En 2001, à l’Université de Saint Andrews,
Kate Middleton rencontre le
prince William, marquant le début d’une relation qui captivera le monde entier. Leur mariage, célébré le 29 avril 2011, est suivi par des millions de personnes à travers le globe.
Depuis lors, Kate s’est affirmée comme une figure centrale de la famille royale, assumant des responsabilités croissantes et se préparant à son futur rôle de reine consort.
La biographie de Jobson explore également les défis personnels auxquels Kate a été confrontée, notamment son combat contre le cancer. L’auteur met en lumière la manière dont elle a géré cette épreuve tout en maintenant ses engagements publics et en soutenant sa famille.
Le livre aborde également les dynamiques familiales au sein de la royauté. Selon Jobson, Kate a joué un rôle essentiel en apaisant les tensions entre le prince William et son père, le roi Charles. Elle est décrite comme une « influence stabilisatrice » et une « pacificatrice instinctive », aidant à renforcer les liens familiaux.
Par ailleurs, l’ouvrage révèle que Kate a envisagé de ne pas utiliser le titre de princesse de Galles, craignant les comparaisons avec sa défunte belle-mère, la princesse Diana. Après réflexion et discussions au sein de la famille royale, elle a finalement accepté ce titre, reconnaissant l’importance de son rôle et souhaitant honorer la mémoire de Diana.
Robert Jobson s’appuie sur des années d’observation et d’interviews pour offrir une perspective nuancée sur la vie de Kate Middleton. Son récit est enrichi d’anecdotes et de confidences provenant de sources proches de la princesse, offrant aux lecteurs une compréhension approfondie de sa personnalité, de ses défis et de ses réalisations.
« Kate, princesse de Galles », Robert Jobson, L’Archpel, 2025, 308 p.
13 février 2025 @ 04:06
Elle s appelle Catherine !!
13 février 2025 @ 05:03
Les spécialistes des têtes couronnées font rarement de bons et sérieux biographes, qu’ils choisissent de louer ou de flinguer leur sujet selon qu’ils apprécient ou non le prince/princesse en question.
Ce sont très très rarement autre chose que des livres futiles qui déploient sur des centaines de pages un récit superficel sur des personnalités dont on aura toujours de la peine à entrevoir la personne intime avec un ramassis de « confidences » dont on se doute que la plupart sont sans réel intérêt voire fausses.
S’agissant d’une princesse consorte devenue il y a moins de deux ans épouse d’héritier, le livre est de plus très prématuré.
Certes la princesse de Galles est moralement et physiquement distinguée, adulte et loyale. Oui elle passe par une épreuve très personnelle et compliquée mais je ne vois pas ce qui à ce stade permet à ce M. d’en faire un ouvrage.
La « marque » Catherine sur l’histoire des Windsor se mesurera à mon sens dans le futur et non maintenant. A l’image des bisbilles entre Elisabeth, Charles, William et Henry. On peine encore à y voir les conclusions définitives du drama ( tout ce petit monde encore la tête dans le guidon d’une nouvelle vie ou de nouvelles responsabilités) et qui le premier se stabilisera dans le rôle de sa vie et comment.
13 février 2025 @ 07:25
Elle a voulu intelligemment se couler dans le moule et y a parfaitement réussi.
Elle s’efforce de ne pas faire de vagues tout en manifestant sa personnalité par petites touches et c’est je pense ce qu’attendent les Britanniques, tout au moins ceux qui sont pour la monarchie ainsi que ceux qui au delà s’intéressent sincèrement à la famille royale .
Il semble qu’on ne puisse rien lui reprocher en tant que mère et on connaît ses récents problèmes de santé.
C’est pourquoi je ne comprends pas la haine dont elle est désormais l’objet sur ce site.
Qu’on la critique , soit , mais certains commentaires sont désormais au niveau de la haine pure .
Cette haine désormais exprimée avec des arguments parfois odieux ,souvent ridicules ne peut que provoquer un désir de riposte car on se demande à vrai dire qui ou quoi sont visés à travers elle ?
13 février 2025 @ 10:11
Je confirme vos propos, Pelikan, certains commentaires sont à l’évidence quasi diffamatoires….
Je n’ai pas été enthousiasmée par Catherine à ses débuts, la trouvant « bien » sans davantage;
Au fil du temps, par petites touches, je la trouve plus intéressante et révélant des traits de caractère attachants;
Elle est, c’est surtout ce que j’apprécie chez elle très équilibrée, solide et discrète, ce qui n’est pas si facile, en général et à fortiori dans sa position; je la crois bonne et généreuse et avec beaucoup de dignité; je n’aime pas toujours sa façon de s’habiller, mais elle embellit et de jolie/mignonne, elle est devenue très belle;
Je souhaite par dessus tout que sa santé se stabilise, et qu’elle soit totalement guérie ( avec hélas, il le faut, une surveillance continue);
13 février 2025 @ 10:12
Pélikan, il y a non seulement la haine envers Catherine mais aussi la haine entre internautes sans aucune justification. Le site s’est transformé en ring depuis un certain temps, perte de temps et d’énergie.
13 février 2025 @ 10:26
Passiflore, je rajoute « et de simple bon sens » ! certain(e)s devraient se relire à tête reposée, en sont-ils capables ? j’en doute !
13 février 2025 @ 10:31
Oui,c est uen belle femme intelligente qui a su s adapter a son nouveau milieu,et la haine qu elle recoit sur ce site me laisse pantoise,c est d une betise…
13 février 2025 @ 07:28
La princesse de Galles semble être une belle personne, finalement. En effet, au début de son mariage, on lisait qu’elle était plutôt hautaine avec l’entourage. Elle aurait alors bien évolué ou alors ses comportements étaient mal interprétés. Il faut dire qu’elle a, en tous cas, été très vertueuse en attendant William bien patiemment et en assumant tous ses rôles avec brio.
13 février 2025 @ 10:33
Une commande d’un éditeur sûrement.
13 février 2025 @ 10:42
Je trouve également ce genre d’hagiographie assez creuse. Il n’ya pas assez de recul pour faire le point sur l’impact de Catherine dans l’histoire de la Monarchie britannique. Certes, elle a géré un problème de santé grave, mais avec une prise de recul certaine sur ses engagements. De plus, elle prend le temps d’une longue convalescence. Quant à ses réalisations, il est certainement présumé de conclure que son apport va révolutionner la santé mentale des Britanniques dans les prochaines décennies. Sinon que Kate soit une pacificatrice, on ne demande qu’à le croire, mais force est de constater factuellement que, depuis son arrivée, les jeunes femmes ont disparu des actifs royaux. Kate a certainement de nombreuses qualités, mais je pense qu’elle n’aime pas qu’on lui fasse de l’ombre.