Pour celles et ceux qui connaissent Bruxelles, le domaine du château de Bouchout se trouve seulement à 3 kilomètres de l’Atomium. C’est là que l’impératrice Charlotte du Mexique y termina ses jours. Fille du roi Léopold I et de la reine Louise Marie, Charlotte née en 1840 au château de Laeken porte le prénom de la première épouse de son père, la princesse Charlotte de Galles.
En 1857, elle entre dans la famille impériale d’Autriche en épousant l’archiduc Maximilien, frère de l’empereur François Joseph. Le couple s’installe au château de Miramar à Trieste. Maximilien poussé par Charlotte, se met en quête d’un trône. Il accepte de devenir empereur du Mexique. Charlotte voit son rêve se concrétiser : elle devient impératrice.
Mais sur place, la situation dégénère rapidement. Privé de soutiens européens tant espérés, l’empereur Maximilien est fusillé en 1867. Charlotte qui n’a que 27 ans, en perd la raison. Recluse à Miramar, c’est sa belle-sœur la reine Marie Henriette, épouse du roi Léopold II qui vient la chercher pour la ramener auprès des siens en Belgique.
Elle est installée au château de Tervuren acheté par son frère. Suite à un incendie, elle déménage ensuite au château de Bouchout également acheté par son frère à son attention. Charlotte y vivra paisiblement, effectuant des promenades en calèche dans le vaste domaine. Elle y décède en 1927.
L’Etat belge racheta le château de Bouchout en 1938. En 1965, un Palais des Plantes fut ouvert au public.
Le domaine abrite désormais le jardin botanique national de Belgique aux impressionnantes serres. 18.000 espèces végétales y sont regroupées.
En 2008 et 2011, ce fut la grande foule pour admirer l’éphémère arum titan qui a fleuri pour la première fois en Belgique. Il ne pousse que dans la jungle de Sumatra en Indonésie. Il peut peser jusqu’à 130 kilos. Sa fleur peut mesurer jusqu’à 3 mètres. Lors de la floraison qui ne dure que 3 jours une odeur très puissante se dégage.
Le château situé en partie sur un étang, a été restauré. Il accueille des expositions temporaires et peut être loué pour des événements.
Une agréable orangerie accueille le public pour se restaurer au bord d’un autre étang. Selon les parties du parc du château et les saisons, vous découvrirez des parterres de pivoines, tulipes, des magnolias ou encore des lotus, bambous et cyprès.
Une importante colonie de canards, oies et cygnes déambulent dans les allées du château et le long des berges des trois pièces d’eau. Un écrin de verdure au passé historique, juste situé aux portes de Bruxelles. (Merci à J. pour m’avoir aidée dans la réalisation de ce reportage)
Francine du Canada
15 août 2013 @ 06:17
Merci Régine et J. pour ce reportage et ces magnifiques photos. J’ai noté une erreur dans l’année de naissance de l’impératrice Charlotte du Mexique; c’est en « 1840 » plutôt que « 1940 ». FdC
ATHOS
15 août 2013 @ 08:46
Prononcer : BOUCQ OUT.
Sylvie-Laure
15 août 2013 @ 08:49
Un joli reportage, merci Régine. La princesse Charlotte est née en 1840 il faut faire une petite rectification de date, un peu plus haut.
Bonne journée à tous.
Damien B.
15 août 2013 @ 08:50
Merci Régine pour ce reportage fort bien illustré, prétexte à évoquer l’une des plus intéressantes figures de la dynastie belge.
L’acte définitif de partage de la succession du roi Léopold 1er signé le 8 mars 1868 distingue deux lots. Le premier est attribué indivisément au Roi et à sa sœur Charlotte. Il comprend notamment le domaine de Tervueren où Charlotte résida de 1869 jusqu’en 1879.
C’est à partir de 1879 que l’impératrice Charlotte résida à Bouchout. Elle y vécut donc durant 48 ans.
Bien amicalement,
Damien
LPJ
16 août 2013 @ 11:59
S’il y avait indivision, on peut penser que Charlotte étant décédée après son frère Léopold II (mort en 1909), celui-ci n’a pu priver ses filles de l’héritage !
Je crois avoir lu d’ailleurs que la Princesse Napoléon (veuve du petit-fils de Léopold II) portait régulièrement un collier de perles provenant de l’impératrice Charlotte.
Qu’en est-il exactement ?
Damien B.
16 août 2013 @ 19:44
LPJ, le roi Léopold II n’a pas totalement déshérité ses filles. Dès le mariage de sa fille la princesse Louise en 1875, le souverain avait émis le souhait de faire sortir plusieurs biens de sa succession. Le gouvernement de l’époque ne l’avait pas suivi.
Au début du XXè siècle le Roi n’avait pas abandonné son dessein de former une sorte de fondation inaliénable. Avec la complicité de plusieurs ministres, la Donation Royale voit ainsi le jour en 1901. Elle incluait essentiellement des valeurs immobilières (Ardenne, Ciergnon, des terrains à Laeken, Ostende et Tervueren), mais le Roi possédait encore la succession de ses parents alors évaluée à quinze millions de francs (environ 300 millions d’euros).
Le Roi estimait que seule cette part de sa fortune devait revenir à ses filles estimant que le surplus de sa fortune n’était dû qu’à lui-même et à son action personnelle (notamment au Congo) et ne devait en aucune manière revenir à ses gendres.
Chacune des filles du Roi a donc reçu environ 100 millions d’euros … Ce qui ne suffisait même pas à payer les créanciers de la princesse Louise.
Pour mieux appréhender les enjeux et les procès qu’engendra l’ouverture de la succession royale, je vous invite à lire l’excellente biographie d’Olivier Defrance » Louise de Saxe-Cobourg : Amours, argent, procès » qui dresse un tableau complet de la question avec le talent qu’on lui connaît.
Je profite de votre intéressant commentaire pour souligner combien le roi Léopold II a été jugé avec légèreté, voire ignorance par nombre de ses contemporains. Jugements qui perdurent encore de nos jours, oubliant combien il fut un Roi exceptionnel qui a permis à la Belgique de se hisser – en dépit de sa taille – au premier rang des nations durant des décennies.
Bien à vous,
Damien B.
LPJ
17 août 2013 @ 12:21
Merci Damien B. pour toutes ces intéressantes précisions.
Je me rappelle également la biographie de la Princesse Clémentine ou quelques paragraphes traitaient des préoccupations de gestion de la Princesse Clémentine devenue veuve.
Si les millions de Léopold II se sont évanouis du côté de la Princesse Louise dont les dettes sont restées célèbres, si les révolutions ont sans doute mis à mal la part de la Princesse Stéphanie, on peut penser que la part revenue aux descendants Napoléon du roi Léopold II, qui je suis bien accord avec vous est un souverain visionnaire et trop souvent injustement incompris même s’il a ses parts d’ombre comme tout un chacun, a dû prospérer.
Athos
18 août 2013 @ 13:57
Damien,
Merci pour toutes ces précisions fort importantes.
Léopold II a eu deux enfants naturels de Blanche Delacroix, titrée de Vaughan : deux fils morts sans descendance en plus de ses trois filles légitimes : Stéphanie, Louise, et Clémentine.
Athos
20 août 2013 @ 09:28
Damien B,
Absolument en accord avec votre commentaire.
Bien à vous
Cosmo
17 août 2013 @ 08:24
LPJ,
En effet la princesse Napoléon a hérité un collier de perles superbes de sa belle-mère la princesse Clémentine, qui elle-même l’avait hérité de l’impératrice Charlotte. Le fermoir est un saphir.
C’est la princesse elle-même qui me l’a dit.
Bien à vous
Cosmo
LPJ
17 août 2013 @ 12:22
Merci Cosmo et bonne fin de week end.
Cordialement.
ATHOS
18 août 2013 @ 19:07
J’ai demandé à Régine de CENSURER CES DEUX REPONSES à Cosmo.
Je présente toutes mes excuses et suis plus que sincèrement désolée et le mot est faible.
Athos
Athos
19 août 2013 @ 17:18
Régine,
Un immense MERCI.
Bien reçu coordonnées
Bien à vous,
Athos
Gérard
21 août 2013 @ 22:44
Le site http://www.br.fgov.be/PUBLIC/GENERAL/VISITORINFO/VISITORMAP/VISITORMAPFR/bouchoutcastlefr.html
montre quelques photos de salons dont un dit de l’impératrice et de la cour intérieure mais on sait que ce chateau connut bien des malheurs.
Dominique Paoli semble avoir résolu le mystère de la naissance de Weygand qui n’était pas le fils de Charlotte.
Philibert
17 août 2013 @ 00:13
Charlotte a donc déménagé du château de Tervueren en 1879 suite à l’incendie de ce château.
Détail très peu connu : c’est un pompier de Tubize qui a sauvé Charlotte, l’empêchant de ce fait de périr dans l’incendie.
Damien B.
17 août 2013 @ 10:53
Merci Philibert pour ce détail très intéressant !
martine arnold
15 août 2013 @ 09:10
je me trompe peut-etre , mais la princesse charlotte est nee en 1840 et non en 1940
en tout cas , regine , fidele de votre site depuis le debut , je me regale chaque jour devant votre site et j’ai beaucoup d’admiration pour tout votre travail ; un grand merci ; bon 15 aout
Valerie U
15 août 2013 @ 11:14
Superbe!!!
COLETTE C.
15 août 2013 @ 11:35
Des allures de château fort, très beau !
Mayg
15 août 2013 @ 11:38
C’est très jolie.
Jean-Pierre VDS
15 août 2013 @ 11:41
Merci pour ce reportage alors que je suis en train de lire la biographie de l’impératrice Charlotte par Paul Mourousy que je trouve plus poète qu’hstorien.
C’était une femme de caractère mais trop ambitieuse.
Sophie
15 août 2013 @ 11:45
L’endroit semble très beau, surtout avec ce château fort sur l’eau. Merci pour ce beau reportage.
Francine du Canada
15 août 2013 @ 15:28
Bien triste vie que celle de l’impératrice Charlotte. Mariée beaucoup trop jeune à Maximilien (archiduc d’Autriche), elle n’a fait qu’accumuler les échecs : En Lombardie-Venetie et ensuite au Mexique où tous (l’Autriche, la France, la Belgique) les ont laissé tomber et par la suite, ses démarches infructueuses auprès de Napoléon III et du pape, elle a sombré dans la folie.
Le château de Bouchout (les pieds dans l’eau) me fait peur… par contre, le parc et les jardins sont magnifiques. Bonne journée, FdC
Philibert
15 août 2013 @ 20:56
Se marier à tout juste dix-sept ans est effectivement très jeune, trop même…
Ceci dit, si, comme le disent certains historiens comme A. Castelot, Charlotte est vraiment la mère de Maxime Weygand, le fait qu’on lui ait enlevé son enfant unique n’est probablement pas étranger à sa folie, et davantage même que la ruine de l’empire du Mexique.
Petit détail : en français, TervuEren s’écrit avec un E en sixième lettre…
Régine
16 août 2013 @ 09:04
Le site du musée royal de l’Afrique centrale qui se trouve à Tervuren, indique « Tervuren » sans « e »
ATHOS
16 août 2013 @ 09:17
Bonjour Régine,
C’est normal car ce magnifique musée, qui mérite la visite, se trouve en région flamande.
Philibert a donc raison d’écrire qu’en français Tervueren s’écrit avec trois « e ».
A noter que Tervueren se trouve dans une magnifique région bruxelloise.
Merci
Francine du Canada
16 août 2013 @ 15:34
Vous avez raison Philibert : Lui enlever son enfant était totalement inacceptable. Et merci à vous (et à ATHOS) pour Tervueren. Amitiés, FdC
Cosmo
17 août 2013 @ 08:33
Chère Francine,
L’impératrice Charlotte était amoureuse de son mari et réciproquement. Elle n’était pas obligée de se marier si jeune et elle ne l’a jamais regrettée.
Le drame de la vie de l’Impératrice a commencé à la mort de sa mère la reine Louise. La période de son mariage, si il a été heureux, fut aussi une suite d’amertumes politiques à cause de la rivalité entre les deux frères. Et l’orgueilleuse Charlotte supportait mal de n’être que la deuxième à Vienne, supplantée par la très belle Sissi.
Inutile de parler du drame du Mexique ! Charlotte et Maximilien ont été les victimes de leurs illusions, de celles de leurs partisans et de la politique absurde de Napoléon III dans ce domaine, poussé par la trop bigote Eugénie.
La perte d’un enfant n’a rien à voir avec la folie de l’impératrice Charlotte. Elle eût été incapable de s’en occuper.
Bouchout ressemble plus à une prison qu’à un château.
Triste histoire !
Amicalement
Cosmo
Damien B.
17 août 2013 @ 11:14
Cosmo, je partage vos propos hormis un détail : les sentiments de Charlotte pour Maximilien n’étaient pas vraiment réciproques : ce dernier – bien qu’il la respectât – n’était pas amoureux de la princesse.
C’est davantage la dot de la fille de Léopold 1er que sa personnalité ou son physique qui a séduit l’archiduc. Ce dernier méprisait d’ailleurs quelque peu la cour de Bruxelles.
En ce qui regarde les sentiments amoureux de Charlotte ils étaient évidents : elle avait refusé sa main au roi Pedro de Portugal, une alliance qui lui aurait permis de régner immédiatement à Lisbonne, préférant se marier avec le frère cadet de l’empereur d’Autriche qui pouvait encore vivre longtemps (ce fut d’ailleurs le cas) et avoir des fils, l’impératrice Elisabeth n’ayant alors même pas vingt ans.
On a trop souvent réduit Charlotte à un seul trait de sa personnalité : son ambition, omettant son caractère passionné et exalté.
Bien à vous,
Damien B.
Francine du Canada
17 août 2013 @ 16:11
Merci de votre commentaire Cosmo. Je reconnais qu’être la belle-fille de Sophie et la belle-soeur de Sissi n’était certainement pas une position enviable.
Leur décision d’accepter l’empire du Mexique était une erreur monumentale car, il n’y avait pas que les intérêts européens en cause, il y avait aussi les visions des américains. Quelle surprise ils ont dû avoir à leur arrivée dans ce pays de désordre et de misère.
Quant à son enfant, je maintiens qu’on enlève pas un enfant à sa mère… d’autres auraient pu l’aider à élever cet enfant convenablement. Pour la folie (ou la maladie devrais-je dire), je suppose que c’était son destin. Amitiés Cosmo, j’aime beaucoup vous lire, FdC
Damien B.
17 août 2013 @ 20:49
Francine du Canada,
Comme je l’ai écrit ci-dessous l’impératrice Charlotte n’a jamais eu d’enfant …
André Castelot a prétendu que le général Weygand, né le 21 janvier 1867 était son fils. On sait aujourd’hui qu’il n’en est rien.
Charlotte a manifesté les premiers signes de désordre mental dans le Yucatan au printemps 1865. Ensuite chacun connaît les épisodes romains de la « folie impériale » qui eurent lieu le 30 septembre 1866 et les jours suivants.
Quant à la position de Charlotte à la cour de Vienne, elle n’en a guère souffert y ayant très peu séjourné. De plus l’entente avec sa belle-mère l’archiduchesse Sophie était très cordiale.
Bien à vous,
Damien B.
Cosmo
21 août 2013 @ 06:59
Damien B,
Vous avez sans doute raison en ce qui concerne les sentiments de Maximilien. Il témoigna au moins une affection de façade à sa femme.
Je partage votre avis sur les relations entre l’archiduchesse Sophie et l’impératrice Charlotte. Elles étaient excellentes. Il n’y eut que l’impératrice Elisabeth à ne pas s’entendre avec l’archiduchesse, que tout le monde aimait à Vienne, à la Cour comme à la Ville.
Charlotte était en effet passionnée et exaltée. L’aventure mexicaine a peut-être aussi répondu à un besoin d’évasion ou à l’idée de remplir une mission.
Bien à Vous
Cosmo
Damien B.
21 août 2013 @ 21:37
Cosmo,
Votre commentaire de ce 21 août confirme l’amabilité de l’archiduchesse Sophie hélas bien mal traitée par les films de Marischka.
Elle était également favorablement appréciée dans les cours étrangères, en Belgique notamment.
En ce qui regarde Charlotte, elle se sentait en effet investie d’une mission à la fois politique et divine lorsqu’elle a décidé de régner au Mexique.
La comtesse d’Hulst – véritable substitut maternel auprès de Charlotte – a exercé une influence considérable dans les choix que la princesse a posés.
Ravi d’avoir échangé avec vous,
Damien B.
Athos
18 août 2013 @ 12:35
Francine du Canada,
Avec plaisir.
Francine du Canada
18 août 2013 @ 17:13
À Damien B., merci; j’ai lu votre commentaire après avoir déjà posté ma réponse à Cosmo et je n’ai pas les qualifications pour contredire les historiens qui déclarent et soutiennent que l’impératrice Charlotte n’a jamais eu d’enfant. BAV, FdC
Athos, merci et au plaisir de vous lire bientôt. FdC
ATHOS
18 août 2013 @ 19:23
Précisions
J’ai parlé de Léopold II; il s’agit de Léopold Ier dont la fille Charlotte a épousé le futur empereur du Mexique et elle n’a jamais pu avoir d’enfants. Ils avaient adopté :
– Agustin de Iturbidy y Marzan
– Salvador de Iturbidy y Marzan (cousin).
Agustin mourut d’ailleurs avant sa mère qui décéda à l’âge de 86 ans devenue folle par l’exécution de son époux.
Damien B.
19 août 2013 @ 16:45
Athos,
En effet ces deux princes, petits-fils de l’éphémère empereur constitutionnel Augustin 1er du Mexique ont été adoptés par Maximilien et Charlotte.
Ce que l’on sait moins est qu’un projet antérieur concernait l’adoption de l’archiduc Frédéric de la branche des ducs de Teschen (1856-1936).
Ce projet initial fut – heureusement pour le jeune archiduc – vite abandonné …
Bien à vous,
Damien B.
Damien B.
16 août 2013 @ 19:53
Philibert,
La princesse Charlotte n’a jamais eu d’enfant. Les théories d’André Castelot ont été revues à la lumière de documents nouvellement découverts étudiés méthodiquement par plusieurs historiens.
J’ai eu en mains le mois dernier une lettre du comte de Flandre qui dément toute maternité de l’impératrice du Mexique, mais j’aurai très certainement l’occasion d’en reparler …
Au sujet de Charlotte, je conseillerais l’étonnante étude de la psychanalyste Coralie Vankerkhoven » Charlotte de Belgique : une folie impériale « .
Bien à vous,
Damien B.
Brigitte et christian
15 août 2013 @ 15:58
bonjour à tous
merci à Régine pour ce voyage historique en Belgique.
L’histoire de la pauvre impératrice Charlotte est bien triste et il nous vient à l’esprit cette maxime « il vaut mieux un petit chez soi, qu’un grand chez les autres ».
amitiés du sud ouest sous le soleil
agnes
15 août 2013 @ 20:43
Bel article.
flabemont8
15 août 2013 @ 22:30
Merci, Régine, pour ce reportage très intéressant …Le destin tragique de cette impératrice est connu, mais j’ignorais qu’elle avait vécu aussi longtemps !
Suzanne
16 août 2013 @ 09:07
Un grand merci Régine pour ce reportage très intéressant que je découvre tardivement.
ATHOS
16 août 2013 @ 09:21
Merci pour ce beau reportage. Je ne connaissais pas ce château.
Le parc et les étangs sont très beaux et j’adore voir courir les oies et les canards.
Je n’ai pas vu de flamants roses … et je trouve cet arum titan très laid.
monica
15 octobre 2014 @ 09:45
Cosmo et Adrien, je ss tt à fait d’accord avec vs, sur le fait que Maximilien n’était pas amoureux de Charlotte. Il était plutôt homosexuel et les rapports sexuels étaient inexistants. Ils n’étaient jamais ensemble. Elle étant jeune, pensait que cela était normal…..l’a accepté. Elle avait comme seul ambition d’être reine d’un pays et son époux était d’accord, mais pas très « militaire » ni fait pour cela, ils s’attachèrent à des rêves néfastes.