La dépouille du roi Zog d’Albanie a été rapatriée en Albanie pour être inhumée au mausolée royal de Tirana où reposent déjà son épouse la reine Géraldine, son fils le roi Léka et sa belle-fille la reine Susan. Le roi Zog est décédé en 1961 à Paris. Il avait été enterré au cimetière de Thiais. Son petit-fils le prince Léka et sa fiancée Elia ont présidé les cérémonies officielles. Lors de l’hommage rendu au cimetière de Thiais, la princesse Maria Pia d’Italie et le prince Michel de Bourbon-Parme avaient tenu à être auprès du prince Léka. A Tirana, le prince Radu de Roumanie et Skender Zogu (cousin du roi Léka) figuraient parmi les nombreuses personnalités. (Merci à Michèle, Valentin et à Gualbert – Copyright photos : site du prince Radu de Roumanie)
Le prince Léka et sa fiancée Elia
Elia Zaharia, Skender Zogu et le prince Radu de Roumanie
18 novembre 2012 @ 13:28
Le mariage du prince Léka est-il annoncé pour bientôt ? Je crois que sa fiancée est française.
19 novembre 2012 @ 12:03
Patricia C.,j’attends leur mariage officiel! C’est drole pour sa situation d’éternelle fiancée!
19 novembre 2012 @ 12:41
Il est fort probable que le mariage ait été reporté suite à la maladie du roi Leka et ensuite de son décès et maintenant aux diverses cérémonies de retour de la dépouille du roi Zog. Il pourrait avoir lieu vraisemblablement en 2013.
La fiancée du prince est bien Albanaise, même s’il a étudié en France : Conservatoire National de Bordeaux, Cours Florent et l’Université Saint-Denis, Paris 8 pour le théâtre. Tout comme sa mère, elle a choisi de devenir actrice, ce qu’elle a exercé pas mal en France.
20 novembre 2012 @ 22:56
Merci pour ces informations. Et le prince lui-même, où a-t-il étudié ?
18 novembre 2012 @ 14:06
Et une fois de plus nous assistons aux « va et vient » tragiques de l’Histoire!
19 novembre 2012 @ 11:13
Et pourquoi pas à un retour « bénéfique » ? Un peuple renouant avec son histoire voilà qui est toujours une preuve de maturité. Ne croyez-vous pas ? Cordialement vôtre, PGE
19 novembre 2012 @ 16:46
Et puis, le terme « va-et-vient » est exagéré : une fois que la dépouille d’un souverain mort à l’étranger réintègre son pays, il n’en bouge plus !
18 novembre 2012 @ 14:12
À quand le retour des cendres de Charles X, de Louis-Philippe Ier et de Napoléon III sur le sol de France?
18 novembre 2012 @ 15:57
Je m’étais intéressé à cette question il y a quelques années et j’avais écrit au ministre de la Culture d’alors, Renaud Donnedieu de Vabres, qui m’avait répondu, en substance, que les ayant-droits de Charles X et de Napoléon III, seuls à pouvoir pendre l’initiative, ne désiraient pas faire rapatrier les dépouilles des souverains. L’État en tant que tel ne peut donc rien faire sans leur autorisation ni leur demande expresse. Quant à Louis-Philippe, il est bien enterré à la chapelle royale Saint-Louis de Dreux depuis 1876. Décédé en 1850, son corps, ainsi que celui de sa femme, la reine Amélie, décédée le 24 mars 1866, ont été rapatriés à la nécropole familiale.
19 novembre 2012 @ 09:40
Absolument d’accord avec vous.
Qu’on cesse de maudire et médire de nos rois.
Il ne faudrait pas non plus oublier le retour de Henri IV à Saint-Denis et ce, avec tout le protocole du à un Roi de France
18 novembre 2012 @ 14:58
À quand le retour des cendres de Humbert II, de Marie-Josè, de Victor Emanuel III et de la Reine Helene sur le sol de l’Italie?
18 novembre 2012 @ 15:15
Cher ami de Montréal, Louis-Philippe et les siens sont rentrés depuis longtemps (1876), à la chapelle royale St-Louis de Dreux. Mais certes tout est plus complexe pour Charles X que son tombeau attend pourtant à St-Denis et pour Napoléon III que les moines anglais souhaitent conserver. Et irait-il aux Invalides avec l’impératrice et le cher prince impérial ?
Et puis il y a Henri V et ses dernières volontés.
18 novembre 2012 @ 20:13
Pour Napoléon III si les moines souhaitent le « conserver » sur le sol anglais, c’est qu’ils respectent les volontés de l’impératrice Eugénie qui fut à l’origine de ce mausolée familiale.
De plus, la famille impériale actuelle n’a pas jusqu’à présent émis le désir de rapatrier les dépouilles impériales en France. Il se poserait en plus le problème du choix de l’endroit de la nouvelle sépulture. Je e suis pas ^sur que la République accepterait de rendre un hommage posthume au dernier souverain français.
19 novembre 2012 @ 11:19
Je ne sais pas quelles étaient les dernières volontés de l’impératrice Eugénie à cet égard mais il est bien certain qu’elle a fait construire l’abbaye pour abriter la dépouille de l’empereur. Je pense tout de même que ses dernières volontés ne devaient pas être différentes de celle de son fils qui, avant de partir au combat, avait souhaité que son corps repose aux côtés de son père en attendant qu’ils soient réunis avec Napoléon Ier au milieu du peuple français.
On imagine par ailleurs mal la République française avoir moins d’égards pour ses anciens souverains que les républiques de l’Est par exemple, mais…
18 novembre 2012 @ 20:30
Oui! où avais-je la tête. Il fallait lire Henri (V). Pardon.
18 novembre 2012 @ 15:24
D’autres princes étaient à Thiais comme Chantal de France et son époux qui représentent souvent la Maison royale française d’excellente manière et dont on rappellera leur constant dévouement pour le Comte et la Comtesse de Paris leurs parents.
Voir https://sites.google.com/site/royautes/Home.
19 novembre 2012 @ 12:30
Au cimetière de Thiais se trouvaient également le prince Fayçal bey de Tunisie et la princesse Nesrine Toussoun.
Par ailleurs, le président albanais, le prince Nicolas de Monténégro, la présidente du Kosovo, le grand-duc Georges de Russie étaient aussi présents aux cérémonies à Tirana. Un diner d’Etat a été donné au palais royal.
19 novembre 2012 @ 16:43
Oserais-je une critique ?
Les photos illustrant ce reportage sont vraiment très sombres, ce qui fait qu’elles ne l’illustrent pas vraiment…
19 novembre 2012 @ 23:24
Les dépouilles royales ou autres (Lénine etc…) ne peuvent être transférées sans l’accord de leurs ayant-droits selon la plupart des droits des états ocidentaux.
Pour être transféré sur un site « historique » s’il dépend de l’Etat, il faut l’accord du ministère de la culture ou autre de tutelle, de l’état en question.