Le roi Philippe a visité le centre d’entrainement des astronautes européens à Cologne en Allemagne.
Ce centre dépend de l’Agence spatiale européenne. Le souverain été guidé et informé par le directeur Frank De Winne, ancien astronaute belge, il a aussi rencontré Raphaël Liégeois, futur astronaute belge. (Copyright photos : Palais royal)
Je ne sais pas si Thomas Pesquet vit toujours à Cologne ? Il avait évoqué son couple (avec Anne Mottet qui vit à Rome) : « C’est difficile d’être tout seul. On se voit régulièrement donc ça va mais ce serait bien de se voir plus souvent. C’est difficile de s’accorder à deux métiers exigeants. Pour pouvoir s’accorder à mon métier, elle aurait dû arrêter le sien. Je n’avais pas envie de l’exiger. Ce serait très égoiste. Elle n’a pas arrêté et c’est très bien. Mais la conséquence c’est qu’on se voit moins souvent. Ils se connaissent depuis le lycée et ont fait le choix de ne pas avoir d’enfants.
Après avoir fait l’AgroParisTech, Anne Mottet poursuit ses études à l’Institut national polytechnique de Toulouse. Elle soutient sa thèse à l’INRA sur la « transformations des systèmes d’élevage depuis 1950 et relations entre élevage et environnement ». Elle intègre l’Institut de l’élevage en tant qu’agroéconomiste. En octobre 2012, elle part pour Rome et rejoint la FAO où elle est chargé de politique d’élevages.
Passiflore
3 octobre 2024 @ 09:10
Je ne sais pas si Thomas Pesquet vit toujours à Cologne ? Il avait évoqué son couple (avec Anne Mottet qui vit à Rome) : « C’est difficile d’être tout seul. On se voit régulièrement donc ça va mais ce serait bien de se voir plus souvent. C’est difficile de s’accorder à deux métiers exigeants. Pour pouvoir s’accorder à mon métier, elle aurait dû arrêter le sien. Je n’avais pas envie de l’exiger. Ce serait très égoiste. Elle n’a pas arrêté et c’est très bien. Mais la conséquence c’est qu’on se voit moins souvent. Ils se connaissent depuis le lycée et ont fait le choix de ne pas avoir d’enfants.
Après avoir fait l’AgroParisTech, Anne Mottet poursuit ses études à l’Institut national polytechnique de Toulouse. Elle soutient sa thèse à l’INRA sur la « transformations des systèmes d’élevage depuis 1950 et relations entre élevage et environnement ». Elle intègre l’Institut de l’élevage en tant qu’agroéconomiste. En octobre 2012, elle part pour Rome et rejoint la FAO où elle est chargé de politique d’élevages.