Le château de Chantilly consacrera du 19 octobre 2024 au 16 février 2025 une exposition à la reine Louise, première reine des Belges avec cet intitulé « Louise d’Orléans, première reine des Belges : un destin romantique ».
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Bernadette
5 décembre 2023 @ 07:57
Très joli portrait…il y a je trouve une lointaine ressemblance avec Leonore peur être ?
Roselilas
6 décembre 2023 @ 04:13
Je partage votre avis.
monica
6 décembre 2023 @ 10:10
Portrait très embelli 😉😊
camille
5 décembre 2023 @ 08:17
esperons aussi en Belgique içi jamais d ‘expo sur notre dynastie, a part au chateau de Bruxelles a partir du 22 juillet , une fraction
Melodie Brassinne
23 janvier 2024 @ 20:25
Bonjour. Cette exposition, adaptée, sera présentée au Musée des arts anciens à Namur de mars à juin 2025. Au plaisir de vous y rencontrer !
Teddy
5 décembre 2023 @ 08:52
Le roi avait arcadie claret comme compagne
Jean Pierre
5 décembre 2023 @ 12:10
Léopold s’ennuyait tellement qu’à un age avancé il s’enticha d’Arcadie. Il lui fît faire un mariage blanc avec un quidam lambda et roucoula avec elle.
Très impopulaire elle dût quitter la Belgique puis revint à la mort de Louise (mariage secret ?).
Robespierre
5 décembre 2023 @ 13:37
Louise était aimée des Bruxellois. Ceux-ci étaient très remontés contre la maîtresse. Les deux enfants nés de cette liaison furent anoblis en Allemagne et purent se présenter comme barons von Eppinghoven. Arcadie géra sagement l’argent hérité du roi. Mais les deux fils dilapidèrent leur héritage et se retrouvèrent sans rien. Une descendante put obtenir une pension en Belgique, me rappelle plus si ces subsides venaient du gouvernement ou de la famille. Mais les autres descendants de Leopold Ier durent travailler et s’égaillèrent aux 4 coins du monde. L’héritage de Leopold II faut aussi dilapidé, mais par la compagne du roi et le fils survivant dut gérer un hôtel au Pays basque pour vivre. Les casinos, ça ne pardonne pas…
On dirait que l’argent gagné honnêtement par les dames de compagnie des rois est frappé de malédiction.
Teddy
7 décembre 2023 @ 02:03
Blanche Delacroix
Will34
5 décembre 2023 @ 15:58
La reine avait peu de santé et est morte jeune. Avec un mari plein de vie? Il y avait une affection réciproque, c’est certain.
Teddy
7 décembre 2023 @ 01:58
Elle ne pouvait pas avoir de vie de couple vu sa santé
Teddy
7 décembre 2023 @ 01:56
La reine Louise était fragile
Il fallait une compagne au roi
Lili3
9 décembre 2023 @ 12:10
Quelle moralité !
Marie-Caroline de Bretagne
5 décembre 2023 @ 09:27
Romantique Louise ? Je n’en suis pas complètement persuadée. Bien qu’assez soumise à son époux, la reine ne manquait pas de caractère si on en croit certains extraits de sa correspondance avec sa mère, entre autres. La romantique de sa fratrie était sans aucun doute la princesse Marie.
Jean Pierre
5 décembre 2023 @ 12:11
J’avais lu qu’on la disait attente de scribomanie tellement elle écrivait.
Antoine1
5 décembre 2023 @ 13:54
De nos jours, c’est la phonardomanie qui fait des ravages… Et le style n’est pas du tout le même, hélas !
Marie-Caroline de Bretagne
5 décembre 2023 @ 20:03
Oui @Jean Pierre, c’est vrai. Louise souffrait manifestement de vivre loin de ses parents et de ses frères et soeurs.
kalistéa
6 décembre 2023 @ 09:39
Elle n’avait pas grand chose à faire d’autre sans doute JP .
Bambou
6 décembre 2023 @ 15:51
Il faut dire qu’a’l’epoque le téléphone n’existait’pas !
Damien B.
5 décembre 2023 @ 09:51
La reine Louise, douée d’une vraie intelligence politique, a joué un rôle majeur dans la diplomatie, étant demeurée en contact régulier avec l’élite politique française, à commencer par son propre père le roi Louis-Philippe.
Elle est notamment intervenue dans » l’affaire des mariages espagnols » qui préoccupait les chancelleries européennes dans les années 1840.
Son abondante correspondance offre une mine de renseignements aux historiens.
Marie-Caroline de Bretagne
5 décembre 2023 @ 20:09
Je ne sais si la reine Louise était « douée d’une vraie intelligence politique » mais elle avait indéniablement conservé de l’influence au sein de sa famille. Si je me souviens bien, elle était assez critique de la politique de son père à la fin du règne de ce dernier.
Passiflore
5 décembre 2023 @ 10:18
Louise d’Orléans est née à Palerme, le 3 avril 1812, et a été baptisée sous les prénoms de Louise, Marie, Thérèse, Charlotte, Isabelle en l’honneur de son parrain (Louis XVIII), de sa marraine (Marie-Thérèse Charlotte, duchesse d’Angoulême) et de la duchesse de Calabre, Isabelle, qui la porta (par procuration) sur les fonts baptismaux. Elle considérait que le mariage que l’on avait décidé pour elle, qui avait 19 ans, avec le roi des Belges, veuf de 42 ans, était « un sacrifice de raison, un sacrifice pour l’avenir très pénible ».
Huit jours après son mariage (le 9 août 1832), elle écrit à la reine Marie-Amélie : « La tendresse du roi, sa rare sérénité d’âme, son égalité d’humeur, sa parfaite bonté me touchent toujours davantage. Il est difficile, je crois, de trouver un homme moins égoïste, plus délicat, plus moral, plus religieux, plus sain, d’une humeur plus douce et plus égale. Mon coeur eût choisi qu’il n’eût pas choisi autrement. »
Robespierre
5 décembre 2023 @ 12:18
J’avoue que je me suis toujours demandé ce que Leopold avait bien pu faire et ne pas faire pendant cette semaine. Où un tendron de 19 ans s’attache pour toujours à un quadra. J’ai admiré le nouvel époux. Et dans le couple, c’était elle qui aimait le plus puisque comme le dit un intervenant, Arcadie Claret a montré le bout de son nez. Pour rester.
Menthe
5 décembre 2023 @ 17:10
Ses précédents montrent que Leopold savait bien manipuler son petit monde. Il a su s’attacher sa jeune épouse, qui devait tout ou presque ignorer des hommes, et la partie était gagnée.
Robespierre
5 décembre 2023 @ 10:21
Education soignée ? Absolument. Son père était Louis-Philippe et il n’a pas lésiné sur les bons professeurs, et n’a pas fait de discrimination entre filles et garçon. Lui-même étant très instruit, comme sa soeur Adelaïde. J’ai eu l’occasion de lire des lettres de cette reine morte trop jeune et j’ai été impressionné. L’écrit est toujours révélateur.
Mais à part ça, le portrait est flatté. On pourrait croire que Louise était jolie. Elle ne l’était guère. Le peintre était un bon courtisan et voilà.
Perlaine
5 décembre 2023 @ 15:50
Mais Robespierre les remplaçants actuels des peintres d’antan a savoir les photographes des cours royales sont dans la même ligne , les portraits sont souvent flatteurs et d’aventure si l’on rencontre l’original on en reste tout ébaubi.
PataClems
5 décembre 2023 @ 11:41
Louise d’Orléans n’avait rien d’une romantique. C’était une femme de caractère qui, dévouée à sa cause et hautement instruite, demeurait libre de sa conscience, de sa parole et de ses actes – elle ne se privait jamais d’user de ses qualités pour se faire entendre et imposer ses avis et ses choix. Ce n’était ni une fleur bleue ni un tendron.
Monsieur Bertrand M. s’est trompé de princesse et nous livre, comme à son habitude, un portrait déformé de son personnage du jour. C’est risible.
Régine
5 décembre 2023 @ 12:32
Pour être bien précise, c’est Bertrand Meyer qui m’a communiqué cette annonce de prochaine exposition mais le descriptif et l’intitulé de l’exposition relèvent du château de Chantilly. Il n’a donc strictement rien déformé.
Catherine Tardieux
6 décembre 2023 @ 06:54
J’ignore si le portrait est flatteur mais une certaine similarité avec l’actuelle princesse Astrid me frappe !
PataClems
7 décembre 2023 @ 22:46
Il y a quelque chose de familial, en effet.
Philippe H.
6 décembre 2023 @ 07:37
Merci, Régine, pour ce rectificatif… Il est d’ailleurs bien prècisé : « descriptif « …. Le texte èmane donc du commissaire de l’exposition ou du service de communication . Par ailleurs merci â Bertrand Meyer pour nous informer régulièrement de chroniques toujours intéressantes…
PataClems
6 décembre 2023 @ 15:57
Je n’ai pas vu qu’il est question de descriptif. Au temps pour moi.
Il ne faut néanmoins se surprendre de rien.
COLETTE C.
5 décembre 2023 @ 11:55
J’aimerais voir
Mademoiselle Héloïse
5 décembre 2023 @ 13:31
Lire « Louise » me semble toujours incomplet .
J’ai toujours appris et entendu Louise-Marie d’Orléans ,c’est bête mais étrange!
De plus il semblerait que atteinte de »mélancolie » (et semble t’il de graphomanie ,notamment lorsque l’on voit sa correspondance avec sa cousine Victoria) il semble que sa fille Charlotte ne soit pas devenue « folle » après la mort de Maximilien mais tenait cette « tristesse » de sa maman.
Damien B.
7 décembre 2023 @ 16:00
Mademoiselle Héloïse, c’est pourtant bien le seul prénom de « Louise » qui désigne la seconde reine des Belges. Sa famille française, son mari et ses enfants la nommaient sous ce prénom.
Au cours des années qui ont suivi sa mort en 1850, chaque 11 octobre (date du décès), un service religieux était célébré. Les familiers de la souveraine disaient : « nous allons au service de la reine Louise ».
Au milieu du vingtième siècle, des manuels scolaires se sont mis à écrire « la reine Louise-Marie », avant de revenir au prénom réel de la reine.
Quant à la mélancolie de Charlotte, vous avez raison, les prodromes de sa maladie se sont manifestés dès la mort de sa mère, alors qu’elle n’avait que quinze ans. Ses frères et elle étaient livrés à eux-mêmes et à des précepteurs et gouvernantes qui, bien entendu, ne palliaient pas les nombreuses absences paternelles. Au point que la reine Victoria avait demandé au roi d’être davantage présent auprès des siens à Laeken. Conseil qu’il s’était gardé de suivre…
Robespierre
11 décembre 2023 @ 17:10
Quand on lit les correspondances de l’époque, Héloïse, on ne trouve que Louise. Damien a raison. Tous les proches de la princesse l’appelaient Louise et son mari fit pareil après le mariage.
Carter
5 décembre 2023 @ 17:28
Joli portrait d’une jolie et douce Louise, mais ne pas oublier que l’objet était flatté
Robespierre
11 décembre 2023 @ 17:11
A chaque époque son photoshop.
Alice
5 décembre 2023 @ 22:08
On peut avoir du caractère et être romantique ! Ce n’est pas incompatible. La reine Louise était très jolie avec ses traits fins, son teint délicat, ses yeux bleus et ses beaux cheveux blonds.