La National Portrait Gallery a acquis le portrait non achevé d’Arthur Wellesley, 1er duc de Wellington, par Sir Thomas Lawrence grâce en grande partie à un appel public de fonds qui s’est élevé à 1.300.000 £. (Merci à Bertrand Meyer)
Je me demande si Thomas Laurence aurait aimé qu’on expose son travail en cours.
Je me posais la même question hier, en visitant l’exposition Rik Wouters de Bruxelles.
En général, les peintres de renom ne peignaient que les visages. L’uniforme, le manteau de cour et la batterie de décorations étaient confiés à leurs élèves. Le Maître se contentait ensuite de retoucher si besoin était.
Non, Muscate.
Sauf extraordinaire ( portrait de souverain par exemple, ou oeuvre très personnelle ), les peintres d’autrefois travaillaient souvent groupés en ateliers, lesquels étaient de vraies petites PME. C’était une pratique tout à fait normale et courante à ces époques. Etre peintre était d’abord un métier, avant que d’aucuns se mettent à se considérer comme des génies.
DEB
13 avril 2017 @ 07:41
Je me demande si Thomas Laurence aurait aimé qu’on expose son travail en cours.
Je me posais la même question hier, en visitant l’exposition Rik Wouters de Bruxelles.
Alinéas
13 avril 2017 @ 09:22
Arthur Wellesley, 1ᵉʳ duc de Wellington, a été principalement connu en tant que vainqueur de Napoléon à Waterloo !!!
Muscate-Valeska de Lisabé
14 avril 2017 @ 09:28
Raison de plus pour que je ne vois pas ce triste visage suspendu chez moi! ;-))
Antoine
13 avril 2017 @ 09:26
A comparer avec les portraits de Felipe et Juan Carlos…
Leonor
13 avril 2017 @ 19:12
Oui. Y’a comme qui dirait pas photo…
COLETTE C.
13 avril 2017 @ 11:37
Le peintre est-il décédé avant d’avoir terminé ce portrait ?
JAusten
13 avril 2017 @ 11:52
tout cet argent pour un portrait non fini ?
Antoine
13 avril 2017 @ 23:21
En général, les peintres de renom ne peignaient que les visages. L’uniforme, le manteau de cour et la batterie de décorations étaient confiés à leurs élèves. Le Maître se contentait ensuite de retoucher si besoin était.
Muscate-Valeska de Lisabé
14 avril 2017 @ 14:55
Oh…de la sous-traitance!…pour l’art,c’est une maltraitance,je pense! ;-)
Leonor
15 avril 2017 @ 20:42
Non, Muscate.
Sauf extraordinaire ( portrait de souverain par exemple, ou oeuvre très personnelle ), les peintres d’autrefois travaillaient souvent groupés en ateliers, lesquels étaient de vraies petites PME. C’était une pratique tout à fait normale et courante à ces époques. Etre peintre était d’abord un métier, avant que d’aucuns se mettent à se considérer comme des génies.
Cosmo
14 avril 2017 @ 10:30
Mais il est superbe, dear Jane! Tant pis pour le costume. L’habit ne fait le moine.
Taylorement votre
Cosmo
gone
13 avril 2017 @ 12:06
Ce sont les Wellesley qui doivent être satisfaits de ne plus avoir ce portrait dans leur salle à manger…ils ont retrouvé l’appétit.
Muscate-Valeska de Lisabé
14 avril 2017 @ 14:56
Excellent Gone…je n’avais pas lu! ;-))