Jean-Charles de Castelbajac, souvent surnommé JCDC, est issu d’une lignée aristocratique française. Né le 28 novembre 1949 à Casablanca, il est le descendant d’une vieille famille noble du sud-ouest de la France, les de Castelbajac.
Ce pedigree aristocratique est un fil rouge qui traverse son œuvre, tant dans son attachement à l’histoire qu’à l’héritage de traditions françaises qu’il aime revisiter avec audace et humour.
Son enfance, marquée par un catholicisme traditionnel, a laissé une empreinte durable sur sa sensibilité artistique. Le blason familial et les valeurs transmises par ses ancêtres inspirent nombre de ses créations, où le passé rencontre une modernité pop.
Il est connu pour sa créativité débordante et son goût pour la fusion des genres. Il a révolutionné la mode et le design avec ses créations pleines de couleurs vives, de motifs audacieux, et de références culturelles inattendues. Ce qui le distingue particulièrement est son incorporation d’éléments religieux dans son travail.
Castelbajac s’est illustré dans la conception de vêtements pour des cérémonies religieuses.
En 1997, il crée une série de chasubles pour la messe des Journées Mondiales de la Jeunesse célébrée par le Pape Jean-Paul II à Paris. Ces pièces, colorées et modernes, mêlent tradition et avant-garde, symbolisant la joie et la spiritualité de l’événement.
Ses collections regorgent de clins d’œil au sacré. Il intègre dans ses créations des motifs tels que des croix, des images de saints, et des références à des fresques médiévales. Il joue avec l’esthétique des vitraux et des tapisseries ecclésiastiques, tout en les transposant dans un langage visuel contemporain.
Castelbajac s’associe régulièrement à des projets artistiques intégrant le religieux. Par exemple, ses installations et performances rendent hommage à l’art sacré tout en le réinterprétant dans une perspective pop et postmoderne.
Avec son style unique, il est parvenu à faire dialoguer le sacré et le profane. Ses créations célèbrent la joie de vivre et la spiritualité tout en demeurant accessibles et ludiques. Son œuvre reflète une personnalité qui embrasse à la fois la tradition aristocratique et l’avant-garde culturelle.
C est un créateur inclassable qui marie héritage aristocratique, foi catholique et modernité artistique. Son œuvre, à la croisée de la mode, de l’art et de la spiritualité, continue de fasciner par son originalité et sa profondeur symbolique. (Merci à Bertrand Meyer)
Jean Pierre
8 décembre 2024 @ 10:17
On dirait une imitation de Saint Laurent s’inspirant de Mondian.
Pas très original et un peu daté.
Robin des Bois
8 décembre 2024 @ 10:26
Mondriaan.
Trianon
8 décembre 2024 @ 12:04
Mondrian…je crois….on va y arriver !:))
camille
9 décembre 2024 @ 08:11
en effet, la chasuble principale , vraiement , une nappe de table, trop de couleurs criardes pas beau du tout,
Perceval
9 décembre 2024 @ 08:12
Mondrian (on va y arriver)
Jackie
8 décembre 2024 @ 11:17
Ce que j’ai vu hier à la TV ne me paraissait pas du tout daté, bien au contraire.
Guiguy
8 décembre 2024 @ 13:10
Quelle coïncidence, on a parlé de lui hier sur une chaîne de télé. Il a à côté de votre observation Jean-Pierre, des œuvres très intéressantes dont j’ignorais qu’il était l’auteur.
Cécilie
8 décembre 2024 @ 17:08
… Mondrian né Pieter Mondriaan.
Robin des Bois
9 décembre 2024 @ 14:49
Merci, j’ignorais qu’il avait pris un nom de plume, ou plutôt de pinceau. Mondrian c’est plus international. Dans mon enfance, j’en ai entendu parler comme Mondriaan, par un Néerlandais.
Menthe allo
9 décembre 2024 @ 09:46
Daté, je dirai raté, bien que je n’aime pas donner un avis négatif. A la limite bon pour une église « moderne » Le Corbusier.
jul
9 décembre 2024 @ 16:50
Oui Menthe allo, il y a de gracieuses églises des années 1960, 70 dans nos ZUP et ZAC françaises qu’il faut aussi entretenir, signes de la présence de l’Eglise au delà des centres. Les chantiers du Cardinal s’en occupent bien dans les départements de l’Ile-de-France.
l'Alsacienne
8 décembre 2024 @ 10:30
J’ai le souvenir des vêtements liturgiques lourds, chargés de broderies vieillotes.
Hier soir, j’ai découvert des vêtements et accessoires liturgiques aux couleurs claires, et affirmées. Un vent d’originalité et de jeunesse.
Dom06
8 décembre 2024 @ 10:54
Je suis d accord avec vous.
Original et clair.
Menthe
8 décembre 2024 @ 10:54
Moi j’aime bien, et puis ça reste dans le style Castelbajac .
Natouchka
8 décembre 2024 @ 13:01
J’ai beaucoup aimé ce design, que j’ai trouvé à la fois sobre et coloré, moderne et intemporel. Vraiment une réussite.
Isaure
8 décembre 2024 @ 14:27
Haute pensée dites-moi… et pitoyable remarque qui ne met pas à l’honneur l’Alsace si sûre d’elle dans ses traditions « vieillotes »…
Perlaine de Bretagne
9 décembre 2024 @ 14:53
Isaure Hautes pensées pour l’Alsace qui garde ses traditions admirées dans le monde entier , à l’égale de celles de ma Bretagne qui attirent des millions de gens dans le monde . Le monde entier connaît Lorient du fait du Festival Interceltique – Le monde entier connaît les Basques .Ah oui mais bon c’est plouc de le dire n’est-il pas , ce n’est pas plouc de bisouiller les rois et reines ze les officiels de tous pays ,de donner une tape dans le dos à un évêque et cerise sur le gâteau de se donner le bras comme à la foire de Trifouillis les oies dans une cathédrale !
jul
8 décembre 2024 @ 19:09
J’ai beaucoup aimé cette cérémonie. Le président de la république a trouvé les mots pour dire la fierté et la gratitude que nous sommes nombreux à ressentir. Les références étaient vraiment à la hauteur. La mise en valeur des sapeurs-pompiers, des artisans et travailleurs.
J’ai aussi apprécié l’invitation du président Trump. M. Macron nous a fait honneur par sa conduite et ses mots. Et pour une fois, il n’a pas dit « le chemin », « l’engagement », quel soulagement car cela devient vraiment insupportable. Nous n’avons pas élu un prêtre ou un moniteur de stage de citoyenneté. Bravo M.le président !
Mais hélas les ornements sacerdotaux du clergé ne s’harmonisaient pas. La crosse digne de star wars est ridicule et les trop nombreux coups sur la porte, d’une symbolique douteuse. Les ecclésiastiques de cette génération sont parfois à blâmer. Ceux qui prendront le relais feront différemment. Pourquoi ne pas revenir au rochet et autres ornements anciens ? Ces formes et couleurs pseudo-contemporaines sont repoussantes. C’est très bien pour la salle de sport, à la muscu cela est adapté, pourquoi toujours cette confusion des choses ?
Minois de tonton de la rive droite
9 décembre 2024 @ 15:17
La crosse me semblait provenir des accessoires du Seigneur des anneaux plutôt que de Star Wars. J’attendais qu’un rayon laser bleu roi en sorte à tout moment. 🐬
jul
10 décembre 2024 @ 18:37
Oui bien vu pour le seigneur des anneaux :)
Pareil, ne manquait plus que le rayon laser
Pascal Hervé
11 décembre 2024 @ 14:18
Mon cher il faut choisir, il n’y a pas de rayon laser dans le Seigneur des Anneaux.
A la rigueur on peut évoquer le bâton de Saroumane qui devient celui de Gandalf à la fin du deuxième tome ,”Les Deux Tours” et encore je pense uniquement d’après l’adaptation de Peter Jackson ; il s’orne au sommet d’une sorte de globe d’où peut jaillir une lumière, le bâton initial de Gandalf se termine par une sorte de griffe ou de main mais il peut lui aussi produire de la lumière.
Antoine1
9 décembre 2024 @ 15:28
La crosse, il est vrai, est hideuse et ridicule. On s’attend à en voir sortir un rayon vert ou bleu pour foudroyer les impies. Son mérite est d’avoir utilisé du bois rescapé des décombres. Mais on aurait pu faire mieux et moins chichiteux. Quand aux coups sur la porte, ils font partie du rituel en vigueur depuis la nuit des temps pour la consécration ou la réouverture d’une église.
Pour ce qui est du rochet, Jul, vous allez vous faire lapider… On n’en voit plus guère qu’à la Fraternité St-Pie X ou à la Fraternité St-Pierre. C’est effectivement un très beau vêtement de choeur. En Velay, pays de dentelières, nous en avons de superbes qui, hélas, moisissent dans les tiroirs des sacristies.
jul
10 décembre 2024 @ 18:53
Ah Antoine, d’accord avec vous pour la crosse.
Je m’incline devant le rituel en vigueur pour les coups sur la porte. Heureusement que l’idée de la Sainte-Trinité a été expliquée.
Une prédication vigoureuse, en chaire, dans le style du curé de Marcel Pagnol aurait été délicieuse. J’admire ce style de prélat. Une grande admonestation pleine d’amour.
carmina burana
11 décembre 2024 @ 16:30
Cette crosse a ete faite avec un morceau de la charpente de Notre Dame qui n avait pas brule,un beau symbole pour faire ouvrir la porte.
Pascal Hervé
8 décembre 2024 @ 19:42
Un encensoir futuriste particulièrement hideux selon moi .
Si JCDC est l’auteur de la chasuble que portait monseigneur Ulrich et ses auxiliaires ce n’est vraiment pas une réussite à mes yeux .
Jean-Paul II portait de magnifiques chasubles de créateurs contemporains.
Bernadette
9 décembre 2024 @ 13:47
Il me semble que pour les jmj avec JPII à Paris les tenues étaient deja l’œuvre de JC de Castelbajac…
Pascal Hervé
9 décembre 2024 @ 14:09
Il n’y avait rien à y redire , mais là c’était surtout la chasuble de Monseigneur Ulrich et celles de ses deux assesseurs (?) qui étaient désastreuses.
Je pense aussi que la qualité des étoffes y était pour quelque chose.
Christine
10 décembre 2024 @ 01:29
Pourtant parmi les plus belles étoffes..
Magnifique..cha cun ses goûts
Menthe
9 décembre 2024 @ 17:01
Oui Bernadette, c’est d’ailleurs écrit dans l’article. Et les couleurs étaient les mêmes.
https://images.app.goo.gl/iQUKxp6CSMr3dTVx5
Antoine1
9 décembre 2024 @ 15:32
L’encensoir est effectivement ridicule. On trouve des porte-éponges en inox pour salles de bains qui en sont la copie conforme. Je pense qu’on a voulu évoquer l’éponge fixée au bout de la lance par le centurion pour donner à boire à Jésus lors de la Passion. Néanmoins, je n’en suis pas certain…
Pascal Hervé
10 décembre 2024 @ 18:03
J’ai en effet pensé à des accessoires de plomberie.
Je crois qu’on aurait pu conserver la conception traditionnelle tout en dessinant quelque chose de moderne .
Mais on risquait peut-être de copier des objets liturgiques très ancien ,je pense pour le style à ”l’Aigle de Suger ” qui est au Louvre ,cela n’aurait pas été assez innovant.
Je pense que cet encensoir sera assez rapidement oublié dans un placard , il n’avait pas l’air très pratique ?
Nous mesurons au moins la chance que l’on ait bien voulu restaurer la cathédrale à l’identique, y compris la flèche .
Mathilde
8 décembre 2024 @ 19:53
Comme l’a souligné un commentaire: https://x.com/OstensiblyChris/status/1865563738905948568 les vêtements font penser à une carte du jeu Uno!
Je n’y vois aucune « profondeur symbolique ». Ces vêtements aux couleurs criardes ne sont pas beaux et sont vides de sens. Le « vent » qui a soufflé pour les inspirer n’est sans doute pas celui de l’Esprit Saint…
Je suis d’accord que certains vêtements anciens peuvent sembler « lourds » et leurs broderies « vieillottes » mais ce qui a été fait ici n’est pas mieux.
L’Eglise n’a pas à être « dans le vent » surtout si c’est pour produire quelque chose de laid. Je pense qu’on peut créer des vêtements qui correspondent à notre époque tout en faisant de belles choses qui aient un sens et qui invitent à la prière.
Bernadette
9 décembre 2024 @ 13:49
Elles correspondent aux couleurs liturgiques de l’Eglise au long de l’année…
Antoine1
9 décembre 2024 @ 15:41
Sauf que les couleurs liturgiques sont destinées à des périodes de l’année bien déterminées, et différentes suivant la fête du jour (blanc pour les vierges, rouge pour les martyrs, vert pour le temps dit ordinaire, noir ou violet pour les défunts). Le bleu n’est pas une couleur liturgique, bien que toléré pour les solennités de la Vierge. Le rose en est une, deux fois par an (dimanche de Laetare, en Carême, et dimanche de Gaudete, dimanche prochain, en Avent).
Barioler les vêtements liturgiques de toutes les couleurs, comme le dit Mathilde, n’a pas de sens.
jul
9 décembre 2024 @ 16:42
Oui c’est une confusion des temps, un « en-même-temps des temps » fort regrettable.
Passiflore
10 décembre 2024 @ 00:06
Bernadette, oui mais maintenant nous sommes en période
de l’Avent dont la couleur liturgique est le violet
Passiflore
9 décembre 2024 @ 17:34
Ce sont les couleurs exactes de Google Chrome
Pascal Hervé
8 décembre 2024 @ 20:53
J’ai oublié la crosse qui m’a fait penser à un gigantesque berlingot.
Mais grâce à tout cela j’ai appris un mot : ”paramentique” .
Bouclier
8 décembre 2024 @ 23:08
Un vent d’hérésie vous voulez dire ?
Teddy
9 décembre 2024 @ 07:05
Ils ont changé l autel l ambon la chaire la croix d autel la patène et le calice c était mieux du néogothique
Antoine1
9 décembre 2024 @ 15:43
L’autel antérieur a été détruit pas l’effondrement de la voûte. Il était pire…
Karole
9 décembre 2024 @ 07:58
Je ne suis pas persuadée que les tuniques de clowns attirent davantage la jeunesse à la messe de 10 h. On est à Notre-Dame pas au cirque d’hiver.
Menthe allo
9 décembre 2024 @ 09:42
Ces vêtements aux broderies magnifiques avaient une autre allure que ces découpages d’école maternelle.
Que diriez vous d’appliquer le même traitement à votre beau costume Alsacien ?
l'Alsacienne
9 décembre 2024 @ 12:53
Bonjour Menthe, Ne touchez pas à notre costume alsacien et son gros noeud portant la cocarde tricolore. Ce costume fait partie de notre patrimoine.
Nous avons assez de mal à le conserver.
jul
9 décembre 2024 @ 16:43
Ah l’Alsacienne,vous verrez que dans quelques années, les messieurs et dames de la collectivité imiteront les « modèles » parisiens et « déconstruiront » le costume. Préparez-vous.
Menthe
9 décembre 2024 @ 17:03
Euh, l’alsacienne, ajoutez « allo » après Menthe.
Menthe allo
9 décembre 2024 @ 20:02
Je crois que vous n’avez pas compris mon message.
Vous voulez conserver votre costume (ce que j’approuve) que vous ne trouvez pas vieillot, mais moi je ne trouve pas les habits liturgiques vieillots et suis rassurée de voir que pas mal de personnes n’apprécient pas « les modernes ».
PS : ma cocarde tricolore, c’est un grand-père mort (27 ans) à la guerre de 14/18. cordialement.
Antoine1
9 décembre 2024 @ 11:44
Si les chasubles sont assez réussies, les chapes et les dalmatiques tombent mal à cause des carrés bariolés cousus aux bandes dorées qui font « godiller » l’ensemble. Chacun sait que le vêtement du Christ était sans couture. Les vêtements liturgiques les réduisent au maximum. Ceux-ci sont gais, colorés, mais n’ont rien de liturgique. Ne parlons pas des mitres qui ont l’air d’être en carton et ressemblent à des cotillons. Je connais maints monastères de religieuses qui fabriquent des vêtements liturgiques aussi beaux et beaucoup plus adaptés. Bien sûr, elles ne signent pas JCDC…
Gilles de Bise
8 décembre 2024 @ 10:37
Très, très beau, bravo à Jean-Charles de Castelbajac! Cet habits rehaussent de façon particulièrement esthétique et agréable les symboles liturgiques. Cela manquait un peu dans l’église catholique. Ils me font penser à ceux qui ont été réalisés par Matisse pour la paroisse de la chapelle du Rosaire à Vence.
Solenn
8 décembre 2024 @ 10:40
Il faut voir l’ensemble et ce matin sont montrés les autres habits sacerdotaux c’est magnifique. Léger, frais et moderne.
Jay
8 décembre 2024 @ 10:44
J’ai beaucoup apprécié son travail sur les vêtements religieux qu’on a pu voir lors de l’inauguration, réouverture de Notre-Dame de Paris.
Certains vêtements sont très colorés, voir peut-être trop d’autres leçons avec plus d’élégance.
Certains vêtements sont très colorés, voir peut-être trop d’autres leçons avec plus d’élégance
Francesco
11 décembre 2024 @ 13:34
Leçons, le sont, qui fait l’âne pour avoir le son.
Carter
8 décembre 2024 @ 11:13
J’ai trouvé ces couleurs trop fortes pour la cathédrale toute en douceur
Lucia
8 décembre 2024 @ 11:22
Un renouvellement nécessaire des habits liturgiques,plus dépouillés sans ces décorations dorées offensantes pour une religion qui fait vœux de pauvreté.
Antoine1
9 décembre 2024 @ 15:45
Parce que vous n’avez vu ni doré ni argenté ? Il faut s’inquiéter pour votre vue…
Lucia
10 décembre 2024 @ 14:34
Si peu en comparaison…
Menthe allo
9 décembre 2024 @ 20:16
A mon avis, Notre Dame ne fait pas pauvre !😊
Baboula
10 décembre 2024 @ 16:40
Et la sobriété de Saint Pierre de Rome fait pitié.
Elise
8 décembre 2024 @ 11:31
Mondrian, l’architecte des couleurs du bien aimé ,aussitôt que ces 4 couleurs dominent et Mondrian est cité ,voyant du bleu du blanc,et du rouge, je ne pense pas systématiquement au drapeau français,anglais ou américain et autres comportant ces coloris emblématiques.
Vive le commentaire de l’Alsacienne !! en accord avec » un vent d’originalité et de jeunesse « .
***
Quelle tempête ici, à Biarritz !!!
Lucile M.
8 décembre 2024 @ 11:38
Ces vêtements liturgiques sont effectivement surprenants. Les chasubles avec les petites flammes ont ma préférence. Celles constituées de pans rouge, bleu jaune font leur effet si le prêtre est figé. En mouvement c’est plutôt moche, genre je suis passé par le vestiaire du stade de foot pour m’habiller.
Hervé J. VOLTO
8 décembre 2024 @ 11:39
Ce n’est pas le vêtement qui a été le plus choquant, c’est plutôt la crosse épiscopale sortit d’un manga sud-coréen.
Presto
8 décembre 2024 @ 11:40
J’aime bien Castelbajac,
Il y a quelques années, j’avais de lui un manteau très coloré, que j’appelais ‘mon petit oiseau de toutes les couleurs’.
J’ai apprécié les tenues du clergé hier soir : ça donne un petit coup de jeune et de fraîcheur, tout en n’enlevant rien au sens liturgique de la cérémonie.
Antoine1
9 décembre 2024 @ 15:47
Cela n’enlevait rien au spectacle, mais je suis plus dubitatif sur le sens liturgique.
Hervé J. VOLTO
8 décembre 2024 @ 12:06
Sinon, la chorale des jeunes était plaisante et l’ovation aux pompiers, méritée.
Toutes nos pensées vont au regretté Général Georgelin.
VIOLETTE
8 décembre 2024 @ 12:25
Jean-Charles de Castelbajac n’a pas eu besoin de s’inspirer de Monsieur Yves St Laurents.
Ce sont deux créateurs différents possèdant un grand talent de création, imagination relarquable.
Pourquoi UNE FOIS DE PLUS !!!!! critiquer ?
Lucia
8 décembre 2024 @ 12:33
Qui saurait m’expliquer la symbolique des deux boules de fourrure blanche sur le col de monseigneur Ulrich. ?
Antoine1
9 décembre 2024 @ 15:49
C’est la colombe du St-Esprit qui y a laissé des plumes…
Baboula
10 décembre 2024 @ 16:51
😄 Attention vous allez donner des idées pour le prochain renouvellement de garde-robe.
Daphne
9 décembre 2024 @ 18:03
Ce sont des micros ! Aucune symbolique
Martine C.
10 décembre 2024 @ 09:42
Je pense qu’il s’agissait de micros
Laurent
8 décembre 2024 @ 12:40
La modernité ne nécessite pas la laideur
Le mélange des couleurs était absolument hideux
gisèle T
8 décembre 2024 @ 12:46
D’accord avec vous l’Alsacienne
Erato deux
8 décembre 2024 @ 12:58
Si suis favorable à une certaine modernité. Mais entre les habits liturgiques anciens souvent trop chargés et baroques et ceux vus hier, on peut trouver de la simplicité aux couleurs symboliques et pas bariolée. Non je n’aime pas vraiment ce choix.
Passiflore
8 décembre 2024 @ 12:59
Les Castelbajac que je connais considèrent qu’ils n’ont pas de parenté avec Jean-Charles, né en 1949. Jean-Louis de Castelbajac s’est remarié avec Jeanne-Blanche Empereur-Bissonnet, qui avait déjà un fils, le 6 juillet 1955 à Casablanca. Il paraît que, dans les réunions de famille, les avis sont divergents.
Mayg
8 décembre 2024 @ 13:28
Je ne suis pas contre un peu de modernité bien au contraire, mais j’ai trouvé ces tenues un peu trop bariolées à mon goût. Pour ce qui touche au religieux, je préfère la sobriété .
carmina burana
8 décembre 2024 @ 13:32
Oui,mi aussi j ai trouve ces vetements bien faits,couleurs gaies et dessin epures,c etait parfait pour moi.
Allegria
8 décembre 2024 @ 13:37
Je préfère de beaucoup la chasuble du milieu à celles qu’ils avaient hier qui fait trop cela dit ça avait quand même de l’allure. J’aimais aussi beaucoup celles qu’ils avait faites pour les jmj 1995.
Marie de Cessy
8 décembre 2024 @ 13:55
Eh bien moi j´ai trouvé ces tenues colorées très modernes et élégantes.
Patricio
8 décembre 2024 @ 14:00
Trop coloré, flashi pour moi
Anne
8 décembre 2024 @ 14:51
Je n’ai pas du tout aimé les couleurs, en effet style St Laurent Mondrian !
Marianne ds
8 décembre 2024 @ 15:13
Bravo à M. de Castelbajac !
Ces vêtements liturgiques sont beaux, lumineux, modernes.
Ce couturier avait déjà conçu les vêtements liturgiques lors des JMJ*, en 1997, avec le Pape Jean-Paul II : c’était déjà novateur.
*Journées mondiales de la Jeunesse.
Charles-Antoine
8 décembre 2024 @ 15:25
déguisements de Pokémon… je n’ai jamais apprécié ce créateur…
Il est le fils reconnu mais né en 1949 hors mariage de marquis de Castelbajac, divorcé en 1946 de Françoise d’Esterno, remarié en 1955 avec Jeanne Empereur.
Il serait donc bon de dire en parlant de lui “descendant illégitime reconnu”…
Robin des Bois
9 décembre 2024 @ 13:41
Vous qui savez bcp de choses, comment se fait-il qu’il a pu se remarier à l’église avec sa seconde épouse (une dame ravissante appelée Pauline) quelques années après leur mariage civil ? Madame N°1 est-elle décédée, ou cet ami du Vatican a-t-il eu une annulation ? Il a deux enfants quadragénaires, soit dit en passant. Et une petite fille du second mariage.
S’il est né hors mariage, lui, qu’importe. Le marquis son père a fait son devoir et le couturier a tous les droits de s’appeler Castelbajac.
Kardaillac
8 décembre 2024 @ 15:29
C’est même K-pop ! Au seuil du mauvais goût. Mais ça fait parler de la griffe.
Sissi32
8 décembre 2024 @ 15:44
Ça fait tout de même un peu carnaval, quels sont les symboles ?
Lady Mary
8 décembre 2024 @ 16:37
Le choix des couleurs rappelle Mondrian. J’aurais préféré un peu plus de sobriété.
Cécilie
8 décembre 2024 @ 17:09
Original. J’aime beaucoup les BO et bagues copies Mondrian.
beji
8 décembre 2024 @ 17:14
C’est moderne,ça aurait pu être pire.
Artagnan
8 décembre 2024 @ 17:28
Je préférais les vêtements liturgiques plus simples. Juste fabriqué à partir d’un textile parfait, unicolore, sans aucune application.
HELENE
8 décembre 2024 @ 17:42
Mon mari a eu un flash en voyant ces vêtements, le maillot de Bernard Hinault pour l’équipe Look…
Chacun ses références 😂
Danielle
8 décembre 2024 @ 18:42
Très beaux vêtements et ce matin, la photo de tous les évêques près de l’autel était magnifique.
Rose 1
8 décembre 2024 @ 18:46
J’ai bien aimé la nouveauté des vêtements liturgiques des prêtres et évêques, plus clairs et lumineux…Cela change de l’ancien ,il y a aussi la couleur bleue des petits chanteurs ,modernes et superbes …
La cérémonie a été simple , exceptionnelle mais belle ..pleine de ferveur ..
Josaintvic
8 décembre 2024 @ 18:53
Je n’aime pas du tout …avis personnel bien sûr
SISSI
8 décembre 2024 @ 19:09
Jeunesse années 1960. Affreux, daté …
Lucia
8 décembre 2024 @ 19:47
J’ai trouvé, c’est pour masquer les micros qui aident à diffuser sa voix .
Cousin Pons
8 décembre 2024 @ 22:21
C’était d’une rare laideur… Et terriblement 1980…
Caroline
8 décembre 2024 @ 23:29
A lire tous les détails intéressants sur ‘ les célébrants de Notre Dame- de- Paris habillés par les artisans de la haute couture ‘ via le Figaro !
Valois
8 décembre 2024 @ 23:46
Il est vrai que j’ai pensé à Mondrian mais c’était fort beau.
Stanislas
9 décembre 2024 @ 00:24
Google, Lidl et L’Oréal, sources d’inspiration ?
Moche et ringard
Smith
9 décembre 2024 @ 01:24
J’ai vu des habits de clowns, manquait le nez rouge.
racyma
9 décembre 2024 @ 03:15
tres reussi pour moi ces vetements ecclesiastiques
Vivier
9 décembre 2024 @ 05:26
En bon français : « Famille noble du Sud-Ouest, les Castelbajac »…. et non les de Castelbajac !
Perlaine de Bretagne
9 décembre 2024 @ 14:56
exact Vivier
Trianon
9 décembre 2024 @ 22:26
Exact.
Maialen
9 décembre 2024 @ 07:02
Absolument magnifique!
Catherine Rao
9 décembre 2024 @ 08:33
Bravo à toi d’avoir dépoussiéré la garde-robe ecclésiastique ! C’est magnifique de simplicité évangélique .MERCI.
Antoine1
9 décembre 2024 @ 14:29
Vous avez une conception particulière de la « Simplicité évangélique »… La tunique du Christ était écrue, unie et sans couture. Rien à voir avec les oripeaux de Monsieur de Castelbajac.
J21
9 décembre 2024 @ 09:10
Personnellement je n’aime pas ces vêtements liturgiques, trop voyants , trop colorés, presque agressifs. On est loin du « less is more «
Antoine
9 décembre 2024 @ 09:16
Design lourd et moche
Rita Blanc
9 décembre 2024 @ 11:06
Sponsorisés par l Oreal et sa mousse coiffante ?
Regardez
Charles
9 décembre 2024 @ 11:13
Dans Point de Vue La Comtesse de Paris évoque sa rencontre avec Jean-Charles de Castelbajac en ces termes : « Nous avions la grande chance d’être assis aux cotés de Jean-Charles de Castelbajac, qui était en charge de toute la paramentique, et de Guillaume Bardet, le sculpteur qui a réalisé l’autel et le nouveau mobilier liturgique. Ce sont deux grands artistes, qui ont pu nous expliquer leur travail. C’était réellement passionnant. J’ai été particulièrement touché par la devise de la famille de Jean-Charles de Castelbajac, qui dit quelque chose comme « Le lys a fleuri sur la croix ».
Gab-Pnth
9 décembre 2024 @ 11:42
✅ Jean-Charles de Castelbajac
✅ M. Mme de Castelbajac.
✅ La famille de Castelbajac.
Jusqu’ici, c’est ok.
MAIS :
⚠️ Les Castelbajac.
⚠️ « C’est Castelbajac ! »
Respectons les usages, cher Bertrand.
Bien à vous.
Kardaillac
10 décembre 2024 @ 09:11
Seules les maisons royales ou assimilées ont droit au pluriel parce que leur nom n’est pas un patronyme. On dit ainsi « les Bourbons ».
Gab-Pnth
10 décembre 2024 @ 20:58
Oui. Bertrand n’ayant pas commis cet impair, je n’ai pas relevé ce point. Mais oui.
Kardaillac
9 décembre 2024 @ 12:33
Faire moderne, pourquoi pas ? Pour un édifice vieux de huit siècles, pourquoi pas ? mais la chasuble bleu intense brodée main du cardinal Raï, patriarche d’Antioche, avait quand même une autre allure que les essais enfantins de Castelbajac en clowns de cirque. C’était sans doute moins cher.
Antoine1
9 décembre 2024 @ 14:30
Le cardinal Raï a refusé de se déguiser.
Perlaine de Bretagne
9 décembre 2024 @ 14:57
de votre avis !K
Carole 007
9 décembre 2024 @ 12:52
Je n’aime pas du tout.
Ce n’est pas un défilé de mode.
Mayg
9 décembre 2024 @ 14:18
Nous sommes d’accord.
Me
17 décembre 2024 @ 10:40
Une autre œuvre (costumes) du Castelbajac :
https://www.youtube.com/watch?v=DU8puU00I8E&t=3489s&ab_channel=kismartus%28kismartus%29