Au Palais royal d’Amsterdam, le roi Willem-Alexander des Pays-Bas a remis les prix du concours royal annuel de peinture libre à Taqwa Ali, Dear Hacker et Eniwaye Oluwaseyi. Les œuvres seront exposées au public jusqu’au 30 mars prochain.
Au Palais royal d’Amsterdam, le roi Willem-Alexander des Pays-Bas a remis les prix du concours royal annuel de peinture libre à Taqwa Ali, Dear Hacker et Eniwaye Oluwaseyi. Les œuvres seront exposées au public jusqu’au 30 mars prochain.
Lucia 😻
2 février 2025 @ 06:30
Ce prix a été créé au XIX ème siècle pour être une subvention royale aux arts ,mais l’instituer en concours est bien une idée rétrograde .L’Art n’est pas une compétition .Les lauréats doivent tout de même être contents de recevoir 9000 € .
Menthe
2 février 2025 @ 07:47
Dommage de ne pas voir quelques œuvres.
Passiflore
2 février 2025 @ 08:58
Bien que Guillaume III se soit montré réfractaire à la culture, c’est à la fin de son règne, en 1885, que fut édifié à Amsterdam le Rijksmuseum et c’est lui qui avait créée, en 1871, le prix royal annuel de peinture libre, qui est est doté de 9.000 euros. Les oeuvres de ces artistes semblent classiques.
A contrario, je repense à la peinture célèbre du Mauritshuis de La Haye, « La jeune fille à la perle ». Elle avait été prêtée au Rijksmuseum, en 2023, et, à sa place, dans la salle 15 du Mauritshuis une opération avait été lancée « Ma fille avec une perle », «Créez votre propre Fille et ayez une chance d’être exposé dans un cadre numérique à l’emplacement original de la Fille dans la salle Vermeer ». 3.482 créateurs de tous âges avaient donné libre cours à leur imagination et avaient réinterprété le tableau en laine, en argile, en bois, en tissu, en pétales de fleurs, en oignons, en épis de maïs, en museau de chien, en boutons, en céramique, en légumes, en fruits, en coquillages, en perles de verre, en ballons, en légo, en tricot ou en tatouages. Une sélection de 170 oeuvres était affichée numériquement en boucle à l’emplacement du tableau ! Etrange impression !
Sophie
2 février 2025 @ 09:01
C’est très bien d’encourager les talents surtout quand ils sont jeunes. Ça aurait été super d’avoir un aperçu de ces tableaux.
Millebourriques
2 février 2025 @ 09:05
Dommage, on ne voit pas les œuvres.
Robin des Bois
2 février 2025 @ 09:10
Il y a des moments où le négligé vestimentaire rejoint l’impolitesse crasse. Et je ne parle même pas de l’exhibition des tatouages sur les jambes.
Il y a même de la recherche dans cet attirail vulgaire, surtout quand on est reçu, ou plutôt reçue, par un personnage important, souverain ou président, qui, lui, a soigné sa tenue.