La princesse Aiko du Japon, fille unique du prince héritier Naruhito et de la princesse héritière Masako du Japon, n’a plus assisté aux cours de l’école primaire Gakushuin de Tokyo ces derniers jours après avoir été victime d’intimidations de la part d’autres écoliers. La Cour impériale ne donne pas davantage de précisions mais la fillette a dû garder le repos, étant dans un étant de grande anxiété et de stress. Il n’a pas non plus été précisé quand la princesse Aiko retournera à l’école. (Merci à Conny pour l’info – Source BBC – Copyright photo : Reuters)
JAusten
5 mars 2010 @ 19:02
Pauvre petite princesse ! il ne manquerait plus que ça, maman fragile puis maintenant la fillette …. les docteurs à la cours du Japon ont de beaux jours devant eux. J’espère que ce mauvais moment passera vite.
Pierre-Jean
5 mars 2010 @ 19:40
Elle doit être d’autant plus triste de voir son père partir en visite officielle a Kenya, au moins elle aura sa mère pour la consoler, le palais doit être un univers trop feutré.
Catherine(Charente)
5 mars 2010 @ 19:45
Décidément que de souci pour ce couple,la princesse Masako qui a encore besoin de temps pour se remettre de sa dépression et pour finir la petite est victime d’intimidation.Je leur souhaite tout le bonheur possible dans ces moments difficiles.
Marie JFB
5 mars 2010 @ 19:50
Y a toujours des petits « garnements » qui aiment « embêter » leurs camarades de classe parce qu’ils sont différents : ne s’habillent pas à la mode, élèves boursiers dans certaines écoles prestigieuses… je sais de quoi, je parle ! :@
J’espère que la princesse se remettra vite car elle vient de rencontrer les 1ers « embêteurs » de sa vie et la liste risque d’être longue aux vues de son statut…
mariazil
5 mars 2010 @ 19:56
Intimidations de la part d’autres ecoliers? Cela veut dire qu’ils ont peut-etre essaye de se moquer d’elle ou est-ce plus grave? C’est bien triste et malheureusement il parait qu’il se passe trop souvent de nos jours.
De toute facon, ce n’est pas la faute de la petite, n’oublions pas son age, c’est normal pour les enfants de son age d’etre facilement intimides.
Et j’espere que la formule utilisee n’est pas une maniere « polie » pour se referer au « bullying »…
Sophie2
5 mars 2010 @ 20:05
Il faudrait mieux qu’elle ait un précepteur ou qu’elle suive des cours par correspondance.
landry
5 mars 2010 @ 20:42
D’après que j’ai compris de l’article (il était en japonais et les traducteurs automatiques font un travail de charcutier) elle semble être très malade à cause de cet évènement. Sa temperature serait monté assez haut, des vomissements etc.
J’espère que la cour impériale donneront une bonne leçon à ses sales gamins.
Trianon
5 mars 2010 @ 20:52
Sophie2
croyez vous que suivre des cours chez soi soit la bonne formule pour cette petite fille ( fille unique), et qui vit déja dans un univers psychorigide? je pense que la vraie vie ( faite des « gracieusetés » inhérentes à l’enfance) de l’école ,avec d’autres enfants représente une sociabilisation salvatrice pour elle…
dimitri
5 mars 2010 @ 20:53
La violence à l’école devient un épouvantable fléau, et personne n’y échappe.
Malheureusement, trop nombreux sont ceux qui prêchent dans un discours lénifiant la compréhension,le dialogue, alors que c’est le plus souvent, parce que les parents irresponsables, n’éduquent plus leurs enfants , ne leur enseignent pas les principes et un minimum de morale que leurs enfants se conduisent comme des barbares.
Seulement dans les classes où sévissent ceux que M. CHEVENEMENT nommait si gentiment les « sauvageons », il y a des enfants bien élevés, qui eux ont envie de travailler et qui doivent tenter d’étudier au milieu du vacarme, des injures, des jets de toutes sortes de choses, sauf si leurs parents peuvent faire la dépense d’une école privée, et laisser le champ libre à ceux qui ne viennent là que pour détruire l’école publique.
Je crois que la princesse AIKO fréquente une école publique.
Agnès
5 mars 2010 @ 20:58
Elle n’a pas été élevée pour affronter « ces petits monstres » la pauvre, mais il va falloir qu’elle s’y fasse.
Sophie2
5 mars 2010 @ 21:00
a trianon, il faut mieux étudier à la maison que de souffrir à l’école.
francesca
5 mars 2010 @ 21:04
La violence à l’école a toujours existé. L’enfant est le reflet de ses parent et il est bien fragile s’il est « socialisé » trop tôt. En Scandinavie, on garde les enfant jusqu’à ce qu’ils soient assez solides pour affronter le vrai monde (plus ou moins 7 ans, l’age de raison).
Cette pauvre petite princesse a rencontré le vrai monde et elle n’y était pas préparée, enfin elle est peut-être aussi sensible que sa maman.
Jocelyne Choquette:.
5 mars 2010 @ 21:11
Bonjour tout le monde,
Pour ma part, je n’enverrais certainement pas mon enfant dans une école publique surtout si celle-ci est de nature très impressionnable comme peut le démontrer, peut-être, la dépression nerveuse récente de sa mère. De plus, je suis surprise par la violence des enfants nippons qui sont issus d’une société de réputation calme et très peu criminalisée.
marie louise
5 mars 2010 @ 21:18
Les enfants entre eux peuvent etre cruels!Malheureusement,cette petite a peut-etre herite du caractere sensible de sa mere!
Difficile le combat des personnes fragiles!
Je leur souhaite,a elle et sa maman beaucoup de courage,car plus on est dans un milieu favorise et moins on est comprises!J en sais quelque chose!
Les personnes qui souffrent de mal-etre sont tres souvent dotees d une grande intelligence!
Marianne
5 mars 2010 @ 21:33
Dimitri , comme je suis d’accord avec vous !
Francesca , » la violence à l’école a toujours existé » ,
sans doute , mais avant , c’était des douceurs si on compare à ce qui se passe de nos jours ..
Cixi-Helene
5 mars 2010 @ 21:41
Si on tient compte de l’étiquette de le cour impériale japonaise d’une épouvantable rigueur, de sa mère Masako grande dépressive (et pour cause) et de sa grand-mère l’impératrice Michiko qui a plusieurs fois perdu la voix à la suite de diverses pressions, familiales, médias etc., tout ceci au beau milieu des puissants conservateurs phallocrates, la petite princesse Aiko suit en ligne directe ce que les femmes de ce type de cours subissent. Pauvre Aiko…
Claudia
5 mars 2010 @ 21:53
Pauvre Aiko, c’est triste pour elle, les « intimidations » ont dû être importantes pour qu’elle en tombe malade ; même au Japon, il doit bien y avoir une solution entre une école publique et le travail à la maison ?
marie-France
5 mars 2010 @ 21:56
Petite princesse, les enfants sont cruels et elle n’y échappera pas malgré toute l’attention dont on l’entoure ! Et ce n’est pas en ayant des cours privés au palais qu’elle pourra forger son caractère … Il faut tôt ou tard affronter la réalité et le monde actuel n’est pas tendre …
Danielle
5 mars 2010 @ 21:57
Les enseignants et les parents des enfants doivent réagir pour qu’Aiko retrouve les bancs de l’école sereinement.
Les enfants sont très durs entre eux, cela a toujours existé, il faut donc les sermonner.
Ne pas retourner à l’école n’est pas une bonne solution car elle doit s’imprégner de la vie publique.
Marie JFB
5 mars 2010 @ 22:12
Vous allez me dire que c’est 1 stéréotype mais souvent, ils s’avèrent vrais (les stéréotypes):
Si, comme l’a dit DIMITRI (9), la princesse est en école publique, elle est sans doute confrontée à des personnes qui sont en majorité issues d’un milieu beaucoup moins favorisé que le sien, ce qui a apparemment évéillé une jalousie qui a évoluée de manière assez malsaine.
Une école privée serait sans doute plus appropriée pour l’éducation de la princesse, elle aurait plus de chance d’être avec des personnes issues de milieux similaires au sien. C’est toujours mieux que le précepteur.
Laure
5 mars 2010 @ 22:32
Dimitri
Je ne peux pas laisser passer votre commentaire car visiblement vous faites des raccourcis qui sont inacceptables. Etant professeur dans un collège public, je tiens à vous affirmer que tous les enfants scolarisés dans le public ne sont pas des « sauvageons » qui sont là pour faire le « vacarme, des injures et jets » en tous genres… et que les adolescents peuvent parfaitement travailler dans des conditions normales dans le public. Je sais d’ailleurs que mon collège est à l’image de la majorité des collèges publics de France…donc il n’intéresse pas les médias ! Arrêtons de penser qu’il n’y a que dans le privé qu’il y a des conditions correctes de travail. C’est naïf de penser cela !
martine
5 mars 2010 @ 22:41
De partout dans le monde,dès la maternelle…les enfants s’affrontent entre-eux,cela sera toujours ainsi et,cela leur permet de se mesurer aux autres.
Mais depuis quelques années la violence est partout dans les écoles….jusqu’à tuer un camarade »pour un différent »dans n’importe quel domaine(amoureux éconduit,portable etc)dès le collège.
La télé et l’éducation par les parents en sont les responsables en 1è ligne.
De »surprotégés » ou »laisser faire…ce qu’ils veulent »les enfants,n’est absolument pas la bonne éducation et ce n’est pas à 7ans(comme dit Francesca, »en Scandinavie »)que l’enfant apprendra à mieux à se défendre.
tout petit à 2ans(fille et garçon)dans les jardins d’enfants ou public,l’enfant »doit »rentrer en constat avec d’autres enfants,déjà un « aperçu »,puis la maternelle »un champs de bataille »,la primaire…l’enfant est largement prêt à se battre contre les coups qui reçois,ça revient avec »un oeil au beurre noir »mais très content(e)d’avoir rendu les coups.
Mais à condition que les parents….les couvent pas,sinon,ils ne feront jamais face aux teigneux qui adorent les faibles,c’est connu.
J’ai fait des collèges,des lycées et des universités,je peut vous dire que »les années »du collège sont les plus terribles à supporter »en pleine..puberté »filles et garçons se valent pour »bonjour les dégâts »il y a des teigneux,des »tu m’a vu » des faibles,des froussards,des mouchards,des zélés,des égoistes, des »solidaires »(surtout pour les bêtises) des »sage comme une image »,dès la 6è à la 3è,et compter…les redoublants aussi, entre 800 et 1000 élèves(selon,les collèges) qui débarquent en septembre,les problèmes commencent….dès octobre,et,les parents amènent »leurs grains de sel »quand leur rejeton mérite une sanction ou une punition,pour eux »c’est toujours le copain ou la copine qui a fait le coup ».
Aiko est une enfant »surprotégé »par ses parents,vivant également dans un milieu « froid,rigide etc »où les bonnes manières sont de règles,cette enfant n’est pas en état de faire face aux moqueries,à chahuter etc,il va lui être très difficile….de retourner à l’école.
glafouti
5 mars 2010 @ 23:02
Heureusement pour ses sales gosses nous ne somme plus au 18Ème Siècle sinon ils seraient déjà coupés en deux dans le sens de la longueur ! Blague à part nous voyons encore que l’éducation japonaise est impitoyable et les enfants en sont les première victime ,la grande culture japonaise à mutés plus vite que les mentalités ce qui mène à des problème de sociétés multiple (cela c’est un autre débat qui n’a pas lieu d’être sur ce blog ). Mais j’ai vraiment de la peine pour la pauvre petite
Alix
5 mars 2010 @ 23:12
Mon arrière-grand père qui était inscrit au Lycée louis-le-Grand a assisté à la bascule d’un surveillant par dessus la rambarde des escaliers par des élèves. Celui-ci est décédé de ses blessures. C’était il y a plus d’un siècle et il n’y a jamais eu de poursuites en raison des personnes impliquées. Mon grand-père a toujours que s’il se permettait des monstruosités il n’y aurait aucune conséquence notoire : seules des qualités innées permettaient à ces enfants gâtés et bien nés de ne pas être pourri par une éducation d’élite mais pernicieuse.
La violence existe depuis toujours dans les établissements scolaires.
Visiblement la petite fille a été la dernière victime des petites terreurs (deux trois garçons) de l’école qui ont terrorisé plusieurs enfants depuis la rentrée.
Laure
6 mars 2010 @ 09:18
Je rejoins Marie France et je suis étonnée de certains commentaires. Ce n’est pas en enfermant Aiko dans son palais avec un précepteur et une mère dépressive qu’on en fera un personne « normale » et épanouie (remarquez, e n’est sans doute pas le but !). De plus, je ne pense pas (et ça me fait rigoler que certains d’entre vous puissent le croire) que l’école d’Aiko ait été choisie au hasard où une jungle d’enfants jaloux et mal éduqués règne.
Je pense que son école doit être, malgré tout, la plus sélect de Tokyo mais que l’éducation d’Aiko ne lui permet pas de s’intégrer dans la vraie vie… et que, ce qu’elle n’a pas supporté, tous les autres enfants de la terre l’auraient supporté.
Pauvre famille impériale du Japon qui vit encore comme au XVIIIè s !
pierre-yves
6 mars 2010 @ 11:12
Il serait en effet bien étonnant que l’école où est inscrite la petite princesse soit une école d’un quartier mal famé et fréquentée par des enfants défavorisés.
La petite fille, étant donné son statut, doit être une proie facile pour les élèves tentés de jouer les terreurs. IL faut dire que, fille unique, d’une mère dépressive et vivant au sein d’une famille impériale, elle cumule les handicaps.
Je pense pourtant que la laisser sous cloche ne va pas l’aider, il faut l’aider à surmonter son appréhension et lui apprendre à vivre avec les autres enfants.
martine
6 mars 2010 @ 11:55
Alix
La justice n’a pas mieux changée au XXIè siècles,et ne promet guère de changer dans l’avenir.
Les »terreurs » sont à tous les niveaux dans les écoles,même,les »privées »commencent à avoir
leur lot de bagarres
Les »terreurs »ont toujours…un »chef »un meneur de groupe,qui ce dernier aura eu de maintes barrages pour obtenir »le statut »et,beaucoup ne sont pas »bien nés »ni « pourri-gâté »ils aiment »intimités,dominés »les plus faibles pour en faire des »souffre-douleur ».
Il faut voir les bagarres dans les couloirs,à la récréation,si ce n’est pas en plein cours et,à la sortie des écoles,collèges et lycées,mêmes les filles s’y mettent,certaines plus teigneuses que les garçons.
Depuis l’affaire de 2 ou 3ans,dès le collège…ce n’est plus »coup de poing,ni les gifles,ni les cheveux »directement…curteur,compas,couteaux de cuisine,ciseaux de dessin et,dernièrement…une hachette(pour poulet)amené par…une fille et pour »un différent »voulait »hacher »une autre à la récréation,ouf aucune victime.
Ces »terreurs » passent plus de temps dans les rues que chez-eux,même après 20h,les parents n’ont aucune autorité les 3/4 du temps,tout est »excuses »pour les rejetons en cas de sanction ou punition »jamais le leur,toujours celui d’à coté »résultat,parents et élèves contre profs qui ces derniers auront….voiture abimée,voir brûlée(si,ils connaissent son domicile)ou »raclée »en pleins cours ou à la sortie(bien souvent seul contre 5/8).
Mais,faut regarder la réalité en face, car,un collège ou un lycée n’a pas que des « terreurs »et,heureusement;
Pour Aiko,j’ai des doutes que cette enfant soit dans une école…de sauvages »avec son statut royal??,elle a subi… »un passage à l’épreuve »c’est-à dire,les gosses ont tester…son caractère face aux moqueries,malheureusement »surprotégée »menant une autre vie que dans les réalités du monde,elle n’est pas en état de faire face,elle vit la terreur de retourner à l’école,un percepteur la rendra encore plus fragile,changer d’école,il n’est pas certain…qui n’est pas des »terreurs » tout le long de sa scolarité.
martine
6 mars 2010 @ 12:44
Laure(21)
Votre collège doit être très »calme »et disciplinaire à tous niveaux.
Le dernier que j’ai fait était le n°1 en discipline durant….20ans(j’y étais pas au début à l’époque)les parents se battaient en papiers pour faire entrer leur(s)rejeton(s)par »dérogation »,1100 élèves dans ce collège,un Principal cool,humain,mais ferme pour la discipline,aucune bagarre,aucun dégâts,respect pour tous(même entre élèves).
Il a pris sa retraite,une femme est venue et….commencement des »dégâts »,elle a fini par prendre…une dépression nerveuse,une autre à sa place,celle-là un record »débrouillez-vous » et »je ne veux en aucun cas….voir le nom de »mon »collège dans les journaux,sinon en bien »(sic),partie dans le midi…au bout de 2ans,un homme vraiment pas nerveux(ex-prof de poésies,de lettres durant 25ans dans un lycée)lui « la discipline »est pour….les profs et le personnel,durant que les élèves »se défoulent »car, selon lui « faut laisser que jeunesse se fasse » et ce collège est classé n° dernier en discipline et aussi l’étiquette »ZEP » depuis 5ans et plus que….320 élèves coté collège et 95 élèves coté »prof des écoles »(section spéciale des enfants inaptes à rentrer en 6è à la sortie de la primaire).
Je n’ai pas connu ce dernier Principal(encore dans ce collège)mais l’ayant vu en allant voir mes ex-collègues,je les envie vraiment pas avec un tel Principal et, »l’adjoint-principal »,une femme….ne sortant pas de son bureau,pour finir,même pas pour aller boire un café dans la salle des profs,la joie,quoi.
Myriam
6 mars 2010 @ 13:14
Quelle triste vie que celle de la cours impériale du Japon. Je pense que cette petite princesse devra se battre pour faire sa place dans la société. Je lui souhaite une chose: qu’elle apprenne montrer les dents, sortir les griffes et faire fi du protocole étouffant qui règne autour d’elle! Concernant les gamins de cette école ils manquent totalement de respect et d’éducation. Lorsque j’étais gamine, dans les années 50, on avait droit aux gifles à travers la figure lorsqu’on ne marchait pas droit. Sans aller jusque là je pense que les enseignants devraient apprendre à ces gamins à se tenir un peu mieux! Ils sont aussi un peu responsables de cette situation.
Danielle
6 mars 2010 @ 14:18
Que ce soit dans les écoles publiques ou privées, il y a de mauvais garnements partout mais je pense que dans le privé, les sanctions sont plus dures.
L’éducation se fait déjà dans la famille et c’est aux parents de la faire dès la prime enfance et surtout de ne pas baisser les bras, l’enfant roi est une aberration.
Mon fils a souffert d’un meneur de bande, dans le privé, et j’ai du intervenir auprès du directeur à son insu, tant ce petit voyou aimait semer la terreur.
Nelly
6 mars 2010 @ 15:13
Les enfants sont cruels entre eux
Etonnant tout de même que la petite princesse qui ne doit pas fréquenter n’importe quelle école, ait pu subir de telles pressions !!
Elle doit avoir des gardes du corps (même à l’école), c’est obligé, personne ne s’est aperçu de rien ?
Claudie
6 mars 2010 @ 16:33
Aiko a subi bien des épreuves,depuis sa naissance. Vivre en vase clos avec un précepteur ne serait pas une bonne solution, je pense. Elle n’était pas préparée a affronter « la vraie vie ».Elle est sans doute fragilisée par la dépression de sa maman et l’ambiance étouffante du palais.Notre monde hélas devient de plus en plus cruel. je souhaite qu’une solution soit rapidement trouvée pour que Aiko trouve au mieux sa voie et retrouve la sérénité.Enfin ,j’espère que ses agresseurs soient punis.
Caroline
6 mars 2010 @ 18:07
Etant ‘arrivee assez tard’ a ce site,que je suis choquee d’avoir lu tous les commentaires precedents sur les problemes d’intimidation de la delicieuse petite princesse nippone a son ecole! J’espere bien qu’elle ne sera pas depressive comme sa mere,la pauvre! Ce serait surement preferable de l’envoyer dans une ecole privee avec les filles du meme milieu social qu’elle! Helas,la violence a toujours existe dans le passe et est malheureusement de plus en plus courante de nos jours!
maria56
6 mars 2010 @ 18:29
non mais j’ ai la berlu c’est quoi cette histoire
je viens de lire sur votre site que la petite prncesse
à été victime d’intimidation dans son école!!!
pourriez vous s’il vous plait nous renseigner un peu plus bien sur si vous avez des informations
vraiment ce couple n’a pas de chance et les souçis ne manquent pas,nous vivons dans un monde de brute
courage au couple royal
Pourceaugnac
6 mars 2010 @ 18:40
Il s’agit d’une école japonaise. La société japonaise fonctionne très différemment de la notre, en particulier pour l’éducation. Les enfants sont élevés par classe d’âge beaucoup plus que dans leur propre famille. Les Français au Japon sont plus que surpris de toujours rencontrer les enfants visitant les temples et autres lieux célèbres avec leur école et jamais en famille, même le dimanche.
Au XIXe siècle les dirigeants japonais traumatisé par le traitement réservé à la Chine par les occidentaux ont décidé d’occidentaliser leur société par la force.
La victoire des Prussiens contre les Français les ont poussé à adopter le modèle prussien (Kadetten) pour la scolarisation des élites : c’est l’origine des fameux costumes marins des collégiens et collégiennes japonaises.
Il s’agissait de s’endurcir par la compétition scolaire et sportive, élève contre élève, classe contre classe. Cette éducation militaire s’est renforcée des traditions japonaises propres de soumission à l’autorité et de dévouement absolu au groupe.
Cette tradition a survécu discrètement à la défaite de 1945. Elle a ressurgit au grand jour depuis vingt ans, et l’on peut voir dans les écoles privées les plus cotées des gamins de maternelle obligé de courir en slip dans la neige, harcelés par leurs maîtresses à coup de badine. Sans que nul n’ose, voir ne songe à protester.
Dans ce contexte n’oublions pas non plus que la famille impériale n’est révérée que par la fonction qu’elle incarne et certainement pas pour la personnalité de ses membres.
Jusqu’à la seconde guerre mondiale, il existait un lycée réservé à la noblesse et à quelques boursiers très doués : le Gakushuin. La famille impériale y envoyait ses enfants, qui n’avaient aucun traitement de faveur, ni des élèves, ni des profs.
La mésaventure arrivée à la petite-fille de l’Empereur n’a a priori rien à voir avec les clichés français sur « la violence des jeunes d’aujourd’hui » et « l’école publique à l’abandon ». (Mes enfants sont dans le public et j’en suis parfaitement content).
Le problème vient plutôt à mon avis de l’isolement dramatique dans lequel a vécu cette fillette avant d’être lâchée dans un groupe formé à la dure, constitué depuis plusieurs années et qui n’avait pas envie de se trouver sous l’oeil des médias.
Il est possible aussi que les idées modernistes sur l’accès possible au trône des filles ait exaspéré les familles des camarades de l’enfant, qui se sont cru encouragé à la bizuter.
marie-francois
6 mars 2010 @ 19:23
Les midinettes sont de sortie .
Laure
6 mars 2010 @ 20:10
martine,
Mon collège est calme comme il y en a des milliers en France et dans toutes les villes de France. Mais c’est vrai que la clé réside souvent dans l’efficacité de l’équipe de direction.
Mais pour en revenir à Aiko qui était quand même le sujet de base, je crois qu’un jour où l’autre il faudra qu’elle affronte la réalité de la vie et qu’elle arrête d’être couvée par ses parents et très franchement, je doute que ses petits camarades l’aient tant maltraitée que cela et pour avoir un fils de l’âge d’Aiko, je ne pense pas que ce soit encore l’âge où les enfants sont méchants entre eux (ça arrive plus tard).
Moi, je ne dis pas « pauvre Aiko » mais « bienvenue, petite princesse, dans la vraie vie, celle de vos sujets ».
A.Lin
6 mars 2010 @ 22:06
TOKYO – La jeune princesse Aïko, petite-fille de l’empereur du Japon, a manqué plusieurs jours de classe parce qu’elle a été rudoyée par des garçons dans son école, a révélé vendredi un porte-parole de la famille royale.
Agée de huit ans, la princesse, qui s’est plainte de maux d’estomac et d’angoisse, était rentrée plus tôt de l’école primaire Gakushuin de Tokyo mardi dernier et n’a pas été en cours depuis, a précisé le porte-parole sous le couvert de l’anonymat.
Une enquête menée par l’Agence de la maison impériale et l’école a révélé qu’elle avait été victime avec d’autres élèves d’actes « violents » de la part de garçons d’une autre classe.
Mais le directeur de cette école de l’élite, située dans le quartier de Shinkuju, a estimé que l’incident pourrait n’être qu’un simple malentendu. « J’ai appris que deux garçons se sont approchés très soudainement et ont failli la heurter, ce qui l’a effrayée », a expliqué Motomasa Higashisono à la presse.
L’affaire offre un rare aperçu de la vie privée de la plus ancienne monarchie héréditaire au monde, qui observe habituellement un protocole strict et une extrême discrétion sur les questions personnelles.
Le porte-parole de la famille n’a pas fait de commentaire sur la réaction des parents, ni précisé quand la petite princesse retournerait à l’école.
Source : http://www.journalmetro.com du 05 mars 2010
Colette
7 mars 2010 @ 00:19
….Après avoir lu tout ces commentaires je me dit que tout ces problèmes que les parents rencontrent aujourd’hui, c’est le résultat de la grande tolérance.
Je ne mets pas en cause tous les professeurs mais peut être que si les élèves n’étaient pas manipulés par certains , le devoir passerait avant le droit.
Laure
7 mars 2010 @ 12:45
A.Lin
Ce complément d’information ne m’étonne pas. Je constate deux garçons ne sont approchés soudainement d’Aiko et que, à en croire les autres bloggeurs, la jeunesse mondiale est une bande de pré déliquants ! Le ridicule ne tue pas …
dimitri
7 mars 2010 @ 13:03
LAURE 21
Vous pouvez déduire ce que vous voulez de mon commentaire, mais comme vous ne me connaissez pas vous êtes tombée à côté.
Les deux personnes les plus proches de ma famille sont l’un, Maître de Conférences en Fac donc dans le PUBLIC, l’autre prof d’anglais dans un Lycée du public et j’ai moi-même été chargé de cours en Fac .
Donc je sais de quoi je parle, et je ne mets pas en comparaison la qualité des enseignants du public, mais l’encadrement et aussi les exigences qu’il y a dans le privé par rapport au public, et peut-être aussi les choix éducatifs des parents qui mettent leurs enfants dans le privé plutôt que dans le public. Puisqu’il faut sans cesse tout justifier, je sais qu’il y a des parents qui élèvent parfaitement leurs enfants et qui les mettent dans le public.Mais il y en a aussi énormément qui laissent pousser leurs enfants sans leur inculquer les rudiments de ce qu’est le fait de vivre en société. Aussi, et par voie de conséquence, il y a de plus en plus de violence, nous allons voir dans les toutes prochaines années, ce que les écoles sont en train de devenir et quels élèves elles sont en train de préparer. Quant à leur niveau , que dire? A qui la faute?
nos chères , à force de ci=ouprivé,Maintenant s’il faut aller plus loin, je constate que le droit de grève (droit constitutionnel je le sais je suis juriste) est beaucoup plus vous rappelle que dans le privé les profs et qui se préoccupent . , mais et j’ai assisté à la dérive même si elle n’est pas aussi prononcée partout.
JAusten
7 mars 2010 @ 19:35
Dimitri (41), j’adhére à vos propos en général, mais plus en particulier aux deux première phrases car c’est souvent ça l’objet des « conflits » qui peuvent exister entre internautes.
Et euh quant au dernier paragraphe … j’ai un peu jeté l’éponge :)
shandila
7 mars 2010 @ 19:57
Dimitri (41) : Comme Jausten, j’adhère à vos propos, mais le dernier paragraphe pose problème…
Marie-François (36) je suis une vilaine curieuse. Qui sont les midinettes et que peut-on leur reprocher ?
louise.k
8 mars 2010 @ 06:33
Danielle, mes petits enfants fréquentent un établissement privé, catholique de surcroit..et crois moi, il n’est pas fréquenté par des anges! Par contre je travaille dans un établissement public, et je n’ai jamais eu de gros problèmes. Mais je suis certaine tout de même que c’est dans tous les milieux que les PARENTS devraient être mieux éduqués, ils pourraient alors transmettre de solides valeurs à leurs rejetons!
Martine, j’ai aussi travaillé dans plusieurs établissement classés ZEP, et je vous assure que les enfants ne sont pas plus « sauvages » là qu’ailleurs.
Cette petite fille devrait prendre l’air, s’amuser, avoir des amis, et connaître la vraie vie,sa santé mentale en dépend! mais peut être vaut-il mieux qu’elle reste fragile, pour stopper net une éventuelle loi sur l’accession au trône des femmes au japon!
Bonne journées à vous tous et à Danielle en particulier.
Arielle
8 mars 2010 @ 08:46
Intéressant message de Pourceaugnac (35), qui éclaire le débat.
Danielle
8 mars 2010 @ 08:51
Louise k, merci, je ne peux toujours pas t’adresser de courriels.
Personnellement, je suis 100 % pour le public mais j’ai tout de même dû mettre mon fils en privé aux collège et lycée (pas assez de discipline près de chez moi) et encore maintenant (mais là c’est par sa faute de manque de travail en fac).
marie louise
8 mars 2010 @ 08:53
Danielle mess 30,j adhere entierement a vos propos!Ayant fait des remplacements quelque fois dans des classes de petits,j avais des parents qui arrivaient en me demandant d eduquer leurs enfants car ils etaient deja impuissants face a l ampleur de la tache!!!!!
Etre parents,eduquer est une grande responsabilite et un metier qui demande beaucoup de disponibilite, d energie et d investissement!On compte et demande trop a la societe pour tenir ce role!
Les parents doivent etre conscients de leurs devoirs et responsabilites!
Bon lundi a tous!
Renée
8 mars 2010 @ 16:13
Je suis étonnée par cet incident. Vu la cour impériale japonaise, je ne savais pas que la Princesse fréquentait un établissement public. Je pense que le directeur doit être « dans ses petits souliers » face aux remarques qu’il doit avoir reçu de la Cour, j’espère qu’il ne se fera pas « harakiri » ! Par contre, il serait temps que la cour vive avec son temps…
francesca
8 mars 2010 @ 20:32
Merci à Pourceaugnac , ses propos étaient bienvenus.
Les Japonais ont longtemps détenu les records de suicide d’écoliers.
Quant au « bizutage », tout le monde connait.
francesca
8 mars 2010 @ 20:32
Merci à Pourceaugnac , ses propos étaient bienvenus.
Les Japonais ont longtemps détenu les records de suicide d’écoliers.
Quant au « bizutage », tout le monde connait.
Alix
8 mars 2010 @ 22:29
Caroline (mess 33) : l’école fréquentée par la Princesse Aiko est la plus élitiste du Japon. Elle est l’école de la Cour, de l’aristocratie et des plus grandes fortunes nippones comme des enfants des hauts fonctionnaires.
Les petites frappes et leurs admirateurs qui ont terrorisé Aiko et d’autres sont issus pour certains de la noblesse. Les amis et les amies d’Aiko sont issus d’un même milieu.
Mon cousin qui a aujourd’hui 41 ans a été bizuté sexuellement avec d’autres pendant sa première année à Saint Cyr par plusieurs garçons dont un était dans la même classe que son frère aîné à Saint Louis de Gonzague un lycée à Paris. Milieu de la vieille noblesse d’épée pour les victimes et les bourreaux pour certains et « catholiques pratiquants » pour tous.
Mon frère qui fréquentait comme toute ma famille et moi l’aînée la premiere, Saint Jean Education lorsque nous nous sommes établis à Paris a perdu un ami décédé à 17 ans suite à un accident dû à son taux d’alcool dans le sang. La soirée « prière » préalable à un départ en camps était une petite soirée adolescente des plus classiques et des plus débridées avec alcool et sexe à volonté selon les dires des jeunes interrogés après la tragédie.
Rien absolument rien ne garantit une conduite adéquate et éclairée des enfants et l’absence de folies.
C’est l’éducation et l’attention aux résultats effectivement obtenus des parents qui garantissent un minimum de civilité des enfants.
Ce ne sont pas aux écoles d’éduquer les enfants, elles sont chargées d’instruire les enfants et de leur faire acquérir un socle de connaissances élémentaires.
Les parents eux sont chargés du complément mais aussi du tutorat moral et religieux quand ils ont une foi.
Il ne faut jamais prendre pour contenu la façade d’un nom ou d’une institution.
Les mauvaises graines naissent et grandissent dans tous les milieux, seule une véritable éducation avec sens et coeur modifie la destinée.
marie louise
9 mars 2010 @ 12:07
Tres vrai,Alix mess 51!
Marie JFB
9 mars 2010 @ 18:36
Généralement (enfin, c’est mon cas, celui de quelques amise et c’était celui de ma mère et ses soeurs), les enfants qui brutalisent sont indisciplinés en cours. Mais lorsqu’ils mettent le pied chez eux, ils deviennent sages comme des images et les parents pensent que leuf fils/fille est parfait(e).
Alors, quand des brutalisés commencent à parler à leurs parents ou aux profs, les parents du petit ange, lorsqu’ils finissent par être convoqués, tombent des nues et réagissent souvent comme ça « Mais je ne comprends pas, à la maison, il/elle est très calme, il n’embête pas son petit(e) frère/soeur. Il ne ferait pas de mal à une mouche… »
Je pense donc que les enfants qui ont embêtés la princesse Aiko entre dans la catégorie « Je suis un petit monstre à l’école et un petit ange à la maison ». D’autant plus qu’il arrive que certains établissements ferment les yeux sur le comportement de certains élèves parce qu’ils/elles sont le fils/la fille de bidule ou de machin et que les parents peuvent faire la pub de l’école auprès de amis et alliés.
Et surtout, entre bien se faire voir d’un PDG d’entreprise ou du prince héritier du pays… Y a pas photo, si j’étais la directrice, je choisirais le futur empereur.
Marie JFB
9 mars 2010 @ 18:37
Désolé, je voulais dire « amies »
JAusten
9 mars 2010 @ 19:22
je pense toutefois, qu’il ne doit pas en falloir beaucoup à cette petite princesse pour lui faire peur. Un « Bouh! » devrait même peut-être suffir.
marc senneville
26 mars 2011 @ 04:08
La princesse serait bien mieux avec un professeur privé
je ne crois pas à aucun système d’éducation dans les institutions.Je crois que l,école devrait être toujours
à la maison de maître à élève.tout comme quand on apprends le piano ça se fait de maître à élève,et non en groupe.beaucoup de parents enseignent eux même à leurs enfants et ils obtiennent de bien meilleurs résultats.
marc
26 mars 2011 @ 04:28
je pense qu,il faut tout simplement qu’elle ait son professeur privé.d’ailleur beaucoup de parents maintenant adhère à enseigner eux même à la maison.Et les résultats sont bien meilleurs,et cela sans subir
de l,intimidation.