Voici de nouvelles et récentes photos de la princesse Iryana Leila d’Iran, fille du défunt prince Ali Reza d’Iran et de Raha Didevar, petite-fille de l’impératrice Farah. (Merci à Marie Françoise et à Madame Didevar pour les photos)
Vos commentaires sont inutiles concernant une épilation future… et qu’est-ce que cela peut bien vous faire si tel était le cas…? Pensez, madame, un texte ne se lit pas forcément comme il est ressentit quand on l’écrit, il peut être blessant parfois! Si telles ne sont pas vos intentions, veuillez m’excuser.
Quinquin 2000,je m’en excuse humblement et j’ai aime votre commentaire grace a votre finesse d’esprit!! Loool,dans ma famille,nous sommes tous et toutes nes[ees]’chauves’ jusqu’a l’age d’un an!
C’est vrai que cette magnifique petite princesse ressemble à son papa. Dommage que Alireza ne soit plus là pour la pouponner et la voir grandir! Sa grand-maman Farah doit être heureuse de ce beau bébé. Au travers d’Iryana il y a le souvenir d’Alireza…
Je suis contente que cet adorable bout de chou ait été reconnue comme membre à part entière de la famille impériale d’Iran. Une vraie petite princesse !
Si ce charmant petit bout est- et c’est heureux -altesse impériale et de plein droit membre de la maison d’Iran, quid du statut de sa mère ? La question demeure posée, ce me semble!
Ravissante petite Iryana. L’impératrice Farah a bien déclaré à Point de Vue que la petite fille était membre de la famille impériale et était princesse.
1) si Alireza a fait une « demande » en mariage : sur les photos, il me semble bien avoir aperçue une magnifique bague en brillants à l’annulaire de Raha
2) si Alireza a « présenté » Raha à sa mère, à son frère et à sa soeur, en tant que « fiancée et future épouse »
Une fois qu’on aura les réponses à ces deux questions, on aura résolu la question du statut de Raha.
Oui,elle est « princesse et portant le nom de son père »….aux U.S.A,vous pouvez mettre »n’importe quel père »mais,faut tout de même « reconnu par…celui-là »
La fille d’Albert de Monaco est déclarée avec le nom entier de son père….mais pas valable en dehors des U.S.A…Albert l’a reconnu à Paris??? pas à Monaco??? et encore moins en Amérique….ainsi,la gamine a 2 noms et pas dynastique…pas idiot le Albert(et aidé surtout par sa soeur Caroline )
Ici,la petite »princesse »n’est pas dynastique…il ni a plus de trône et elle est la nièce du prince héritier…
je me demande comment cette enfant peut avoir le statut de princesse, puisqu’elle est née après le décès de son père ; comment sa mère a-t-elle pu faire pour qu’elle puisse s’appeler Pahlavi ? je suppose qu’il existe une possibilité de reconnaissance posthume aux USA mais il me semble bien qu’en France lorsque les parents ne sont pas mariés en cas de décès du père avant la naissance l’enfant ne peut pas porter son nom^.
Je suis en tout cas très heureuse que cette enfant soit accueillie avec joie dans la famille impériale.
Réza II, empereur « de jure » d’Iran, en accord probablement des lois de la maison impériale a usé normalement et valablement de son droit de reconnaître à sa nièce les qualité et rang d’altesse impériale et de membre de plein droit de la maison Pahlavi. La législation US n’a rien a faire dans l’histoire, les Pahlavi ne sont pas américains et probablement la mère de la princesse non plus. Sous réserve sur ce point d’informations ultérieures.
Que d’émotions en voyant ce bébé, je suis heureuse que sa famille puisse en profiter.
Je souhaite beaucoup de bonheur à cette petite princesse, dont PDV a fait l’éloge la semaine dernière.
Tout le monde s’accorde sur la jolie petite fille.
Je pense à sa maman, qui doit gérer la perte de son fiancé, avec les circonstances que l’on sait.
Cette jeune femme semble bien courageuse, malgré son jeune âge, la force de caractère semble lui avoir été donnée, mais elle dans la joie, et la peine de cette année 2011. Elle a l’éducation de sa petite fille, seule, et ce bébé est issu d’une famille qui a fait beacoup la Une de la presse.
Je souhaite à cette jeune femme, de se remettre au mieux possible de ce deuil qui la touche au plus près, et de se consacrer à ses projets humanitaires que l’on a découvert ; pour continuer sa vie, en se consacrant bien sûr à sa petite fille.
Raha Didevar dirige la fondation qu’elle a crée au Kenya pour la protection de l’enfance. Sur le site de cette fondation, on peut lire une présentation du parcours de Madame Didevar et des activités professionnelles qui sont les siennes. Je vous livre ce texte traduit approximativement de l’anglais mais très révélateur de la belle personnalité de la maman de la petite princesse Iryana :
» Dans la sommation de mes expériences, de l’enfance jusqu’à aujourd’hui, je peux voir une nette progression qui m’a amené à devenir la personne que je suis aujourd’hui. Au premier rang de ces aspects de mon identité personnelle est mon grand intérêt dans le domaine de la psychologie, et mon intérêt plus spécifique pour aider les gens qui sont confrontés à la pauvreté et des maladies diverses.
Sur le plan familial j’ai toujours eu un modèle de rôle féminin fort de ma mère. Depuis la mort de mon père, quand je vivais en Angleterre à l’âge de six ans, ma famille immédiate a consisté à simplement nous deux, ma mère et moi la capacité de ma mère pour faire face à cette situation et me faire bien, tout dans le même temps d’acclimatation à une nouvelle culture après notre déménagement à l’Amérique, a été essentielle à mon développement. Basé sur cette expérience que j’ai acquise non seulement un modèle de ce que signifie être une femme forte et indépendante, mais aussi une fondation personnelle construite sur attention, respect et soutien. Cela a contribué à ma propre santé psychologique, tout en me dotant des compétences nécessaires pour aider les autres dans le besoin de soutien et d’amour.
Néanmoins, comme j’ai commencé à mûrir dans l’âge adulte jeune, j’ai saisi l’occasion d’explorer différents cheminements de carrière différents. Après l’obtention du diplôme de l’université, j’ai travaillé comme journaliste pour la chaîne NBC à San Antonio, au Texas. Bien que ce fut une expérience enrichissante j’ai eu un sentiment instinctif que je n’étais pas sur le bon chemin. En termes simples, tandis que j’avais les compétences pour faire le travail, je n’ai pas eu une passion pour le travail. C’est à ce moment que j’ai déménagé à Los Angeles, a reçu mon diplôme de maîtrise en éducation avec une spécialisation en psychologie, et a commencé à travailler comme enseignant. Dans mes trois années passées à enseigner la littérature secondaire, j’ai gagné un fort sentiment pour ma capacité à toucher la vie des autres, et la grande satisfaction que j’ai acquise de le faire. Une des leçons importantes que j’ai apprises au cours de cette époque était que de nombreux étudiants transporter des bagages émotionnels qui menace les progrès que les étudiants, et en tant que personnes. Je suis venu à réaliser que les étudiants avaient besoin de soutien mental ainsi que le soutien scolaire. En fait, j’ai été surpris par le degré de soutien psychologique a été un précurseur de l’apprentissage. Dans ce rôle de mentor et professeur, j’ai acquis une vision de mon avenir. Bien qu’il pourrait ne pas inclure un passage à long terme en tant que professeur, je savais que j’étais destiné à travailler dans une profession d’aide, permettant aux individus en difficulté à surmonter les obstacles et à retrouver leur capacité à se déplacer vers l’avant.
Tout en travaillant comme professeur j’ai aussi pris un rôle de leadership dans un groupe de conseil appelé IMPACT, géré par la LAUSD (Los Angeles Unified School District). Dans ce rôle J’ai couru deux groupes, chaque réunion une fois par semaine. Le premier groupe était composé de membres de gangs et le second se composait de toxicomanes. Alors que j’avais été utilisées pour fournir un soutien psychologique à mes élèves, mon travail avec IMPACT m’a présenté à un ensemble plus profond des problèmes rencontrés par les jeunes d’aujourd’hui. Je considère cela comme un tournant crucial pour moi, où j’ai vraiment découvert ma passion pour le conseil et aider les autres à prendre de meilleures vies pour eux-mêmes. J’ai alors décidé de réaliser une autre maîtrise en psychologie clinique avec un accent dans le mariage et la thérapie familiale. Par la suite, j’ai été obligé de cesser d’enseigner à temps plein en raison de travailler en tant que spécialiste à temps plein de la santé mentale à un organisme sans but lucratif du Département de la santé mentale (DMH). Dans ce rôle, je effectuer une thérapie avec les adolescents qui souffrent de toxicomanie, et de divers troubles mentaux.
La principale expérience qui a fait une importante contribution à mon développement personnel et d’autres en forme de mes objectifs de carrière a été mon voyage en Afrique en 2005. En tant que bénévole avec l’Association kényane volontaire pour le développement (KVDA), j’ai assisté à un programme de construction de la paix et de la transformation des conflits avec les tribus Maasai et Kuria. Le but du programme était d’explorer la nature de la relation entre les deux peuples, les causes historiques de leur conflit, les enjeux en question et les principaux acteurs dans le but de façonner un meilleur avenir des relations. Afin d’obtenir cette information, nous avons établi un camp de travail à l’école primaire Naar-Olong. Cela a fourni une occasion incroyable d’interagir avec les Massaïs, nous aidant à mieux les connaître pour les besoins de la gestion des conflits. Après processus considérable avec ce projet, j’ai ensuite voyagé seul dans différentes villes et villages au Kenya et en Tanzanie interagir avec les habitants. Tout en s’engageant avec les gens, j’ai essayé de vous faire une idée de ce qui manque encore dans leurs communautés.Autre que l’extrême pauvreté, j’ai réalisé que le manque d’éducation chez les enfants et adultes s’occupant d’assainissement et de prévention des maladies par le maintien de conditions sanitaires. Cela m’a amené à réaliser mon rêve en me consacrant à lancer une fondation qui serait d’éduquer les communautés sur la santé, l’hygiène et l’environnement.
À ce stade, j’ai commis toutes mes compétences, la passion et l’énergie pour travailler dans les domaines liés à l’aide aux nécessiteux, le counselling, l’éducation et moi-même plus loin en avoir terminé mon doctorat dans le domaine de la psychologie clinique.S’appuyant sur les fondements tirés de mon éducation, j’ai sortis dans le monde et d’explorer activement les diverses façons dont mes compétences peuvent être utiles aux personnes de tous horizons de la vie. En effet, je pense que l’un de mes plus grandes forces est mon fond travailler avec des gens de toutes cultures et origines. Basé sur cette compétence et les autres que j’ai développé, je sens que je suis prêt à apporter une forte contribution dans un dévouement durable à l’aide à éduquer les gens des bidonvilles du Kenya. »
Ceux qui veulent aider Raha Didevar peuvent aller sur son site et même envoyer un don : Raha Didevar’s Foundation in Kenya
Groupe « ouvert » — rabinafric@groups.facebook.com et/ou raha@rabinafric.org.
La mère de l’enfant n’a aucun statut à l’égard de la famille Pahlavi.
La mère n’était pas fiancée avec le prince, et si en France il est possible d’introduire une procédure pour demander que le mariage posthume soit célébré, la loi impose que des conditions strictes soient remplies et c’est heureux.
La première condition , est que la personne décédée ait manifesté sans ambiguïté possible sa volonté de se marier. Cette volonté peut résulter de divers événements: préparatifs du mariage et invitations, achat de la bague de fiançailles, publication des bans etc…
Je ne sais pas quelle est la loi nationale qui régit la vie de la jeune mère, et peut-être que dans d’autres pays le mariage posthume est plus facilement admis. En France c’est le Président qui autorise cette cérémonie.
Reste que jusqu’au prononcé du OUI, chacun peut renoncer au mariage. Le mariage posthume fait donc échec à cette possibilité ultime de se raviser, mais parce que cette autorisation obéit à des raisons impérieuses tenant à l’intérêt de la personne qui demande à en bénéficier.
S’agissant de la famille du jeune homme, elle n’y est peut-être pas favorable.
Nous ignorons quelle était pour lui la profondeur de la relation, avait-il rencontré la jeune fille peu de temps auparavant etc…toutes choses que la famille doit examiner.
Enfin, les parents de l’enfant ne sont pas mariés, j’ignore si en vertu des règles de leur pays, les enfants nés hors mariage ont droit au titre de princesse. Et, sauf erreur de ma part, je ne pense pas que Farah ait le moindre pouvoir pour lui accorder ce titre.
Le prince Alireza et Raha se connaissaient depuis plusieurs années, j’ignore par contre les raisons qui ont fait qu’ils n’étaient pas mariés, cela reste du domaine de leur vie privée. Et qu’Iryana soit princesse ou pas, n’a pas d’importance humainement parlant. Peut on d’ailleurs encore parler de titres, lorsque l’on n’est plus une famille régnante. L’histoire de lqa famille Pahlavi révèle qu’avant l »accession au trône du grand-père du dernier Shah d’Iran, cette famille d’origine modeste, n’avait aucune ligne monarchiste dans leur arbre généalogique ! rien à voir , par exemple, avec la lignée de la royauté en Angleterre… je pense que Farah a voulu exprimer que pour elle Iryana était devenue princesse du simple fait qu’elle était fille du prince Alireza et que cela suffisait à lui attribuer ce titre.
je suis de votre avis concernant le point de vue « humain », en revanche je ne partage pas votre point de vue au sujet de l’importance des titres si on n’est pas une famille regnante: au contraire oserais je dire, c’est ce qui leur reste, et ils ont raison de ne pas négliger leur passé et par conséquent leur statut.
Allez demander à une famille comtale de ne plus porter son titre, au seul titre qu’elle n’a plus son chateau familial sur les terres d’origine…!
bonne après midi
ce n’est pas ce que j’avais voulu dire mais simplement qu’en ce qui concerne la descendance de l’impératrice Farah, il est difficile de revendiquer un titre dès l’instant où il ne pourra plus être porté dans une monarchie en exercice, donc pour la petite princesse Iryana née hors mariage et après le décès de son père, seule l’impératrice pouvait lui attribuer ce titre qui lui revient de droit puisque son père était prince – et il semblerait que sa maman soit aussi d’une descendance princière même si elle ne porte aucun titre – ensuite c’est une façon de voir les choses, en effet quelle importance d’être titrée ou pas dans le contexte actuelle; mais je comprends votre point de vue et vous remercie de votre intéressant commentaire
merci pour votre article sur les engagements humanitaires, de Mme Didevar. En effet, cette jeune femme est très engagée, dans ses actions.
Que le succès soit au rendez vous de toutes ses entreprises, et que son bonheur privé avec sa petite fille, soit complet et protégé.
Je reçois ce matin une information me précisant que Raha Didevar pourrait elle aussi porter le titre de princesse parce que son père était la 4ème génération du Roi Qajar qui a ordonné l’Iran jusqu’en 1925.
merci Florence pour ces références de livres d’histoire que j’essayerai de me procurer étant toujours en recherche d’information concernant l’Iran et les descendants de sa dernière monarchie.
marielouise
21 novembre 2011 @ 08:47
Il est vrai ,grande ressemblance avec son père…au même âge!
Caroline
21 novembre 2011 @ 11:47
Bien mignonne et bien chevelue! Iryana Leila d’Iran s’epilera bientot les sourcils!
quinquin2000
21 novembre 2011 @ 17:13
Vos commentaires sont inutiles concernant une épilation future… et qu’est-ce que cela peut bien vous faire si tel était le cas…? Pensez, madame, un texte ne se lit pas forcément comme il est ressentit quand on l’écrit, il peut être blessant parfois! Si telles ne sont pas vos intentions, veuillez m’excuser.
Caroline
21 novembre 2011 @ 19:14
Quinquin 2000,je m’en excuse humblement et j’ai aime votre commentaire grace a votre finesse d’esprit!! Loool,dans ma famille,nous sommes tous et toutes nes[ees]’chauves’ jusqu’a l’age d’un an!
Trianon
21 novembre 2011 @ 19:20
ridicule cette pique de votre part!
quel dommage que la bêtise ne s’épile pas, les instituts seraient pleins !
cabri
21 novembre 2011 @ 10:04
princesse? Ses parents ne sont pas maries.
Un petit Belge
21 novembre 2011 @ 22:35
Cabri, l’impératrice Farah a confié la semaine passée à « Point de Vue » qu’elle porterait le même titre et le même nom que ses autres petites-filles.
*gustave
21 novembre 2011 @ 23:25
Un mariage posthume est possible sous certaines conditions. Ça été le cas de Magali et de feu Jonathan à Dommary-Baroncourt dans la Meuse en 2009.
Maryline
21 novembre 2011 @ 10:05
C’est vrai que cette magnifique petite princesse ressemble à son papa. Dommage que Alireza ne soit plus là pour la pouponner et la voir grandir! Sa grand-maman Farah doit être heureuse de ce beau bébé. Au travers d’Iryana il y a le souvenir d’Alireza…
adriana
21 novembre 2011 @ 10:30
adorable petite fille… grande ressemblance avec son papa
Honorade
21 novembre 2011 @ 11:05
Une belle petite princesse ! Merci à Mme Didevar, Marie-Françoise et Régine, pour ces photos émouvantes.
corentine
21 novembre 2011 @ 11:23
merci Regine, marie-Françoise et Madame Didevar pour les photos
effectivement cette petite princesse est le portrait de son papa le prince Ali Reza
je suis très heureuse pour l’impératrice Farah, elle a 4 magnifiques petites-filles
MoniqueDN
21 novembre 2011 @ 11:42
Je suis contente que cet adorable bout de chou ait été reconnue comme membre à part entière de la famille impériale d’Iran. Une vraie petite princesse !
guizmo
21 novembre 2011 @ 11:45
Une jolie petite fille qui va redonner le sourire à sa grand Mère.
A.Lin
21 novembre 2011 @ 11:55
Encore merci à Marie Françoise et à Madame Didevar pour ces nouvelles photos de la dernière petite fille de l’impératrice.
Charmante enfant née dans un contexte difficie et à qui je souhaite tout le bonheur du monde.
Véronique Y
21 novembre 2011 @ 12:10
Merci Marie-Françoise pour les photos.
philippe gain d'enquin
21 novembre 2011 @ 12:16
Si ce charmant petit bout est- et c’est heureux -altesse impériale et de plein droit membre de la maison d’Iran, quid du statut de sa mère ? La question demeure posée, ce me semble!
Mélusine
21 novembre 2011 @ 14:12
Vous posez très judicieusement la question qui manquait. Quel statut pour la maman de la petite princesse Iryana ?
Anais
21 novembre 2011 @ 12:25
Ravissante petite Iryana. L’impératrice Farah a bien déclaré à Point de Vue que la petite fille était membre de la famille impériale et était princesse.
Mayg
21 novembre 2011 @ 13:00
Qu’est ce qu’elle est mignonne cette petite.
Florence L
21 novembre 2011 @ 14:23
Il faudrait savoir :
1) si Alireza a fait une « demande » en mariage : sur les photos, il me semble bien avoir aperçue une magnifique bague en brillants à l’annulaire de Raha
2) si Alireza a « présenté » Raha à sa mère, à son frère et à sa soeur, en tant que « fiancée et future épouse »
Une fois qu’on aura les réponses à ces deux questions, on aura résolu la question du statut de Raha.
TURON
21 novembre 2011 @ 19:25
SI SI ET ALORS SA REGARDE QUE LA FAMILLE ,DEJA TRES EPROUVEE CETTE PETITE FILLE A ETIT RECONNUE MENBRE DE LA FAMILE D IRAN LE RESTE NE NOUS REGARDE PA
Trianon
21 novembre 2011 @ 14:43
cette petite fille est absolument adorable et craquante! on voit au regard qu’elle aura du caractère!
moi je suis sous le charme!
Martine
21 novembre 2011 @ 15:32
Oui,elle est « princesse et portant le nom de son père »….aux U.S.A,vous pouvez mettre »n’importe quel père »mais,faut tout de même « reconnu par…celui-là »
La fille d’Albert de Monaco est déclarée avec le nom entier de son père….mais pas valable en dehors des U.S.A…Albert l’a reconnu à Paris??? pas à Monaco??? et encore moins en Amérique….ainsi,la gamine a 2 noms et pas dynastique…pas idiot le Albert(et aidé surtout par sa soeur Caroline )
Ici,la petite »princesse »n’est pas dynastique…il ni a plus de trône et elle est la nièce du prince héritier…
Marie-Françoise
22 novembre 2011 @ 11:55
je ne savais pas que la princesse Caroline était l’avocate privée du prince Albert !!!!!
ode nouvel
21 novembre 2011 @ 15:46
http://www.iranian.com/main/blog/darius-kadivar/born-be-alive-prince-ali-rezas-daughter-born-fianc-raha-didevar?page=1
Sur cette vidéo on peut voir le prince et sa fiancée.
COLETTE C.
21 novembre 2011 @ 18:56
Un amour !
cisca
21 novembre 2011 @ 19:19
C’est une douce consolation pour l’impératrice Farah.
Claudia
21 novembre 2011 @ 19:19
je me demande comment cette enfant peut avoir le statut de princesse, puisqu’elle est née après le décès de son père ; comment sa mère a-t-elle pu faire pour qu’elle puisse s’appeler Pahlavi ? je suppose qu’il existe une possibilité de reconnaissance posthume aux USA mais il me semble bien qu’en France lorsque les parents ne sont pas mariés en cas de décès du père avant la naissance l’enfant ne peut pas porter son nom^.
Je suis en tout cas très heureuse que cette enfant soit accueillie avec joie dans la famille impériale.
philippe gain d'enquin
22 novembre 2011 @ 22:57
Réza II, empereur « de jure » d’Iran, en accord probablement des lois de la maison impériale a usé normalement et valablement de son droit de reconnaître à sa nièce les qualité et rang d’altesse impériale et de membre de plein droit de la maison Pahlavi. La législation US n’a rien a faire dans l’histoire, les Pahlavi ne sont pas américains et probablement la mère de la princesse non plus. Sous réserve sur ce point d’informations ultérieures.
Danielle
21 novembre 2011 @ 20:47
Que d’émotions en voyant ce bébé, je suis heureuse que sa famille puisse en profiter.
Je souhaite beaucoup de bonheur à cette petite princesse, dont PDV a fait l’éloge la semaine dernière.
Sylvie-Laure
22 novembre 2011 @ 08:24
Tout le monde s’accorde sur la jolie petite fille.
Je pense à sa maman, qui doit gérer la perte de son fiancé, avec les circonstances que l’on sait.
Cette jeune femme semble bien courageuse, malgré son jeune âge, la force de caractère semble lui avoir été donnée, mais elle dans la joie, et la peine de cette année 2011. Elle a l’éducation de sa petite fille, seule, et ce bébé est issu d’une famille qui a fait beacoup la Une de la presse.
Je souhaite à cette jeune femme, de se remettre au mieux possible de ce deuil qui la touche au plus près, et de se consacrer à ses projets humanitaires que l’on a découvert ; pour continuer sa vie, en se consacrant bien sûr à sa petite fille.
marianne
22 novembre 2011 @ 11:52
Elle est si mignonne ! Adorable !
Marie-Françoise
22 novembre 2011 @ 12:04
Raha Didevar dirige la fondation qu’elle a crée au Kenya pour la protection de l’enfance. Sur le site de cette fondation, on peut lire une présentation du parcours de Madame Didevar et des activités professionnelles qui sont les siennes. Je vous livre ce texte traduit approximativement de l’anglais mais très révélateur de la belle personnalité de la maman de la petite princesse Iryana :
» Dans la sommation de mes expériences, de l’enfance jusqu’à aujourd’hui, je peux voir une nette progression qui m’a amené à devenir la personne que je suis aujourd’hui. Au premier rang de ces aspects de mon identité personnelle est mon grand intérêt dans le domaine de la psychologie, et mon intérêt plus spécifique pour aider les gens qui sont confrontés à la pauvreté et des maladies diverses.
Sur le plan familial j’ai toujours eu un modèle de rôle féminin fort de ma mère. Depuis la mort de mon père, quand je vivais en Angleterre à l’âge de six ans, ma famille immédiate a consisté à simplement nous deux, ma mère et moi la capacité de ma mère pour faire face à cette situation et me faire bien, tout dans le même temps d’acclimatation à une nouvelle culture après notre déménagement à l’Amérique, a été essentielle à mon développement. Basé sur cette expérience que j’ai acquise non seulement un modèle de ce que signifie être une femme forte et indépendante, mais aussi une fondation personnelle construite sur attention, respect et soutien. Cela a contribué à ma propre santé psychologique, tout en me dotant des compétences nécessaires pour aider les autres dans le besoin de soutien et d’amour.
Néanmoins, comme j’ai commencé à mûrir dans l’âge adulte jeune, j’ai saisi l’occasion d’explorer différents cheminements de carrière différents. Après l’obtention du diplôme de l’université, j’ai travaillé comme journaliste pour la chaîne NBC à San Antonio, au Texas. Bien que ce fut une expérience enrichissante j’ai eu un sentiment instinctif que je n’étais pas sur le bon chemin. En termes simples, tandis que j’avais les compétences pour faire le travail, je n’ai pas eu une passion pour le travail. C’est à ce moment que j’ai déménagé à Los Angeles, a reçu mon diplôme de maîtrise en éducation avec une spécialisation en psychologie, et a commencé à travailler comme enseignant. Dans mes trois années passées à enseigner la littérature secondaire, j’ai gagné un fort sentiment pour ma capacité à toucher la vie des autres, et la grande satisfaction que j’ai acquise de le faire. Une des leçons importantes que j’ai apprises au cours de cette époque était que de nombreux étudiants transporter des bagages émotionnels qui menace les progrès que les étudiants, et en tant que personnes. Je suis venu à réaliser que les étudiants avaient besoin de soutien mental ainsi que le soutien scolaire. En fait, j’ai été surpris par le degré de soutien psychologique a été un précurseur de l’apprentissage. Dans ce rôle de mentor et professeur, j’ai acquis une vision de mon avenir. Bien qu’il pourrait ne pas inclure un passage à long terme en tant que professeur, je savais que j’étais destiné à travailler dans une profession d’aide, permettant aux individus en difficulté à surmonter les obstacles et à retrouver leur capacité à se déplacer vers l’avant.
Tout en travaillant comme professeur j’ai aussi pris un rôle de leadership dans un groupe de conseil appelé IMPACT, géré par la LAUSD (Los Angeles Unified School District). Dans ce rôle J’ai couru deux groupes, chaque réunion une fois par semaine. Le premier groupe était composé de membres de gangs et le second se composait de toxicomanes. Alors que j’avais été utilisées pour fournir un soutien psychologique à mes élèves, mon travail avec IMPACT m’a présenté à un ensemble plus profond des problèmes rencontrés par les jeunes d’aujourd’hui. Je considère cela comme un tournant crucial pour moi, où j’ai vraiment découvert ma passion pour le conseil et aider les autres à prendre de meilleures vies pour eux-mêmes. J’ai alors décidé de réaliser une autre maîtrise en psychologie clinique avec un accent dans le mariage et la thérapie familiale. Par la suite, j’ai été obligé de cesser d’enseigner à temps plein en raison de travailler en tant que spécialiste à temps plein de la santé mentale à un organisme sans but lucratif du Département de la santé mentale (DMH). Dans ce rôle, je effectuer une thérapie avec les adolescents qui souffrent de toxicomanie, et de divers troubles mentaux.
La principale expérience qui a fait une importante contribution à mon développement personnel et d’autres en forme de mes objectifs de carrière a été mon voyage en Afrique en 2005. En tant que bénévole avec l’Association kényane volontaire pour le développement (KVDA), j’ai assisté à un programme de construction de la paix et de la transformation des conflits avec les tribus Maasai et Kuria. Le but du programme était d’explorer la nature de la relation entre les deux peuples, les causes historiques de leur conflit, les enjeux en question et les principaux acteurs dans le but de façonner un meilleur avenir des relations. Afin d’obtenir cette information, nous avons établi un camp de travail à l’école primaire Naar-Olong. Cela a fourni une occasion incroyable d’interagir avec les Massaïs, nous aidant à mieux les connaître pour les besoins de la gestion des conflits. Après processus considérable avec ce projet, j’ai ensuite voyagé seul dans différentes villes et villages au Kenya et en Tanzanie interagir avec les habitants. Tout en s’engageant avec les gens, j’ai essayé de vous faire une idée de ce qui manque encore dans leurs communautés.Autre que l’extrême pauvreté, j’ai réalisé que le manque d’éducation chez les enfants et adultes s’occupant d’assainissement et de prévention des maladies par le maintien de conditions sanitaires. Cela m’a amené à réaliser mon rêve en me consacrant à lancer une fondation qui serait d’éduquer les communautés sur la santé, l’hygiène et l’environnement.
À ce stade, j’ai commis toutes mes compétences, la passion et l’énergie pour travailler dans les domaines liés à l’aide aux nécessiteux, le counselling, l’éducation et moi-même plus loin en avoir terminé mon doctorat dans le domaine de la psychologie clinique.S’appuyant sur les fondements tirés de mon éducation, j’ai sortis dans le monde et d’explorer activement les diverses façons dont mes compétences peuvent être utiles aux personnes de tous horizons de la vie. En effet, je pense que l’un de mes plus grandes forces est mon fond travailler avec des gens de toutes cultures et origines. Basé sur cette compétence et les autres que j’ai développé, je sens que je suis prêt à apporter une forte contribution dans un dévouement durable à l’aide à éduquer les gens des bidonvilles du Kenya. »
Ceux qui veulent aider Raha Didevar peuvent aller sur son site et même envoyer un don : Raha Didevar’s Foundation in Kenya
Groupe « ouvert » — rabinafric@groups.facebook.com et/ou
raha@rabinafric.org.
ode nouvel
22 novembre 2011 @ 16:26
Merci beaucoup pour votre générosité, cette traduction m’a touché.
Honorade
22 novembre 2011 @ 19:10
Merci, Marie-Françoise, pour cette longue traduction qui montre effectivement une belle personnalité combattive.
ode nouvel
22 novembre 2011 @ 16:28
http://www.iranian.com/main/blog/darius-kadivar/blue-blood-first-glimpse-prince-ali-rezas-daughter-mothers-arms?page=1
dimitri
23 novembre 2011 @ 13:13
La mère de l’enfant n’a aucun statut à l’égard de la famille Pahlavi.
La mère n’était pas fiancée avec le prince, et si en France il est possible d’introduire une procédure pour demander que le mariage posthume soit célébré, la loi impose que des conditions strictes soient remplies et c’est heureux.
La première condition , est que la personne décédée ait manifesté sans ambiguïté possible sa volonté de se marier. Cette volonté peut résulter de divers événements: préparatifs du mariage et invitations, achat de la bague de fiançailles, publication des bans etc…
Je ne sais pas quelle est la loi nationale qui régit la vie de la jeune mère, et peut-être que dans d’autres pays le mariage posthume est plus facilement admis. En France c’est le Président qui autorise cette cérémonie.
Reste que jusqu’au prononcé du OUI, chacun peut renoncer au mariage. Le mariage posthume fait donc échec à cette possibilité ultime de se raviser, mais parce que cette autorisation obéit à des raisons impérieuses tenant à l’intérêt de la personne qui demande à en bénéficier.
S’agissant de la famille du jeune homme, elle n’y est peut-être pas favorable.
Nous ignorons quelle était pour lui la profondeur de la relation, avait-il rencontré la jeune fille peu de temps auparavant etc…toutes choses que la famille doit examiner.
Enfin, les parents de l’enfant ne sont pas mariés, j’ignore si en vertu des règles de leur pays, les enfants nés hors mariage ont droit au titre de princesse. Et, sauf erreur de ma part, je ne pense pas que Farah ait le moindre pouvoir pour lui accorder ce titre.
Marie-Françoise
24 novembre 2011 @ 10:43
Le prince Alireza et Raha se connaissaient depuis plusieurs années, j’ignore par contre les raisons qui ont fait qu’ils n’étaient pas mariés, cela reste du domaine de leur vie privée. Et qu’Iryana soit princesse ou pas, n’a pas d’importance humainement parlant. Peut on d’ailleurs encore parler de titres, lorsque l’on n’est plus une famille régnante. L’histoire de lqa famille Pahlavi révèle qu’avant l »accession au trône du grand-père du dernier Shah d’Iran, cette famille d’origine modeste, n’avait aucune ligne monarchiste dans leur arbre généalogique ! rien à voir , par exemple, avec la lignée de la royauté en Angleterre… je pense que Farah a voulu exprimer que pour elle Iryana était devenue princesse du simple fait qu’elle était fille du prince Alireza et que cela suffisait à lui attribuer ce titre.
Trianon
24 novembre 2011 @ 14:42
je suis de votre avis concernant le point de vue « humain », en revanche je ne partage pas votre point de vue au sujet de l’importance des titres si on n’est pas une famille regnante: au contraire oserais je dire, c’est ce qui leur reste, et ils ont raison de ne pas négliger leur passé et par conséquent leur statut.
Allez demander à une famille comtale de ne plus porter son titre, au seul titre qu’elle n’a plus son chateau familial sur les terres d’origine…!
bonne après midi
Marie-Françoise
29 novembre 2011 @ 11:52
ce n’est pas ce que j’avais voulu dire mais simplement qu’en ce qui concerne la descendance de l’impératrice Farah, il est difficile de revendiquer un titre dès l’instant où il ne pourra plus être porté dans une monarchie en exercice, donc pour la petite princesse Iryana née hors mariage et après le décès de son père, seule l’impératrice pouvait lui attribuer ce titre qui lui revient de droit puisque son père était prince – et il semblerait que sa maman soit aussi d’une descendance princière même si elle ne porte aucun titre – ensuite c’est une façon de voir les choses, en effet quelle importance d’être titrée ou pas dans le contexte actuelle; mais je comprends votre point de vue et vous remercie de votre intéressant commentaire
Sylvie-Laure
24 novembre 2011 @ 07:34
Marie-Françoise,
merci pour votre article sur les engagements humanitaires, de Mme Didevar. En effet, cette jeune femme est très engagée, dans ses actions.
Que le succès soit au rendez vous de toutes ses entreprises, et que son bonheur privé avec sa petite fille, soit complet et protégé.
Marie-Françoise
28 novembre 2011 @ 12:15
Je reçois ce matin une information me précisant que Raha Didevar pourrait elle aussi porter le titre de princesse parce que son père était la 4ème génération du Roi Qajar qui a ordonné l’Iran jusqu’en 1925.
Florence L
28 novembre 2011 @ 21:09
voici un livre intéressant sur la dynastie Qajar :
http://www.amazon.fr/Rois-oubliés-Lépopée-dynastie-Radjare/dp/2738205968/ref=cm_cr_pr_pb_t
livre sur l’histoire millénaire de l’Iran :
http://www.amazon.fr/Histoire-lIran-Iraniens-origines-jours/dp/2213627363/ref=sr_1_2?s=books&ie=UTF8&qid=1322507492&sr=1-2
Marie-Françoise
29 novembre 2011 @ 11:55
merci Florence pour ces références de livres d’histoire que j’essayerai de me procurer étant toujours en recherche d’information concernant l’Iran et les descendants de sa dernière monarchie.