Arrivés hier après-midi à Rome, le roi et la reine des Belges qui s’aide toujours de béquille et d’un fauteuil roulant en raison du port d’une attelle au genou, ont été reçus ce matin au Vatican par le Pape François. (Copyright photos : belga & afp)
Le journal « la dernière heure » dit, qu’en dehors du pape, le couple royal et le ministre des affaires étrangères Didier Reynders rencontreront
Le cardinal australien George Pell , qui est un des 9 cardinaux chargés de réformer la curie et « patron » du secrétariat pour l’économie qui tente de mettre de l’ordre dans les finances du Saint-Siège
Le cardinal ghanéen Peter Turkson qui est le spécialiste des problèmes du développement.
Le cardinal français retraité Paul Poupard, qui a présidé le conseil pour le dialogue inter religieux .
La reine a bien observé le protocole du Vatican et sa tenue est parfaite.
En France, le port de la mantille, comme de tout couvre-chef par les femmes à la messe, est tombé en désuétude à partir des années 1960, et le code de droit canonique de 1983 ne fait plus référence à une obligation pour les femmes de se couvrir à l’Église.
Toutefois, l’usage s’est maintenu dans d’autres pays que la France (par exemple en Espagne où l’usage est de porter pour son charme une mantille légère, dans certaines régions, ou en certaines occasions), et en France dans les communautés traditionalistes, qui considèrent que l’omission du code de 1983 ne signifie pas l’abrogation de la règle précédente.
Enfin, la mantille est toujours portée par les femmes ayant une audience avec le Pape, bien que l’usage ne soit plus soutenu avec la même exactitude qu’auparavant. Ainsi, si Mary Robinson, ancienne présidente protestante d’Irlande, Raïssa Gorbatchev, épouse de l’ancien secrétaire général du PCUS Mikhail Gorbatchev, et Angela Merkel, chancelière allemande, se sont présentées sans mantille devant le Pape, les personnalités présentes aux obsèques de Jean-Paul II et à l’inauguration du pontificat de Benoît XVI sont venues avec une mantille, de même que le font les épouses des souverains catholiques, ou encore Bernadette Chirac.
Les reines catholiques ont le « privilège du blanc », le droit de porter une tenue blanche, avec une mantille blanche (de nos jours : la reine d’Espagne, la reine des Belges, la grande-duchesse de Luxembourg et la princesse de Monaco).
En effet le Code de droit canonique de 1917 stipulait au canon 1262:
« p.1 Il est souhaitable que les hommes et les femmes, dans les églises, soient groupés séparément, selon l’ancienne discipline.
p.2 Quand ils assistent aux fonctions sacrées, spécialement à la messe, soit à l’église, soit au dehors, les hommes doivent être découverts, à moins que les circonstances n’imposent le contraire, ou que les usages n’exigent qu’ils restent couverts ; quant aux femmes elles doivent avoir la tête couverte et être vêtues modestement, surtout quand elles s’approchent de la sainte table. »
Oui, enfin, pour la princesse de Monaco, disons que les monégasques
ont un peu forcé les choses …
La princesse Charlène s’est effectivement présentée en blanc à son audience avec le Pape Benoit XVI, mais il a fallu ensuite que le Vatican
fasse une déclaration pour lui en reconnaitre le droit ! … et comment pouvait-il faire autrement ?
La princesse de Liechtenstein, de son côté, s’habille de noir quand elle
se rend à Rome. Mais les Liechtenstein ne sont pas des nouveaux riches.
Mon avis est qu’il s’agit encore là, pour les Grimaldi, d’un passage
en force.
Ils aiment à se croire la crème de la crème.
Cousins des rois, indépendants depuis sept cent ans, et maintenant
le privilège du blanc …
pipeau … pipeau … pipeau …
« C’eût été étonnant que … » écrivez-vous Laurent F.
La langue française m’est de plus en plus mystérieuse, je dois l’avouer, au fur et à mesure que les années passent.
En l’occurrence, pouvez-vous expliquer pourquoi vous mettez un accent circonflexe sur la lettre « u » de « c’eût été » ?
Quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi la princesse de Liechtenstein, épouse d’un chef d’état catholique ne bénéficie pas de ce privilège d’être habillée de blanc. J’ai cru remarquer que les princesses de Savoie, bien que non régnantes ont conservés ce privilège. Qui se souvient que lors d’une visite au Vatican Imelda Marcos s’était arrogée ce privilège.
Le blanc ou le noir pour aller voir le Pape, c’est comme discuter du sexe des anges, ce sont des conventions qui ne servent pas à grand chose. Surtout lorqu’on on est reçu par un pape qui se fait fort de dépoussiérer le protocole. Je suis bien sûr que ça ne le dérangerait pas plus que ça de voir ses visiteurs arriver un pull et en jeans.
Il y a d’autres personnes pour qui nous devons avoir des pensées mais franchement pour cette dame je n’ai aucune pensée elle n’est pas atteinte d’une maladie incurable.
val,
merci pour votre commentaire très sensé, les horreurs sont assez présentes dans notre monde et je pense plutôt que le Saint Père prie avant tout pour les chrétiens d’orient martyrisés .
Franchement, je ne pense pas qu’elle ait demandé quoi que ce soit à qui que ce soit dans ce sens là non plus mais on peut quand même lui souhaiter un prompt rétablissement.
Non, Baia, je ne « plaisante pas du tout ». Toutes les êtres en souffrance ont droit à des prières en leur faveur et les accidents du genre de celui de Mathilde peuvent mal tourner.
Il y a quelques années, la fille âgée de seize ans de l’une de mes amies s’est légèrement blessée au tibia, lors d’un entraînement de basket ball. Bien qu’ayant été traitée immédiatement pour cela, la douleur s’est faite de plus en plus intense et, à la longue, des examens plus poussés ont détecté chez cette très jeune fille un cancer du tibia.
Il ne faut rien prendre à la légère…
Oui Mélusine vous avez raison. Il ne faut rien prendre à la légère, qui plus est lorsqu’il s’agit d’un problème de santé.
Mais avouez tout de même que le cas de la fille de votre amie est extrêmement rare.
Personnellement je fatigue un peu de lire sur ce site, entre autre, qu’il faut prier pour tel(le) ou tel(le) royal qui, pardonnez-moi l’expression, à un petit pêt de travers. Donc prier pour que la reine Mathilde se remette de son entorse au genou me semble too much !
Chère madame, j’avais répondu à votre demande d’éclaircissement pour le Grand Duc mais mon post a été censuré . Il faut donc vous contenter des commentaires de Dradomir et Charles et de mon premier post qui parlait en mots diplomatiques d’intérêt pour une ministre. Vous êtes suffisamment intelligente pour comprendre.
Je suis ravie de voir que la Reine Mathilde de Belgique a respecté le protocole pour se présenter devant une personnalité aussi digne et humble que notre Pape François.
Je relève avec un certain amusement que l’on commente seulement le tenue féminine. Comme si sur ce site les hommes n’avaient aucun intérêt. Il doit bien y avoir pourtant un moment du jour ou …de la nuit, où ils intéressent ces dames.
Le costume masculin porté lors des réceptions au Vatican est tout autant symbolique des évolutions que le costume féminin.
Elle doit être en super forme puisqu’elle porte des chaussures à talons hauts!
Que doivent faire les femmes qui travaillent et n’ont pas une armée de domestiques derrière elles? Il ne faut tout de même pas pousser le bouchon trop loin avec Mathilde et merci d’avance de ne pas supprimer mon com.
Il est vrai que l’introduction par le protocole en chaise roulante vous enlève toute majesté et casse vos effets. Elle a fini en béquilles.
Hélas tant d’efforts pour assister à un échange protocolaire d’un quart d’heure où deux hommes monopolisent le semblant de conversation, c’est dur. M’enfin s’ils étaient accompagnés d’un ministre peut-être ont-ils pu participer à un échange sur les dossiers bilatéraux.
Le pire c’est si elle enchainait avec un petit voyage au paradis des femmes, la péninsule arabique….Là c’était bon elle aurait eu raison de rester chez elle, quitte à être inutile et servir juste à attirer la lumière sur ses camarades de virée masculins sans que personne ne vous adresse la parole parce que femme, autant rester à la maison.
Sur une photo à la descente de l’avion, j’ai vu Didier Reynders, Le 6 décembre 2011, il devient Ministre fédéral des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et des Affaires européennes dans le gouvernement Di Rupo, poste qu’il s’est à nouveau vu attribuer en 2014.
La mantille blanche est une jolie tradition. Evidemment ce n’est pas un usage important ou irrévocable, mais ça ne fait de mal à personne ! Bon après-midi !
Cela me heurte beaucoup….à notre époque!Elle n’a pas lu Elisabeth Badinter!
Tout comme pour les femmes musulmanes qui doivent, par obligation maritale ,porter un voile qui n’a rien à voir avec leur religion!
Mathilde n’a pas beaucoup de caractère en cette circonstance….!
Sa tenue est par contre très élégante,j’aime beaucoup….mais je n’adhère pas à sa bigotterie!
Si Marie de Bourgogne,le voile,la mantille,le foulard etc, sont là pour cacher la parure,les cheveux des femmes, pour ne pas exciter les fantasmes masculins cela n’est aucunement un indicateur religieux!!!
Lisez Badinter,entre autre et tout ce qui concerne les religions,muslmane ici en particulier!
Mais bon sang,pourquoi la femme doit-elle se cacher ainsi …..réfléchissez?
La mantille est plutôt ravissante et ne cache pas vraiment les cheveux, pas plus qu’un chapeau soit dit au demeurant.^^^^
De plus, une Chrétienne n’est absolument pas obligée de se couvrir les cheveux dans la vie courante (uniquement lorsqu’elle prie ou prophétise).
Le foulard et le voile islamique oui.
Par contre, et contrairement à votre affirmation, ce n’est aucunement une « obligation maritale ». Pas besoin d’être mariée pour porter le foulard ou le voile islamique.
Quand à réfléchir sur ce sujet, vous ne vous adressez pas à la bonne personne. Je suis apostate de l’islam ^^
Certes Gérard,la politesse envers le pape je veux bien mais d’où nous vient ces obligations de se voiler,pour nous les femmes dans les lieux saints…..il n’y a pas si longtemps ,ma grand-mère se rendait à l’Eglise avec sa mantille puis jamais sans son chapeau!!!!!
Pour les hommes qui ont écrits les règles religieuses…les femmes ne sont qu’objets sexuels et ne doivent se dévoiler que pour leur mari!!!!
La religion catholique a aussi soumis la femme à de tels préceptes!
« La religion catholique a aussi soumis la femme à de tels préceptes! »
Les femmes ne doivent se dévoiler que pour leurs maris dans la religion Chrétienne (les catholiques ne sont qu’une branche de la religion Chrétienne) ?
A l’époque des grands décolletés (Sous Louis XIV par exemple) ce n’était pas très suivi ^^^^
Baia
11 mars 2015 @
15:40
Marie-Louise, vous vous etes relue ?
Votre dernière phrase est hallucinante de bêtise !
ML
11 mars 2015 @
19:04
Je vous signale que les juifs portent la kippa à la synagogue et que les musulmans ,s’ils se déchaussent avant d’entrer dans une mosquée ne se découvrent pas .
ML
12 mars 2015 @
10:36
Marie de Bourgogne ,les décolletés du Second Empire n’étaient pas mal aussi ! Il parait qu’un prélat (espiègle) aurait dit à l’époque :il faut tant de tissu pour les jupes qu’il ne reste plus grand-chose pour les corsages .
La convenance vestimentaire concerne aussi les hommes et pas seulement dans les églises.
ML
10 mars 2015 @
15:17
Bigoterie ? Le port de la mantille pour une visite au pape ne me choque pas et une mantille n’a rien à voir avec un niquab ,une burka ou je ne sais quoi .
Pour moi,c’est une marque de respect pour son hôte ,tout simplement .
Je ne suis pas bigote et pourtant j’ai porté des mantilles noires pour des messes d’enterrement ,par respect pour le défunt !
Vous réfléchissez pour nous je crois Marie-Louise et sans aucun préjugé comme on le voit.
bernadette
10 mars 2015 @
15:46
Marie Louise, pourquoi parlez vous de bigotterie ? Où en voyez vous ?
Si c’est le port de la mantille, je vous signale qu’en Espagne on porte parfois la mantille, sans pour cela être taxé de « bigot », heureusement !
Oui!!! Pour certains mariages, la mère du fiancé et la mère de la fiancée portent la mantille et c’est tout un signe d’élégance. Regardez les mariages à la Maison d’Alba, ou à la Maison d’Osuna, ou même la reine Sofia aux mariages de l’Infante Elena et du prince Felipe!!!!
On la porte aussi pour les processions du Jeudi et du Vendredi Saints. et aussi pour certaines cérémonies La seule différence c’est qu’on la porte attachée avec una jolie « peineta », sur le chignon, ce qui dégage le visage féminin en toute sa beauté….Et bien sûr ren de bigot dans ce geste!!
Si Stéphanie avait porté un ravissante mantille lors de sa visite au Qatar, elle aurait été charmante.
Par contre, l’accoutrement disgracieux qu’elle a été obligée de revêtir…..
Comme toujours, tenue parfaite pour Mathilde. La visite a été maintenue, tant mieux,
le petit accident de Mathilde n’est pas très grave, et le pape François est très simple,
pas de souci protocolaire avec lui, d’ailleurs il s’en moque…on vient comme on est, un point c’est tout.
En dehors de Mme Chirac, toutes les presidentes ou épouses des présidents d’Amérique Latine ( en tant que catholiques), portaient la mantille noire et aux obsèques de Jean Paul II et à l’inauguration de pontificat de Benoît XVI (et encore à l’inauguration de pontificat de François)
Je crois que Mathide a été très bien habillée en blanc ( comme c’est la tradition) lors de cette rencontre. Elle était sobre et élégante….. Très belle!!!
Vous êtes un peu dure avec la reine, c’est uniquement sur la première photo !
Par ailleurs, n’est-ce pas la plus élémentaire des courtoisies que de regarder les photographes et de leur sourire ?
Vous avez raison Naucratis ! certaines font aussi ce reproche à Mary du Danemark. Mais bon, c’est aussi une politesse de se tourner vers les photographes (donc vers nous, lecteurs qui les verrons grâce à ces photographies) d’autant qu’ils sont officiels. Je me rappelle le témoignage d’Agnès qui nous racontait comme c’était agréable, en tant que photographe, de croiser des royaux qui avaient une pensée pour eux et se prêtaient quelques instants à un regard ou une pose vers leurs objectifs, afin que leur travail soit facilité et qu’ainsi, nous puissions bénéficier de clichés agréables à regarder.
Très juste Pierre-Yves, certains ici semblent oublier qu’une photo correspond à une fraction de seconde ! et pourtant ils jugent l’état d’esprit ou la personnalité du photographié d’après une grimace, un sourire « exagéré », un regard, qui sont ainsi fixés mais ne représentent qu’un moment infime.
Exactement Marnie, j’ai maintes fois exprimé ce que vous dites au sujet des jugements de certaines personnes qui s’expriment au vu de ces instants très fugaces !
Il faut aussi avouer qu’elle était élégante à cette occasion. Très fière de sa toilette, comme au mariage des Cambridge, elle a bien marqué la pose. Mais il est vrai que cela était inutile. Elle n’a besoin d’aucune toilette élégante, le contenu suffit, elle peut laisser tomber l’emballage, elle peut être au-dessus de ces viles considérations, surtout avec le Saint-Père et comme public un parterre d’hommes de l’Eglise.
La rencontre a duré 24 minutes.
Mathilde de Saxe Cobourg Gotha dans la série « Lève toi et Marche » … to be continued.
je taquine mais je suis un peu dans le même cas qu’elle avec une belle entorse
Je trouve que la reine des Belges suscite souvent des commentaires désagréables et, à mon goût, exagérés.
Je ne connais pas particulièrement la monarchie belge ni le couple royal mais je me demande ce qu’ils ont fait (ou ce qu’ils n’ont pas fait) pour mériter autant de reproches.
Naucratis, je me suis déjà posé cette question, et je l’ai posée ici, je me suis vue répondre avec verdeur qu’en tant que Française je ne pouvais pas comprendre… je ne sais si c’est votre cas, mais en tout cas, attendez-vous à avoir de belles et pas forcément agréables, réponses de Nanou1 au moins.
Heureuse de voir le pape, je l’aime bien, il nous secoue et c’est tant mieux!!
Je continue ici un nouveau chapitre sur les Orléans.
Autour de la guerre de 1870.
En France, le règne de Napoléon III, bête noire des Orléans, s’achevait. C’est alors qu’en Espagne le dernier fils de Louis-Philippe, Antoine d’Orléans, duc de Montpensier, fit parler de lui. Pour comprendre les faits, il faut remonter à l’affaire des mariages espagnols, chefs d’oeuvres de la politique de louis-Philippe, si réussie qu’elle lui avait en partie coûté son trône.
Le roi Ferdinand VII, dont Goya avait rendu si parfaitement l’aspect quasi bestial, n’avait eu que deux filles. L’aînée, destinée à lui succéder, était montée sur le trône sous le nom d’Isabelle II. Toutes les puissances s’étaient préoccupées de son mariage, et chaque chancellerie avait tâché de lui trouver un mari capable de l’influencer dans le bon sens, c’est à dire celui de ladite chancellerie. Louis-Philippe avait timidement proposé un de ses fils. A la perspective de revoir un prince français coiffer la couronne espagnole, l’Angleterre avait poussé des hurlements. Puis cette même Angleterre, sournoisement, avait proposé un parent de la reine Victoria. Ce fut au tour du roi des Français de pousser des cris. Impasse totale. Alors le bon Louis-Philippe avait inventé la solution parfaite. La reine d’Espagne épouserait un sien cousin espagnol, donc aucune influence étrangère, donc aucune dispute entre les grandes puissances.
L’Angleterre soupçonnait bien une perfidie, mais son Premier ministre eut beau chercher, réfléchir, il ne trouva rien, et il accepta cette solution. En récompense de ses loyaux services, Louis-Philippe demandait seulement que la soeur cadette de la reine d’Espagne, l’infante Marie-Louise-Fernande épousât son dernier fils, Montpensier. L’Angleterre accepta du bout des lèvres. Ce ne fut que lorsque la reine Isabelle II eut convolé avec son cousin espagnol François de Bourbon, duc de Cadix, que la vérité se fit jour : le nouveau roi était probablement incapable d’engendrer. Donc, immanquablement la reine Isabelle mourait sans enfants…et la couronne reviendrait à sa soeur et au mari de cette dernière, Antoine d’Orléans. L’Angleterre, hors d’elle, se vengea en bénissant, sinon en encourageant de toute la puissance de la cavalerie de Saint George, la révolution qui deux ans plus tard chasserait Louis-Philippe du trône.
De son côté, Montpensier n ‘eut plus qu’à attendre que la couronne échût à sa femme. Cet homme fort intelligent, fort intrigant, collectionneur averti comme tant d’Orléans, avait un côté sombre qui n’était pas sans éveiller la méfiance, sinon la crainte des siens. toujours ambitieux, toujours frustré, les scrupules ne l’encombraient pas. Il y avait en lui une violence qui ne demandait qu’à s’exprimer. Ce fut bientôt le cas. La rage s’empara de lui lorsque sa belle-soeur, la reine Isabelle, à la surprise générale, se mit à avoir un, deux, puis trois puis quatre enfants. Peut-être le roi consort François y avait-il mis du sien, à moins que le Saint-Esprit ne fût intervenu. Montpensier, inconsolable de voir la couronne lui échapper, créa une opposition contre sa belle-soeur et qui pourtant, à a chute de Louis-Philippe, l’avait hébergé et couvert d’honneurs.
La reine Isabelle, chez qui la bonté se mêlait au cynisme se contenta de l’exiler, avec sa femme, à Séville. La capitale de l’Andalousie était alors un trou de province, où les grandes familles qui pourtant possédaient des palais ne s’aventuraient jamais. Montpensier y déploya une activité débordante. Il développa l’agriculture, créa des industries, ouvrit des voies de communication, planta des forêts et des parcs, sa manie, restaura des monuments, attira tout un monde d’artistes et d’écrivains. Du coup les grandes familles rouvrirent leurs palais, nombre d’Espagnols entreprenants suivirent le mouvement, et grâce à Montpensier, la ville ressuscita. De nos jours encore, son souvenir y est partout présent et, cent ans après sa mort, son nom y sert toujours de passeport à ses descendants.
Si la reine Isabelle croyait l’avoir assagi en l’exilant, elle se trompait fort. Cette sympathique et voluptueuse souveraine, montée sur le trône dès sa plus tendre enfance, avait vu son règne ponctué de tant de coup d’Etat qu’elle en était blasée. Le dernier pourtant, au lieu de lui imposer comme d’habitude tel ou tel général, la renversa et l’expédia en exil à Paris. Les Espagnols se cherchèrent un roi et Montpensier trépignant d’impatience se lança dans mille intrigues pour se faire attribuer le trône de sa belle-soeur. Le gouvernement provisoire commença par l’exiler courtement. Du Portugal il s’agita encore plus. Le parti qui le soutenait s’étoffait de jour en jour. Son attitude, ses propos devinrent tellement insultants pour la reine déchue que le beau-frère de ce celle-ci, le duc de Séville, indigné, le provoqua en duel au pistolet. De nombreuses versions existent de cette célèbre scène. Selon la tradition familiale, le duc de Séville était le meilleur tireur d’Espagne et le duc de Montpensier, myope comme une taupe n’avait aucune chance de s’en tirer…Pourtant, du premier coup, Montpensier étendit Séville raide mort. Il avait sauvé sa peau, mais le scandale fut tel que ses chances d’arriver sur le trône s’évanouirent en fumée, d’autant que le gouvernement provisoire se choisissait un roi en la personne d’Amédée de Savoie, duc d’Aoste. Devant l’instabilité qui se prolongeait en Espagne et les attentats répétés qui mettaient sa vie contamment en danger, celui-ci eut la sagesse de ne pas insister et se retira au bout de quelques mois de règne.
L’espagne de nouveau avait besoin d’un roi. La candidature montpensier étant exclue, on avança celle d’un prince de Hohenzollern, cousin du roi de Prusse, choix qui conduisit à la guerre franco-prussienne de 1870.
A l’idée de voir son pays en guerre et bientôt envahi, le sang des Orléans ne fit qu’un tour. Impossible cependant de s’engager dans l’armée, étant donné que Napoléon III est au pouvoir. Mais la chute de l’Empire fait renaître l’espoir. Tous les hommes valides de la famille demandent à se battre à n’importe quel poste, à n’importe quel rang, sous n’importe quel pseudonyme. Hélas le gouvernement provisoire les récuse tous…
Aux jours les plus sombres de la guerre, les armées françaises se sont repliées bien en deçà de Paris. Le général Martin d’Espallière, en proie aux plus tristes pensées, est soudain distrait par une demande d’audience émanant d’un certain colonel Lutherod, américain de nationalité.
Le général n’a pas d’autre endroit pour le recevoir que la cage de l’escalier. L’homme, grand, imposant, dépasse à peine la cinquantaine. « Me reconnaissez-vous? » Le général ne reconnaît rien. « Je suis le prince de Joinville. Rappelez vos souvenirs, c’est moi qui ait lancé votre carrière, voulez-vous m’aider à finir la mienne? ». Il explique qu’il a demandé à toutes les autorités l’autorisation de s’engager, et que, partout, il a été chassé. « J’ai demandé, mais en vain, à servire comme simple volontaire perdu dans la foule, ignoré, sous un nom d’emprunt. N’aurez-vous pas pitié de l’affreuse situation qui m’est faite? Je vous demande ni grade ni position…rien que la permission de me perdre parmi les volontaires qui combattent aux avant postes. Vous n’entendrez jamais parler de moi. Vous même ne m’avez pas reconnu. Qui se rappelle aujourd’hui le prince de Joinville? Qui pourrait reconnaître celui que trente ans d’exil et de chagrin ont rendu étranger à tous? « , mais le général connaît trop bien l’hostilité du gouvernement provisoire contre les Orléans: la mort dans l’âme, il refuse, malgré le désespoir qu’il lit dans le regard du prince de Joinville. Celui-ci lui serre la main et disparaît. Il refusera pourtant de se soumettre. Il suivra l’armée, aidant où il peut, donnant des conseils. Au début, on le soupçonna d’espionnage. Puis les soldats français, comme naguère les soldats américains , s’habituèrent à « l’homme au grand chapeau », toujours là pour les encourager et leur prodiguer un conseil judicieux. En même temps il continue à bombarder le gouvernement de demandes d’engagement. Finalement Gambetta le déclare danger public et lui ordonne de quitter le territoire. Joinville s’accroche à sa patrie. Il sera finalement arrêté et expulsé manu militari.
Quelques semaines plus tôt, un jeune homme nommé Robert lefort a réussi à se faire engager dans les gardes mobiles de Seine-maritime. Il n’a pu décrocher une troupe plus prestigieuse faute de pouvoir se mettre en règle avec l’intendance. il est affecté dans la région de Gisors, que tiennent en partie les Prussiens, et où la population déchirée comme tout le pays par la guerre, manifeste son hostilité. le premier soin du capitaine Robert Lefort est de rassembler ses gardes mobiles et de disperser les manifestants. Il fait des reconnaissances, participe à plusieurs escarmouches. les prussiens semblant toujours plus invincibles, les troupes françaises doivent abandonner la région et reculer. Au cours de cette retraite effectuée en plein hiver, dans des conditions extrêmement difficiles, le général Briant est tellement frappé par l’énergie, le courage et le sens de l’initiative du capitaine Lefort qu’il le prend dans son état-major, l’incorporant enfin dans l’armée régulière de ligne. Le jeune officier est si chaudement recommandé que Gambetta signe son avancement et le nomme chef d’escadron. Il participe à la bataille du Mans, puis ses connaissances en allemand le désigne pour une mission moins prestigieuse et plus essentielle : il est chargé de discuter avec les prussiens des conditions d’armistice. Grâce à son art de la dialectique et à sa ténacité, une partie de la Normandie échappe à la terrible occupation prussienne. En février 1871, les préliminaires de la paix sont votés par l’assemblée et l’armée française est démobilisée.
Robert Lefort n’a plus qu’à disparaître pour redevenir le duc de Chartres. Il n’avait fait qu’emprunter le nom de son lointain ancêtre, Robert dit le Fort, qui au neuvième siècle assura la fortune de la famille en devenant comte de paris et duc de France. Personne du côté français n’avait deviné sa véritable identité, ce qui lui avait évité les humiliations de son oncle Joinville. Côté allemand, on avait su que le duc de Chartres se battait sous un faux nom, et un émissaire de la famille royale de Prusse avait demandé aux Orléans à londres sous quel peudonyme il se cachait, afin que, s’il devait être fait prisonnier il fût traité avec les honneurs dus à son rang illustre. Réponse du duc d’Aumale à l’intermédiaire : « Chartres est là où il doit être. Si vous le faites prisonnier, fusillez-le, pendez-le, brûlez-le même si vous voulez. Il fait son devoir, et nous ne dirons pas le nom sous lequel il se cache pour l’accomplir. »
La révérence ? non, on fait une révérence à la reine mais pas au pape. Surtout le pape François qui s’en moque….On a raconté une anecdote à ce sujet : à quelqu’un qui s’inclinait un peu bas devant lui, il lui a demandé gentiment s’il avait mal au dos… !!
Je suis un peu soufflée par cette anecdote. Afficher son anti-conformisme en ridiculisant une homme qui croyait bien faire, ce n’est pas très charitable. Notons que le pape adhère à certaines traditions: il n’est pas habillé en civil dans ses fonctions officielles. Il porte la calotte, Mathilde porte la mantille, pas de quoi en faire tout un plat!
J’apprécie beaucoup le choix vestimentaire de la reine pour cette visite, notamment sa décision de porter une mantille.
Mathilde est une reine parfaite dans son rôle, le belges sont très chanceux de l’avoir!
nanou 1,
Heureusement qu’elle existe, la reine Mathilde, sinon « c’est vous qui perdriez votre seule raison de vivre », puisque vous n’intervenez sur ce site (et probablement ailleurs) que pour la dénigrer.
Vous aussi, Yannick, vous avez l’oeil pour remarquer que Mathilde « a l’oeil pour repérer les photographes »… J’avoue que je n’ai rien remarqué, mais peut être que ma vue baisse…
Et qu’ils vous disent tout le temps: Regardez par ici, souriez, s’il vous plaît!!!
Est-ce que Máxima ou Letizia ne regardent pas les photographes dans des occasions semblables????
Soyons justes!!!!
Zeugma,
Nous entretenons des relations avec le Saint-Siège depuis 1832 et notre ambassadeur auprès de celui-ci est Bruno Nève de Mévergnies, qui a été secrétaire de la reine Fabiola pendant quelques années avant d’occuper divers postes diplomatiques.
Bien sûr, nous avons un autre ambassadeur de Belgique auprès de l’ Italie.
Quant aux ministres des cultes, qu’ils soient prêtres, pasteurs, imams ou rabbins , ils sont payés par l’état belge. Les chiffres varient d’un informateur à l’autre, mais l’état rémunérerait un peu plus de 3.000 personnes avec un salaire de départ aux alentours des 1500 à 1700 euros mais là personne n’est franchement d’accord .
c’est drôle, mais alors qu’il y a toujours des commentaires d’internautes acides pour ne pas dire fielleux, pour fustiger le moindre voile porté par des femmes de familles royales ou non résidant dans des pays arabes (alors que cela fait partie de leur tradition), ce n’est pas, qu’à de rares exceptions, le cas avec cette hideuse mantille (on espére en points de Malines), portée de traviole
cela permet d’apprécier l’ouverture d’esprit et les opinions « à géométrie variable »…
c’est merveilleux dans un cas et tellement rétrograde et avilissant pour la femme dans l’autre, comprenne qui pourra!
En Tunisie, à une époque, le voile était interdit car contraire à leurs traditions ^^^^
Et ma grand mère marocaine (ainsi que mes tantes et cousines) n’ont jamais porté de voiles.
J’ai 51 ans. Imaginez l’âge qu’avait ma grand mère. Alors le côté traditionnel ^^^^
Je ne trouve pas la mantille hideuse et de plus elle ne cache pas grand-chose .Elle ne ressemble en rien,sauf imagination débordante ,à la tenue imposée en Arabie Saoudite ou en Afghanistan ! Il faut raison garder .
Il serait bon de rappeler ceci aux porteuses de Burqa actuelles, peut-être qu’elles se vêtiraient autrement.
La Burqa vient du Culte d’Astarté dans la Mésopotamie antique.
Pour honorer la déesse de l’Amour Physique, toutes les femmes sans exception devaient se prostituer une fois l’an dans les bois sacrés qui entouraient les temples de la déesse.
Pour ne pas être reconnues, les femmes de la haute société prirent l’habitude de se voiler totalement.
Et n’oubliez pas ceci : Mustapha Kemal, alias Atatürk, 1er président de la Turquie, de 1923 à 1938, avait trouvé la bonne astuce pour clouer le bec aux intégristes de l’époque.
Il avait mis un terme au port de la burqa, en faisant une loi toute simple, avec effet immédiat, toutes les femmes turques ont le droit de se vêtir comme elles le désirent.
Toutefois, toutes les prostituées doivent porter la burqa.
Dès le lendemain, on ne voyait plus de burqa en Turquie.
Et c’est toujours en vigueur…!!!
DEB
9 mars 2015 @ 12:32
Le journal « la dernière heure » dit, qu’en dehors du pape, le couple royal et le ministre des affaires étrangères Didier Reynders rencontreront
Le cardinal australien George Pell , qui est un des 9 cardinaux chargés de réformer la curie et « patron » du secrétariat pour l’économie qui tente de mettre de l’ordre dans les finances du Saint-Siège
Le cardinal ghanéen Peter Turkson qui est le spécialiste des problèmes du développement.
Le cardinal français retraité Paul Poupard, qui a présidé le conseil pour le dialogue inter religieux .
La reine a bien observé le protocole du Vatican et sa tenue est parfaite.
Gibbs
9 mars 2015 @ 13:48
DEB,
C’est en effet, ce que le journal belge « La Dernière Heure » relate.
Gibbs
9 mars 2015 @ 12:35
Usage actuel
En France, le port de la mantille, comme de tout couvre-chef par les femmes à la messe, est tombé en désuétude à partir des années 1960, et le code de droit canonique de 1983 ne fait plus référence à une obligation pour les femmes de se couvrir à l’Église.
Toutefois, l’usage s’est maintenu dans d’autres pays que la France (par exemple en Espagne où l’usage est de porter pour son charme une mantille légère, dans certaines régions, ou en certaines occasions), et en France dans les communautés traditionalistes, qui considèrent que l’omission du code de 1983 ne signifie pas l’abrogation de la règle précédente.
Enfin, la mantille est toujours portée par les femmes ayant une audience avec le Pape, bien que l’usage ne soit plus soutenu avec la même exactitude qu’auparavant. Ainsi, si Mary Robinson, ancienne présidente protestante d’Irlande, Raïssa Gorbatchev, épouse de l’ancien secrétaire général du PCUS Mikhail Gorbatchev, et Angela Merkel, chancelière allemande, se sont présentées sans mantille devant le Pape, les personnalités présentes aux obsèques de Jean-Paul II et à l’inauguration du pontificat de Benoît XVI sont venues avec une mantille, de même que le font les épouses des souverains catholiques, ou encore Bernadette Chirac.
Les reines catholiques ont le « privilège du blanc », le droit de porter une tenue blanche, avec une mantille blanche (de nos jours : la reine d’Espagne, la reine des Belges, la grande-duchesse de Luxembourg et la princesse de Monaco).
Gérard
9 mars 2015 @ 15:00
En effet le Code de droit canonique de 1917 stipulait au canon 1262:
« p.1 Il est souhaitable que les hommes et les femmes, dans les églises, soient groupés séparément, selon l’ancienne discipline.
p.2 Quand ils assistent aux fonctions sacrées, spécialement à la messe, soit à l’église, soit au dehors, les hommes doivent être découverts, à moins que les circonstances n’imposent le contraire, ou que les usages n’exigent qu’ils restent couverts ; quant aux femmes elles doivent avoir la tête couverte et être vêtues modestement, surtout quand elles s’approchent de la sainte table. »
Philippe
9 mars 2015 @ 19:38
Oui, enfin, pour la princesse de Monaco, disons que les monégasques
ont un peu forcé les choses …
La princesse Charlène s’est effectivement présentée en blanc à son audience avec le Pape Benoit XVI, mais il a fallu ensuite que le Vatican
fasse une déclaration pour lui en reconnaitre le droit ! … et comment pouvait-il faire autrement ?
La princesse de Liechtenstein, de son côté, s’habille de noir quand elle
se rend à Rome. Mais les Liechtenstein ne sont pas des nouveaux riches.
Mon avis est qu’il s’agit encore là, pour les Grimaldi, d’un passage
en force.
Ils aiment à se croire la crème de la crème.
Cousins des rois, indépendants depuis sept cent ans, et maintenant
le privilège du blanc …
pipeau … pipeau … pipeau …
Laurent F
9 mars 2015 @ 17:04
C’eût été étonnant que Bernadette n’observât pas le protocole pontifical à la lettre !
Zeugma
9 mars 2015 @ 19:06
« C’eût été étonnant que … » écrivez-vous Laurent F.
La langue française m’est de plus en plus mystérieuse, je dois l’avouer, au fur et à mesure que les années passent.
En l’occurrence, pouvez-vous expliquer pourquoi vous mettez un accent circonflexe sur la lettre « u » de « c’eût été » ?
Gibbs
10 mars 2015 @ 20:32
Zeugma,
Simplement car c’est correct; il s’agit du plus-que-parfait du subjonctif.
Gérard St-Louis
10 mars 2015 @ 00:26
Quelqu’un peut-il m’expliquer pourquoi la princesse de Liechtenstein, épouse d’un chef d’état catholique ne bénéficie pas de ce privilège d’être habillée de blanc. J’ai cru remarquer que les princesses de Savoie, bien que non régnantes ont conservés ce privilège. Qui se souvient que lors d’une visite au Vatican Imelda Marcos s’était arrogée ce privilège.
ML
10 mars 2015 @ 15:19
Cela ne me semble pas très logique,en effet mais pourquoi ?
Pierre-Yves
10 mars 2015 @ 19:42
Le blanc ou le noir pour aller voir le Pape, c’est comme discuter du sexe des anges, ce sont des conventions qui ne servent pas à grand chose. Surtout lorqu’on on est reçu par un pape qui se fait fort de dépoussiérer le protocole. Je suis bien sûr que ça ne le dérangerait pas plus que ça de voir ses visiteurs arriver un pull et en jeans.
Mélusine
9 mars 2015 @ 12:42
C’est le moment où jamais de prier pour la prompte guérison de la reine Mathilde.
Caroline
9 mars 2015 @ 12:54
Mélusine,amen!!!
mimi
9 mars 2015 @ 13:33
Oui, Mélusine, je joins mes prières aux vôtres et qu’on passe vite à autre chose.
val
9 mars 2015 @ 14:34
Mélusine,
Il y a d’autres personnes pour qui nous devons avoir des pensées mais franchement pour cette dame je n’ai aucune pensée elle n’est pas atteinte d’une maladie incurable.
candy
9 mars 2015 @ 18:46
val,
merci pour votre commentaire très sensé, les horreurs sont assez présentes dans notre monde et je pense plutôt que le Saint Père prie avant tout pour les chrétiens d’orient martyrisés .
Gibbs
10 mars 2015 @ 13:17
candy,
Je le souhaite aussi.
G de G
9 mars 2015 @ 19:15
Franchement, je ne pense pas qu’elle ait demandé quoi que ce soit à qui que ce soit dans ce sens là non plus mais on peut quand même lui souhaiter un prompt rétablissement.
Francine du Canada
9 mars 2015 @ 17:04
J’ai pensé la même chose Mélusine; qu’elle retrouve la forme et ce sera des soucis en moins pour elle. Bonne semaine, FdC
mimi
10 mars 2015 @ 09:17
et un ouf ! de soulagement pour nous.
FILOSIN
9 mars 2015 @ 17:20
..pour ma part je vais prier pour tous ceux qui ont un cancer..car eux on n’est pas sûr qu’ils vont guérir.
Pour elle, ça va aller merci..
Danielle
9 mars 2015 @ 20:15
Filosin, merci pour vos prières, vous avez tout à fait raison !
Baia
9 mars 2015 @ 21:55
Le moment de prier pour elle ? Vous plaisantez j’espère Mélusine !
Mélusine
10 mars 2015 @ 17:21
Non, Baia, je ne « plaisante pas du tout ». Toutes les êtres en souffrance ont droit à des prières en leur faveur et les accidents du genre de celui de Mathilde peuvent mal tourner.
Il y a quelques années, la fille âgée de seize ans de l’une de mes amies s’est légèrement blessée au tibia, lors d’un entraînement de basket ball. Bien qu’ayant été traitée immédiatement pour cela, la douleur s’est faite de plus en plus intense et, à la longue, des examens plus poussés ont détecté chez cette très jeune fille un cancer du tibia.
Il ne faut rien prendre à la légère…
Baia
11 mars 2015 @ 15:36
Oui Mélusine vous avez raison. Il ne faut rien prendre à la légère, qui plus est lorsqu’il s’agit d’un problème de santé.
Mais avouez tout de même que le cas de la fille de votre amie est extrêmement rare.
Personnellement je fatigue un peu de lire sur ce site, entre autre, qu’il faut prier pour tel(le) ou tel(le) royal qui, pardonnez-moi l’expression, à un petit pêt de travers. Donc prier pour que la reine Mathilde se remette de son entorse au genou me semble too much !
Francine du Canada
14 mars 2015 @ 12:24
Nous avons pourtant prié pour votre sœur et votre nièce, l’an dernier et ça n’a fait de mal à personne il me semble? Cordialement, FdC
marielouise
10 mars 2015 @ 14:42
Mélusine n’exagérons pas….!
JACKLINE
9 mars 2015 @ 12:54
La Reine Mathilde est fort bien vêtue et la mantille est de rigueur
jo de st vic
9 mars 2015 @ 13:13
Là au moins la tradition est respectée sans commentaire negatif
Figaro
9 mars 2015 @ 22:02
Chère madame, j’avais répondu à votre demande d’éclaircissement pour le Grand Duc mais mon post a été censuré . Il faut donc vous contenter des commentaires de Dradomir et Charles et de mon premier post qui parlait en mots diplomatiques d’intérêt pour une ministre. Vous êtes suffisamment intelligente pour comprendre.
Marianne Amélie
9 mars 2015 @ 13:17
La tenue de Mathilde est parfaite, cette blessure est bien handicapante pour elle, mais elle s’en (tire) bien.
Marie de Cessy
9 mars 2015 @ 13:47
Ah ça y’est la Reine Mathilde porte la mantille
Ajouté à cela les béquilles ça fait beaucoup
Bon rétablissement à elle !
jocelynede
9 mars 2015 @ 13:57
Une mantille oui, mais il aurait fallu qu’elle fasse un chignon, là çà l’écrase complètement
G de G
9 mars 2015 @ 19:17
Elle n’est pas à un défilé de mode non plus et notre cher Pape François s’en accommodera très bien je pense!
Marquise
9 mars 2015 @ 20:31
Sa mantille est toute de guingois… dommage car le manteau et la robe sont beaux!
bianca
9 mars 2015 @ 14:00
Je suis ravie de voir que la Reine Mathilde de Belgique a respecté le protocole pour se présenter devant une personnalité aussi digne et humble que notre Pape François.
aubert
9 mars 2015 @ 14:45
Je relève avec un certain amusement que l’on commente seulement le tenue féminine. Comme si sur ce site les hommes n’avaient aucun intérêt. Il doit bien y avoir pourtant un moment du jour ou …de la nuit, où ils intéressent ces dames.
Le costume masculin porté lors des réceptions au Vatican est tout autant symbolique des évolutions que le costume féminin.
Danielle
9 mars 2015 @ 14:54
Mathilde est parfaite pour cette visite.
Le st Père a du prier pour son rapide rétablissement.
Kayleen
9 mars 2015 @ 15:03
Elle doit être en super forme puisqu’elle porte des chaussures à talons hauts!
Que doivent faire les femmes qui travaillent et n’ont pas une armée de domestiques derrière elles? Il ne faut tout de même pas pousser le bouchon trop loin avec Mathilde et merci d’avance de ne pas supprimer mon com.
nanou1
9 mars 2015 @ 18:33
Bien dit.
Anne-Cécile
9 mars 2015 @ 15:04
Il est vrai que l’introduction par le protocole en chaise roulante vous enlève toute majesté et casse vos effets. Elle a fini en béquilles.
Hélas tant d’efforts pour assister à un échange protocolaire d’un quart d’heure où deux hommes monopolisent le semblant de conversation, c’est dur. M’enfin s’ils étaient accompagnés d’un ministre peut-être ont-ils pu participer à un échange sur les dossiers bilatéraux.
Le pire c’est si elle enchainait avec un petit voyage au paradis des femmes, la péninsule arabique….Là c’était bon elle aurait eu raison de rester chez elle, quitte à être inutile et servir juste à attirer la lumière sur ses camarades de virée masculins sans que personne ne vous adresse la parole parce que femme, autant rester à la maison.
Gibbs
10 mars 2015 @ 09:11
Anne-Cécile,
Sur une photo à la descente de l’avion, j’ai vu Didier Reynders, Le 6 décembre 2011, il devient Ministre fédéral des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et des Affaires européennes dans le gouvernement Di Rupo, poste qu’il s’est à nouveau vu attribuer en 2014.
Nathetvoila
9 mars 2015 @ 15:18
La mantille blanche est une jolie tradition. Evidemment ce n’est pas un usage important ou irrévocable, mais ça ne fait de mal à personne ! Bon après-midi !
Esquiline
9 mars 2015 @ 18:58
Qu’elle rallonge sa jupe et elle est prête à s’envoler pour le Qatar!
Marie de Bourgogne
11 mars 2015 @ 13:44
Impossible. Elle est en blanc et le Qatar aime les chauve-souris noires.
ML
12 mars 2015 @ 12:34
Pas mal ! :) :)
Marie de Bourgogne
13 mars 2015 @ 13:15
J’aurais pu dite également, que Mathilde – en blanc- ressemble à une colombe et que le Qatar préfère les chauve-souris ^^
Amicalement ML
aggie
9 mars 2015 @ 15:35
sur France 2 en ce moment, dans l’émission toute une histoire, Fabienne Delvigne témoigne
andré
9 mars 2015 @ 15:44
Gibbs
le Liechtenstein
Gibbs
9 mars 2015 @ 18:27
Merci André
dradomir
9 mars 2015 @ 16:46
Quand je pense aux railleries lues ici et là sur la tenue de Stéphanie de Luxembourg en visite au Qatar… A chacun(e) son protocole….
Mais bon sang que tout cela est dépassé et en fait sans rapport avec les Textes !
marielouise
9 mars 2015 @ 19:23
Noooooooooon,la mantille!
Cela me heurte beaucoup….à notre époque!Elle n’a pas lu Elisabeth Badinter!
Tout comme pour les femmes musulmanes qui doivent, par obligation maritale ,porter un voile qui n’a rien à voir avec leur religion!
Mathilde n’a pas beaucoup de caractère en cette circonstance….!
Sa tenue est par contre très élégante,j’aime beaucoup….mais je n’adhère pas à sa bigotterie!
Marie de Bourgogne
10 mars 2015 @ 13:03
« par obligation maritale »
Surprenant…D’où sortez vous vous cela marielouise ? Le foulard islamique n’a absolument rien à voir avec une « obligation maritale ».
marielouise
11 mars 2015 @ 08:47
Si Marie de Bourgogne,le voile,la mantille,le foulard etc, sont là pour cacher la parure,les cheveux des femmes, pour ne pas exciter les fantasmes masculins cela n’est aucunement un indicateur religieux!!!
Lisez Badinter,entre autre et tout ce qui concerne les religions,muslmane ici en particulier!
Mais bon sang,pourquoi la femme doit-elle se cacher ainsi …..réfléchissez?
Marie de Bourgogne
11 mars 2015 @ 12:42
La mantille est plutôt ravissante et ne cache pas vraiment les cheveux, pas plus qu’un chapeau soit dit au demeurant.^^^^
De plus, une Chrétienne n’est absolument pas obligée de se couvrir les cheveux dans la vie courante (uniquement lorsqu’elle prie ou prophétise).
Le foulard et le voile islamique oui.
Par contre, et contrairement à votre affirmation, ce n’est aucunement une « obligation maritale ». Pas besoin d’être mariée pour porter le foulard ou le voile islamique.
Quand à réfléchir sur ce sujet, vous ne vous adressez pas à la bonne personne. Je suis apostate de l’islam ^^
Gérard
10 mars 2015 @ 13:23
Je crois que vous confondez politesse et respect pour le pape et les Belges et bigoterie.
marielouise
11 mars 2015 @ 08:51
Certes Gérard,la politesse envers le pape je veux bien mais d’où nous vient ces obligations de se voiler,pour nous les femmes dans les lieux saints…..il n’y a pas si longtemps ,ma grand-mère se rendait à l’Eglise avec sa mantille puis jamais sans son chapeau!!!!!
Pour les hommes qui ont écrits les règles religieuses…les femmes ne sont qu’objets sexuels et ne doivent se dévoiler que pour leur mari!!!!
La religion catholique a aussi soumis la femme à de tels préceptes!
Marie de Bourgogne
11 mars 2015 @ 12:46
« La religion catholique a aussi soumis la femme à de tels préceptes! »
Les femmes ne doivent se dévoiler que pour leurs maris dans la religion Chrétienne (les catholiques ne sont qu’une branche de la religion Chrétienne) ?
A l’époque des grands décolletés (Sous Louis XIV par exemple) ce n’était pas très suivi ^^^^
Baia
11 mars 2015 @ 15:40
Marie-Louise, vous vous etes relue ?
Votre dernière phrase est hallucinante de bêtise !
ML
11 mars 2015 @ 19:04
Je vous signale que les juifs portent la kippa à la synagogue et que les musulmans ,s’ils se déchaussent avant d’entrer dans une mosquée ne se découvrent pas .
ML
12 mars 2015 @ 10:36
Marie de Bourgogne ,les décolletés du Second Empire n’étaient pas mal aussi ! Il parait qu’un prélat (espiègle) aurait dit à l’époque :il faut tant de tissu pour les jupes qu’il ne reste plus grand-chose pour les corsages .
Gérard
12 mars 2015 @ 22:13
La convenance vestimentaire concerne aussi les hommes et pas seulement dans les églises.
ML
10 mars 2015 @ 15:17
Bigoterie ? Le port de la mantille pour une visite au pape ne me choque pas et une mantille n’a rien à voir avec un niquab ,une burka ou je ne sais quoi .
Pour moi,c’est une marque de respect pour son hôte ,tout simplement .
Je ne suis pas bigote et pourtant j’ai porté des mantilles noires pour des messes d’enterrement ,par respect pour le défunt !
Nania
11 mars 2015 @ 16:59
Très bien dit, ML!!
Baia
10 mars 2015 @ 15:23
Le port de la mantille pour une reine en visite au Vatican n’est pas à comparer avec le port du voile chez les femmes musulmanes.
marielouise
11 mars 2015 @ 08:52
Et pourtant si vous lisez,étudiez et réfléchissez un peu……SI!
Marie de Bourgogne
11 mars 2015 @ 12:47
NON. Cela n’a rien à voir.
Et je connais le sujet, j’ai été musulmane ^^^^
ML
11 mars 2015 @ 19:08
Désolée ,mais si une femme musulmane porte le voile ,elle le porte tout le temps et pas seulement dans un lieu saint !
Gérard
12 mars 2015 @ 22:16
Vous réfléchissez pour nous je crois Marie-Louise et sans aucun préjugé comme on le voit.
bernadette
10 mars 2015 @ 15:46
Marie Louise, pourquoi parlez vous de bigotterie ? Où en voyez vous ?
Si c’est le port de la mantille, je vous signale qu’en Espagne on porte parfois la mantille, sans pour cela être taxé de « bigot », heureusement !
Nania
11 mars 2015 @ 17:09
Oui!!! Pour certains mariages, la mère du fiancé et la mère de la fiancée portent la mantille et c’est tout un signe d’élégance. Regardez les mariages à la Maison d’Alba, ou à la Maison d’Osuna, ou même la reine Sofia aux mariages de l’Infante Elena et du prince Felipe!!!!
On la porte aussi pour les processions du Jeudi et du Vendredi Saints. et aussi pour certaines cérémonies La seule différence c’est qu’on la porte attachée avec una jolie « peineta », sur le chignon, ce qui dégage le visage féminin en toute sa beauté….Et bien sûr ren de bigot dans ce geste!!
Nania
11 mars 2015 @ 20:49
J’ai voulu écrire » rien de bigot »….
marielouise
9 mars 2015 @ 19:24
Très juste Dradomir!
Marie de Bourgogne
10 mars 2015 @ 13:00
Si Stéphanie avait porté un ravissante mantille lors de sa visite au Qatar, elle aurait été charmante.
Par contre, l’accoutrement disgracieux qu’elle a été obligée de revêtir…..
bernadette
9 mars 2015 @ 16:58
Comme toujours, tenue parfaite pour Mathilde. La visite a été maintenue, tant mieux,
le petit accident de Mathilde n’est pas très grave, et le pape François est très simple,
pas de souci protocolaire avec lui, d’ailleurs il s’en moque…on vient comme on est, un point c’est tout.
Nania
9 mars 2015 @ 17:05
En dehors de Mme Chirac, toutes les presidentes ou épouses des présidents d’Amérique Latine ( en tant que catholiques), portaient la mantille noire et aux obsèques de Jean Paul II et à l’inauguration de pontificat de Benoît XVI (et encore à l’inauguration de pontificat de François)
Je crois que Mathide a été très bien habillée en blanc ( comme c’est la tradition) lors de cette rencontre. Elle était sobre et élégante….. Très belle!!!
Valérie R.
9 mars 2015 @ 17:24
Philippe regarde le Pape, Mathilde les photographes…
Naucratis
9 mars 2015 @ 17:55
Vous êtes un peu dure avec la reine, c’est uniquement sur la première photo !
Par ailleurs, n’est-ce pas la plus élémentaire des courtoisies que de regarder les photographes et de leur sourire ?
Gérard
10 mars 2015 @ 13:24
En effet.
Marnie
10 mars 2015 @ 15:09
Vous avez raison Naucratis ! certaines font aussi ce reproche à Mary du Danemark. Mais bon, c’est aussi une politesse de se tourner vers les photographes (donc vers nous, lecteurs qui les verrons grâce à ces photographies) d’autant qu’ils sont officiels. Je me rappelle le témoignage d’Agnès qui nous racontait comme c’était agréable, en tant que photographe, de croiser des royaux qui avaient une pensée pour eux et se prêtaient quelques instants à un regard ou une pose vers leurs objectifs, afin que leur travail soit facilité et qu’ainsi, nous puissions bénéficier de clichés agréables à regarder.
nanou1
9 mars 2015 @ 18:34
Et ça vous etonne ?
Pierre-Yves
9 mars 2015 @ 18:53
En même temps, sur une autre photo prise trois secondes après, qui vous dit que ce n’est pas l’inverse ?
Marnie
10 mars 2015 @ 15:11
Très juste Pierre-Yves, certains ici semblent oublier qu’une photo correspond à une fraction de seconde ! et pourtant ils jugent l’état d’esprit ou la personnalité du photographié d’après une grimace, un sourire « exagéré », un regard, qui sont ainsi fixés mais ne représentent qu’un moment infime.
bianca
11 mars 2015 @ 16:35
Exactement Marnie, j’ai maintes fois exprimé ce que vous dites au sujet des jugements de certaines personnes qui s’expriment au vu de ces instants très fugaces !
aubert
9 mars 2015 @ 19:08
…qui n’ont pas de peine à être plus jeunes et plus beaux que le Pape.
Baia
9 mars 2015 @ 21:58
Ah oui Valérie R., je me suis fait la même réflexion que vous.
Anne-Cécile
10 mars 2015 @ 06:41
Il faut aussi avouer qu’elle était élégante à cette occasion. Très fière de sa toilette, comme au mariage des Cambridge, elle a bien marqué la pose. Mais il est vrai que cela était inutile. Elle n’a besoin d’aucune toilette élégante, le contenu suffit, elle peut laisser tomber l’emballage, elle peut être au-dessus de ces viles considérations, surtout avec le Saint-Père et comme public un parterre d’hommes de l’Eglise.
La rencontre a duré 24 minutes.
ML
10 mars 2015 @ 15:07
Sur une photo ,oui mais il ne faut pas en faire une généralité !
JAusten
9 mars 2015 @ 17:33
Mathilde de Saxe Cobourg Gotha dans la série « Lève toi et Marche » … to be continued.
je taquine mais je suis un peu dans le même cas qu’elle avec une belle entorse
Numérobis.
10 mars 2015 @ 13:30
Bon rétablissement à vous, JAusten.
JAusten
12 mars 2015 @ 20:16
Merci, avec un peu de retard, à vous Numérobis
Naucratis
9 mars 2015 @ 17:58
Je trouve que la reine des Belges suscite souvent des commentaires désagréables et, à mon goût, exagérés.
Je ne connais pas particulièrement la monarchie belge ni le couple royal mais je me demande ce qu’ils ont fait (ou ce qu’ils n’ont pas fait) pour mériter autant de reproches.
Marnie
10 mars 2015 @ 15:13
Naucratis, je me suis déjà posé cette question, et je l’ai posée ici, je me suis vue répondre avec verdeur qu’en tant que Française je ne pouvais pas comprendre… je ne sais si c’est votre cas, mais en tout cas, attendez-vous à avoir de belles et pas forcément agréables, réponses de Nanou1 au moins.
bernadette
10 mars 2015 @ 15:49
Nous aussi, Naucratis, nous nous le demandons ! Malheureusement la méchanceté existera toujours !
Claude-Patricia
9 mars 2015 @ 18:30
Heureuse de voir le pape, je l’aime bien, il nous secoue et c’est tant mieux!!
Je continue ici un nouveau chapitre sur les Orléans.
Autour de la guerre de 1870.
En France, le règne de Napoléon III, bête noire des Orléans, s’achevait. C’est alors qu’en Espagne le dernier fils de Louis-Philippe, Antoine d’Orléans, duc de Montpensier, fit parler de lui. Pour comprendre les faits, il faut remonter à l’affaire des mariages espagnols, chefs d’oeuvres de la politique de louis-Philippe, si réussie qu’elle lui avait en partie coûté son trône.
Le roi Ferdinand VII, dont Goya avait rendu si parfaitement l’aspect quasi bestial, n’avait eu que deux filles. L’aînée, destinée à lui succéder, était montée sur le trône sous le nom d’Isabelle II. Toutes les puissances s’étaient préoccupées de son mariage, et chaque chancellerie avait tâché de lui trouver un mari capable de l’influencer dans le bon sens, c’est à dire celui de ladite chancellerie. Louis-Philippe avait timidement proposé un de ses fils. A la perspective de revoir un prince français coiffer la couronne espagnole, l’Angleterre avait poussé des hurlements. Puis cette même Angleterre, sournoisement, avait proposé un parent de la reine Victoria. Ce fut au tour du roi des Français de pousser des cris. Impasse totale. Alors le bon Louis-Philippe avait inventé la solution parfaite. La reine d’Espagne épouserait un sien cousin espagnol, donc aucune influence étrangère, donc aucune dispute entre les grandes puissances.
L’Angleterre soupçonnait bien une perfidie, mais son Premier ministre eut beau chercher, réfléchir, il ne trouva rien, et il accepta cette solution. En récompense de ses loyaux services, Louis-Philippe demandait seulement que la soeur cadette de la reine d’Espagne, l’infante Marie-Louise-Fernande épousât son dernier fils, Montpensier. L’Angleterre accepta du bout des lèvres. Ce ne fut que lorsque la reine Isabelle II eut convolé avec son cousin espagnol François de Bourbon, duc de Cadix, que la vérité se fit jour : le nouveau roi était probablement incapable d’engendrer. Donc, immanquablement la reine Isabelle mourait sans enfants…et la couronne reviendrait à sa soeur et au mari de cette dernière, Antoine d’Orléans. L’Angleterre, hors d’elle, se vengea en bénissant, sinon en encourageant de toute la puissance de la cavalerie de Saint George, la révolution qui deux ans plus tard chasserait Louis-Philippe du trône.
De son côté, Montpensier n ‘eut plus qu’à attendre que la couronne échût à sa femme. Cet homme fort intelligent, fort intrigant, collectionneur averti comme tant d’Orléans, avait un côté sombre qui n’était pas sans éveiller la méfiance, sinon la crainte des siens. toujours ambitieux, toujours frustré, les scrupules ne l’encombraient pas. Il y avait en lui une violence qui ne demandait qu’à s’exprimer. Ce fut bientôt le cas. La rage s’empara de lui lorsque sa belle-soeur, la reine Isabelle, à la surprise générale, se mit à avoir un, deux, puis trois puis quatre enfants. Peut-être le roi consort François y avait-il mis du sien, à moins que le Saint-Esprit ne fût intervenu. Montpensier, inconsolable de voir la couronne lui échapper, créa une opposition contre sa belle-soeur et qui pourtant, à a chute de Louis-Philippe, l’avait hébergé et couvert d’honneurs.
La reine Isabelle, chez qui la bonté se mêlait au cynisme se contenta de l’exiler, avec sa femme, à Séville. La capitale de l’Andalousie était alors un trou de province, où les grandes familles qui pourtant possédaient des palais ne s’aventuraient jamais. Montpensier y déploya une activité débordante. Il développa l’agriculture, créa des industries, ouvrit des voies de communication, planta des forêts et des parcs, sa manie, restaura des monuments, attira tout un monde d’artistes et d’écrivains. Du coup les grandes familles rouvrirent leurs palais, nombre d’Espagnols entreprenants suivirent le mouvement, et grâce à Montpensier, la ville ressuscita. De nos jours encore, son souvenir y est partout présent et, cent ans après sa mort, son nom y sert toujours de passeport à ses descendants.
Si la reine Isabelle croyait l’avoir assagi en l’exilant, elle se trompait fort. Cette sympathique et voluptueuse souveraine, montée sur le trône dès sa plus tendre enfance, avait vu son règne ponctué de tant de coup d’Etat qu’elle en était blasée. Le dernier pourtant, au lieu de lui imposer comme d’habitude tel ou tel général, la renversa et l’expédia en exil à Paris. Les Espagnols se cherchèrent un roi et Montpensier trépignant d’impatience se lança dans mille intrigues pour se faire attribuer le trône de sa belle-soeur. Le gouvernement provisoire commença par l’exiler courtement. Du Portugal il s’agita encore plus. Le parti qui le soutenait s’étoffait de jour en jour. Son attitude, ses propos devinrent tellement insultants pour la reine déchue que le beau-frère de ce celle-ci, le duc de Séville, indigné, le provoqua en duel au pistolet. De nombreuses versions existent de cette célèbre scène. Selon la tradition familiale, le duc de Séville était le meilleur tireur d’Espagne et le duc de Montpensier, myope comme une taupe n’avait aucune chance de s’en tirer…Pourtant, du premier coup, Montpensier étendit Séville raide mort. Il avait sauvé sa peau, mais le scandale fut tel que ses chances d’arriver sur le trône s’évanouirent en fumée, d’autant que le gouvernement provisoire se choisissait un roi en la personne d’Amédée de Savoie, duc d’Aoste. Devant l’instabilité qui se prolongeait en Espagne et les attentats répétés qui mettaient sa vie contamment en danger, celui-ci eut la sagesse de ne pas insister et se retira au bout de quelques mois de règne.
L’espagne de nouveau avait besoin d’un roi. La candidature montpensier étant exclue, on avança celle d’un prince de Hohenzollern, cousin du roi de Prusse, choix qui conduisit à la guerre franco-prussienne de 1870.
A l’idée de voir son pays en guerre et bientôt envahi, le sang des Orléans ne fit qu’un tour. Impossible cependant de s’engager dans l’armée, étant donné que Napoléon III est au pouvoir. Mais la chute de l’Empire fait renaître l’espoir. Tous les hommes valides de la famille demandent à se battre à n’importe quel poste, à n’importe quel rang, sous n’importe quel pseudonyme. Hélas le gouvernement provisoire les récuse tous…
Aux jours les plus sombres de la guerre, les armées françaises se sont repliées bien en deçà de Paris. Le général Martin d’Espallière, en proie aux plus tristes pensées, est soudain distrait par une demande d’audience émanant d’un certain colonel Lutherod, américain de nationalité.
Le général n’a pas d’autre endroit pour le recevoir que la cage de l’escalier. L’homme, grand, imposant, dépasse à peine la cinquantaine. « Me reconnaissez-vous? » Le général ne reconnaît rien. « Je suis le prince de Joinville. Rappelez vos souvenirs, c’est moi qui ait lancé votre carrière, voulez-vous m’aider à finir la mienne? ». Il explique qu’il a demandé à toutes les autorités l’autorisation de s’engager, et que, partout, il a été chassé. « J’ai demandé, mais en vain, à servire comme simple volontaire perdu dans la foule, ignoré, sous un nom d’emprunt. N’aurez-vous pas pitié de l’affreuse situation qui m’est faite? Je vous demande ni grade ni position…rien que la permission de me perdre parmi les volontaires qui combattent aux avant postes. Vous n’entendrez jamais parler de moi. Vous même ne m’avez pas reconnu. Qui se rappelle aujourd’hui le prince de Joinville? Qui pourrait reconnaître celui que trente ans d’exil et de chagrin ont rendu étranger à tous? « , mais le général connaît trop bien l’hostilité du gouvernement provisoire contre les Orléans: la mort dans l’âme, il refuse, malgré le désespoir qu’il lit dans le regard du prince de Joinville. Celui-ci lui serre la main et disparaît. Il refusera pourtant de se soumettre. Il suivra l’armée, aidant où il peut, donnant des conseils. Au début, on le soupçonna d’espionnage. Puis les soldats français, comme naguère les soldats américains , s’habituèrent à « l’homme au grand chapeau », toujours là pour les encourager et leur prodiguer un conseil judicieux. En même temps il continue à bombarder le gouvernement de demandes d’engagement. Finalement Gambetta le déclare danger public et lui ordonne de quitter le territoire. Joinville s’accroche à sa patrie. Il sera finalement arrêté et expulsé manu militari.
Quelques semaines plus tôt, un jeune homme nommé Robert lefort a réussi à se faire engager dans les gardes mobiles de Seine-maritime. Il n’a pu décrocher une troupe plus prestigieuse faute de pouvoir se mettre en règle avec l’intendance. il est affecté dans la région de Gisors, que tiennent en partie les Prussiens, et où la population déchirée comme tout le pays par la guerre, manifeste son hostilité. le premier soin du capitaine Robert Lefort est de rassembler ses gardes mobiles et de disperser les manifestants. Il fait des reconnaissances, participe à plusieurs escarmouches. les prussiens semblant toujours plus invincibles, les troupes françaises doivent abandonner la région et reculer. Au cours de cette retraite effectuée en plein hiver, dans des conditions extrêmement difficiles, le général Briant est tellement frappé par l’énergie, le courage et le sens de l’initiative du capitaine Lefort qu’il le prend dans son état-major, l’incorporant enfin dans l’armée régulière de ligne. Le jeune officier est si chaudement recommandé que Gambetta signe son avancement et le nomme chef d’escadron. Il participe à la bataille du Mans, puis ses connaissances en allemand le désigne pour une mission moins prestigieuse et plus essentielle : il est chargé de discuter avec les prussiens des conditions d’armistice. Grâce à son art de la dialectique et à sa ténacité, une partie de la Normandie échappe à la terrible occupation prussienne. En février 1871, les préliminaires de la paix sont votés par l’assemblée et l’armée française est démobilisée.
Robert Lefort n’a plus qu’à disparaître pour redevenir le duc de Chartres. Il n’avait fait qu’emprunter le nom de son lointain ancêtre, Robert dit le Fort, qui au neuvième siècle assura la fortune de la famille en devenant comte de paris et duc de France. Personne du côté français n’avait deviné sa véritable identité, ce qui lui avait évité les humiliations de son oncle Joinville. Côté allemand, on avait su que le duc de Chartres se battait sous un faux nom, et un émissaire de la famille royale de Prusse avait demandé aux Orléans à londres sous quel peudonyme il se cachait, afin que, s’il devait être fait prisonnier il fût traité avec les honneurs dus à son rang illustre. Réponse du duc d’Aumale à l’intermédiaire : « Chartres est là où il doit être. Si vous le faites prisonnier, fusillez-le, pendez-le, brûlez-le même si vous voulez. Il fait son devoir, et nous ne dirons pas le nom sous lequel il se cache pour l’accomplir. »
gloria
9 mars 2015 @ 18:41
Ouf! nous l’avons échappée belle! La reine Mathilde porte une mantille. La Terre pourra continuer de tourner. Amen.
limaya
9 mars 2015 @ 19:02
pour une handicapée provisoire du genou, je suis étonnée par ses chaussures à talons.
Nicole C 34
10 mars 2015 @ 14:44
elle ne pose pas le pied à terre,c’est une question d’harmonie avec sa toilette,toujours les mauvaises langues…réfléchir avant d’écrire des âneries….
Anne-Cécile
10 mars 2015 @ 16:34
la coquetterie et le souci de la photo ;)
Richard
9 mars 2015 @ 19:53
Mathilde toujours aussi parfaite mais comment a-t-elle pu faire sa révérence au souverain pontife ?
bernadette
10 mars 2015 @ 15:53
La révérence ? non, on fait une révérence à la reine mais pas au pape. Surtout le pape François qui s’en moque….On a raconté une anecdote à ce sujet : à quelqu’un qui s’inclinait un peu bas devant lui, il lui a demandé gentiment s’il avait mal au dos… !!
Camille Gilbert
12 mars 2015 @ 13:44
Je suis un peu soufflée par cette anecdote. Afficher son anti-conformisme en ridiculisant une homme qui croyait bien faire, ce n’est pas très charitable. Notons que le pape adhère à certaines traditions: il n’est pas habillé en civil dans ses fonctions officielles. Il porte la calotte, Mathilde porte la mantille, pas de quoi en faire tout un plat!
Gérard
12 mars 2015 @ 22:19
Pour le pape une génuflexion en effet et non une révérence. Et les hommes font la même que les dames.
flabemont8
9 mars 2015 @ 20:54
J’espère que le pape François a donné une bénédiction spéciale à Mathilde pour son courage :-))
Lorenz
9 mars 2015 @ 22:02
J’apprécie beaucoup le choix vestimentaire de la reine pour cette visite, notamment sa décision de porter une mantille.
Mathilde est une reine parfaite dans son rôle, le belges sont très chanceux de l’avoir!
Yannick
10 mars 2015 @ 06:36
La reine Mathilde a vraiment l’oeil pour repérer les photographes.
Numérobis.
10 mars 2015 @ 13:22
Ils ne sont pas invisibles non plus…..
nanou1
10 mars 2015 @ 13:43
Effectivement, c’est sa seule raison de vivre.
Mélusine
11 mars 2015 @ 16:02
nanou 1,
Heureusement qu’elle existe, la reine Mathilde, sinon « c’est vous qui perdriez votre seule raison de vivre », puisque vous n’intervenez sur ce site (et probablement ailleurs) que pour la dénigrer.
bernadette
10 mars 2015 @ 15:55
Vous aussi, Yannick, vous avez l’oeil pour remarquer que Mathilde « a l’oeil pour repérer les photographes »… J’avoue que je n’ai rien remarqué, mais peut être que ma vue baisse…
Pierre-Yves
10 mars 2015 @ 19:37
Il faut dire que le repérage n’est pas vraiment difficile quand les photographes forment un groupe compact à quelques mètres devant vous.
agnes
11 mars 2015 @ 11:18
excellent.
Mélusine
11 mars 2015 @ 16:04
Certes, et s’acharner à ne pas vouloir les voir serait…très mal vu ! ;)
Nania
11 mars 2015 @ 17:15
Et qu’ils vous disent tout le temps: Regardez par ici, souriez, s’il vous plaît!!!
Est-ce que Máxima ou Letizia ne regardent pas les photographes dans des occasions semblables????
Soyons justes!!!!
jo de st vic
10 mars 2015 @ 09:35
Dradomir..c est tout a fait cela
Lady Chatturlante
10 mars 2015 @ 10:28
Quelles belles robes de mariées.
Zeugma
10 mars 2015 @ 10:39
Quelles sont les relations entre la Belgique et le Saint Siège ?
Y a-t-il un concordat ?
Les ministres du culte sont-ils rémunérés par l’Etat Belge ?
DEB
10 mars 2015 @ 19:58
Zeugma,
Nous entretenons des relations avec le Saint-Siège depuis 1832 et notre ambassadeur auprès de celui-ci est Bruno Nève de Mévergnies, qui a été secrétaire de la reine Fabiola pendant quelques années avant d’occuper divers postes diplomatiques.
Bien sûr, nous avons un autre ambassadeur de Belgique auprès de l’ Italie.
Quant aux ministres des cultes, qu’ils soient prêtres, pasteurs, imams ou rabbins , ils sont payés par l’état belge. Les chiffres varient d’un informateur à l’autre, mais l’état rémunérerait un peu plus de 3.000 personnes avec un salaire de départ aux alentours des 1500 à 1700 euros mais là personne n’est franchement d’accord .
beji
10 mars 2015 @ 16:51
Mathilde parfaite comme d’habitude;outre que la mantille fait partie du dress code,
je trouve qu’elle ajoute beaucoup de chic.
ricardo
11 mars 2015 @ 00:17
c’est drôle, mais alors qu’il y a toujours des commentaires d’internautes acides pour ne pas dire fielleux, pour fustiger le moindre voile porté par des femmes de familles royales ou non résidant dans des pays arabes (alors que cela fait partie de leur tradition), ce n’est pas, qu’à de rares exceptions, le cas avec cette hideuse mantille (on espére en points de Malines), portée de traviole
cela permet d’apprécier l’ouverture d’esprit et les opinions « à géométrie variable »…
c’est merveilleux dans un cas et tellement rétrograde et avilissant pour la femme dans l’autre, comprenne qui pourra!
Marie de Bourgogne
11 mars 2015 @ 12:55
En Tunisie, à une époque, le voile était interdit car contraire à leurs traditions ^^^^
Et ma grand mère marocaine (ainsi que mes tantes et cousines) n’ont jamais porté de voiles.
J’ai 51 ans. Imaginez l’âge qu’avait ma grand mère. Alors le côté traditionnel ^^^^
Mélusine
12 mars 2015 @ 11:08
En effet ! Dans de nombreux domaines, la « tradition » a bon dos.
ML
12 mars 2015 @ 12:46
Je ne trouve pas la mantille hideuse et de plus elle ne cache pas grand-chose .Elle ne ressemble en rien,sauf imagination débordante ,à la tenue imposée en Arabie Saoudite ou en Afghanistan ! Il faut raison garder .
Marie de Bourgogne
11 mars 2015 @ 12:58
Et quand aux origines de la burqa ^^
« ORIGINE DE LA BURQA …….
Il serait bon de rappeler ceci aux porteuses de Burqa actuelles, peut-être qu’elles se vêtiraient autrement.
La Burqa vient du Culte d’Astarté dans la Mésopotamie antique.
Pour honorer la déesse de l’Amour Physique, toutes les femmes sans exception devaient se prostituer une fois l’an dans les bois sacrés qui entouraient les temples de la déesse.
Pour ne pas être reconnues, les femmes de la haute société prirent l’habitude de se voiler totalement.
Et n’oubliez pas ceci : Mustapha Kemal, alias Atatürk, 1er président de la Turquie, de 1923 à 1938, avait trouvé la bonne astuce pour clouer le bec aux intégristes de l’époque.
Il avait mis un terme au port de la burqa, en faisant une loi toute simple, avec effet immédiat, toutes les femmes turques ont le droit de se vêtir comme elles le désirent.
Toutefois, toutes les prostituées doivent porter la burqa.
Dès le lendemain, on ne voyait plus de burqa en Turquie.
Et c’est toujours en vigueur…!!!
Mélusine
12 mars 2015 @ 11:07
Merci pour ce texte très instructif, Marie de Bourgogne. :):):)
Gérard
12 mars 2015 @ 22:22
Merci Marie de rappeler ces vérités.