A Amalienborg, le prince héritier Frederik et la princesse héritière Mary de Danemark ont reçu l’ambassadeur du Canada et ses collaborateurs dans la perspective de leur prochaine visite au Canada. (Copyright photo : site de la monarchie danoise)
Frederik et Mary de Danemark préparent leur visite au Canada
10 Comments
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10 septembre 2014 @ 13:59
Je n’avais aucune idée qui était l’ambassadeur de notre pays au Danemark. On a aussi bien pris garde de mentionner son nom…… alors je n’en saurai pas davantage.
Juste qu’il est grand et que son épouse serait assez jolie pour avoir un selfie avec Obama…….
10 septembre 2014 @ 14:40
D’aprés le site de l’ambassade, on constate que l’ambassadeur, André François Giroud, n’est pas sur cette photo .
http://www.canadainternational.gc.ca/denmark-danemark/bilateral_relations_bilaterales/message_bio.aspx?lang=fr
11 septembre 2014 @ 14:41
Effectivement Corsica, André François Giroux n’est pas sur cette photo et c’est dommage; c’est un avocat ayant une excellente renommée et un super parcours au MAECI. FdC
10 septembre 2014 @ 14:16
Merci Régine; j’ai bien hâte de connaître leur itinéraire et de savoir s’il viendront chez nous. FdC
10 septembre 2014 @ 22:48
Francine,lool,essayez de jouer au photographe comme notre Agnès pour nous envoyer de belles photos sur le beau couple princier héritier de Danemark!
11 septembre 2014 @ 15:28
Francine, leur programme ne les conduit qu’à Toronto et Ottawa.
12 septembre 2014 @ 02:41
Francine, concernant notre previous discussion sur le harem:
Oui ! Effectivement, firuze signifie émeraude en persan, arabe et turc !
Francine je veux juste vous corriger un truc: le harem n’est pas le lupanar que tout le monde s’imagine. D’ailleurs, les sultans passaient plus de temps sur le champs de bataille que dans leurs palais.. Le harem était en réalité un sanctuaire en quelque sorte. On y ramenait de jeunes filles chrétiennes qu’on éduquait, auxquelles on inculquait les bonnes manières, l’étiquette, le persan l’arabe et le turc, la calligraphie, la théologie, la danse etc. On les destinait souvent a épouser de hauts fonctionnaires. Les plus chanceuses devenaient gozdes, c’est a dire celles qui ont été remarquées par le Sultan, et par la suite kadines, c’est a dire épouses. Le Sultan avait droit a 4 épouses et a des favorites. Ce dernier cas n’était applicable qu’en cas de conquête, puisque dans le coran, des relations extra-conjugales sont permises avec des chrétiennes, a condition que celles ci soient des captives et que leur maître soit obligé de les prendre en charge. A la fin des conquêtes les sultans ont cessé cette pratique et se contentaient de prendre des épouses, principalement des princesses circadiennes et tchétchènes. Le harem était également un hospice qui accueillait les veuves et les orphelins et les prenait en charge. Malheureusement, cette facette de l’histoire est méconnue de tous..
Bonne journée.
12 septembre 2014 @ 10:51
Merci Shahmashah, effectivement j’ignorais ces détails. FdC
12 septembre 2014 @ 10:45
Merci Juliette d pour l’information. Ils auraient au moins pu venir à Montréal. Désolée Caroline, ce sera pour une autre fois. Amitiés, FdC
10 septembre 2014 @ 21:56
Quel dommage qu’il ne vienne pas à Québec!!