Ce mercredi 30 octobre 2024, la grande-duchesse Maria Teresa de Luxembourg prendra la parole au Palais des Congrès Porte Maillot à Paris lors de la session spéciale « Les violences sexuelles dans les zones de conflits » lors du 68ème congrès de l’union internationale des avocats.
30 octobre 2024 @ 08:23
C’est vraiment bien que Maria Teresa soutienne cette cause. Elle s’y investit avec ardeur. Que de souffrances pour ces femmes victimes des conflits.
30 octobre 2024 @ 12:12
C’est essentiel de préciser le contexte conflictuel, car la logique d’agression est différente de celle observée dans les viols de droit commun. Cela ne prive ni l’un ni l’autre de gravité, bien sûr.
30 octobre 2024 @ 23:01
Gab-Pnth, bien sûr, c’est très différent dans les zones de conflit. Dix ans après l’enlèvement de 276 élèves, la plupart chrétiennes, d’un lycée pour filles à Chibok (au Nigeria), 98 filles sont toujours maintenues en captivité par Boko Haram (en haoussa, « Boko Haram » signifie « L’éducation occidentale est interdite ») et de nombreux autres enlèvements ont eu lieu depuis et des jeunes filles ont été enlevées, violées, tuées et « mariées » de force.
31 octobre 2024 @ 15:31
Je pensais notamment à ces jeunes filles.
Les violences sexuelles sont une « arme » de domination des populations dans les zones de conflit. Il n’a pas existé de guerre dans l’histoire, sans qu’il n’y ait de viols des femmes et filles des zones traversées ou occupées. Guerres et violences physiques (au sens large) sont intimement liées.
30 octobre 2024 @ 16:06
Je pense notamment aux otages féminines retenues à Gaza. Et aux femmes tuees le 7 octobre après avoir été violees, torturees. On a entendu ni les féministes ni pratiquement personne pour en parler.
30 octobre 2024 @ 20:15
MT a trouvé une bonne cause pour se mettre en avant y compris son décolleté 😅
31 octobre 2024 @ 16:02
Et vous avez raté l’occasion de tout simplement vous taire.
31 octobre 2024 @ 14:44
» Pour en finir avec le viol comme arme de guerre » . Ecrit sur l’affiche.
C’est se faire illusion, et se servir de cette illusion pour se mettre en avant.
Qu’on soigne a posteriori les femmes victimes de tels viols – ainsi que d’autres d’ailleurs -, oui, là, il y a utilité.
Mais laisser entendre qu’on va éradiquer le viol pendant les guerres, c’est tromper la galerie.