Diététique ? Justement, non ça ne l’est pas au regard de la valeur glucidique de ce gâteau (et de tous les gâteaux de ce genre). Il m’est déjà arrivé d’en réaliser mais très sincèrement, je me permets toujours d’avertir mes clients que c’est très sucré, potentiellement trop pour certaines personnes, tout en étant particulièrement sec à l’intérieur – donc, qu’il y a quand même des gâteaux de Noël plus sympathiques à partager.
Foi de pâtissier, votre mère avait bien du courage mais elle a omis d’explorer toute la panoplie des gâteaux festifs des fins d’années. À moins que votre mère n’ait un peu modifié la recette, ce que je comprendrais, vous deviez vous étouffer tout en faisant « péter » votre taux de glucides…
Euh, c’est bien quand on a des cuisiniers à demeure comme Charles et Elizabeth. La liste des ingrédients me décourage. Un cake avec beurre oeufs farine et sucre me suffit. A la rigueur des amandes pilées en sus ou du chocolat. Souvent le plus simple est le meilleur.
C’est comme le Panettone en Italie. Les enfants n’aiment pas ça, ils préfèrent le Pandoro plus simple.
Le panettone est également très sec. Nous en mangeons chaque année dans la famille élargie de ma femme (la famille proche n’aime pas beaucoup), les oncles et cousins concernés nous interpellent toujours sur la qualité de leurs réalisations. En toute honnêteté, je réponds que c’est bon car gustativement, ça l’est ; mais sur le plan textural, c’est une catastrophe! Il faut aimer s’étouffer!
Le pandoro est effectivement plus agréable. La composition reste assez proche du panettone mais l’appareil est travaillé différemment et cela donne un gâteau plus léger en bouche, sans perdre en goût.
Le panettone eT très léger au contraire, mais il ne faut pas le faire soi- même : une bonne marque italienne c’est meilleur. Le pandoro, je déteste, pâteux.
Il y a un truc que je ne comprends pas. J’aime les fruits confits, de ceux qu’on voit au marché et qu’on achète au poids. C’est bon. Mais dans le panettone, depuis mon plus jeune âge, je n’aime pas. Et je me demandais ce qu’avaient ces adultes italiens de célébrer leur panettone alors qu’il y a de bien meilleurs gâteaux .
Nous utilisons une recette de ma grand-mère paternelle, produisant effectivement un pandoro très aéré en comparaison des gâteaux du commerce. La main du pâtissier y est peut-être aussi pour quelque chose.
Notez que je trouve assez hardi de conseiller à un pâtissier d’acheter une marque du commerce, même très connue. 😉
Lunaforever
20 novembre 2023 @
07:23
Oui et ben, pas pour moi. Un travail de forçat, du brandy et s’embêter un mois avant ? Ça me coupe l’ appétit.
Je remercie les Chefs des cuisines Royales, de communiquer les superbes réalisations qui en sortent. Ils communiquent vraiment bien.
Ils n’ont pas l’habitude culinaire des bûches visiblement. Je sais que sa Majesté la Reine aimait son « cake de Noël » traditionnel. A Sandringham, il trônait en majesté. à la grande table de Noël. Après il s’y précéda, (version moderne) la réunion de famille agrandie aux petits enfants et leurs familles respectives, le déjeuner à Buckingham Palace d’avant Noël, où le couple royal retrouvait l’ensemble des membres pour le déjeuner et les ouvertures des cadeaux.
Moi je suis POUR tout : le Christmas cake, le Christmas pudding, le panettone, le Kugelhopf, le Streiselküeche, le Pandoro, les Treize Desserts, le Bierewecke, les Lèppküeche, et les Brédle à l’infini.
Pourquoi choisir ?
( J’ai oublié de citer les marrons glacés ….. ) :-))
Je n’étais pas » femme au foyer », mais j’y étais quand même, à mon foyer, et travailler ne m’a jamais empêchée ni de cuisiner ni de « faire des gâteaux ».
Question d’organisation.
Et zut et rezut pour cette vieille antienne de » femme au foyer ».
A ma connaissance, sauf pendant quelques décennies du XXe siècle où les Emma Bovary de la petite bourgeoisie ont voulu imiter la grande bourgeoisie, les femmes ont toujours travaillé, toujours et partout : à la ferme, aux champs, dans les ateliers, dans l’artisanat, dans le service, la domesticité, puis dans les usines, les bureaux, les magasins etc.
Baboula.
19 novembre 2023 @ 04:09
Il ne reste pas beaucoup de place pour la farine ,c’est diététique, que des fruits ! Et overdose de sucre, mais quel délice !
PataClems
20 novembre 2023 @ 19:53
Diététique ? Justement, non ça ne l’est pas au regard de la valeur glucidique de ce gâteau (et de tous les gâteaux de ce genre). Il m’est déjà arrivé d’en réaliser mais très sincèrement, je me permets toujours d’avertir mes clients que c’est très sucré, potentiellement trop pour certaines personnes, tout en étant particulièrement sec à l’intérieur – donc, qu’il y a quand même des gâteaux de Noël plus sympathiques à partager.
Catherine
19 novembre 2023 @ 04:23
Très beau à voir, décidément trop sucré pour moi.
Rainette
19 novembre 2023 @ 06:51
Brilliant thanks !
Ludovina
19 novembre 2023 @ 07:38
Actualité famille Bonaparte
https://royalmusingsblogspotcom.blogspot.com/2023/11/napoleon-premiere-in-london.html
Lunaforever
20 novembre 2023 @ 16:00
Merci Ludovina.
JAusten
19 novembre 2023 @ 08:53
Sans moi, trop de fruits confits ou pas dans ce gâteau.
Danielle
19 novembre 2023 @ 11:34
Une belle présentation pour ce cake.
Charlotte (de Brie)
19 novembre 2023 @ 11:38
L’an dernier on voyait mieux le cake.
http://www.noblesseetroyautes.com/cake-de-noel-de-buckingham/
l'Alsacienne
19 novembre 2023 @ 15:22
J’ai commencé à lire la recette : 115 oeufs. Non merci.
Catherine
20 novembre 2023 @ 15:35
Où avez vous lu pareille bizarrerie?
Zut alors!
20 novembre 2023 @ 19:17
2 œufs… 115g c’est le beurre…
PataClems
20 novembre 2023 @ 19:55
En effet, bien que ce ne soit pas le pire. 😄
Hervé J. VOLTO
19 novembre 2023 @ 18:25
Quand j’était petit, Maman nous faisait ce dessert.
On le prenait en gouter avec le thé de 17 h, à l’anglaise.
PataClems
20 novembre 2023 @ 19:56
Foi de pâtissier, votre mère avait bien du courage mais elle a omis d’explorer toute la panoplie des gâteaux festifs des fins d’années. À moins que votre mère n’ait un peu modifié la recette, ce que je comprendrais, vous deviez vous étouffer tout en faisant « péter » votre taux de glucides…
Perceval
19 novembre 2023 @ 19:58
MERCI, je suis toujours tentée d’essayer….
PataClems
20 novembre 2023 @ 19:56
Prévoyez l’insuline, même si vous n’êtes pas diabétique.
Robespierre
20 novembre 2023 @ 06:24
Euh, c’est bien quand on a des cuisiniers à demeure comme Charles et Elizabeth. La liste des ingrédients me décourage. Un cake avec beurre oeufs farine et sucre me suffit. A la rigueur des amandes pilées en sus ou du chocolat. Souvent le plus simple est le meilleur.
C’est comme le Panettone en Italie. Les enfants n’aiment pas ça, ils préfèrent le Pandoro plus simple.
PataClems
20 novembre 2023 @ 20:00
Le panettone est également très sec. Nous en mangeons chaque année dans la famille élargie de ma femme (la famille proche n’aime pas beaucoup), les oncles et cousins concernés nous interpellent toujours sur la qualité de leurs réalisations. En toute honnêteté, je réponds que c’est bon car gustativement, ça l’est ; mais sur le plan textural, c’est une catastrophe! Il faut aimer s’étouffer!
Le pandoro est effectivement plus agréable. La composition reste assez proche du panettone mais l’appareil est travaillé différemment et cela donne un gâteau plus léger en bouche, sans perdre en goût.
Lunaforever
21 novembre 2023 @ 10:57
Le panettone eT très léger au contraire, mais il ne faut pas le faire soi- même : une bonne marque italienne c’est meilleur. Le pandoro, je déteste, pâteux.
Lunaforever
21 novembre 2023 @ 10:57
Est
Robespierre
21 novembre 2023 @ 11:58
Il y a un truc que je ne comprends pas. J’aime les fruits confits, de ceux qu’on voit au marché et qu’on achète au poids. C’est bon. Mais dans le panettone, depuis mon plus jeune âge, je n’aime pas. Et je me demandais ce qu’avaient ces adultes italiens de célébrer leur panettone alors qu’il y a de bien meilleurs gâteaux .
Esquiline
21 novembre 2023 @ 19:50
Je trouve le panettone plus aéré et moins compact que le pandoro que je sers généralement avec une crème au marscapone.
Lunaforever
24 novembre 2023 @ 03:12
J’aime le panettone et déteste le pandoro !
Julise
24 novembre 2023 @ 14:09
Nous utilisons une recette de ma grand-mère paternelle, produisant effectivement un pandoro très aéré en comparaison des gâteaux du commerce. La main du pâtissier y est peut-être aussi pour quelque chose.
Notez que je trouve assez hardi de conseiller à un pâtissier d’acheter une marque du commerce, même très connue. 😉
Lunaforever
20 novembre 2023 @ 07:23
Oui et ben, pas pour moi. Un travail de forçat, du brandy et s’embêter un mois avant ? Ça me coupe l’ appétit.
Benoite
20 novembre 2023 @ 08:42
Je remercie les Chefs des cuisines Royales, de communiquer les superbes réalisations qui en sortent. Ils communiquent vraiment bien.
Ils n’ont pas l’habitude culinaire des bûches visiblement. Je sais que sa Majesté la Reine aimait son « cake de Noël » traditionnel. A Sandringham, il trônait en majesté. à la grande table de Noël. Après il s’y précéda, (version moderne) la réunion de famille agrandie aux petits enfants et leurs familles respectives, le déjeuner à Buckingham Palace d’avant Noël, où le couple royal retrouvait l’ensemble des membres pour le déjeuner et les ouvertures des cadeaux.
Leonor
21 novembre 2023 @ 11:47
Moi je suis POUR tout : le Christmas cake, le Christmas pudding, le panettone, le Kugelhopf, le Streiselküeche, le Pandoro, les Treize Desserts, le Bierewecke, les Lèppküeche, et les Brédle à l’infini.
Pourquoi choisir ?
( J’ai oublié de citer les marrons glacés ….. ) :-))
Hervé J. VOLTO
21 novembre 2023 @ 15:34
Maman étant femme au foyer, elle avait le temps de cuisiner et de faire des gateaux.
Leonor
23 novembre 2023 @ 22:06
Je n’étais pas » femme au foyer », mais j’y étais quand même, à mon foyer, et travailler ne m’a jamais empêchée ni de cuisiner ni de « faire des gâteaux ».
Question d’organisation.
Et zut et rezut pour cette vieille antienne de » femme au foyer ».
A ma connaissance, sauf pendant quelques décennies du XXe siècle où les Emma Bovary de la petite bourgeoisie ont voulu imiter la grande bourgeoisie, les femmes ont toujours travaillé, toujours et partout : à la ferme, aux champs, dans les ateliers, dans l’artisanat, dans le service, la domesticité, puis dans les usines, les bureaux, les magasins etc.