Ultime semaine pour visiter à Edimbourg, au Musée national d’Ecosse l’exposition consacrée à la Grande Catherine, Catherine II de Russie (1729 – 1796) qui se termine le 21 octobre. C’est le musée de l’Hermitage qui a prêté ses trésors dont ses plus célèbres portraits, des robes de cour, l’un de ses traineaux de la tsarine, ses bijoux ou sa vaisselle. Toute la gloire d’une tsarine exceptionnelle. (Merci à Bertrand Meyer)
*gustave
17 octobre 2012 @ 13:25
Quelques petits meurtres ici et là, on n’était pas regardant en Russie à l’époque. Son mari et son fils assassinés, et hop !!
Leonor
17 octobre 2012 @ 16:50
Gustave ,
L’est-on davantage, regardant, en Russie, à l’heure actuelle ?
Ceci n’excusant pas cela, bien entendu.
Et puis… Catherine n’était pas russe d’origine. Mais elle a vite compris comment ça marchait.
Louis de Bretagne
17 octobre 2012 @ 20:07
Pas seulement en Russie cher Gustave, bien d’illustres souverains doivent leur trône à un petit coup de pouce du destin (aidé par l’homme) ! Dans ce cas un mal pour un bien assurément …
Laurent F
18 octobre 2012 @ 10:31
Si pour son mari, elle y était certainement pour quelque chose, je doute fort qu’elle ait été impliquée dans l’assassinat de Paul 1er !
marie.françois
18 octobre 2012 @ 13:42
Et pour cause !il s’est passé plusieurs années apres son deces.
Hubert
18 octobre 2012 @ 11:16
vous avez raison gustave grand e et terrifiante la « grande » catherine et une man te religieuse en plus :)
Caroline
17 octobre 2012 @ 13:29
La grande Catherine était-elle réellement dotée d’un embonpoint?
A lire le livre de Henri Troyat,’Catherine la Grande’!!
Cosmo
17 octobre 2012 @ 17:27
La Gourmandine de laquelle Voltaire disait :
« C’est du Nord que nous vient la lumière. »
Notre philosophe n’était pas très regardant sur les méthodes de la Grande Catherine, pour se procurer le pouvoir, administrer son pays et avoir des amants. Du grand art!
Maria Edite
17 octobre 2012 @ 18:55
Il y a quelques années (+_10), on a fait un film avec Catherine Zeta-Jones comme Catherine qui était superbe: amours, assassinats… il y avait de tout. Je l’ai vu deux fois.
Marcel
18 octobre 2012 @ 06:50
Bonjour, j’aimerais savoir si cette exposition consacrée à la tsarine Catherine II de Russie sera exposée à Paris ou en France. J’aimerais aller la voir car la dynastie des Romanov a été pendant trois siècles une des plus importantes dynasties d’Europe.
Leonor
18 octobre 2012 @ 14:07
Sans la filmographie :
« L’impératrice rouge », de Josef von Sternberg, avec Marlene Dietrich. Un chef d’oeuvre, à mon sens.
La très carnassière Marlène en très vorace Catherine….
Dans le même ordre d’idée… appétissante, ci-dessous un lien à propos du mobilier de Catherine II, lien trouvé simplement en tapant » catherine Russie » ( croyez-le ou non ).
A ne pas mettre sous tous les yeux. Carré blanc.
Esprits prudes, s’abstenir.
http://next.liberation.fr/design/11011269-slideshow
Palatine
19 octobre 2012 @ 08:50
Leonor, le mobilier obscène de Catherine était plus important que ce que l’on voit sur vos photos. Il meublait toute une piece secrète de son palais. Pendant la guerrre un soldat russe qui y a pénétré en fit une serie de photos en blanc et noir et un tabloïd français les a publiées il y a quelques années. On n’a jamais, à ma connaissance retrouvé l’ensemble de ce mobilier qui était … étonnant. Ce que vous montrez n’est qu’un échantillon.
Dans cette histoire, au-delà de ce qui choque ou non, ce qui est intéressant, c’est le « pourquoi ». Pourquoi une personne intelligente comme Catherine a-t-elle besoin ou envie de faire fabriquer des meubles qu’on peut sans exagérer qualifier d’obscène ?
leonor
19 octobre 2012 @ 22:25
Oui, Palatine, je sais à peu près tout cela. J’avais un vague souvenir d’avoir déjà LU quelque chose à ce sujet , certainement pas dans un tabloïd. Mais où ?
Là, vous aurez bien compris que ces photos ne sont pas de moi ( si c’était le cas, je ne les renierais pas pour autant! ); elles sont accessibles à tous sur le site de « Libération ».
Quant au pourquoi, question que vous posez.
Je n’en sais évidemment rien, pas plus que d’autres.
Sans doute l’intelligence et le besoin de sexe sont-ils loin d’être antinomiques; il en est de multiples exemples.
Ensuite : Catherine de Russie me fait tout l’effet d’avoir été, à tous points de vue, une ogresse. Le pouvoir, le sexe, l’intellect, la culture, la nourriture, tout : une ogresse.
Ogresse dans le sens » vouloir tout, sans mesure si ce n’est même avec démesure ».
Hubert
20 octobre 2012 @ 19:07
Chère Palatine…une petite lecture sur la nymphomanie vous éclairerait beaucoup sur cette redoutable personne…le mobilier est absolument obscène.Fallait il qu’elle soit malade pour laisser ces souvenirs derrière elle…:)mais l’intérêt historique et psychanalytique est comme elle : énorme! :)
Leonor
18 octobre 2012 @ 14:08
Erratum
Il fallait lire « DDDDDans la filmographie, etc »
erwan
18 octobre 2012 @ 22:51
L’impératrice Elisabeth n’est pas à négliger, mais c’est bien Catherine en Romanov convertie qui a assuré l’héritage de Pierre le Grand. Le pouvoir féminin déploie avec elle toute sa finesse masculine.
Alexandre
19 octobre 2012 @ 22:29
Vous avez tout à fait raison, Erwan, car c’est l’impératice Elisabeth qui a choisi cette « petite princesse allemande » entre toutes et a décidé de la renommer « Catherine » comme sa propre mère (elle s’appelait Sophie au départ). Cependant, elle fut une grande souveraine pour la Russie, souveraine « éclairée », car travailleuse acharnée et intelligente, d’autant plus que les critères concernant les droits de l’homme étaient bien éloignés de notre vision actuelle! Cordialement!
HRC
19 octobre 2012 @ 09:25
on semble loin de Marlène en uniforme blanc…