Sortie en librairies du roman « Marquise au portrait » de Barbara Lecompte. En voici le descriptif : « Artiste fier et tourmenté, le pastelliste Maurice Quentin de La Tour, alors au fait de sa carrière, reçoit une commande d’importance, un portrait en pied de la marquise de Pompadour. La favorite, soumise au bon vouloir de l’artiste, devra patienter cinq ans. Mais qui mieux que ce fou de La Tour pour saisir l’âme de ses modèles ?
En témoigne sa galerie de portraits prestigieux, ceux du roi, de la reine, de la dauphine, du maréchal de Saxe mais aussi de ses amis philosophes, Voltaire, Rousseau et D’Alembert. Se dépassant dans la représentation de madame de Pompadour, La Tour dévoile les secrets de son art, le pastel, qu’il élève à la hauteur de la peinture. Dans Marquise au portrait, Barbara Lecompte tente de percer la carapace d’une personnalité trop crânement affichée. En se glissant dans les méandres de l’esprit tourmenté de La Tour, elle parvient à dévoiler, derrière l’orgueil et la maladresse, la sensibilité et la fragilité qui alimentent sa création. Caracolant de la cour de Versailles à Paris, Maurice Quentin de La Tour nous emporte dans son sillage, tout en se livrant à une saisissante introspection »
« Marquise au portrait », Barbara Lecompte, Editions Arléa, 2014, 144 p.
Palatine
8 octobre 2014 @ 07:09
encore un livre avec la tête de la femme coupée. Je ne les compte plus.
Je me demande si c’est une question de droit. Quand un auteur veut une reproduction sur son livre, il doit demander l’autorisation au musée qui expose la peinture.
En coupant la tête peut-être qu’il ne faut pas cette autorisation. Sinon je ne comprends pas
flabemont8
8 octobre 2014 @ 12:37
Bonjour, Palatine, vous avez raison de souligner cette habitude très agaçante pour le lecteur , l’explication est peut-être celle que vous donnez, sinon, c’est effectivement à n’y rien comprendre ! Toutes mes amitiés .
Palatine
9 octobre 2014 @ 08:06
Bonjour Flabemont. Je me rappelle que quand mon editeur m’a demandé ce que je voulais pour 1e de couverture, je penchais pour une reproduction d’Ingres, le portrait de madame Moitessier. Mais il fallait entrer en pourparlers avec la National Gallery qui devait donner son accord, et ça aurait pris du temps et j’ai préféré alors mettre la façade côté jardin de la maison du crime.
Mais je n’ai pas pensé à couper la tête de la dame. Car sinon c est un livre qui montre de beaux vêtements.