Le domaine de Trianon avait été dessiné par Richard Mique à la demande de la reine Marie-Antoinette.
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19 Comments
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14 juillet 2024 @ 02:37
Déjà,le citrouilles ? C ‘est très bucolique !
14 juillet 2024 @ 09:34
La photo avec les citrouilles date de l’été dernier.
14 juillet 2024 @ 08:35
Richard Mique (1728-1794) d’une famille d’architectes a, d’abord, travaillé pour le roi Stanislas à Nancy et Lunéville. Introduit à Versailles par Marie Leczinska, il édifia, à partir de 1767, à la demande de la reine un couvent pour les chanoinesses de Saint-Augustin, le Couvent de la Reine (depuis 1888, lycée Hoche à Versailles), et la chapelle du Carmel de Saint Denis (Justice de paix, en 1795, puis lieu d’expositions). il fut sous Louis XVI le premier architecte du roi. Il aménagea le jardin et le hameau de Marie-Antoinette, puis décora le Petit Trianon, édifia le Temple de l’Amour et le Belvédère entre 1777 et 1783. Retiré en Bretagne pendant la Terreur, il fut dénoncé au tribunal révolutionnaire. Guillotiné, le 9 juillet 1794, Il fait partie des quelque 1300 victimes inhumées dans les fosses communes du cimetière de Picpus.
14 juillet 2024 @ 11:11
J’ignorais que Mique avait été guillotiné.
15 juillet 2024 @ 04:32
Si vous avez l,occasion, allez visiter le cimetière de Picpus où reposent les martyrs de la révolution et où, seuls leurs descendants peuvent également y être enterrés.
Tombe de Lafayette, régulièrement fleurie par l,ambassade des Etats-Unis.
14 juillet 2024 @ 16:26
Intéressante, la vie de ce Mique sauf la fin! Mais,tuer les gens parce qu’ ils ont fait leur job (et qui aurait refusé de le faire, pour de tels clients en de tels lieux?)c est quand même fou,je hais les excès et les excessifs!
14 juillet 2024 @ 08:54
Souvenir d’une époque insouciante
14 juillet 2024 @ 11:02
Pas pour tout le monde, sinon la Révolution n’aurait pas éclaté.
14 juillet 2024 @ 15:56
Le Hameau, une miniature de style Louis 16 mais il y manque aujourd’hui la vie, les villageois, les bêtes.
14 juillet 2024 @ 14:12
Un lieu charmant, la reine et l’architecte avaient bon goût.
14 juillet 2024 @ 17:28
La reine avait bon goût….
Pendant que le peuple crevait dans les campagnes ! Eux n’avait pas le loisir de « jouer » à la fermière . Ils devaient assurer leur survie sans des conditions épouvantables…
14 juillet 2024 @ 16:31
Une grande fête s’y tient en été 1785.
Dinner au champagne, bal, feux d’artifice, etc…
14 juillet 2024 @ 16:37
Marie Antonette aimait recevoir ses amies, Mme de Polignac et Mme de Lamballe. Le samedi soir, on jouait aux cartes ou au billard.
Il était possible l’été d’intaller des tables le long du bord du lac, devant la Maison du billard, la Maison de la Reine et Réchauffoir.
Les mauvaises langues disaient que la Reine s’enfermait dans le Boudoir avec le Comte Fersen.
14 juillet 2024 @ 16:38
Hameau de la Reine
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hameau_de_la_Reine
14 juillet 2024 @ 16:45
Louis XVIII et le Duc d’Orlèans ont prétendu que Mme Royale était la fille de Fersen, que le dauphin Louis JOspeh était le fils du Comte d’Artois : seul Louis-Charles, fut Louis XVII aurait été le vrais fils de Louis XVI.
Celà explique pourquoi les Survivantistes croient que Louis XVII fut substitué par un enfant sour-muet : si Louis XVII a survécu à l’étranger, le mérite en reviernt à tous les Princes du Sang de France, les Rois d’Espagne, les Emperurs d’Autriche, les Aristocrates Français et ceux du Saint Empire Romain Germanique qui ont fait face à leurs responsabilités et pewrnis que l’Enfant-Roi fut mis à l’abris…
15 juillet 2024 @ 16:58
Un historien patenté a parlé. Le grammairien suit de tout près. La maîtrise du français et de l’Histoire sont sur l’échafaud.
20 juillet 2024 @ 10:34
En effet, c’est de la grande érudition.
15 juillet 2024 @ 19:32
🥸
14 juillet 2024 @ 18:22
Dans une commune des environ de Rennes existait une propriété appartenant à un noble qui se disait parent de Madame de Lamballe. Dans le parc de cette propriété avec un château très abimé par les Allemands pendant la dernière guerre, il y a un étang et au bord une copie exacte de la ferme de Marie-Antoinette. J’ai habité cette commune dans les années 50 et nous les jeunes allions nous promener dans cette propriété qui n’était pas close et j’étais fascinée par ce bâtiment qui semblait surgi de mon livre d’Histoire de France.