Du 13 au 25 novembre 2013, le Grand Palais à Paris accueille l’exposition « Miss Dior » consacrée au premier parfum de la célèbre maison de couture.
Créé en 1947, ce parfum a conquis au fil des décennies stars, reines et princesses. Pour l’occasion, la maison Dior a demandé à 15 artistes féminines de s’emparer selon leur ressenti du flacon, de son motif pied-de-poule et de son nœud. L’exposition est gratuite.
Carole D'
10 novembre 2013 @ 10:53
j’irai peut être la voir , merci pour l’information
amaia
10 novembre 2013 @ 11:48
Mon parfum depuis des années…..disons 30ans. Une merveille par contre je déteste le nouveau Miss Dior. D’ailleurs l’ancienne formule n’est pas toujours facile à trouver. Dommage !!!
Stella
12 novembre 2013 @ 00:44
Tout à fait de votre avis!
(Et je suis prête à signer une pétition pour la diffusion de l’authentique « Miss Dior », le premier, le seul , le vrai!)
J’ai beaucoup regretté les versions trafiquées et il y en eut plus d’une!
Dommage.
Stella
12 novembre 2013 @ 00:46
( J’ajouterai que, bien évidemment, ma »juvénilité » me permet de porter un parfum aussi frais!…)
COLETTE C.
10 novembre 2013 @ 15:46
Mon premier parfum de jeune fille, je l’adorais !
Caroline
10 novembre 2013 @ 16:27
Désolée!Je n’aime pas le parfum ‘Miss Dior’ un peu trop capiteux pour moi!
Bianca
10 novembre 2013 @ 20:20
Comme vous Caroline, je n’aime pas ce parfum que portait une collègue, je n’aime pas ces parfums capiteux, sucrés.
flabemont8
11 novembre 2013 @ 16:33
Moi de même, ils me donnent mal à la tête …
Mélusine.
10 novembre 2013 @ 23:55
Miss Dior est l’un de mes parfums préférés, porté plutôt en été.
Pour cette fragrance chyprée, en osmose avec son New-Look, Christian Dior déclarait « je l’ai créée pour habiller chaque femme d’un sillage de désirs et voir sortir de son flacon tous mes vêtements » et il fit emprisonner ce jus céleste dans des flacons de cristal de Baccarat ornés d’un joli noeud papillon de satin blanc, diffusés en 200 exemplaires seulement, l’année de sa création, en 1947.
Mais qu’est-ce donc qu’un « chypre vert » ? La réponse figure sur leur site : il s’agit d’une harmonie subtile d’hespéridés d’un agrume (mandarine de Sicile, bergamote de Calabre, néroli), du coeur floral d’un jardin (rose, jasmin, ylang-ylang) et d’accords boisés (mousse de chêne, vétiver, santal, patchouli).
Pas question de manquer cette expo commémorative et je profiterai de l’occasion pour voir également celle du peintre Félix Vallotton et celle de Georges Braque, dans ce même Grand Palais.
ELISABETH-LOUISE
11 novembre 2013 @ 17:13
Oui, il faut rajouter à cette liste le « galbanum » à l’effluve très caractéristique; j’ai longtemps porté ce parfum; je trouve regrettable que les parfumeurs modifient les parfums, en effet, le Miss Dior « Chérie » n’a pas autant de classe;
Mélusine.
11 novembre 2013 @ 21:58
En effet, le galbanum, Elisabeth-Louise, et tant d’autres.
Vous savez, c’est regrettable mais les parfumeurs sont désormais soumis à des règles très strictes, en matière de législation internationale, sur l’utilisation des composants de leurs parfums, ainsi qu’à des contraintes économiques.
Il arrive même qu’il leur soit demandé, pour cette raison, de faire évoluer des parfums déjà existants, dont la formule doit être repensée. C’est le cas avec la bergamote, qui ne peut plus être employée qu’à de très faibles concentrations et avec le musc ambrette, à présent totalement interdit. Composants qui se trouvaient dans de célèbres parfums.
ELISABETH-LOUISE
12 novembre 2013 @ 12:34
Ah, je l’ignorais totalement ! merci, Mélusine pour ces précisions, je pensais que les parfumeurs se croyaient obligés de « rajeunir » leurs parfums, pour des motifs de marketing…! Eh, bien, je croise les doigts, car je porte désormais Bal à Versailles, en souvenir de Maman; dieu veuille qu’il demeure tel quel……