Résumé : « Ouvrez les portes du château du Val de Loire de Flore de Brantes, pénétrez dans la demeure londonienne raffinée de Remy Renzullo et promenez-vous dans le studio d’artiste inspirée d’Isabelle de Borchgrave en Belgique.
Chaque lieu prend vie grâce à de magnifiques photographies de demeures somptueuses, de compositions de table originales et de décorations florales créatives.
Au-delà de sa richesse visuelle, ce livre propose des recettes et des menus délicieux, adaptés à chaque occasion : du pique-nique décontracté au bord de la piscine au repas chic en ville, en passant par le dîner aux chandelles pendant les fêtes.
Les hôtes et hôtesses : Filipa de Abreu, Aurélie Bidermann, Isabelle de Borchgrave, Sophie Bouilhet-Dumas, Muriel Brandolini, Flore de Brantes, Brigitte Bury Dervault et Maurice Dervault, Françoise Dumas, Nathalie Farman-Farma, Laura Gonzalez, Olympia et Ariadne Irving, Isabelle Moltzer, Pascale Mussard, Franz Potisek, Rebecca de Ravenel, Remy Renzullo, Caroline Sarkozy, Pierre Sauvage, Scott Stover, Sabine Van Vlaenderen Badinter. »
« Plans de table. Quand recevoir est un art », Pierre Sauvage, Flammarion, 2024, 320 p.
Baboula
14 octobre 2024 @ 01:54
J’espère que les tabourets sur la photo ne sont là que pour la photo,car ce n’est pas savoir recevoir que faire asseoir ses invités sur de pareils sièges .Nous ne sommes plus à la Cour de Versailles pour s’asseoir sur d’inconfortables tabourets .
Robespierre
15 octobre 2024 @ 13:54
Moi, la couleur du mur me couperait la faim. Mais les boiseries blanches sont superbes.
Baboula
15 octobre 2024 @ 22:29
Asseyez vous dessus …
ISA
14 octobre 2024 @ 05:32
Pas du tout séduite par cette photo de couverture… En bout de table, la confortable chaise à accoudoirs pour le maître ou la maîtresse de maison je suppose, et les petits tabourets pliants pour les hôtes ! Quant à la décoration de table, elle est si chargée que les convives qui se font face ne peuvent que s’apercevoir. A moins de l’enlever juste avant le repas, mais alors la table est nue. Non, cette mise en scène de décorateur n’est vraiment pas représentative de l’art de recevoir…
Pierre-Yves
14 octobre 2024 @ 08:32
Je peux comprendre qu’on se soucie de cela quand on mène un vie mondaine. Mais quand on ne reçoit chez soi (ce qui est mon cas) que des proches, copains ou famille, on ne s’encombre guère de ce genre de considérations.
Si bien que lorsque je vais chez ma belle-mère qui est attachée à la tradition des plans de table, je ne peux pas m’empêcher de trouver cela assez pesant. Sans doute parce que je me suis souvent retrouvé assis à côté de gens un brin barbants.
Robespierre
15 octobre 2024 @ 14:03
En revenant d’exil, après la Révolution française, Madame de Genlis qui avait fréquenté le Palais Royal, fief des ducs d’Orléans et connaissait les usages, était horrifiée par cette coutume qu’elle trouvait grossière : asseoir les gens selon leur importance sociale. Ou leur rang. Sous l’Ancien Régime, disait-elle, la maîtresse de maison mettait son bras sous celui des convives qu’elle désirait avoir à ses côtés. Et tout le monde s’asseyait où il voulait et parfois avec un voisin de table préféré. C’est pour cela que les Américains d’aujourd’hui, qui suivent aussi, déjà à la Maison Blanche, les coutumes actuelles, parlent de Jefferson comme d’un original ou un hurluberlu, qui disait à ses invités « assez-vous où vous voulez ». Il avait vécu à Paris avant la Révolution et connaissait les usages de cette époque.
J’aimais lire les mémoires, dans le temps, parce que l’on apprenait toujours quelque chose d’intéressant.
Mais quand on réfléchit, n’est-ce pas grossier de placer les gens ? Ou humiliant ?
Baboula
15 octobre 2024 @ 14:31
Quel plaisir d’entendre quelqu’un qui a connu madame de Genlis …
Robespierre
17 octobre 2024 @ 16:01
Pour moi, la partie la plus intéressante de ses mémoires, ce sont les différences qu’elle observe, et souvent déplore, entre l’avant et l’après Révolution. Elle en France sous Napoleon, qui la traita bien.
Robespierre
18 octobre 2024 @ 17:18
… elle rentre en France sous…
Passiflore
14 octobre 2024 @ 10:03
Pierre Sauvage (dont je ne pense pas qu’il ait une parenté avec les Sauvage de Brantes), après avoir organisé des événements pour Dior et Castelbajac, a repris, en 2014, Casa Lopez (boulevard Raspail), considérée comme une référence en matière de décoration. En 2018, il publiait « Casa Lopez, un art de vivre » pour partager son univers parisien et celui de son cottage du Vexin. Il organise régulièrement, à son domicile, des déjeuners pour présenter, entre autres, à la presse les créations de sa marque Casa Lopez. En 2020, dans son ouvrage « Chez eux, quand recevoir est un art », 20 personnalités dévoilaient leur intérieur mais surtout, leur table. Il avait été charmé par le repas de fête la Pâque russe de la famille Poliakoff.
Cosmo
14 octobre 2024 @ 10:58
Je préfère me fier à mon goût plutôt que dépenser 65€.
Hector
14 octobre 2024 @ 11:35
Prendre ses repas sur un tabouret, je ne pourrais pas sauf cas de force majeure.
Baboula
15 octobre 2024 @ 14:33
Je préfère manger débout à la cafétéria.
Passiflore
14 octobre 2024 @ 11:37
La marchande d’art décoratif bruxelloise Flore de Brantes (nièce d’Anne-Aymone Giscard d’Estaing) et son mari, Amaury de La Moussaye, organisent au château du Fresne des fêtes costumées estivales animées et des dîners en plein air décontractés, tout en gérant la ferme de 600 hectares de la propriété et en s’occupant de plus d’une vingtaine de dépendances. Le marquis de Brantes, arrière-grand-père de Flore, en hérita en 1914 et Paul, le père de Flore, légua Le Fresne à sa fille à sa mort, en 2007. Flore et sa famille vivent la plupart du temps à Bruxelles où ils dirigent la Galerie Flore, spécialisée en antiquités et art moderne.
(d’après « Architectural Digest »)
Antoine 1
14 octobre 2024 @ 11:46
Tout un repas sur un tabouret, passé un certain âge bonjour la lombalgie. Ce n’est pas se soucier du confort de ses hôtes que de leur offrir des sièges inconfortables.
Robespierre
15 octobre 2024 @ 21:58
Mais c’est de l’esbrouffe ces tabourets fuschia, avec un fauteuil Directoire tapissé bleu roi, la nappe qui ressemble à du papier d’emballage cadeau, et le vert des murs qui donne la nausée. Et le tapis moderne pour le KO visuel final.
C’est pour « se donner un genre » comme dirait ma grand-mère. Personne n’ira diner sur ces tabourets.
Perlaine de Bretagne
14 octobre 2024 @ 12:57
voilà un livre qui m’intéresse – Merci
Danielle
14 octobre 2024 @ 18:21
Ce livre est très tentant.
Baboula
15 octobre 2024 @ 16:56
Pour caller un meuble bancal .
Hervé J. VOLTO
17 octobre 2024 @ 16:14
Quand j’était petit, Maman arrivait à faire des plan de table très appréciés.
Ma soeur, habitant en Provence, préfèfe des tables plus frugales. Mon épouse sait par contre dresser un plan de table élégant sans être trops chargé. Surtout pour les Fêtes de fin d’année…
Malthus
18 octobre 2024 @ 17:20
Moi ma cousine aime les tables colorées de mauvais goût et ma tante les tables dégarnies, car elle est radin.