’en est pas moins le noyau socio-économique de la révolte. Le bâtiment, construit sous le règne de Nasser Eddine Chah, a la réputation d’abriter le plus grand marché du monde et les Bāzāris sont considérés comme une force politique incontournable, « faiseuse et défaiseuse de régime ». Après avoir présidé à la chute de l’Empire qādjār, le Bāzār est resté, sous la dynastie Pahlavi, le foyer de la contestation économique. Conservateur au sens « poujadiste » du terme, il a souffert de la modernisation et de l’internationalisation de l’économie imposées par les Pahlavi. Alors que le Palais leur a toujours reproché, par la voix des technocrates, leurs « méthodes sclérosantes », les Bāzāris n’ont jamais pardonné à la Révolution blanche d’avoir industrialisé le pays, menaçant ainsi le commerce des importations tout en l’ouvrant à l’infiltration des multinationales étrangères.Si les réformes kémalistes du Chah n’ont pas suffi, ses méthodes drastiques de lutte contre l’inflation et de contrôle des prix finissent par faire basculer les grands marchands dans le camp de l’opposition. À défaut d’être un mouvement politique constitué avec un agenda spécifique, le Bāzār contrôle les leviers permettant de paralyser l’économie du royaume. Les Bāzāris, jusque-là relativement neutres, se mettent, avec l’accélération des réformes, à soutenir la fronde cléricale et l’opposition ouverte contre le Chah. De ce point de vue, le Bāzār peut être considéré comme le moteur économique de la Révolution.La dernière grande force antirégime n’est ni organisée ni officiellement un parti d’opposition, puisqu’il s’agit du clergé chiite ou, plus précisément, de son excroissance politique. Celle-ci se développe autour de l’École théologique de Ghōm, fondée en 1922, au moment même de la prise de pouvoir par Réza Khan. Rejetant l’affrontement direct contre le régime des Pahlavi, son guide religieux, le Hāzeh [doyen, recteur] de Ghōm, avait traditionnellement prêché l’enseignement apolitique de la scolastique aux jeunes Talibehs13 iraniens tout en préconisant un rejet passif des réformes agraires du Chah, qualifiées de « destructives ». Lorsque meurt, au début des années 1960, le dernier grand ayatollah quiétiste, Seyyed Boroudjerdi14, il est remplacé par des leaders religieux qui prônent la politisation du chiisme et, progressivement, le rejet violent de la monarchie. En 1963, le plus vindicatif d’entre eux, l’ayatollah Ruhollāh Khomeini, s’oppose directement à la Révolution blanche avant que le Palais ne le chasse hors d’Iran.Exilé en Irak, Khomeini est le premier religieux chiite à théoriser un islam politique. Sa pensée donne naissance au « vélāyat-é fagih » [gouvernement du sage, du docte], la base du régime théocratique qu’il projette d’instaurer à son retour : une République islamique dans laquelle les clercs auront le pouvoir de désigner l’un des leurs pour lui confier l’essentiel de l’autorité et du pouvoir de décision. Relayé par ses disciples en Iran15, le message du khomeinisme fédère tous les laissés-pour-compte de la Révolution blanche et devient, à l’orée des années 1970, le catalyseur de l’antimonarchisme sur lequel viendront, un à un, se greffer aussi bien des « islamistes gauchistes » comme Bani-Sadr et Sādegh Ghotbzādeh que des constitutionnalistes comme Mehdi Bāzargān.Longtemps épargné par les restructurations et la répression des Pahlavi, le clergé, devenu au fil des années sanctuaire politique, s’est avec le temps imposé comme le lieu symbolique où convergent toutes les forces d’opposition à la monarchie et où finissent par graviter les dissidents issus d’autres courants idéologiques. Alors qu’il se méfie des mossadéghistes et combat activement les marxistes en tout genre, le Palais mettra longtemps à réaliser que le danger réel vient, en fait, des religieux16. Avec sa barbe volumineuse qui le fait ressembler à Tolstoï, Khomeini, lui, n’a jamais tourné son regard de braise ailleurs que sur le siège du pouvoir impérial.En marge des ennemis déclarés du régime, dissidents, marchands ou religieux, une autre force interne, discrète et mystérieuse, s’organise elle aussi contre le Chah : la SAVAK. Mohammad Réza Chah lui a confié la gestion et la répression des mouvements d’opposition, ignorant que sa police secrète, qui échappe le plus souvent à son contrôle direct, s’est à son tour progressivement engagée dans un étrange double jeu avec les ennemis de la Couronne : alors que ses opérateurs subalternes, les tristement célèbres Savakis, continuent de semer la terreur et d’alimenter la haine envers la dynastie Pahlavi, ses principaux responsables, mieux renseignés que quiconque sur la chute inéluctable du régime, préparent déjà l’après-monarchie.Formé par le MI-6 britannique, le général Fardoust, ami d’enfance du Chah, qui du haut du Daftar-é Vidjeh [Cabinet noir installé au Palais] coiffe tous les services de la SAVAK, sera l’un des premiers à trahir17. Un personnage éminemment énigmatique. Un visage si jaune qu’on pourrait croire que du jus de sauge a été substitué au sang qui coule dans ses veines. Il a été à la meilleure école du renseignement : l’anglaise. De son propre aveu, Fardoust a fait trois séjours de formation au Royaume-Uni auprès de l’Intelligence Service. Lors de son premier séjour (à la fin des années 1940), il remarque que tous les professeurs parlent le persan. De Fardoust, on dit qu’il était « un rapiéçage disgracieux dans l’étoffe de l’aristocratie persane ». Il choque le visiteur par sa mise négligée. Il est bourré de complexes sociaux et physiques. Il est effacé, presque caché – bref, il ne paie pas de mine. En revanche, l’homme est doué d’une prodigieuse intelligence. C’est elle qui le met au premier rang des conjurateurs qui, de l’intérieur, feront basculer le sort de l’Iran.Ce n’est pas la première fois que la police secrète de Mohammad Réza conspire contre lui. Déjà dans les années 1960, le fondateur de la SAVAK, Teymour Bakhtiar, était tombé en défaveur après qu’il eut été soupçonné de manigancer contre le Chah et de médire à son propos auprès du couple Kennedy18. En 1961, Bakhtiar avait été destitué de sa fonction et remplacé par le général Hassan Pākravān19. Pensant qu’il continue de conspirer dans son dos avec les Arabes, le souverain décide son élimination : en 1970, au cours d’une chasse en Irak, il est assassiné par d’autres agents de la SAVAK. Depuis, la conjuration décapitée s’est de nouveau développée au sein de la police secrète mais à la différence que, cette fois-ci, elle ne se limite plus à un félon isolé. Aux côtés du général Hussein Fardoust, le « Brutus iranien », d’autres collaborateurs du Chah et d’autres officiers de l’Artech, dont le lieutenant général Nasser Moghaddam20, joignent progressivement leurs efforts pour œuvrer, de l’intérieur, à la fin de la monarchie, ou du moins à la faciliter.Le Chah a donc tout contre lui : ses rêves trop grands, son entourage et une armée d’opposants qui veulent sa peau. Il s’était donné le titre d’Aryamehr, qui signifie aussi l’« Aimé des Iraniens » ; or tous semblent maintenant le conspuer. Le roi de France Louis XV, le « Bien-Aimé », connut la même disgrâce. Les éléments dans leur ensemble tournent en sa défaveur, y compris la manne pétrolière qui se révèle empoisonnée. Mais ni cette « malédiction des ressources naturelles », ni l’impuissance du monarque iranien, ni l’opposition politique, ni même le jeu des trahisons internes – des maux qui, assurément, affectent tous les pays moyen-orientaux de l’époque – n’auraient pu suffire à provoquer ni donc à expliquer entièrement la formidable tragédie révolutionnaire que s’apprête à écrire Clio. D’autres ingrédients doivent être ajoutés pour compléter cette recette pour le désastre. source : Le marécage des ayatollahs