La fondation des diaconesses a vu le jour en 1866 au Danemark sous l’impulsion de la reine Louise, épouse du roi Christian IX.
MoreLa fondation des diaconesses a vu le jour en 1866 au Danemark sous l’impulsion de la reine Louise, épouse du roi Christian IX.
More
MartineR
12 novembre 2024 @ 10:09
A Paris, l’hôpital des diaconesses a une excellente réputation
Passiflore
12 novembre 2024 @ 12:44
Oui, MartineR, et elles ont un service de soins palliatifs.
MartineR
12 novembre 2024 @ 17:37
Et une maternité de pointe aussi
Charlotte (de Brie)
13 novembre 2024 @ 08:58
L’hôpital des Diaconesses n’a plus de « diaconesses » que le nom.
Situé rue du Sergent Bauchat dans ce qui était la plaine de Reuilly, à l’origine un dispensaire fondé en 1841 par une laïque et un pasteur luthérien, les soignantes étaient des diaconesses : femmes veuves ou célibataires se mettant au service des personnes démunies, souffrantes ou handicapées , le dispensaire deviendra ensuite un hôpital qui de « diaconesses » prendra le nom de : Hôpital de la Croix Saint Simon. Trois établissements en font partie , le site historique 12 rue du Sergent Bauchat, le centre de Santé Bauchat Nation, au 24 de la même rue et l’hôpital de la Croix Saint Simon rue d’Avron dans le XXè. Tous ces établissements sont regroupés sous le vocable : HDCSS et jouissent d’une excellente réputation mais les diaconesses n’y sont plus….
Leur communauté comportant environ 50 soeurs consacrées est à Versailles. Leur devise : « accompagner toute une vie »
Au mois de septembre dernier, la première édition du « diacocare » s’est tenue dans les 60 établissements répartis en France mais aussi en Suisse, Belgique, Luxembourg sur les thèmes : prévention des chutes chez les personnes âgées, aide à l’autonomie, soutien aux aidants, santé mentale etc
La communauté des diaconesses est ancrée dans les Eglises de la Réforme mais ouverte au dialogue oecuménique.
Jean Pierre
12 novembre 2024 @ 10:23
Il ne reste plus guère de diaconesses si ce n’est dans les maisons de retraite qui leur sont dédiées. J’ai encore connues les dernières infirmières dans les cliniques qui portaient leurs noms. Femmes dévouées d’un autre temps.