A Bruxelles, le prince Laurent et la princesse Claire de Belgique ont assisté au spectacle « Les garçons et Guillame, à table ! » donné au profit de la Maison d’accueil Reine Marie Marie Henriette qui existe depuis plus de 150 ans et qui est sous le patronage de la princesse. (Merci à Elena pour ses photos)
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Danielle
11 octobre 2024 @ 10:58
Une apparition avant l’expatriation ? Claire nous manquera et c’est un plaisir de la voir à ce spectacle.
Linda
11 octobre 2024 @ 14:29
L’expatriation est un projet de Laurent pour le futur, pas nécessairement imminent, comme il l’a expliqué dans une interview recente. Je ne serais pas surprise si cela ne se fera pas, d’ailleurs
Caroline
11 octobre 2024 @ 11:03
Ça fait certainement du bien à Laurent de Belgique de participer à ce spectacle avec sa ‘ délicieuse ‘ femme 🥰 !
Donc, pas le moment de se plaindre de sa personne 😒!
gene
11 octobre 2024 @ 11:22
La 2e photo montre bien la ressemblance du prince Laurent avec son père.
Jean Pierre
11 octobre 2024 @ 11:29
Je n’avais pas vu la pièce de Gallienne lors de sa tournée et avais dû me contenter du film quelques années après.
Je ne doute donc pas qu’ils auront passé une bonne soirée et que le spectacle aura arraché quelques sourires à Laurent le renfrogné.
Baia
11 octobre 2024 @ 11:32
Vraiment charmante Claire et surtout beaucoup plus simple et naturelle que sa belle-sœur Mathilde.
Cecilie
11 octobre 2024 @ 12:52
Avec vous Baia.
Claire est lumineuse, sans chichi,… Elégante.
Elle a pourtant la lourde tâche de seconder son époux mal dans sa peau.
Elle aurait été une excellente reine sans manière.
Que l’on ne mette pas en exergue les origines des d’Udekem d’Acoz.
Hector
11 octobre 2024 @ 12:52
Pas les mêmes fonctions non plus.
Baboula
11 octobre 2024 @ 13:24
comparer ce qui est totalement incomparable.
Jo
11 octobre 2024 @ 13:24
Moi je trouve que Mathilde est simple et douce pourtant
Robespierre
11 octobre 2024 @ 11:51
J’ai une amie belge qui à l’école chez les soeurs rigolait de l’aspect rébarbatif, enfin de la laideur, de la vieille reine Marie-Henriette dans son livre d’Histoire. L’instit l’a vertement tancée en disant « c’était un sainte ! ».
Je lui ai dit que ce n’était pas une sainte. Elle était dure avec ses filles, dénuée de tout amour maternel. Il n’y avait que les chevaux qui l’intéressait. Pourquoi dans les institutions religieuses les enseignants ont-il besoin de sanctifier tout ce qui porte couronne ?
Ou alors j’ai loupé quelques épisodes.
Robespierre
11 octobre 2024 @ 13:05
… qui l’intéressaiENT
Marquise
11 octobre 2024 @ 14:26
C’est un fait mais si vous vous documentez un peu sur la Reine Marie-Henriette, vous réaliserez que c’était une jeune personne joviale et très vive d’esprit qui n’est devenue cette austère et distante souveraine que par le mépris et le manque de considération que son mari a eu pour elle. Il méprisait ses goûts qui n’étaient pas les siens, lui reprochait leur mariage qui lui avait pourtant tout autant été imposé qu’à lui et par la suite lui a aussi reproché la mort de leur fils unique et son incapacité à lui en donner un autre (comme si elle y pouvait quelque chose).
Marie-Henriette est une femme qui a été brisée par sa condition aristocratique, son mariage de raison, un époux qui ne lui a laissé aucune place en tant que femme, épouse ou même reine.
Son seul tort a été de se réfugier à Spa dans la solitude de son salon de musique et de ses écuries plutôt que dans son rôle de mère.
particule
11 octobre 2024 @ 12:24
Ce couple n’a pas l’air si malheureux que celà dans leur pays . La princesse Claire est très épanouie et se prête volontiers à ce job de représentation monarchique.
Passiflore
11 octobre 2024 @ 12:39
Marie-Henriette de Habsbourg-Lorraine avait épousé, en 1853, Léopold de Saxe-Cobourg, héritier du trône de Belgique. Ils ont eu trois enfants, Louise, Léopold et Stéphanie. Le prince héritier est mort en 1869. La naissance de Clémentine, trois ans après, fut une déception pour le roi Léopold II qui s’éloigna définitivement de son épouse. En 1867, Marie-Henriette avait réussi à ramener à Bruxelles sa belle-sœur Charlotte, impératrice du Mexique, qui avait perdu la tête après l’assassinat de son mari à Queretaro.
Marie-Henriette quitta Bruxelles pour séjourner, puis s’installer définitivement, en 1895, dans la villa royale de Spa, ancien « Hôtel du Midi » (dont une des ailes abrite le musée de la ville d’eaux de Spa). Elle y meurt, le 19 septembre 1902.
Robespierre
11 octobre 2024 @ 13:07
Oui, c’est M.Henriette qui est allée chercher Charlotte. Elle était une Habsbourg et Charlotte était veuve d’un Habsbourg. Il y avait quand même un obligation morale à observer de ce côté. Et on ne sait si c’était de propre mouvement ou chargée par son mari.
Jean Pierre
11 octobre 2024 @ 13:17
Quelle idée d’aller à Spa ?
On dirait une ancienne station thermale des Vosges. Peut-être à l’époque c’était hype pour cette pauvre Marie Henriette.
Passiflore
11 octobre 2024 @ 13:33
Je ne connais pas Spa mais je sais qu’à Baden-Baden on s’amusait beaucoup et « la terre entière » (j’exagère) s’y retrouvait.
Robespierre
11 octobre 2024 @ 14:06
Jean-Pierre, Spa était au 18e S une des stations thermales les plus courues parmi les souverains, la haute noblesse européenne et les gens importants. C’était un endroit très chic et je crois plus chic que les stations thermales allemandes. Je crois même que Pierre le Grand y est passé. Dans les mémoires de la fin du 18e S on parle souvent de Spa. A l’époque de Marie-Henriette, c’était sans doute devenu plus calme, mais la gloire de l’endroit avait perduré.
En anglais, le mot « spa » pour dire centre de soins et de remise en forme, ou ville d’eau doit venir de la ville de Spa. A une époque où la Belgique n’existait pas encore. Je pense que Spa était dans la Principauté de Liège.
KAYLEEN
11 octobre 2024 @ 14:05
Tiens il est encore en Belgique? Bye bye