Meryle Secrest, biographe renommée, présente cette œuvre davantage comme une enquête que comme une biographie traditionnelle, suggérant que la véritable histoire de cette princesse légendaire et tragique reste méconnue.
L’auteure examine la vie de Margaret dans le contexte familial, notamment en relation avec sa mère, Elizabeth Bowes-Lyon, issue d’une famille écossaise connue pour sa consommation d’alcool.
Secrest explore l’hypothèse selon laquelle la consommation d’alcool de la reine mère pendant sa grossesse aurait pu affecter le développement de Margaret, entraînant des conséquences physiques et émotionnelles tout au long de sa vie.
Ce livre vise à replacer la vie de la princesse Margaret dans une perspective plus compréhensive et indulgente, en soulignant les nombreux défis auxquels elle a été confrontée dès sa naissance. En réévaluant certains aspects peu explorés de son histoire, l’auteure cherche à offrir un portrait nuancé et inédit de cette figure royale souvent controversée.
Le livre est prévu pour une sortie en septembre 2025. Cette publication est attendue comme une contribution à la compréhension de l’histoire personnelle et publique de la princesse Margaret. (Merci à Bertrand Meyer)
Robin des Bois
14 janvier 2025 @ 01:05
C’est trop facile d’attribuer l’égoïsme, l’arrogance et en fin de compte l’intelligence limitée d’une petite fille gâtée par ses parents à l’alcoolisme prétendu de sa mère. Est-on sûr de cela ? Enfin pendant sa jeunesse et sa grossesse.
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Elle voulait faire la princesse bohème et cool, mais rappelait ses interlocuteurs à l’ordre en mettant son rang en avant s’ils devenaient trop familiers . L’homme qu’elle a choisi d’épouser ne valait pas grand chose, mais finalement ils se valaient. Lui arrogant aussi. Un de ses anciens camarades raconta qu’après son mariage il a ghosté tous ses amis d’avant Margaret. Plus assez bien pour lui. Il fut infidèle avant son mariage ce qui peint bien la personne, cynique. Un mari souvent grossier avec son épouse sans laquelle il serait resté un photographe chic et bohème, mais sans titre et sans vie privilégiée.
L’originalité à tout prix, au détriment de la réalité, pour enjoliver les choses, ne m’intéresse pas. Je n’aime pas critiquer un livre sans l’avoir lu,mais n’aimant pas le sujet, je peux dire que je ne l’achèterai pas.
Kalistéa
14 janvier 2025 @ 11:53
Je suis totalement de votre avis Roby. Le mari de Margaret ne valait pas grand chose mais la famille royale fidèle à son habitude de jouer la comédie devant le pays afin de donner une image plus sympathique , faignit de l’apprécier , même après le divorce.
framboiz08
14 janvier 2025 @ 02:27
Merci, Bertrand ! Pourquoi pas, cette version ,l’alcool ,la grossesse , on ne sait pas tout …
Une princesse, si belle ,qui ne put épouser Townsend , divorcé et héros ,ce fut difficile pour Elle , il y avait assez de gens, pour la régence, au cas où …
Elle divorça, ensuite et tout le monde divorça, dans les enfants (3 sur 4 et 1 sur 2 chez Margaret ) !
Quand on voit cela ,il y a de quoi être amère ! Même si c’est Elle qui a choisi Tony , si peu sérieux, puisqu’au moment du mariage ,il avait une amie enceinte !
Superbes photo , robe , broderies !
Guiguy
14 janvier 2025 @ 17:14
Bien résumé framboiz08, je partage votre commentaire.
Catherine
14 janvier 2025 @ 06:37
Hélas je crains fort que ce n’est pas que pendant sa grossesse que la consommation d’alcool de la part d’Élisabeth ait affecté Margaret. Elle a vécu avec sa mère bien plus longtemps que sa sœur et sa mère débutait sa journée avec du champagne. Au moment où Margaret était plus fragile, après le violent chantage absurde qu’on lui a fait subir quand elle a osé choisir un homme qui lui plaisait, une bouteille d’alcool sur la table dès le matin et un exemple si éducatif à la maison n’ont pas dû l’aider. Ce n’est pas la première fois que je le remarque d’ailleurs.
Elisabeth mère a fait bien de désastres en famille. D’ailleurs elle même a du accepter un mariage dont elle n’avait pas envie.
Stéphanie
14 janvier 2025 @ 10:54
Le champagne et tous les autres alcools ont tout de même mené la reine mère à 102 ans 🍾 Allez comprendre.
Kalistéa
14 janvier 2025 @ 11:55
Oui , l’alcoolisme de la reine mère et même de Margaret ont été exagérés , vous avez raison Stéphanie;
Cosmo
14 janvier 2025 @ 12:38
Comme disait Sir Winston Churchill : » No sport ! »
Catherine
14 janvier 2025 @ 15:04
Eh bien, ici on parle de sa fille. Et d’un manque de responsabilité total de la part de la bien aimée mère.
Aristocrate
14 janvier 2025 @ 08:23
En somme une relecture « woke », sérieusement je déteste ce mot mais venir blâmer la reine mère pour tout et n’importe quoi et ôter toute responsabilité à Margaret dans ses dé-boires c’est un peu fort de café, ou fort de gin tonic plutôt.
Marie de Cessy
14 janvier 2025 @ 12:48
Ce qui serait bien c’est de cesser de mettre le mot woke à toutes les sauces…
Il perd son sens premier qui est important.
Robin des Bois
14 janvier 2025 @ 13:36
C’est aussi ce que j’ai pensé. Mais je n’avais pas pensé à « woke », et là c’est bien vu.
Catherine
14 janvier 2025 @ 15:06
Woke? Je n’ aime pas ce mouvement mais il n’y a absolument rien de cela dans la situation décrite.
Thalia
14 janvier 2025 @ 08:51
Une senora snob et perpétuellement malheureuse mais une des pus humaines dans son cercle de ce que j’apprends d’elle dans mes lectures.
C’est paraîtrait l’une a qui beaucoup aidé à l’accord du mariage de son neveu Charles et sa maîtresse finalement.
Laurent F
14 janvier 2025 @ 13:29
Elle est morte en 2002 après plusieurs années où elle n’était plus que l’ombre d’elle même.Charles n’a épousé Camilla qu’en 2005, je doute qu’elle y soit pour quelquechose.
Anne-Cécile
14 janvier 2025 @ 09:38
Lorsque la Reine mère mourut à un âge vénérable, courut à Londres cette petite phrase amusante: “L’alcool et la méchanceté conservent fort bien”.
Mais si l’alcoolisme d’Elisabeth Bowes-Lyon est connu depuis fort longtemps , il est nouveau de s’interroger sur la santé des foetus qu’elle porta et de ses filles en grandissant. Mais pourquoi seule Margaret devrait-elle en porter l’hérédité? La reine était-elle plus sobre lorsqu’elle portait la future Elisabeth II?
Marie de Cessy
14 janvier 2025 @ 13:07
Vu qu’ Edouard VIII alors prince de Galles était célibataire et sans enfants et que le couple d’York a galéré pour avoir leurs enfants cela ne me surprendrait pas que pour sa première grossesse on lui ait dit de faire attention.
D’autant que l’on ne pratiquait pas les échographies donc on savait pas à l’avance le sexe de l’enfant. Elle eut donné naissance à un garçon il eut été héritier présomptif du trône.
Ce que d’ailleurs fut la princesse Elizabeth de fait vu qu’elle n’a pas eu de frère. Si Margaret eut été un garçon son destin aurait été tout autre.
Après est ce qu’a l’époque on connaissait déjà les ravages de l’alcool sur les fœtus je ne sais pas.
Catherine
14 janvier 2025 @ 15:12
Peut être car c’était avant. Un accouchement peut aggraver une dépression latente et le temps une dépendance.
Et là je pense que l’obligation pour E. mère d’épouser un homme qu’on lui a imposé car il était le fils du roi s’inscrit dans les nombreux méfaits des affaires de famille des Windsor. Partager sa vie et sa couche avec quelqu’un dont on n’ a pas envie ne vous donne pas la sérénité ni la force nécessaires pour vous éloigner des démons familials de vos ancêtres.
Sophie
14 janvier 2025 @ 10:47
Pour moi la plus belle et la plus distinguée des deux sœurs. Elle n’a malheureusement pas eu la chance comme sa sœur ainée de se marier avec l’homme qu’elle aimait.
carmina burana
14 janvier 2025 @ 12:43
Faux,on laissait bien Margarethe epouser son pilote,a condition qu elle renonce a ses titres,elle a refuse .
Catherine
14 janvier 2025 @ 15:13
Absolument de votre avis.
Iris Iris
14 janvier 2025 @ 11:40
Il y en a une, ici, dont on peut douter de la sobriété.
Kardaillac
14 janvier 2025 @ 11:44
Je crois qu’on sait déjà tout sur la princesse Margaret, les scandales ayant attiré les rédacteurs d’articles à sensations.
Ribambelle
14 janvier 2025 @ 12:43
Me suis posé la même question… Elle a bu des verres seulement lorsqu elle attendait Margareth? Je conçois plus le fait que nous sommes des exemples pour nos enfants et qu elle n avait peut être justement pas le bon exemple à la maison en ayant déjà des fragilités.
Sinon je savais que la reine mère ne crachait pas dans le verre mais je n avais pas pensé qu elle pouvait être alcoolique…
Jean Pierre
14 janvier 2025 @ 13:14
L’histoire ou plutôt son écriture est toujours une affaire de point de vue.
Celui-ci est intéressant mais il est assez essentialiste et nie tout libre arbitre à Margaret.
Laurent F
14 janvier 2025 @ 13:23
Je ne l’ai jamais trouvée particulièrement belle. On lui a refusé le beurre et l’argent du beurre, elle a fait son choix. Y’a plus à plaindre.
Mayg
14 janvier 2025 @ 13:42
L’alcoolisme de sa mère a bon dos. Elle est responsable de son attitude, un point et c’est tout.
Cosmo
14 janvier 2025 @ 14:59
La réalité est, je crois, plus simple. La princesse Margaret était une enfant gâtée, avec du charme, mais sans intelligence ni culture. Elle faisait probablement aussi le complexe du cadet. Pourquoi elle et pas moi ?
Dire que la Reine-Mère était alcoolique est un abus de langage. Elle aimait bien un ou deux, voire trois gin-tonic, le soir, comme beaucoup. La reine Elizabeth également.
Il me semble bien léger de faire porter aux parents la responsabilité de ses aberrations.
Esquiline
14 janvier 2025 @ 17:10
Reste plus qu’à expliquer pourquoi la Reine Mère est devenue alcoolique et la boucle est bouclée.