Jusqu’au 31 décembre 2013, la Scottish National Portrait Gallery d’Edimbourg accueille l’exposition « TARTAN PORTRAITS: BLAZING WITH CRIMSON ». Symbole de l’Ecosse, le tartan désigne la pièce de tissu avec un motif formé par des bandes de laines, de différentes couleurs, se croisant à angle droit. Le tartan est la marque d’un territoire mais aussi celui d’un clan. Tableau ci-dessus Charles Jervas, John Campbell, 3ème comte de Breadalbane (1696 – 1782) (merci à Bertrand Meyer – Copyright photos : DR)
Richard Waitt, Kenneth Sutherland, 3ème Lord Duffus
JAusten
10 décembre 2011 @ 11:50
j’ai trouve ce costume national très beau, très coloré et étrangement très varié pour des carreaux. Comme tout aussi étrange de porter une jupette dans des contrées aussi fraîches.
décembre 2013, donne une bonne latitude pour choisir ses lieux de passages ou de villégiature.
Louis
10 décembre 2011 @ 13:16
Espérons que cette tradition dans la famille royale ne s’éteigne pas avec Charles ! C’est si pittoresque et en même temps so british (en scottish)
Cosmo
10 décembre 2011 @ 23:17
Il semble que Lord Duffus n’ait pas voulu entendre les conseils de Mademoiselle Chanel! Jamais au-dessus du genou, Mylord!
Caroline
11 décembre 2011 @ 17:46
Etant fort attache a la tradition,j’aimerais tellement visiter cette exposition sur les tartans!!!Pourquoi pas la transferer a Londres,la capitale du tourisme britannique pour une periode fixe?
Caroline
11 décembre 2011 @ 17:48
D’ou vient le celebre tissu ‘Burberry’?Merci d’avance!
Cécile
11 décembre 2011 @ 22:44
Un tartan ,un coup de vent et hop …la face cachée de la monarchie britannique.
Palatine
12 décembre 2011 @ 11:02
c’était ainsi autrefois, Cécile, mais maintenant ils portent des caleçons sous leur kilt.
De toute façon, pourquoi les Ecossais auraient-ils dans le temps porté des caleçons quand les femmes ne portaient pas de culottes sous leur robe mais une chemise (d’où l’expression « être comme c..l et chemise ») ? Les grandes dames à Versailles ne portaient rien sous leur jupe . Josephine dut perpetuer la tradition car apres sa mort quand on fit l’inventaire de ses innombrables vetements on ne trouva que … deux « pantalons ». Marie-Louise, au contraire, portait cette pièce de lingerie mais j’ignore comment elle se generalisa au 19e S. Car tout le monde connait les petits pantalons de baptiste des petites filles modèles au temps des crinolines.