Sortie en librairie le 21 novembre prochain du livre « Portraits de cour« . La préface est du prince Albert de Monaco. Voici la note de l’éditeur : Il y a le portrait de Louis XIV en tenue de sacre par Rigaud. Ceux de François 1er et de Charles Quint par Titien. La suite de Marie de Médicis par Rubens. Les Ménines de Vélasquez. Mais aussi, plus récemment, la reine Elisabeth II d’Angleterre par Lucian Freud. Dans l’histoire de la peinture, le portrait de cour constitue un genre majeur entre tous. Les plus grands peintres, aux XVIIe et XVIIIe siècles notamment, ont consacré le gros de leurs efforts à ces tableaux. Ceux-ci faisaient connaître l’image des souverains tant à leurs peuples qu’aux autres cours royales. Il étaient aussi un outil de propagande, chargé de symboles et parfois de messages cachés.
« Portraits de cour », Stéphane Bern & Franck Ferrand, Editions Chêne, 2012, 320 p.
COLETTE C.
2 novembre 2012 @ 12:32
Un nouveau livre de Stéphane Bern, ça ne se manque pas !
*gustave de montréal
2 novembre 2012 @ 13:00
Bern & Ferrand commettent encore la même bévue sur Elizabeth II « d’Angleterre. »
Leonor
4 novembre 2012 @ 01:23
Régine,
Oui, le portrait de cour constitue un genre important. Majeur est peut-être trop dire, si vous permettez.
Surtout : il s’agissait de commandes essentielles pour la carrière d’un peintre.
La commande publique de l’époque, en quelque sorte.
Les résultats en sont variables.
Par ailleurs, les peintres les mieux en cour pouvaient obtenir diverses charges officielles . Velasquez , Rubens par exemple ont même accompli des missions diplomatiques.
Lohengrin
29 décembre 2012 @ 11:01
Ce livre m’a enchanté ! Même si je ne l’ai pas encore complètement lu, c’est un ouvrage magnifique !