Résumé : « Majestueuses pivoines, délicats décors mauresques, envolées de passereaux, guirlandes de fleurs et palmettes…Découvrez cette céramique ancienne dans l’air du temps, ornée d’images poétiques.
Partagez l’univers de Blanche Patine qui rend hommage à la Terre de fer et invite à contempler la richesse de ses motifs, la diversité de ses formes et de ses modèles. Mis en image par le photographe Karel Balas, ce beau livre, témoin d’une identité française, séduira tous les amoureux des arts de la table.
Vous en apprendrez plus aussi sur l’histoire de ces pièces, leurs marques, leurs manufactures et le lien indéfectible que tisse Blanche Patine avec elles ».
« Terre de feu. Collections de céramique française », Blanche Patine, EPA, 2024, 240 p.
particule
14 octobre 2024 @ 08:46
Dans mes placards … j’ai l’exposition à domicile.
Fleur
14 octobre 2024 @ 11:38
J’en avais plusieurs pièces. Il me reste un plat creux.
Antoine 1
14 octobre 2024 @ 11:42
Les motifs présentés ici sont essentiellement fin XIXe début XXe. Il est vrai que leur charme désuet fait actuellement fureur. Les motifs de pensées, capucines, hortensias, géraniums, oiseaux de toutes sortes ornent les belles tables actuelles, en bleu, rose ou vert. Des assiettes dépareillées ne sont pas un problème. Associées à des verres gravés, du linge blanc brodé et de la belle argenterie, on obtient des tables superbes moins convenues qu’avec de la traditionnelle porcelaine uniforme devenue un peu ennuyeuse.
VIOLETTE
14 octobre 2024 @ 12:05
MERCI pour cette info.
creusoise
14 octobre 2024 @ 13:26
Terre de Fer
alceste
14 octobre 2024 @ 14:11
terre de feu ou terre de fer ???
Charlotte (de Brie)
14 octobre 2024 @ 18:20
Je vais certainement me procurer cet ouvrage.
Curieusement, du côté paternel comme maternel,il y avait des pièces de vaisselle « Terre de Fer » ornées de motifs de même couleur :, un bleu sombre que les spécialistes appellent : « bleu encre » les motifs peuvent être roses ou verts, couleurs que l’on retrouve d’ailleurs aussi sur les toiles de Jouy.
Les unes, côté maternel, sont issues des faïenceries de Sarreguemines et Digoin, modèle « Tsarine » bordures de palmettes et motifs papillons et graminées
Les autres, côté paternel, sont notées : porcelaine opaque de Gien Terre de Fer,
Perruche, les motifs sont donc : perruche et herbes et la bordure trèfles et fleurs. Ce nom porcelaine me surprenant car cette vaisselle n’a pas la transparence de la porcelaine, sa couleur, sa finesse, j’ai cherché….
En fait je n’ai rien trouvé de probant concernant cette appellation sauf à vouloir donner un titre de noblesse à cette vaisselle somme toute rustique.
Mais j’ai appris que cet alliage de fer et d’argile était déjà connu en Egypte antique et que c’est à l’époque médiévale en France que cette technique s’est répandue.
C’est à la fin du XIXè que cette vaisselle connait son heure de gloire, pour tomber en disgrâce dans la deuxième moitié du XXè et revenir à la mode ces derniers temps. On en trouve dans les vide-greniers et brocantes à des prix raisonnables mais les antiquaires surfant sur la mode exagèrent un peu me semble-t-il .
Danielle
14 octobre 2024 @ 18:22
Ce livre me plairait beaucoup.