Empereurs, rois, princesses, ils sont tous venus à la cour de Mecklembourg-Strelitz. Le Kaiser Wilhelm II, la célèbre princesse Marguerite de Pless ou la princesse Marie-Adélaïde de Teck ont chacun apprécié l’hospitalité de la Cour de Strelitz. Les débuts comme écrivain de Sandra Lembke sont divertissants. Son ouvrage (en allemand) se lit comme un « Who’s who » des scandales de la noblesse, d’intrigues et de commérages inclus.
Beaucoup de sources proviennent des archives royales de Windsor, de nombreuses citations des lettres privées du roi George V et la reine Mary d´Angleterre, avec de nombreuses photos et documents qui n’ont jamais été publiés. Sur la couverture du livre on peut distinguer la reine Mary d´Angleterre en arrivant à Strelitz et en étant reçue par les grands-ducs et la vieille grande-duchesse douairière, la tante chérie de Mary. (Merci à Alberto)
Vassili
14 août 2013 @ 05:53
On attend l’edition francaise.
Philippe
14 août 2013 @ 06:49
Je ne pense pas me tromper en reconnaissant George V sous un
des casques à pointe ??? … Etonnant document.
Dominique Charenton
14 août 2013 @ 19:23
Bonjour Philippe
Le souverain britannique était titulaire de dignités militaires allemandes : » Feld maréchal général de l’armée prussienne, chef du régiment de cuirass. prussien n° 8 et du 1er régiment de dragons de la garde prussienne…. »
Il était par ailleurs titulaire de dignités militaires d’autres pays.
Voir l’Almanach de Gotha de 1914.
Cordialement.
Dominique Charenton.
PS : par ailleurs l’actuelle souveraine britannique descend de au moins de deux « Premier » : William Cavendish 4ème duc de Devonshire (1720-1764), son quartier 114 et William Cavendish Bentinck 3eme duc de Portland (1738-1809) , son quartier 56
Philippe
15 août 2013 @ 09:59
Néanmoins, je ne pensais pas qu’un souverain
anglais pouvait encore oser porter un tel uniforme au début du XX° siècle, tout allemand de souche qu’il fût.
Il faut dire aussi que sa « com » avait moins à en souffrir, et que bien peu d’anglais de l’époque devaient avoir accès à de telles
photographies ! …
Merci infiniment pour la précision généalogique. J’aurais dû, effectivement, penser à l’ascendance Cavendish par les
Bowes-Lyon ! C’est donc quand même Elizabeth qui est la première souveraine à avoir un « Premier » parmi ses ancêtres ?
Bien à vous.
HRC
14 août 2013 @ 21:47
d’après un vieux livre sur les uniformes, il était colonel honoraire d’un régiment.
Philippe
15 août 2013 @ 10:01
Merci HRC. Mais ce casque à pointe m’a quand même beaucoup surpris !
Bonne journée à vous.
HRC
15 août 2013 @ 14:32
d’après mon bouquin, les régiments prestigieux avaient un colonel honoraire princier étranger; cela m’avait surpris à la lecture aussi, je vous rassure.
HRC
15 août 2013 @ 14:33
quelques plutôt, pas tous.
Francine du Canada
14 août 2013 @ 06:53
Merci Régine; les scandales, les intrigues et les commérages… j’aurais adoré mais je devrai attendre une traduction en anglais ou en francais : L’allemand, ce n’est pas pour moi. Athos et moi resteront sur le banc, j’en ai bien peur ha! ha! ha! Amitiés, FdC
Francine du Canada
14 août 2013 @ 17:41
« resterons » pardon. FdC
Clémentine1
14 août 2013 @ 07:23
Merci à Alberto. J’ai justement envie d’un peu de lecture disons « légère ».
COLETTE C.
14 août 2013 @ 11:07
Dommage qu’il soit écrit en allemand, j’aime beaucoup ces familles.
gustave de montréal
14 août 2013 @ 12:56
S’il pouvait y avoir une traduction en français ou en anglais, je serais preneur. On voit ici la tante grande-duchesse Augusta, toute menue, comparée à sa soeur Adelaide, mère de Queen Mary, qui était d’une corpulence wagnérienne.
C. Savary
14 août 2013 @ 13:49
Quel dommage que le château ait été détruit lors de la dernière guerre (par les troupes allemandes). Il n’en reste aujourd’hui qu’un petit morceau de jardin.
flabemont8
14 août 2013 @ 16:28
Je préfère attendre une édition en français…
l' Alsacienne
14 août 2013 @ 19:28
Je souhaite me procurer cet ouvrage.
S’il ne pose aucun problème pour moi écrit en allemand, je souhaite une édition en français pour que d’autres puissent également le lire.