Voici le Salon doré du château de Malmaison. La cheminée a été offerte à Napoléon I alors Premier Consul par le pape Pie VII en 1802. (Copyright photo : Châteaux et Histoire/P.Holley)
Voici le Salon doré du château de Malmaison. La cheminée a été offerte à Napoléon I alors Premier Consul par le pape Pie VII en 1802. (Copyright photo : Châteaux et Histoire/P.Holley)
Baboula
27 août 2024 @ 02:30
Offrir une cheminée,je n’y avais jamais pensé.Est-ce celle où ont été brûlé les bulletins de vote de son élection papale ?
Caroline
27 août 2024 @ 07:46
En effet, on peut admirer toutes les dorures de ce salon bien que ce soit assez « chargé » !
Perlaine de Bretagne
27 août 2024 @ 07:55
C’est un lieu que j’ai visité souvent en voisine avec des parents et amis que je « cornaquais » plus que la pompe impériale j’ai été bluffé par la présence deJoséphine portée au maximum par les vitrines dans lesquelles ont peut voir sa garde-robe taille 34 tout au plus et pour les chaussures fines en satin de préférence apparemment du 34/35. C’est un lieu vraiment à visiter.En y ajoutant un plus l’église de Rueil-Malmaison avec les tombeaux familiaux .
Lapiequichante
27 août 2024 @ 08:10
Étonnant, offrir une cheminée 😳
Philippe
27 août 2024 @ 08:46
Atrocement laid.
Comme le reste de cette maison.
Dommage que Joséphine n’ait pas fini sur l’échafaud !
Gautier
28 août 2024 @ 16:04
C est méchant, reflexion d,un sans culottes !
Robespierre
1 septembre 2024 @ 20:56
Personne ne mérite d’être guillotiné. Et surtout pas une femme qui n’a jamais fait de mal à personne. D’accord elle n’était pas très intelligente, mais si on envoyait à l’échafaud toutes les femmes écervelées, où irions-nous ?. Qui mérite d’être envoyé à l’échafaud. ? Peut-être des lâches qui ont assassiné des enfants ou des vieux, des êtres qui ne pouvaient se défendre. Mais la peine de mort a été abolie, et même ceux-là ne subiront pas la peine capitale.
Passiflore
27 août 2024 @ 08:50
A propos du Pape Pie VII, j’ai visité à Savone ses « appartement » dans ce qui était le palais épiscopal : la salle du trône, sa chambre à coucher, la pièce du maître de chambre. On lit généralement que le Pape avait été enfermé dans la citadelle. Non, après 42 jours de voyage, il passa sa 1re semaine d’incarcération dans le Palazzo Sansoni au domicile du maire, puis la suite du « séjour » dans le palais épiscopal (du 17 août 1809 au 9 juin 1812, puis en février et mars 1814). Berthier s’était installé dans un bâtiment adjacent en tant que « gouverneur du palais épiscopal ». Napoléon avait choisi Savone, chef-lieu du département de Montenotte (subdivision de la république de Gênes, annexée en 1805) car Chabrol en était le préfet. Lui succéda Antoine Brignole-Sales, surnommé par le Pape « mon bon geôlier ».
Val
29 août 2024 @ 06:39
Je trouve ce salon très laid , Josephine ne m’a jamais intéressé, sotte, dépensière, légère, ……
Catherine
29 août 2024 @ 17:53
Rien de tout ça. Enfin dépensière oui, mais ni sotte ni légère.
Il faut lire sa biographie par Pierre Branda.
Philippe
30 août 2024 @ 14:14
Et alors ? … Ce monsieur n’est pas un historien mais un fan de Bonaparte ! … Sa parole n’a pas plus de valeur que celle de Val.
Joséphine était une aventurière, qui a su utiliser ses fesses, selon les circonstances, pour l’argent, la survie, ou ce dont elle avait besoin à ce moment là … rien d’autre.
Le reste est du bla bla.
Baboula
1 septembre 2024 @ 13:07
Une femme en somme !
Robespierre
1 septembre 2024 @ 21:01
Et selon vous cela mérite la mort ?
Juba
27 août 2024 @ 09:35
Pie VII devra offrir beaucoup plus quelque temps après !
Pierre-Yves
27 août 2024 @ 13:08
Léger; pas encombré pour deux sous. Un salon où on respire, où on se détend …
Baboula
29 août 2024 @ 00:21
Les dames ne portaient pas encore de crinolines . Premier avantage des crinolines : dégager le passage .
Kardaillac
27 août 2024 @ 15:04
Un peu étouffant quand même, voire déconcertant mais à la mode du temps.
Danielle
27 août 2024 @ 18:03
Ce salon est trop chargé mais le mobilier me plait.
Sébastien
28 août 2024 @ 12:39
La cheminée était incrustée de pierres semi-précieuses… qui ont été descellées par des soldats prussiens en 1870 :(
Robespierre
29 août 2024 @ 07:17
Ca me rappelle une anecdote, Sebastien. Pendant l’Occupation, un château français (je ne me rappelle plus le nom) fut réquisitionné par les Allemands. La châtelaine qui passa en revue les salles réquisitionnées avec l’officier supérieur montra une commode d’époque Louis XIV, avec de belles ferronneries ,et lui dit » Vous voyez ce meuble ? Ce n’est pas la peine de décrocher tous ces appliques de cuivre , ce sont des copies. Les originales ont été volées par vos compatriotes en 1870″. J’aurais aimé voir la tête de l’Allemand, surtout s’il était un « von quelque chose ».
Robespierre
29 août 2024 @ 15:37
… touTEs ces appliques
Sébastien
29 août 2024 @ 16:29
Excellente anecdote cher Robespierre ! :) Merci !
Robespierre
30 août 2024 @ 12:59
Je suis contente de vous retrouver, vous été absent trop longtemps.
Hervé J. VOLTO
29 août 2024 @ 11:49
Vue panoramique
https://www.facebook.com/chateau.malmaison/posts/si-tu-ne-viens-pas-%C3%A0-malmaison-malmaison-ira-%C3%A0-toi%C3%A0-jacques-imbert-et-jean-pierr/3103003243055523/
Hervé J. VOLTO
29 août 2024 @ 11:53
L’origine du nom « Malmaison » est mal connue. Malmaison, de mala domus (ou mansio), signifie « mauvaise maison ». On avance en général l’hypothèse de la mauvaise fréquentation des lieux (bordel, lieux de retrouvailles de brigands et de malfrats) au Moyen Âge (au IXe).
Son nom pourrait être également dû à l’activité première de la ville qui était la prise en charge de personnes malades, surtout de pestiférés à certaines périodes.
Hervé J. VOLTO
29 août 2024 @ 11:59
Le fief de La Malmaison est identifié depuis le Moyen Âge. Un aveu de 1376 révèle l’existence d’un manoir, avec cour, basse-cour, terres et vignes, peut-être une commenderie de l’Ordre de Saint Lazarre (Gérard Hubert, Malmaison, Paris, Éditions de la Réunion des musées nationaux, 1980 (ISBN 2-7118-0173-X).).
Le château entre dans l’histoire de France pendant le Directoire, lorsque Joséphine de Beauharnais, épouse de Napoléon Bonaparte, l’achète le 21 avril 1799 pour la somme de 325 000 francs de l’époque, à Le Couteulx du Molay, sur les conseils de Jean Chanorier. C’est Ouvrard qui consent à Joséphine des prêts pour cet achat.
Le château de La Malmaison est un musée depuis 1905 et fait partie de la Réunion des musées nationaux, présentant le château en son état restitué sous le Consulat et le Premier Empire. C’est un des rares lieux en France à présenter un ensemble homogène de mobilier du Consulat.
Chateau de Malmaison, site officiel
https://musees-nationaux-malmaison.fr/chateau-malmaison/
Robespierre
29 août 2024 @ 15:50
Malmaison… c’est tout de même une « maison » qui ne porte pas bonheur. N’ayant pas sous la main les documents cités par Volto, je scrute ma mémoire. Je me rappelle que Bonaparte avait dit à sa femme de se chercher une propriété près de Paris. Il lui donnait carte blanche. Elle se décida pour celle-ci et pour agrandir le domaine acheta aussi des terrains tout autour, dont certains appartenaient à une vieille fille. Celle-ci se suicida après la vente de ses terrains en se jetant dans un étang qui s’y trouvait. Je ne me rappelle pas si cette malheureuse était aussi la propriétaire de la Malmaison mais je sais qu’elle l’était des terrains achetés pour augmenter la propriété des Bonaparte.
Quand on pense que Joséphine y prit froid lors d’une promenade et en mourut, et que c’est là que Napoléon vint se promener, seul et pensif, à la fin des 100 jours en 1815 avant son exil , ce n’est pas une maison qui porte bonheur. Je sais que je suis superstitieux.
Fleur
1 septembre 2024 @ 13:44
J’éviterais aussi, par superstition, de m’installer dans un lieu commençant par « Mal », dont je craindrais qu’il ne porte pas chance.