Prochaine parution de ce livre intitulé « The Hohenzollern case file, the struggle for the Romanian succession » par par Marco Houston. L’ouvrage revient sur les différents conflits qui ont émaillé l’histoire de la famille de Hohenzollern à la base de la monarchie en Roumanie. Des différends au sein de la famille princière allemande mais aussi au sein de la famille royale de Roumanie avec les revendications de Paul Lambrino/Paul de Hohenzollern, fils de Mircea (1920-2006), né de l’union entre le roi Carol II de Roumanie et Joanna Lambrino. Le mariage fut annulé et le roi Carol épousa ensuite la princesse Hélène de Grèce dont est issu le roi Michel. Tiraillements familiaux aussi lorsque le titre de prince de Hohenzollern-Veringen fut attribué à Radu Duda, époux de la princesse Margareta. Des conflits qui ont parfois même mené devant les tribunaux. (Merci à Alberto)
*gustave de montréal
14 février 2013 @ 06:38
petite correction: Carol a épousé Hélène de Grèce non pas « de Roumanie »
(errare humanum…..)
Caroline
14 février 2013 @ 12:42
Loool,on aime se disputer pour des titres de noblesse dans cette famille!
Mais,le prince Radu n’aura pas d’héritiers de sa femme,la princesse Margareta de Roumanie.
Marco Houston est-il un historien monarchiste?Est-il roumain d’origine?
Alberto
14 février 2013 @ 14:37
Dans la présentation du livre on peut lire le suivant:
« Royalty Magazine Editor Marco Houston found himself at the centre of the storm – as defendant, eye-witness and unwitting participant in a battle for dynastic rights and political ambitions. »
et:
»
Marco Houston is a London based journalist and historian. Since 1993 he has been Editor of Royalty Magazine. During two decades of royal reporting he has interviewed many of the world’s royals and is the author of a well received biography of the Montenegrin royal family ‘Nikola & Milena: King and Queen of the Black Mountain’. »
Je ne lis pas cette révue « Royalty », mais je me suis achété le livre « Nikola et Milena » après avoir beaucoup hésité vu le prix. Je ne le regrette pas parce que c´est un lourd beau livre, avec des photos magnifiques. Mais pour dire la vérité je ne l´ai pas lu, sauf la partie concernant le prince Danilo. (l´auteur dit que Danilo s´était séparé de son épouse Mecklenbourg, ors j´ai vu une photo de Danilo avec elle peu avant de mourir…).
Caroline
15 février 2013 @ 11:07
Alberto,bien merci pour vos explications interessantes!
Bon week-end!
philippe gain d'enquin
14 février 2013 @ 13:22
« Hot » or « Cold »? Un cas à part, probablement… Vite, vite, les avis autorisés des « Experts ». Merrrrrrrrrccccccccccccccciiiiiiiiiiii. PGE
COLETTE C.
14 février 2013 @ 13:59
Je croyais qu’il était établi que l’héritier en second était un neveu de la princesse héritière !
l' Alsacienne
14 février 2013 @ 14:14
Sans entrer dans les querelles dynastiques et familiales, je ne suis pas experte, je pense que le roi Michel de Roumanie a titré le prince Radu, son gendre, et nommé un neveu pour héritier de la couronne.
Pouvait-il en être autrement ? pas d’héritier mâle, une fille aînée sans enfants. Solde : un neveu.
Jean Pierre
14 février 2013 @ 15:07
Les tribunaux n’ont pas fini d’être saisis par ce « Dallas » à la sauce roumaine.
Ce qui est en jeu n’est pas tant le titre de prince de Hohenzollern mais bien la succession du roi Carol en monnaie sonnante et trébucante et ne biens fonciers et immobiliers.
Anastasie
14 février 2013 @ 16:32
Le prince Nicolae n’est pas le neveu du Roi Michel, mais son petit-fils ! Il est le fils de sa seconde fille, la princesse Elena de Roumanie.
l' Alsacienne
14 février 2013 @ 20:21
Pardon, dans mon commentaire je voulais dire un neveu de la princesse héritière, fille aînée du roi Michel de Roumanie.
Philibert
16 février 2013 @ 19:32
Tout cela est-il vraiment intéressant ?
Michel de Roumanie n’a pas su récupérer son trône en 1990, après la chute de Ceausescu, et maintenant c’est trop tard : la Roumanie est une république européenne et le restera…
Xavier
18 février 2013 @ 15:34
Lui a-t-on vraiment laissé le choix en 1990?
A part une visite – écourtée sur la pression du gouvernement roumain de l’époque – en 1992, qui a rassemblé des centaines de milliers de Roumains dans la rue, le Roi Michel a dû attendre 1996 et une véritable alternance aux ex-communistes issus de l’ère Ceaucescu pour récupérer la nationalité roumaine et revenir enfin dans son pays.
Disons que certaines personnes ne voulaient pas de restaurations monarchiques dans les Balkans à l’époque, voilà tout. Mais rien n’est jamais joué.
Gérard
23 février 2013 @ 22:51
Le roi est la personnalité la plus populaire du pays, le président du Sénat est royaliste mais tant d’années de propagande anti royaliste laissent des traces. On notera que si la Roumanie est une république le chef de l’Etat est officiellement président de la Roumanie.