La princesse Ragnhild de Norvège, soeur aînée du roi Harald de Norvège est décédée ce 16 septembre à Rio de Janeiro au Brésil où elle résidait depuis de nombreuses années avec son époux Erling Lorentzen. La princesse était née le 9 juin 1930, premier enfant du futur roi Olav V et de la princesse Martha de Suède (soeur d’Astrid, reine des Belges). En 1953, la princesse avait épousé Erling Lorentzen, perdant par la même occasion ses droits au trône de Norvège. Le couple s’était établi au Brésil. De cette union sont nés trois enfants : Haakon, Ingeborg et Ragnhild. La princesse (voir dans les archives de la rubrique « portraits ») était grand-mère de six petits-enfants. La Cour royale de Norvège a indiqué que la princesse sera inhumée à une date qui reste à déterminer en l’église d’Asker et sa dépouille en provenance du Brésil, sera transférée avant ses obsèques en la chapelle du palais royal. (Merci à Corentine – Copyright photo : site de la famille royale de Norvège)
*gustave
17 septembre 2012 @ 05:34
Ce décès plonge plusieurs familles royales apparentées dans le deuil dont le roi des Belges, Albert, son cousin germain.
Jean-François GAILLARD
17 septembre 2012 @ 08:47
J’adresse à Sa Majesté Harald V de Norvège et à toute la famille royale mes sincères condoléances et que mes prières accompagne la famille en ces moments douloureux, mes pensées vont en premier vers son époux, ses enfants et petits enfants
Mimich le Belge
17 septembre 2012 @ 09:12
Elle a seulement été privée de son statut d’Altesse Royale. Il n’y avait pas encore de succession en lignée féminine à l’époque.
MoniqueDN
17 septembre 2012 @ 11:02
Mes condoléances les plus sincères aux familles royales touchées par ce deuil. La ressemblance avec le roi des Belges est frappante sur cette photo.
chaton
17 septembre 2012 @ 11:14
Sincères condoléances à la famille
Kalistéa
17 septembre 2012 @ 11:17
Une princesse royale digne et discrète.
COLETTE C.
17 septembre 2012 @ 17:48
Une dame très digne; grande ressemblance avec le Roi.
Danielle
17 septembre 2012 @ 18:30
Une princesse méconnue qui a encore perdu ses droits d’Altesse Royale.
Mes condoléances attristées à la famille royale norvégienne.
erwan
17 septembre 2012 @ 23:02
Une princesse respectée mais discrète, injustement privée de son prédicat, comme sa soeur, quand son petit frère a contracté comme elle un mariage inégal en conservant tous ses avantages.
82 ans, c’est désormais trop jeune pour s’en aller.
leonor
17 septembre 2012 @ 23:02
Oh, discrète, pas tant que ça.
Elle avait fait du foin à une époque en critiquant cruellement le mariage de la princesse Märtha-Louise et celui du prince héritier Haakon.
Elle avait clamé qu’elle souhaitait être morte le jour où Mette-Marit deviendrait reine de Norvège.
Pas très cordial, vous avouerez.
Eh bien : voilà qui est fait.
Patricia C
18 septembre 2012 @ 10:09
Pour sa défense, elle n’avait peut-être pas accepté perdre ses droits alors qu’ensuite, les mariages inégaux se succédaient même pour un futur roi, le prince Haakon. Cependant, la réaction me semble bien violente.
JAusten
18 septembre 2012 @ 11:59
Beaucoup de rancoeur certainement de la part de cette dame. Maintenant elle repose certainement en paix.
Jean Pierre
18 septembre 2012 @ 12:51
Cela devait être dit.
Pas très Grande Dame en effet !
val
18 septembre 2012 @ 10:20
Leonor,
Au moins cela a le mérite d’être clair , et vous au moins vous ne faites pas dans la langue de bois.
Juliette
19 septembre 2012 @ 13:50
Et dire qu’elle serait reine si les règles en vigueur actuellement l’avaient été dans son enfance.
C’est une partie de l’enfance du roi qui part également avec elle. Nostalgie…
A.Lin
19 septembre 2012 @ 14:03
Léonor écrit : Oh, discrète, pas tant que ça !
Moi, j’écris : Oh, digne, pas tant que ça !
Elle fût une des premières princesses a avoir épousé un roturier, ce qui en soi, m’indiffère.
Mais être plus royaliste que le roi en condamnant les mariages « indignes » et « inégaux » de Martha Louise et de Haakon est, à mon sens, une preuve de manque de noblesse de coeur.
Alors, arrêtez de qualifier de Grande Dame digne et discrète des femmes que l’on ne connaît pas, sous prétexte qu’elles meurent octogénaires.